Encore une fois les problèmes ont surtout été au niveau des portes (et ce dès l’automne, bien avant l’hiver), des roues, des logiciels, de la signalisation, des rails, aiguillages et de la caténaire. Le tout à été magnifié par le manque d’expérience et d’expertise d’OC Transpo, la pression politique de mettre en circulation le réseau prématurément, le voile de secret (imposé en bonne partie par le PPP et le contrat liant GTR à OC et la ville), etc.
Tout ça a été bien évidemment été exaspérant (moi aussi je m’empruntais quotidiennement avant la pandémie) mais le REM n’est à l’abri d’aucun de ces problèmes, métro ou pas. La seule chose qu’on peut espérer c’est que CDPQi soit meilleure à écrire un contrat que la ville d’Ottawa et que l’influence politique ne viendra pas s’immiscer là dedans.