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Ce phénomène est totalement inconnu à Montréal et sucite la surpriste totale que de la part du promoteur, des acheteurs que les membres invétérés de ce forum.

 

En espérant que cet engouement pousse d'autres promoteurs à dépoussiérer leur projets et/ou en augmenter la densité pour répondre à la demande.

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Membres prolifiques

Ce phénomène est totalement inconnu à Montréal et sucite la surpriste totale que de la part du promoteur, des acheteurs que les membres invétérés de ce forum.

 

En espérant que cet engouement pousse d'autres promoteurs à dépoussiérer leur projets et/ou en augmenter la densité pour répondre à la demande.

 

Yes, j'espère que Prevel pourrait essyaer d'augmenter la densité des deux autres phases...

 

Pis kessé que la police de montréal vient faire là dedans? Dans un optique de sécurité publique il ne faut pas permettre aux gens de passer la nuit sur le trottoir... mon cul!

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Yes, j'espère que Prevel pourrait essyaer d'augmenter la densité des deux autres phases...

 

Pis kessé que la police de montréal vient faire là dedans? Dans un optique de sécurité publique il ne faut pas permettre aux gens de passer la nuit sur le trottoir... mon cul!

 

40, 30,30,25 étages!

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Pis kessé que la police de montréal vient faire là dedans? Dans un optique de sécurité publique il ne faut pas permettre aux gens de passer la nuit sur le trottoir... mon cul!

 

Les policiers ont été appelés en premier lieu car des caves (et ça, il y en a partout) essayaient de dépasser dans la file. Devant l'agitation, les policiers ont du trouver un raison pour cesser ce cirque.

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Plus de 200 personnes qui font la file... j'aurais jamais cru le marché aussi chaud à Montréal !

 

:relieved: Compte tenu du peu de projets réalisés dans ce secteur depuis quelques décennies, du site à mi-chemin entre deux stations de métro, de la proximité au centre-ville et des universités et enfin de la possibilité de plus-valu avec le développement des alentours, je pense que le contraire aurait été surprenant.

 

C'est un bon exemple de rattrapage et de santé économique qui se confirme de plus en plus à Montréal. Il y a un engouement qui se dessine un peu partout qui efface lentement la morosité qui a trop longtemps caractérisé, sans raison valable, notre ville. L'économie florissante d'un lieu précis dépend beaucoup de la confiance et de la perception positive que les gens en ont.

 

C'est un cercle "vertueux" auquel on est peu habitué et qu'il faudra encourager pour que la prospérité bien méritée de Montréal prenne vraiment son envol. :applause:

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:relieved: Compte tenu du peu de projets réalisés dans ce secteur depuis quelques décennies, du site à mi-chemin entre deux stations de métro, de la proximité au centre-ville et des universités et enfin de la possibilité de plus-valu avec le développement des alentours, je pense que le contraire aurait été surprenant.

 

C'est un bon exemple de rattrapage et de santé économique qui se confirme de plus en plus à Montréal. Il y a un engouement qui se dessine un peu partout qui efface lentement la morosité qui a trop longtemps caractérisé, sans raison valable, notre ville. L'économie florissante d'un lieu précis dépend beaucoup de la confiance et de la perception positive que les gens en ont.

 

C'est un cercle "vertueux" auquel on est peu habitué et qu'il faudra encourager pour que la prospérité bien méritée de Montréal prenne vraiment son envol. :applause:

 

 

This City is getting so hot, dude! (Well, somebody had to say it!).....

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Par Radio-Canada, http://www.radio-canada.ca, Mis à jour le: 31 août 2010 08:34

Immobilier - Une bulle menace le Canada

 

Les ventes de maisons semblent ralentir, mais les prix dans six des grands centres urbains au Canada sont dans une zone de bulle immobilière pour la première fois en 30 ans, selon le Centre canadien de politiques alternatives.

 

 

Le Centre canadien de politiques alternatives rapporte que les ventes de maisons semblent ralentir au Canada, mais les prix n'ont jamais été aussi élevés. Les prix dans six des plus grands marchés canadiens, dont Montréal, s'approchent de la bulle immobilière pour la première fois en 30 ans. Il pourrait y avoir, selon le groupe de réflexion d'Ottawa, une crise comme celle qu'ont connue les États-Unis.

Le prix de vente des maisons se situe entre 4,7 et 11,3 fois le revenu médian des Canadiens. Des niveaux supérieurs aux niveaux historiques de confort qui sont entre trois et quatre fois le revenu médian.

 

Le revenu médian est la valeur qui sépare les revenus des familles en deux parties égales, la moitié des familles ayant un revenu supérieur à cette valeur et l'autre moitié, un revenu inférieur.

 

Les ventes ont baissé de 25 % par rapport au sommet atteint au début de l'année. Il y a maintenant moins d'acheteurs en concurrence et l'offre augmente.

 

Les prix de vente étaient en hausse de 13,6 % en juin comparativement à 2009 dans les grandes villes. Et comparativement à mai, les prix étaient de 1,5 % supérieurs.

 

Le chercheur associé David Macdonald soutient que la courbe des prix dans bon nombre de villes laissait poindre un « accident sur le point de se produire ».

 

Le Canada a vécu trois bulles immobilières au cours des 30 dernières années. Selon le rapport, elles surviennent quand les prix de vente des maisons augmentent au-delà de l'inflation, des revenus des ménages et de la croissance économique.

 

Qu'est-ce qu'une bulle immobilière?

 

De façon générale, une bulle immobilière se crée lorsque les taux d'intérêt sont bas et l'accès au crédit est facilité, ce qui entraîne une hausse de la demande immobilière. Toutefois, lorsque les taux d'intérêt repartent à la hausse et l'accès au crédit est restreint, ceci fait chuter la demande immobilière et éclater la bulle.

 

Le rapport soutient qu'une hausse de seulement 1 % à 1,25 % des taux hypothécaires au Canada pourrait suffire à entraîner les prix des maisons à la baisse et à causer une crise similaire à celle qui a touché les États-Unis.

 

Le Centre canadien de politiques alternatives rappelle que les villes de Toronto et de Vancouver ont connu des bulles immobilières dans les années 80 et 90. Mais la situation actuelle ne touche pas que ces deux grandes villes: Calgary, Edmonto, Ottawa et Montréal voient maintenant le prix moyen de leurs maisons dépasser 300 000 $.

 

Mais un économiste à la Banque de Montréal, Douglas Porter, affirme que le rapport est beaucoup trop pessimiste. « Vu le rebond qu'on observe du côté de l'emploi dans la dernière année au Canada et le fait que les taux d'intérêt restent à des niveaux très favorables, je ne peux pas être aussi pessimiste sur l'avenir du marché des maisons. »

 

Radio-Canada.ca avec Presse canadienne

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