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  1. Un complexe de luxe pour financer le retour du baseball à Montréal Pour financer le retour du baseball majeur à Montréal, un groupe secret d'hommes d'affaires envisage de construire un hôtel cinq étoiles, une boîte de nuit et une salle de spectacles. L'immense projet baptisé «le Littoral de Montréal» serait situé dans l'arrondissement du Sud-Ouest entre les ponts Champlain et Victoria. Destinées à «une clientèle ciblée», ses installations de luxe viseraient à financer le sport amateur ainsi que la construction d'un stade de baseball. Le projet est porté par l'avocat de Québec Guy Bertrand. Son désir de doter Montréal d'infrastructures sportives est connu depuis des années. Mais l'aventure est entourée de mystère. On ignore qui sont les bailleurs de fonds, même si l'avocat parle «d'investisseurs orientaux et internationaux». Guy Bertrand vient toutefois de mettre à jour son inscription au registre des lobbyistes, et de nouveaux éléments ont émergé, dont l'idée de financer un stade de baseball par un complexe de luxe. «Avant de se lancer dans la construction d'un stade et d'installations pour le sport amateur, il faut un projet rentable», a expliqué Guy Bertrand en entrevue. Selon l'inscription au registre, le complexe serait érigé en bordure du fleuve en cinq temps. Il comprendrait en plus du complexe de luxe, un stade de baseball, un centre sportif, un anneau de glace et peut-être un vélodrome. Le centre sportif serait doté de plateaux pour «par exemple le taekwondo, le judo, le ping-pong, note Me Bertrand. On a déjà été en contact avec des fédérations sportives et le but n'est pas de dédoubler ce qui se fait au Parc olympique, mais d'offrir des infrastructures qui n'existent pas ou qui doivent être améliorées.» La consultation du registre permet par ailleurs de découvrir l'identité d'au moins un des partenaires de Me Bertrand, la firme Scéno Plus. Cette entreprise de design montréalaise a notamment mené plusieurs projets d'envergure dans des casinos américains, comme la conception de salles de spectacles. Encore bien du travail à faire Mais le Littoral de Montréal est encore loin d'une réalisation. Et le retour du baseball à Montréal n'est pas pour demain la veille. Guy Bertrand précise ne pas avoir contacté le «Projet baseball Montréal» de Warren Cromartie. Le site envisagé est par ailleurs lourdement contaminé. Sa décontamination coûterait 100 millions de dollars. Me Bertrand entend d'ailleurs faire des démarches auprès du gouvernement fédéral pour obtenir des fonds publics, précisant que le reste du projet sera porté par des investisseurs privés. «La décontamination de ce secteur sera un enjeu important», reconnaît le maire de l'arrondissement du Sud-Ouest, Benoit Dorais, qui dit avoir vaguement entendu parler du projet de Guy Bertrand, même si aucune démarche formelle n'a été entreprise, selon lui. «Je suis maire de l'arrondissement depuis 2009 et j'ai vu passer trois projets de stade de baseball sur ce site», note-t-il. Guy Bertrand n'est pas pressé. "Ça fait cinq ans qu'on travaille sur ce projet et c'est du sérieux. On va y aller tranquillement, assure-t-il. Que ceux qui veulent se complaire dans la morosité s'y complaisent. Moi, je pense qu'il faut ramener le baseball à Montréal et peut-être même les Jeux olympiques. C'est possible.» http://www.lapresse.ca/sports/baseball/201308/23/01-4682468-un-complexe-de-luxe-pour-financer-le-retour-du-baseball-a-montreal.php
  2. Trève de problème linguistique. Voici une bonne nouvelle pour Montréal, et pour 2 raisons. Premièrement les patrons (proprio) sont de chez nous et segundo, les emplois autrefois envoyé en Chine sont maintenant rapatrié à Montréal. C'est excellent.
