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Je viens de me rendre à une réunion de mon quartier dans la salle communautaire de Rivière-des-Prairies.

 

Ils ont divulgué les échéanciers précis de chaque étape de la construction de chaque gare. Je suis content sur ce point. Toutefois, je verrais mal comment on y arrivera dans le temps sans commencer les travaux... la semaine prochaine!

 

Ils ont aussi dit que même si la ligne ne se rend pas à Mascouche et qu'il y a des complications à ce sujet qu'ils feront quand même la partie Repentigny-Gare Centrale.

 

Voici les deux trucs qu'ils nous on donné :

 

P6160137.jpg

 

Celle près de chez moi:)

 

P6160138.jpg

 

Celle de pointo!

 

Celle-là sera architecturalement parlant plus spéciale car elle est construite à côté du point ferroviaire qui enjambe la rue Sherbrooke et sera dans les aires puisque le train là passe sur une sorte de butte. (d'où le pont)

 

P6160139.jpg

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Comments:

Anjou station - in the middle of what appears to be an industrial sector...

RDP station - next to the prison...

PAT station - pretty decent location.

 

Anyone else feel that more thought could have been put into the location of some of these stations?

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Anjou is just near the 25 highway and Henri-Bourassa boulevard. It's ideal to join a lot of citizens. It's also at the same distance from the residential sectors of Montréal-Nord and RDP.

 

For RDP, I know, it's not so great but the problem is that the rails are already there. It cannot be closer to the residentials sector (The picture dosnt show this but there's houses at like... 20 meters from there).

But you know, many people live with the prison in their backyard and it doenst seem to be a problem for them.

 

Precision : It's the DPJ, not the prison behind the station.

 

 

And for PAT, you can't know this but the AMT guys told us that there was a "dépotoire" in the 60's.

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  • 3 mois plus tard...

Des candidats critiquent le train de l'Est

 

Martin Croteau

La Presse

Publié le 13 octobre 2009 à 08h11 | Mis à jour le 13 octobre 2009 à 08h16

 

 

Le prolongement du train de banlieue dans la couronne nord devient un enjeu électoral dans certaines villes. Des candidats de Laval, de Terrebonne et de L'Assomption exigent que l'Agence métropolitaine de transport (AMT) révise son plan de 400 millions. Certains craignent carrément que l'ambitieux projet devienne une coquille vide. À l'origine, l'Agence métropolitaine de transport (AMT) souhaitait étendre le train de banlieue sur deux parcours distincts. Le premier aurait relié le centre-ville à Mascouche en empruntant les voies du Canadien Pacifique à Laval. Le second aurait filé de Montréal à L'Assomption par celles du Canadien National.

 

Ces plans ont finalement été refondus en 2006 pour donner naissance au train de l'Est, qui suivra le tracé Montréal-Repentigny pour ensuite bifurquer vers Mascouche. Pour réaliser ce crochet de 52 km, il faudra construire des voies ferrées en plein milieu de l'autoroute 640. La facture: près de 400 millions.

 

L'AMT estime que le nouveau tracé est plus efficace et moins cher que le premier. Mais le chef de Renouveau Terrebonne, Sylvain Lessard, n'en est pas convaincu. Il souligne que le trajet entre Mascouche et Montréal prendra plus d'une heure en raison du détour par Repentigny. À ce rythme, dit-il, les résidants de sa ville n'auront aucun intérêt à prendre le train, même si une gare toute neuve est construite à deux pas de chez eux.

 

«Avant de dépenser 400 millions dans un projet qui risque de ne pas être utilisé, on devrait peut-être réfléchir à savoir s'il est vraiment nécessaire», prévient M. Lessard.

 

Il propose plutôt que l'AMT revienne à son plan original, qui prévoyait deux parcours séparés. La liaison serait plus efficace pour ceux qui partent de Mascouche et de Terrebonne, puisqu'ils pourraient atteindre le métro à Laval beaucoup plus vite.

 

Il n'est pas seul à réclamer la révision du projet. De l'autre côté de la rivière des Mille-Îles, le Mouvement lavallois de Lydia Aboulian promet aussi de forcer l'AMT à retourner à la planche à dessin. Selon elle, le scénario retenu par l'Agence prive les citoyens de l'est de Laval d'un moyen de transport efficace, d'autant plus que ce secteur est en pleine expansion.

