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Marché immobilier résidentiel de Montréal : actualités


Habsfan

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via CBC.ca

 

Too many condos cause housing market slump in Montreal

 

Condo listings in Quebec rise 13 per cent while sales decrease by 3 per cent

 

CBC News Posted: Jul 31, 2014 8:14 AM ET Last Updated: Jul 31, 2014 8:14 AM ET

 

A glut of condos in Montreal have fostered ideal conditions for a housing market slump.

 

 

Marie-Michele Rousseau-Clair put her condo in Rosemont on the market two months ago in preparation for a move to Trois-Rivières.

 

 

She’s worried because it still hasn’t sold.

 

 

"I've had about seven or eight visits. I’ll be really concerned if I don’t have any visitors or calls," she said.

 

 

Rousseau-Clair is not alone. During the past year, the number of Quebec condo listings rose 13 per cent but condo sales dropped three per cent. Condos are also spending a longer time on the market — an average of 115 days in Montreal.

 

 

The Quebec Federation of Real Estate Boards blames job losses and the recent provincial election for creating uncertainty in the housing market.

 

 

Remax real-estate agent Mike Abatzidis said there are simply too many condos on the market.

 

 

"I had a condo downtown — it was really hard to sell because they were building brand new condos. A lot of buyers will just say, 'I want a brand new condo renovated the way I want,'" Abatzidis said.

 

 

The longer a unit is on the market, the more likely the seller may be to make a deal. It’s good news for potential home buyers, he said, but not good news for real-estate agents and people looking to sell their homes.

 

 

"If there's a street with 10 condos for sale, the buyer has a lot of choice and they can wheel and deal on the price. You don't want that. You want to price it right, create hype and urgency around your condo and sell it," he said.

 

 

There are at least a couple neighbourhoods bucking the trend, however. Abatzidis said there is still a high demand for housing in the Plateau and Villeray.

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Le prix du locatif est très bas à Mtl. C'est la ville au Canada avec le plus gros marché locatif, et c'est aussi le marché le plus en santé.

Le marché locatif montréalais est le plus équilibré parmi les grandes villes canadiennes,

http://journalmetro.com/plus/immobilier/333960/montreal-le-marche-locatif-le-plus-equilibre/

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Montréal

 

Les ventes de condos rebondissent

 

 

Agence QMI

 

Publié le: jeudi 07 août 2014, 12H43 | Mise à jour: jeudi 07 août 2014, 12H59

 

 

MONTRÉAL – Après un début d’année difficile, les ventes de condominiums ont rebondi pour un deuxième mois consécutif dans la région de Montréal. Les prix ont aussi augmenté en juillet.

 

La Chambre immobilière du Grand Montréal (CIGM) a fait savoir jeudi que les ventes de copropriétés avaient progressé de 13 % le mois dernier par rapport à juin. La hausse suit une progression de 7 % observée en juin.

 

Le prix des copropriétés de l’ensemble de la région montréalaise s’est aussi «significativement» raffermi, selon Patrick Juanéda, président du conseil d’administration de la CIGM. Par rapport à juillet 2013, on parle d’une hausse de 3 %, pour un prix médian de 235 000 $.

 

Le prix médian est le prix situé au milieu de la fourchette: il indique que la moitié des transactions ont eu cours à un prix inférieur et l’autre moitié, à un prix supérieur.

 

Les ventes des maisons unifamiliales ont reculé de 4 %, tandis que celles de plex ont enregistré une hausse de 3 %.

 

Le prix médian de l’unifamiliale a augmenté de 1 % pour atteindre 287 500 $, tandis que le prix médian des plex s'est fixé à 449 000 $, en hausse de 7 %.

 

Au total, il s’est vendu 2593 propriétés (unifamiliales, copropriétés, plex) en juillet, ce qui représente une augmentation de 2 % par rapport à juillet de l’an dernier.

 

La croissance du nombre de transactions a été observée sur la Rive-Sud (9 %), sur l'île de Montréal (8 %) et à Laval (5 %).

 

À l'inverse, les secteurs de la Rive-Nord et de Vaudreuil-Soulanges ont plutôt enregistré des baisses respectives des ventes de 11 % et de 22 %.

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Quelle tripe pseudo intellectuelle. Je ne suis même pas certain de comprendre son point (s'il en a un), vu qu'il se contredit au fil des métaphores aléatoires. Il est "le dernier" a se plaindre des festivals, mais passe trois paragraphes ensuite a chialer contre eux? Ou c'est le bruit qu'il n'aime pas? Les touristes? On n'en sait rien. Une dompe de cerveau angoissé, sans plus.