  3. Ramener à Montréal les Jeux olympiques et, tant qu'à y être, une équipe de baseball professionnelle? L'avocat Guy Bertrand en rêve. Pour ce faire, il voudrait faire construire, à Montréal, une Cité des sports qui pourrait en outre relancer la pratique sportive chez les jeunes. L'avocat de Québec tentait depuis 2008 de mettre en oeuvre un projet entièrement privé d'amphithéâtre et de complexe hôtelier dans la région de la capitale. Pris de vitesse par le maire Régis Labeaume et son nouveau Colisée de 400 millions, Me Bertrand se tourne maintenant vers Montréal. Son entreprise, Consortium GB, vient de s'inscrire au registre des lobbyistes pour la construction d'une «Cité des sports» dans la métropole. Ce projet prévoit la construction d'un stade avec toit amovible pour accueillir des événements tant sportifs que culturels, un anneau de glace, un complexe hôtelier et des espaces commerciaux. Tout comme son projet de Québec, celui-ci serait «entièrement privé». Me Guy Bertrand ne nous a pas rappelés hier, mais son inscription comme lobbyiste en dit long. On y précise que «tous les sports d'hiver de même que les sports d'été ont été considérés dans le projet visant l'érection des infrastructures de La Cité des sports afin de favoriser le développement optimum des disciplines olympiques». L'objectif est «de permettre à la ville de Montréal de poser éventuellement sa candidature aux Jeux olympiques d'hiver comme aux Jeux olympiques d'été», peut-on lire. Dans un deuxième temps, «Consortium GB entend aussi prendre toutes les mesures nécessaires pour que Montréal obtienne une franchise de la Ligue nationale ou de la Ligue américaine de baseball». Me Bertrand et ses partenaires disent vouloir obtenir le «soutien moral» du gouvernement pour l'obtention de cette franchise. L'objectif de ce projet n'est pas que sportif, selon la présentation du projet. On souhaite «assurer le maintien et la valorisation du Québec français. N'oublions jamais que le sport est l'une des pierres angulaires de notre édifice culturel et qu'il fait partie du mode de vie et des traditions québécoises». L'emplacement prévu de la Cité des sports n'est pas précisé, mais le document consulté par La Presse permet de comprendre qu'il se trouverait près de Longueuil. En effet, on y écrit que des travaux de décontamination des sols et un aménagement de la desserte de transports en commun seront nécessaires, d'où la nécessité de discuter du projet avec les administrations des maires Gérald Tremblay et Caroline St-Hilaire. «Des projets de nouveaux stades, on nous en présente régulièrement depuis des années pour accueillir une équipe de baseball professionnelle ou semi-pro. C'est un dossier qu'on suit de très près», assure Martine Painchaud, attachée de presse du maire Tremblay. Celle-ci précise que tous les projets présentés jusqu'à présent ont été minés par des problèmes de financement et par la difficulté à trouver un bon emplacement. À Longueuil, le cabinet de la mairesse disait tout ignorer du projet. Partenaire expérimenté Guy Bertrand n'est pas seul dans ce projet. Quatre autres personnes sont inscrites au registre des lobbyistes pour en faire la promotion auprès du gouvernement. Deux d'entre eux, Patrick Bergé et Normand-Pierre Bilodeau, sont des dirigeants de Scéno Plus. Cette entreprise de Montréal se spécialise dans la construction de salles de spectacles et théâtres. Celle-ci a notamment conçu un complexe hôtelier de 2,4 milliards inauguré en avril à Atlantic City, le Revel. Scéno Plus a également travaillé sur les deux salles exploitées par le Cirque du Soleil à Las Vegas, ainsi que sur la construction du Colosseum, la salle de spectacle de 4000 sièges du Caesars Palace à Las Vegas aménagée en 2003 pour Céline Dion. Pour son premier projet d'amphithéâtre privé à Québec, Me Guy Bertrand a toujours refusé de dévoiler l'identité des investisseurs prêts à financer ses projets. En plus du complexe sportif et hôtelier, l'avocat disait vouloir ramener à Québec une franchise de la Ligue nationale de hockey. Ne limitant pas ses ambitions, il évoquait également l'idée d'attirer une équipe de la Ligue canadienne de football et une autre de la Major League Soccer. N'ayant pas réussi à convaincre le maire Régis Labeaume, Consortium GB avait également sollicité la ville voisine de Saint-Augustin pour ériger son complexe. http://www.lapresse.ca/actualites/regional/montreal/201209/17/01-4574968-guy-bertrand-reve-du-retour-des-jo-et-des-expos.php