 

«On n'a jamais tenu compte que 6000 habitations sont en construction dans le quartier Saint-François, à l'est de Laval», dénonce-t-elle.

 

À L'Assomption, qui devait être desservie par le train de banlieue dans le scénario original, le projet suscite également la grogne. Le maire sortant Pierre Gour se dit d'accord avec le plan du train unique, à condition que sa ville soit vite raccordée au tracé dans une éventuelle deuxième phase.

 

Mais ses adversaires sont beaucoup plus critiques. Le candidat Jacques Raynault, du parti L'Assomption en tête, compte lui aussi renvoyer l'AMT à ses devoirs.

 

«Il n'y a pas de logique à faire une nouvelle voie ferrée entre les deux voies de la 640 pour acheminer les gens de Mascouche vers Repentigny, et ensuite vers Montréal, dit-il. Il y a déjà des voies ferrées de Montréal à Mascouche et de Montréal à Repentigny.»

 

Écorché par le BAPE

 

Dans un rapport rendu en mai, le Bureau d'audiences publiques sur l'environnement (BAPE) a écorché le train de l'Est. L'organisme estime que sa mise en service va augmenter les émissions de gaz à effet de serre (GES) et de polluants atmosphériques puisque les locomotives carbureront au diesel.

 

Les commissaires n'ont guère été convaincus du parcours non plus. «Le caractère optimal du tracé retenu par l'AMT n'a pas été démontré», peut-on lire dans son rapport.

 

La construction du train de l'Est est déjà lancée dans l'île de Montréal, a indiqué la porte-parole de l'Agence, Martine Rouette. Mais l'expansion vers la couronne nord stagne depuis des mois.

 

Le train doit passer près d'une usine d'explosifs de la société General Dynamics, à Repentigny, et l'AMT n'a pas encore convenu avec les autorités fédérales d'une solution sécuritaire pour protéger les usagers. Le ministère provincial de l'Environnement devra ensuite donner son feu vert au projet pour que les travaux débutent.

 

L'AMT se dit optimiste de dénouer l'impasse et de lancer les travaux finaux au printemps.

 

http://www.cyberpresse.ca/actualites/elections-municipales/200910/13/01-910727-des-candidats-critiquent-le-train-de-lest.php

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On dirait que tout le monde tire sur son côté de la couverte pour en avoir un morceau. C'est pitoyable.

 

 

Et Laval semble très forte dans ce domaine. Ce sera quoi après? La première ligne du Métro de la ville de Québec commencera à Laval? La rallonge de la route à Natashquan passera à Laval? Le projet hydroélectrique de la rivière Romaine passera à Laval?

Serait-ce possible de faire quelque chose dans cette province sans que ça passe à Laval?

 

Moi je vie dans l'est et j'en ai marre d'attendre toujours pour les projets et les transports en commun.

 

En fait, on dirait qu'il n'y a qu'à Montréal que les élus ne tirent pas leur bout de la couverture.

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Pourquoi tu blâmes Laval? Le maire Vaillancourt est indifférent que le train de l'est passe par Laval ou non... les petits clowns de candidats (pas élus ne l'oubli pas) qui veulent se faire élire à Laval cherchent les voix de dissidences, mais ça a aucun poids.

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  • 3 mois plus tard...

La ministre des Transports du Québec, Julie Boulet, annoncera lundi après-midi la nouvelle date de mise en service du Train de l'Est, maintenant prévu pour 2012, a appris l'Agence QMI.

 

 

Bombardier

Le train devait initialement être sur les rails à la fin 2010.

 

Elle annoncera aussi que les coûts de ce projet ont considérablement augmentés. Ils seront de plus de 450 millions $, alors que l'estimation initiale de l'Agence métropolitaine de transport (AMT) mentionnait le chiffre de 300 millions $.

 

Julie Boulet doit participer à une conférence de presse à 15h30 à Saint-Léonard.

 

Le Train de l'Est doit transporter 5000 à 6000 personnes par jour entre Mascouche, Repentigny et le centre-ville de Montréal.

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On parle quand même d'un demi milliard de dollars pour...7000 usagers! Et la capacité d'expansion est très limitée (la ligne du CN est déjà plutôt occupée).

 

En comparaison on rechigne pour différents projets de tramways, de trains de banlieue et d'extension de métro qui, pour le même prix, transporteraient plusieurs fois le même nombre de personnes.

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