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Certains se permettent de généraliser, comme si les festivals occupaient la ville au complet, ou qu'on avait développé un quartier, somme toute assez réduit pour n'en rien faire ensuite. Rappelons d'ailleurs que les festivals sont antérieurs au quartier et que ce sont eux qui se sont cherché un site dédié, pour mieux être encadrés. Pensons aux millions qui sont injectés dans l'économie montréalaise et aux millions en retombées de toutes sortes, directement reliés à ces activités. Pensons à la créativité et à la renommée de la ville à travers le monde, et finalement à l'attrait que notre métropole a sur les visiteurs qui viennent de plus en plus loin pour profiter de l'ambiance survoltée de la ville.

 

Si tout ça nous dérange, c'est qu'on a mal fait son choix de résidence. Pourtant l'agglomération est grande et offre plusieurs quartiers tranquilles où on se croirait presque dans un village. Mais il y en aura toujours qui mettront leur petit monde en opposition au plus grand, en surestimant leur importance personnelle. Encore une fois la critique négative et gratuite aura démontrée son inutilité et son manque d'intérêt général.

 

Voici en échange ma réplique: Montréal tu m'excites et me transportes dans un autre monde, à chaque été tu sors de ta torpeur hivernale en te faisant belle et aguichante pour séduire le monde entier. Toi, une des grandes villes parmi les plus froides de la planète, tu dégages pourtant une chaleur comme nulle autre pareil, peut-être parce qu'ici à Montréal, festival rime parfaitement avec estival.

Modifié par acpnc
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http://fr.canoe.ca/argent/chroniques/fabienmajor/archives/2014/08/20140805-112222.html

 

Immobilier: 10 avertissements sérieux

 

Fabien Major

05-08-2014 | 11h22

 

Alors que les mois passent et que les parties prenantes de l'industrie immobilière canadienne continuent de nier l'existence d'une bulle spéculative, les déclarations d'organismes et d'économistes d'envergure ne peuvent plus être prises à la légère.

 

Si on vous demande des sources crédibles qui croient que le Canada vivra sous peu une crise immobilière, vous pourrez citer celles-ci:

 

FITCH

 

En juillet dernier, l'agence de notation Fitch publiait un avis estimant que dans son ensemble, le marché canadien et surévalué de 20 % et que le gouvernement fédéral devrait limiter davantage le crédit hypothécaire.

 

LE FMI

 

En juin, Fonds monétaire international s'inquiétait publiquement de la flambée de l'immobilier en Australie et au Canada et du fardeau que cela fait peser sur ces économies.

 

PIMCO

 

En mars, une des plus importantes firmes de gestion de titres de créance au monde, Pimco, estimait que la correction du marché de l'habitation au Canada débuterait d'ici la fin 2014. Pimco considère que la surévaluation est de 30 %. Une fois la correction amorcée, les valeurs pourraient glisser pendant 5 ans.

 

DEUTSCHE BANK

 

La prestigieuse institution européenne Deutsche Bank ne fait pas dans la dentelle. Elle identifie le marché immobilier canadien comme étant le plus exubérant de la planète. Selon elle, 60 % de la valeur serait gonflée par de la surenchère. Ce qui place le Canada devant la Norvège, la France, l'Angleterre, la Belgique et la Nouvelle-Zélande. Pour arriver à cette conclusion, les économistes allemands ont pris en compte le prix des maisons par rapport aux revenus disponibles et la moyenne des valeurs historiques.

L'OCDE

 

L' organisation de coopération et de développement économiques OCDE) a aussi mit son grain de sable dans l'engrenage. L'an dernier son rapport soulevait que: «Ces économies (Canada, Nouvelle-Zélande et Norvège) sont les plus vulnérables au risque d'une correction des prix, en particulier si les coûts d'emprunt augmentent ou si la croissance du revenu ralentit». Pour établir si un marché est cher ou pas, l'OCDE mesure l'abordabilité par le ratio prix-revenu et la rentabilité par le ratio prix-loyer.

 

GOLDMAN SACHS

 

La banque d'affaires américaines Goldman Sachs ne croit cependant pas que la bulle immobilière canadienne se dégonflera sans dommage. L'économiste Hui Shan affirme: «Ce qui monte, ne peut toujours monter. Les prix tendront à la baisse». Le ralentissement de l'industrie de la construction est un indicateur qui ne trompe pas. Toujours selon Goldman Sachs, il est bien possible que les prix augmentent encore un peu en 2014 avant qu'on assiste à une sévère correction.