  4. Montréal se prépare à accueillir le Congrès mondial de l'énergie en 2010 ROME, Italie, le 15 nov. /CNW Telbec/ - Lors de la cérémonie de clôture du Congrès mondial de l'énergie à Rome, le flambeau a été remis au pays hôte du 21e Congrès. C'est le Canada qui aura le privilège de tenir cette manifestation d'envergure à Montréal, du 12 au 16 septembre 2010. C'est la deuxième fois que Montréal accueille cet événement, le 14e Congrès mondial de l'énergie s'y étant déroulé en 1989. Le Conseil mondial de l'énergie organise un Congrès mondial de l'énergie tous les trois ans. C'est le principal forum international sur les questions énergétiques avec exposition, et il vise à mieux faire comprendre les enjeux et les solutions énergétiques à l'échelle planétaire. Il s'intéresse à la production et à l'utilisation de l'énergie sous toutes ses formes : pétrole, charbon, gaz naturel, énergie nucléaire, hydroélectricité et énergies renouvelables. Il rassemble des leaders mondiaux du domaine de l'énergie représentant autant des entreprises, des gouvernements et des organismes internationaux que des milieux universitaires et des associations. "Le Canada est un acteur de premier plan sur la scène énergétique mondiale. Le comité organisateur du 21e Congrès mondial de l'énergie est déjà à l'oeuvre et il mobilise tous ses partenaires pour assurer la réussite de l'événement", a déclaré Richard Drouin, président du comité organisateur de MONTREAL 2010. Au-delà de 3500 délégués des quatre coins du monde devraient être au rendez-vous. C'est à Kiev, en 2003, dans le cadre de l'assemblée annuelle du Conseil mondial de l'énergie, que le Canada été désigné pays hôte du 21e Congrès. Les efforts soutenus du Conseil de l'énergie du Canada et d'Hydro-Québec ont certes largement influencé la décision du CME d'attribuer au Canada et plus précisément à Montréal, l'organisation de ce forum triennal pour 2010. "Dans un contexte où l'environnement, le développement durable et les questions stratégiques liées à l'énergie occupent une place prépondérante dans l'ensemble des pays, les organisateurs du 21e Congrès mondial de l'énergie - MONTREAL 2010 ont un défi important à relever. Ils doivent réunir les leaders et les experts du secteur énergétique du monde entier pour qu'ils puissent poursuivre dans les meilleures conditions possibles un dialogue ouvert sur les questions énergétiques. Le compte à rebours est commencé", a indiqué Stéphane Bertrand, directeur exécutif du 21e Congrès mondial de l'énergie - Montréal 2010. Stéphane Bertrand souligne également l'apport important du commanditaire hôte, Hydro-Québec, et des autres commanditaires principaux, dont Petro-Canada, Hatch, Gaz Métro et KPMG pour leur précieux appui. Fondé en 1923, le Conseil mondial de l'énergie est un organisme non gouvernemental agréé par l'Organisation des Nations Unies (ONU). Il est constitué de comités membres représentant près de cent pays, dont la plupart des grands pays producteurs et consommateurs d'énergie. Sa mission consiste à rendre accessible au plus grand nombre de personnes l'énergie sous toutes ses formes dans le cadre d'un développement économique pacifique et durable. Au Congrès de Rome, monsieur Pierre Gadonneix, président-directeur général d'Electricité de France (EDF), a été nommé président du Conseil mondial de l'énergie; il succède à monsieur André Caillé. Renseignements: Stéphane Bertrand, directeur exécutif, Congrès mondial de l'énergie - MONTREAL 2010, (514) 237-4319
  5. Luc Bertrand quitte ses postes de direction de la Bourse de Montréal et du Groupe TSX pour relever de nouveaux défis. Pour en lire plus...
  6. Luc Bertrand mise 372 000 $ sur le Groupe TMX 2 septembre 2008 - 13h50 LaPresseAffaires.com Michel Munger Si l'achat d'actions par un haut dirigeant sur le marché est traditionnellement perçu comme un signe positif, certains s'enthousiasmeront bientôt pour le titre du Groupe TMX (X). La raison ? Luc Bertrand, chef adjoint de la direction et patron de la Bourse de Montréal, a ouvert les vannes et acheté 10 786 actions du TMX le 22 août. M. Bertrand a payé 34,4626 $ l'unité en effectuant cette transaction, pour un investissement total d'environ 372 000 $ dans la compagnie boursière qu'il dirige. Après coup, il détenait 737 000 actions du Groupe TMX. Click here to find out more! Un tel achat ne peut passer inaperçu parce que le sort de Luc Bertrand a fait couler beaucoup d'encre ces derniers mois. Quand Richard Nesbitt a quitté la tête du Groupe TSX, peu après avoir annoncé la fusion avec la Bourse de Montréal, M. Bertrand était vu comme le successeur désigné. C'est toutefois l'Américain Thomas Kloet qui a été débauché chez le courtier Newedge USA pour prendre le poste en juillet. En plus des questions entourant son rôle au Groupe TMX, Luc Bertrand a déjà démenti tout intérêt pour prendre la relève d'Henri-Paul Rousseau à titre de PDG de la Caisse de dépôt et placement du Québec. L'action du Groupe TMX gagnait 0,3% à 34,72 $ mardi après-midi à Toronto.
  7. Si l'achat d'actions par un haut dirigeant sur le marché est traditionnellement perçu comme un signe positif, certains s'enthousiasmeront bientôt pour le titre du Groupe TMX. Pour en lire plus...
  8. La Bourse de Montréal devient majoritaire dans la BOX 29 août 2008 - 16h41 LaPresseAffaires.com La Bourse de Montréal a conclu une acquisition lui procurant une participation majoritaire de 53,2% dans la Boston Options Exchange Group (BOX). La société du Groupe TMX a également acquis une participation de 21,9% d’un autre associé principal de BOX, la Boston Stock Exchange. Pour les officiels de la Bourse de Montréal, cette acquisition témoigne du désir de l’institution d’obtenir une part de marché plus importante aux Etats-Unis. «Hausser notre investissement dans BOX témoigne de notre confiance envers notre stratégie visant à accroître notre présence sur le marché américain des options sur actions», a indiqué Luc Bertrand, chef adjoint de la direction du Groupe TMX et PDG de la Bourse de Montréal. Pour la Bourse de Montréal, il s’agit d’une association naturelle. La BOX est un marché de produits dérivés entièrement électronique tout comme la bourse montréalaise. La Boston Options Exchange a été créé en février 2002.
  9. Fait inusité dans le monde des affaires: Victor Bertrand a présenté vendredi ses excuses pour les piètres résultats de l'exercice 2007. Pour en lire plus...
  10. Économie et affaires / TSX Thomas Kloet à la barre Mardi 10 juin 2008 10:40 HAE Après avoir recherché le candidat idéal pendant plusieurs mois, le conseil d'administration du Groupe TSX inc. a choisi l'Américain Thomas Kloet pour occuper le poste de chef de la direction (PDG) de l'entreprise. Thomas Kloet Thomas Kloet M. Kloet succède dans cette fonction à Richard Nesbitt, qui a quitté le Groupe TSX le 7 janvier dernier pour assurer la direction de Marchés mondiaux CIBC. Thomas Kloet, qui dirigera la nouvelle bourse née de la fusion des bourses de Montréal et de Toronto, entrera officiellement en fonction le 14 juillet prochain. Il occupe actuellement des fonctions similaires au sein de la firme de courtage Newedge. « Nous croyons qu'il est la bonne personne pour gérer notre nouveau Groupe YMX intégré » a déclaré lundi le président du conseil d'administration du Groupe TSX, Wayne Fox, dans un communiqué. M. Fox a également souligné la vaste expérience de M. Kloet dans le domaine de la finance, des produits dérivés et des systèmes de négociation électronique ainsi que sa feuille de route à titre de PDG de la nouvelle Bourse de Singapour, issue elle aussi d'une fusion en 2000. Qu'advient-il de Luc Bertrand? Luc Bertrand, lors du lancement du Marché climatique de Montréal. Lors du départ de Richard Nesbitt, survenu moins d'un mois après l'annonce de la fusion des bourses de Montréal et de Toronto, plusieurs candidats ont été envisagés pour lui succéder dont le président de