 

ROBERT SHILLER

 

Il y a déjà deux ans, sur les ondes de CBC, le prix Nobel de l'économie, Robert Shiller manifestait son inquiétude. Une des rares voix a avoir prévu l'éclatement de la bulle américaine prétend que les Canadiens vont vraisemblablement vivre ce que les États-Unis ont vécu en 2008, mais au ralenti.

 

Selon lui, le choc peut-être assez brutal puisque la majorité de l'endettement hypothécaire au Canada est détenu par les familles au statut précaire. Soit, celles qui consacrent plus de 40 % du budget aux dépenses de logement. Si la bulle de 1990 au Canada a vu les valeurs des maisons s'accroître de 75 %, celle des années 2000 a fait enfler les prix de 150 %.

 

PAUL KRUGMAN

 

Lors d'une visite à Toronto, Paul Krugman (un autre prix Nobel d'économie) a tenu à verbaliser son opinion publiée en juin 2013 dans le New York Times. À l'exception des banques canadiennes qui continuent à encourager les Canadiens à s'endetter, des voix sérieuses s'élèvent pour affirmer que l'immobilier freinera brusquement. «Bien sûr on dit ça depuis des années, et ce n'est pas encore arrivé. Mais rappelez-vous de ce qui est advenu aux États-Unis. La bulle américaine a mis bien du temps avant d'éclater.»

NOURIEL ROUBINI

 

Ancien conseiller économique spécial pour la Maison Blanche, Nouriel Roubini a œuvré au FMI et à la Réserve fédérale américaine. Ses prévisions économiques dramatiques se sont avérées, malheureusement, la plupart du temps. «Cinq ans après l'éclatement de la crise économique mondiale, des signes d'exubérance voir de bulle spéculative apparaissent en Suisse, en Suède, en Norvège, en Finlande, en France, en Allemagne, en Australie, en Nouvelle-Zélande et au Canada».

 

THE ECONOMIST

 

Pour compléter cette énumération d'alarmes économiques , les rédacteurs de la célèbre publication britannique The Economist considèrent eux-aussi qu'on peut qualifier de bubbly le marché immobilier canadien.

 

Le prix des maisons dans les métropoles canadiennes est à peine moins cher qu'à Hong Kong. À l'opposé c'est au Japon que les prix sont les moins élevés.

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et aussi... http://fr.canoe.ca/argent/chroniques/fabienmajor/archives/2014/08/20140808-105242.html

 

Bulle immobilière et pensée magique

 

Fabien Major

08-08-2014 | 10h52

 

Notre article sur les nombreux avertissements de l'imminence de l'éclatement de la bulle immobilière au Canada a fait réagir fortement. Il y a eu des milliers de partages sur Facebook et Twitter. Comme je m'y attendais, même en prenant soin de ne pas émettre mon opinion personnelle, plusieurs courtiers immobiliers ont choisi de tirer sur l'auteur de ces lignes plutôt que sur les messagers.

 

Malheureusement, je n'ai pas le pouvoir d'inventer des chiffres et de me faire le porte-parole du FMI et de l'OCDE.

 

J'en ai lu de toutes sortes. Parmi les plus cocasses, un certain Luc Bédard de Re/Max Direct en Outaouais affirme que: « ...Ces 'messagers' (dont l'auteur de l'article) de l'apocalypse sont surtout des vendeurs de produits de placement financier, REER, fonds mutuels etc». Monsieur Bédard, devrait s'informer un peu plus sur les organisations et individus cités dans l'article, car AUCUN n'en tire profit. Quant à moi, aucune de mes chroniques ne vise directement ou indirectement la vente de produit et services financiers. Prétendre le contraire est malhonnête intellectuellement. Orientant ma pratique à honoraires, que l'immobilier monte ou descende je n'en tire aucun bénéfice.

 

Les «messagers» comme l'OCDE et The Economist font état de CRAINTES basées sur des faits reconnus. Selon des ratios internationalement acceptés, le prix moyen des maisons est jugé trop élevé pratiquement partout au Canada, la province de Québec incluse. Oui, et même hors de Montréal. Pourquoi? Parce que le prix des propriétés a grimpé plus vite que les salaires moyens. Aussi simple que cela.

 

LES PRIX ONT GRIMPÉ DAVANTAGE QUE LES SALAIRES

 

Prenons le cas de la municipalité de Boischatel dans la région de la Capitale-Nationale. La plus forte poussée de valeur s'est produite entre 2001 et 2011. Durant cette période, les prix des maisons unifamiliales ont grimpé de 221 %, selon la FCIQ/Centris. Pensez-vous que les salaires des résidents ont suivi la même tendance? Absolument pas!

 

Pour la même période, les salariés québécois ont vu passer leur taux horaire moyen de 16,63$ à 21,13$. Une augmentation de 27. L'écart moyen entre les augmentations de salaire et les prix des maisons est supérieur à 150 %: ce que souligne Robert Shiller, Paul Krugman, Fitch, Goldman Sachs et la Deutsche Bank.

 

Les revenus moyens des Canadiens sont INSUFFISANTS pour soutenir la croissance des prix.

 

Comme les dettes à la consommation explosent et qu'on perd des emplois, l'immobilier résidentiel est assis sur un baril de poudre. Le 7 août, la Chambre immobilière du Grand Montréal a rendu compte de chiffres éloquents. Il y a 31 539 propriétés résidentielles à vendre. Un sommet jamais atteint depuis 1997. En juillet, le nombre d'inscriptions a augmenté de 10 %. C'est le 47e mois de suite que cela se produit. C'est plus qu'une tendance, ça.

 

Ceux qui refusent la logique implacable des mathématiques aimeraient bien que le «party» ne se termine jamais. Mais, il faut se faire une raison. Il y a trop de lumières rouges allumées et le DJ a rangé ses tables tournantes. La fête est terminée.

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Bulle immobilière et pensée magique

 

Fabien Major

08-08-2014 | 10h52

 

Notre article sur les nombreux avertissements de l'imminence de l'éclatement de la bulle immobilière au Canada a fait réagir fortement. Il y a eu des milliers de partages sur Facebook et Twitter. Comme je m'y attendais, même en prenant soin de ne pas émettre mon opinion personnelle, plusieurs courtiers immobiliers ont choisi de tirer sur l'auteur de ces lignes plutôt que sur les messagers.

 

Malheureusement, je n'ai pas le pouvoir d'inventer des chiffres et de me faire le porte-parole du FMI et de l'OCDE.

 

J'en ai lu de toutes sortes. Parmi les plus cocasses, un certain Luc Bédard de Re/Max Direct en Outaouais affirme que: « ...Ces 'messagers' (dont l'auteur de l'article) de l'apocalypse sont surtout des vendeurs de produits de placement financier, REER, fonds mutuels etc». Monsieur Bédard, devrait s'informer un peu plus sur les organisations et individus cités dans l'article, car AUCUN n'en tire profit. Quant à moi, aucune de mes chroniques ne vise directement ou indirectement la vente de produit et services financiers. Prétendre le contraire est malhonnête intellectuellement. Orientant ma pratique à honoraires, que l'immobilier monte ou descende je n'en tire aucun bénéfice.

 

Les «messagers» comme l'OCDE et The Economist font état de CRAINTES basées sur des faits reconnus. Selon des ratios internationalement acceptés, le prix moyen des maisons est jugé trop élevé pratiquement partout au Canada, la province de Québec incluse. Oui, et même hors de Montréal. Pourquoi? Parce que le prix des propriétés a grimpé plus vite que les salaires moyens. Aussi simple que cela.

 

LES PRIX ONT GRIMPÉ DAVANTAGE QUE LES SALAIRES

 

Prenons le cas de la municipalité de Boischatel dans la région de la Capitale-Nationale. La plus forte poussée de valeur s'est produite entre 2001 et 2011. Durant cette période, les prix des maisons unifamiliales ont grimpé de 221 %, selon la FCIQ/Centris. Pensez-vous que les salaires des résidents ont suivi la même tendance? Absolument pas!

 

Pour la même période, les salariés québécois ont vu passer leur taux horaire moyen de 16,63$ à 21,13$. Une augmentation de 27. L'écart moyen entre les augmentations de salaire et les prix des maisons est supérieur à 150 %: ce que souligne Robert Shiller, Paul Krugman, Fitch, Goldman Sachs et la Deutsche Bank.

 

Les revenus moyens des Canadiens sont INSUFFISANTS pour soutenir la croissance des prix.