la Bourse de Montréal, Luc Bertrand. Très respecté dans le milieu des affaires, Luc Bertrand a obtenu beaucoup de succès avec les produits dérivés dans lesquels la Bourse de Montréal s'est spécialisée. Rick Parkhill, chef de la division des marchés au TSX et chef de la direction par intérim depuis janvier, était aussi sur les rangs. Aucun des deux n'aura finalement été choisi au terme de ce long exercice de recrutement. Selon le quotidien The Globe and Mail, le conseil d'administration du Groupe TSX était incapable de déterminer si le nouveau dirigeant de l'entreprise devait provenir de la Bourse de Montréal ou de celle de Toronto. La direction aurait alors contourné le problème en optant pour un recrutement aux États-Unis. Luc Bertrand a quant à lui été nommé au poste de chef adjoint de la direction du Groupe TSX au début mai. TSX deviendra bientôt TMX Par ailleurs, le Groupe TSX changera son nom pour Groupe TMX, mercredi prochain, lors de son assemblée annuelle. L'adoption de ce nouveau nom a pour but de mieux refléter l'arrivée de la Bourse de Montréal chez TSX et la naissance de la nouvelle entité boursière. http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Economie-Affaires/2008/06/09/003-tsx_kloet.shtml?ref=rss
  11. TSX Group looks to U.S. for next CEO Talks with ex-CBOT chief; risks backlash by overlooking former head of Montreal Exchange BOYD ERMAN From Wednesday's Globe and Mail May 28, 2008 at 4:10 AM EDT TSX Group Inc. [X-T] is close to hiring a U.S. executive to run the company now that the merger with Montreal Exchange Inc. is complete, passing over former MX head Luc Bertrand in a decision that's sure to be controversial in Quebec. Sources said TSX is in talks with Bernard Dan, former president and chief executive officer of the derivatives-focused Chicago Board of Trade, though a contract has yet to be signed. Mr. Dan lost his post at CBOT after the company's 2007 acquisition by Chicago Mercantile Exchange Holdings Inc. (CME). Mr. Bertrand, who built the Montreal Exchange into a force in derivatives, had been long viewed as the likely successor to Richard Nesbitt at the helm of TSX Group. Under the merger agreement, Mr. Bertrand was slated to be deputy CEO with Mr. Nesbitt in the top job, but those plans were thrown into flux when Mr. Nesbitt unexpectedly announced his resignation in January to become CEO at CIBC World Markets. A dark-horse candidate was Rik Parkhill, the head of the markets division at the TSX and one of the company's interim co-CEOs after Mr. Nesbitt's departure. Bernard Dan Both Mr. Parkhill and Mr. Bertrand were among the final candidates, but sources said the TSX board deadlocked over whether the CEO should come from TSX or MX and that contributed to the decision to go with an outside candidate. Passing over Mr. Bertrand may rekindle a controversy that arose last year even before the merger, when Quebec's Finance Minister said an early round of talks about a TSX-MX combination broke down because some on the TSX board weren't happy with the idea that a Montrealer might run the company. "Even though there were no guarantees that Luc would get the job, it's going to be perceived as a slap in the face," said Dundee Securities analyst John Aiken. That may lead to a backlash from Quebec investors, he said. Still, going with Mr. Dan may have some advantages, Mr. Aiken said. Whoever takes over TSX will have to know derivatives, because buying the MX gives the combined company dominating positions in that business as well as stock trading. Also, the TSX is facing a surge of new competition from alternative trading systems (ATS) for shares, a trend long established in the United States. "Canada with all the ATS's is going to more a U.S.-style exchange environment, and nobody domestically has seen that yet," Mr. Aiken said. "The question is how quickly will this individual adapt to the peculiarities of the Canadian market." TSX spokesman Steve Kee would not comment on the names of any candidates, and declined to confirm the talks with Mr. Dan. "The board process is not complete," Mr. Kee said. "We don't have a deal with any candidate." Mr. Kee said TSX plans to have the new CEO in place in time for the June 11 annual meeting. Previously, the company had a May 30 target. As head of CBOT from 2002 to 2007, Mr. Dan oversaw one of the biggest U.S. markets for agricultural and financial derivatives - contracts tied to price movements on everything from bonds to beef. He also won plaudits for CBOT's expertise with electronic trading, which helped to fuel the company's growth. Electronic trading is a focus at the TSX as the company rolls out its new system, known as Quantum, and tries to integrate the MX's Sola system. TSX GROUP (X) Close: $43.01, down 92¢ http://www.reportonbusiness.com/servlet/story/RTGAM.20080528.wrtsxceo28/BNStory/SpecialEvents2/home