 

Comme les dettes à la consommation explosent et qu'on perd des emplois, l'immobilier résidentiel est assis sur un baril de poudre. Le 7 août, la Chambre immobilière du Grand Montréal a rendu compte de chiffres éloquents. Il y a 31 539 propriétés résidentielles à vendre. Un sommet jamais atteint depuis 1997. En juillet, le nombre d'inscriptions a augmenté de 10 %. C'est le 47e mois de suite que cela se produit. C'est plus qu'une tendance, ça.

 

Ceux qui refusent la logique implacable des mathématiques aimeraient bien que le «party» ne se termine jamais. Mais, il faut se faire une raison. Il y a trop de lumières rouges allumées et le DJ a rangé ses tables tournantes. La fête est terminée.

 

 

Ridicule, les prix n'ont pas a suivre les salaires....

 

Les prix suivent ce que le peuple peut payer mensuellement et ce que le peuple peut payer suit les taux d'intérêts...

 

En 2001, le taux fixe de 5 ans était de 6-7%. Je viens d'avoir un taux fixe de 5 ans pour 2.89% le mois dernier!

 

Petit calcul:

 

Prix en 2001: 300 000$

Prix en 2014 (200%): 600 000$

 

Paiement mensuel en 2001 ajusté en dollar de 2014 avec un taux de 7%, sur hypothèque de 300 000$ (25 ans): 2678$

Paiement mensuel en 2014 avec un taux de 2.89%, sur hypotheque de 600 000$ (25 ans): 2800$

 

En ajustant l'augmentation de salaire, le prix payé final est assez proche l'un de l'autre due à cette nouvelle norme de bas taux d'intérêts.

 

Rien à voir avec les salaires... les prix sont hauts à cause des taux qui sont bas, de l'inflation et du haut coût de construction.

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Oui et bien augmente le taux de 2% maintenant d'ici les 2-3 prochaines années et regarde ce qui s'en vient. Tu penses que les taux vont rester à 2.89% pour le reste de ta vie? Soyons sérieux.

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Non mais quel con le type de cet article. Je ne dis pas qu'il n'y a pas lieu de s'inquiéter de l'augmentation des prix de l'immobilier au Canada, mais qu'il est perdu lui. Il est le pire de perdu, celui qui est convaincu qu'il en connait des choses.

 

Premièrement, comme Synosik le dit, le salaire n'est qu'une variable parmi d'autres et plutôt insignifiante quand on parle uniquement de taux horaire! On peut regarder le revenu des ménages, ça c'est déjà plus sensé. Ce qui est important, dans la capacité de payer, quand on parle uniquement du salaire, c'est le revenu total, pas le taux horaire. Deuxièmement, des tonnes d'autres éléments entrent en jeu : les taux d'intérêt, les changements dans la composition du parc immobilier, etc.

 

Il faut aussi se souvenir que la fin des années 90 était une période assez exceptionnelle côté coût des maisons. On sortait tranquillement de 10 ans de stagnation des prix. Si on prend la période 1990-2014, l'augmentation des prix parait moins ridicule.

 

Mais bon, si les taux d'intérêt augmentent, ça pourrait être dangereux. Il y probablement trop de logements qui se construisent à Toronto, Vancouver et peut-être Montréal pour les besoins réels, surtout dans la catégorie condo. Quand une plus en plus grande partie des condos sont achetés par des investisseurs étrangers, le réveil peut être brutal. En tk, il est dans le champs pareil avec son analyse de secondaire 4.

 

 

Ridicule, les prix n'ont pas a suivre les salaires....

 

Les prix suivent ce que le peuple peut payer mensuellement et ce que le peuple peut payer suit les taux d'intérêts...

 

En 2001, le taux fixe de 5 ans était de 6-7%. Je viens d'avoir un taux fixe de 5 ans pour 2.89% le mois dernier!

 

Petit calcul:

 

Prix en 2001: 300 000$

Prix en 2014 (200%): 600 000$

 

Paiement mensuel en 2001 ajusté en dollar de 2014 avec un taux de 7%, sur hypothèque de 300 000$ (25 ans): 2678$

Paiement mensuel en 2014 avec un taux de 2.89%, sur hypotheque de 600 000$ (25 ans): 2800$

 

En ajustant l'augmentation de salaire, le prix payé final est assez proche l'un de l'autre due à cette nouvelle norme de bas taux d'intérêts.

 

Rien à voir avec les salaires... les prix sont hauts à cause des taux qui sont bas, de l'inflation et du haut coût de construction.

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