  12. Montréal aura sa Bourse du carbone 08:55 | Presse Canadienne, D'ici la fin de l'année, les entreprises canadiennes pourront s'échanger des crédits de pollution atmosphérique au Marché climatique de Montréal (CMeX). Bourse du carbone Marché climatique de Montréal Ce sera la naissance d'une coentreprise de la Bourse de Montréal et de la Chicago Climate Exchange, le premier du genre au Canada. La négociation se fera sur des contrats à terme liés à des crédits canadiens d'émissions de gaz à effet de serre. "L'équipe du MCeX a évalué le cadre réglementaire sur les émissions atmosphériques du gouvernement fédéral et conclu qu'il respectait les conditions minimales pour la création d'un marché à terme", a déclaré mercredi le président et chef de la direction de l'institution montréalaise, Luc Bertrand, dans un communiqué diffusé après la fermeture des marchés. Pourtant, à la fin mai, M. Bertrand s'était dit "déçu" des règles fédérales, qu'il jugeait pas suffisamment "alignées" avec les exigences du protocole de Kyoto. Mercredi, le pdg a admis que les consultations avec le gouvernement conservateur devraient se poursuivre "pour nous assurer que nous continuons de progresser vers l'instauration d'un contexte favorable au lancement de la négociation". La Bourse de Montréal presse plus particulièrement Ottawa de fournir à l'industrie "une plus grande certitude en matière de politique quant aux objectifs de réduction des émissions et à la définition d'une norme unique relativement aux crédits échangeables". L'institution va aussi faire pression sur le gouvernement de Stephen Harper afin que ce dernier l'autorise à mettre en place un registre national permettant de consigner la qualité des crédits de carbone issus de réductions d'émissions, outil essentiel au lancement des nouveaux contrats à terme. Les discussions que la Bourse de Montréal a amorcées il y a plusieurs mois avec le ministère fédéral de l'Environnement et les grands émetteurs industriels devront donc se poursuivre. Environnement Canada doit établir au cours des prochains mois les cibles de réduction des émissions pour chaque secteur industriel. Contrairement à ce que prévoit le protocole de Kyoto, ces cibles seront fondées sur l'intensité des émissions, plutôt que sur leur volume absolu, et elles seront comparées aux niveaux d'émissions enregistrés en 2006, plutôt qu'à ceux de 1990. La Bourse estime que le futur contrat à terme du MCeX établira le prix d'une tonne de carbone au Canada, ce qui permettra aux entreprises de "gérer le risque" lié à la pollution atmosphérique. Se fondant sur l'expérience vécue en Europe et aux Etats-Unis, le président du conseil d'administration et fondateur de la Chicago Climate Exchange, Richard Sandor, a convenu mercredi que le MCeX devrait subir des "ajustements" dans ses premiers mois d'existence. Les autorités réglementaires devront en outre approuver les futurs contrats à terme. "Nous prévoyons une croissance de la demande de produits dérivés environnementaux", a affirmé Luc Bertrand. Résultats La Bourse de Montréal a par ailleurs dévoilé mercredi ses résultats du deuxième trimestre. L'institution a déclaré des profits nets de 6,9 M$, en hausse de 7 % par rapport à la même période de l'année dernière. La marge bénéficiaire est passée de 36 à 40 %. Les revenus de la Bourse ont atteint 21,4 M$, en hausse de 3 %, un résultat principalement attribuable à l'augmentation de 1,6 % du volume de négociation. L'entreprise a annoncé le versement d'un dividende spécial de 35 cents par action, payable le 16 août aux actionnaires inscrits le 3 août. Mercredi, le titre de la Bourse de Montréal a clôturé à 37,10 $, en baisse de 0,5 %.
  13. Montréal lance sa Bourse climatique 5 octobre 2007 - 06h19 La Presse Denis Arcand Agrandir Le grand patron de la Bourse de Montréal, Luc Bertrand. Grossir caractèreImprimerEnvoyer .a{float:left;padding:0px 15px 10px 0px;text-align:center;width:175;} La Bourse de Montréal (MXX) et son partenaire, la Bourse climatique de Chicago, ont déposé jeudi à l'Autorité des marchés financiers leur très attendu projet de Marché climatique de Montréal, a appris La Presse. C'est la principale étape concrète vers le lancement de cette Bourse des gaz polluants, qui vise à fournir des mesures d'incitation financière aux entreprises pour réduire leurs émissions de gaz nocifs pour l'environnement. Le texte du projet doit être publié ce matin dans le Bulletin de l'AMF. Le lancement du Marché climatique de Montréal MCeX est conditionnel à l'approbation de l'AMF. La loi prévoit une période de consultation de 30 jours avant sa décision. Le président de la Bourse de Montréal, Luc Bertrand, n'a pas voulu confirmer que son projet sera rendu public aujourd'hui, se bornant à dire que la publication du document est «pour très bientôt». La Bourse de Montréal a un allié de taille dans l'aventure, soit la Bourse climatique de Chicago (aussi appelée CCX), une entité indépendante qui possède aussi la Bourse climatique d'Europe, et qui a une participation de 49% du futur Marché climatique de Montréal. «Cela nous permet de nous brancher sur la plus grande expertise au monde, de loin, dans le domaine», a dit M. Bertrand. Il a noté qu'en Europe, où les gouvernements ont énoncé des cadres réglementaires clairs, la filiale européenne de CCX «fait de l'argent». Là-bas, les firmes inscrites échangent de très grandes quantités de crédits de carbone (mesurés en tonnes de CO2). Les firmes ont des objectifs de réduction d'émissions de gaz à effets de serre. Si elles échouent en polluant trop, elles doivent payer des frais, mais elles peuvent aussi atteindre leurs objectifs en achetant les «crédits de carbone» à d'autres firmes qui ont un meilleur bilan environnemental. Aux États-Unis, la Bourse CCX fonctionne sur une base volontaire, mais les firmes participantes signent des contrats qui les obligent devant la loi à fonctionner dans ce système de droits d'émission. La Bourse climatique de Montréal - la seule au Canada - impliquera seulement les firmes volontaires, comme aux États-Unis, mais cela pourrait changer, si le gouvernement fédéral de Stephen Harper adopte des règlements contraignants. Le projet de politique environnementale annoncé plus tôt cette année par le gouvernement Harper a généralement déçu les environnementalistes, mais la Bourse de Montréal a quand même jugé que cet énoncé de politique est suffisant pour lancer une Bourse climatique. «La très grande majorité des émetteurs de gaz à effets de serre canadiens avec qui nous en avons discuté sont très intéressés parce que cela fixerait un prix pour les crédits», a dit M. Bertrand. Et quel serait ce prix? «En Europe (où les gouvernements ont adopté un cadre clair), la tonne de CO2 vaut 21 euros sur la European Climatic Exchange» et les volumes sont élevés. «Aux États-Unis (où c'est purement volontaire), la tonne de CO2 vaut 3$», et les volumes sont bas. «Personne ne sait quelle ampleur cela va prendre ici, ni combien de temps il faudra attendre de grands volumes. Mais c'est clair que c'est quelque chose qui s'en vient, d'une façon ou une autre.» Selon M. Bertrand, la Bourse de Montréal et son allié de Chicago ont travaillé durant quatre ans à la conception de cette Bourse et de son contrat à terme. Pour consulter le document qui doit être mis en ligne ce matin: www.lautorite.qc.ca/bulletin.fr.html
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