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Actualités du Plateau Mont-Royal


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Le plateau est une ville dans la ville, merci steve 36 de partager ton expérience vécue. J'imagine au passage la grande différence d'une journée de balade urbaine en comparaison du même type de promenade, mais cette fois-ci faite en banlieue. Une autre histoire et un récit surement moins accrocheur?

 

Disons que pour la même durée et sensiblement la même distance, on parcourrait des rues sans intérêt et inanimées, des parcs éloignés et sans décor particulier, des services dispersés et plutôt génériques, un stationnement gratuit mais dans un immense espace bétonné. Finalement un beau grand centre commercial impersonnel où tu trouveras la même chose que dans tous les autres. Le tout dans un milieu artificialisé et orienté exclusivement vers la consommation.

 

Ce qui m'amène à dire que quand on voyage, ce n'est pas la banlieues des villes que l'on veut voir, elles sont toutes interchangeables. Mais le coeur animé des zones urbaines où c'est vraiment là que ça se passe. Donc rien ne nous empêche d'être un touriste dans sa propre ville et de profiter d'une ambiance stimulante pour tous les sens. En plus, on peut répéter l'expérience des centaines de fois et ça ne sera jamais vraiment pareil. :mtl:

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Publié le 10 juin 2015 à 10h07 | Mis à jour à 10h07

Chantier Saint-Denis: une grande terrasse durant les travaux

La « grande terrasse rouge » sera érigée... (IMAGE FOURNIE PAR LA VILLE DE MONTRÉAL)

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La « grande terrasse rouge » sera érigée dès cet été entre les rues Duluth et Marie-Anne et devrait être accessible durant une bonne partie des travaux, qui se dérouleront de septembre 2015 à novembre 2016.

IMAGE FOURNIE PAR LA VILLE DE MONTRÉAL

Ma Presse

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La Presse

Alors que les pelles mécaniques prendront la rue Saint-Denis d'assaut à la fin de l'été, les citoyens pourront se prélasser sur une grande terrasse qui longera le côté est de la rue. La Ville de Montréal a présenté ce matin ce projet inédit, qui fait partie de sa stratégie pour éviter de faire fuir les clients durant les travaux.

 

Alors que les pelles mécaniques prendront la rue... (IMAGE FOURNIE PAR LA VILLE DE MONTRÉAL) - image 1.0

 

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IMAGE FOURNIE PAR LA VILLE DE MONTRÉAL

 

La « grande terrasse rouge » sera érigée dès cet été entre les rues Duluth et Marie-Anne et devrait être accessible durant une bonne partie des travaux, qui se dérouleront de septembre 2015 à novembre 2016. La terrasse sera mise en valeur grâce à une « signalétique festive » soit des banderoles qui seront suspendues au-dessus de la rue Saint-Denis, un peu à l'instar des guirlandes roses qui flottent au-dessus de la rue Sainte-Catherine Est dans le village gai.

 

La Ville a aussi prévu d'ériger une murale sur laquelle les clients pourront situer les commerces, ainsi que de marquer au pochoir de manière « ludique » le nom des commerces sur les trottoirs. Des passerelles seront installées pour faciliter l'accès aux boutiques et restaurants. Le chantier sera nettoyé tous les soirs.

 

Pour ce qui est de la circulation, au moins une des deux voies sera maintenue dans chaque sens durant les travaux.

 

L'ensemble de ces « mesures de mitigation » coûtera un peu plus de 4 millions, tandis que les travaux d'infrastructure coûteront plus de 10 millions.

 

Les infrastructures souterraines de la rue Saint-Denis sont centenaires. L'égout en briques doit être remplacé par un égout de béton. La chaussée et les trottoirs seront complètement reconstruits.

 

Le responsable des infrastructures, Lionel Perez a indiqué que la stratégie est le fruit de neuf rencontres avec la Société de développement commerciale de la rue Saint-Denis. « Ça va nous donner de l'expérience pour l'immense chantier que sera Sainte-Catherine », a-t-il ajouté.

 

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Modifié par IluvMTL
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  • 2 semaines plus tard...

Il y a quelques mois, le CP a rasé une partie du Champ des Possibles, croyant que le parc lui appartenait. Les «Amis du Champ des Possibles» (un organisme citoyen) ont commencé a réhabilité le secteur, à replanter:

 

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Les interventions sont discrètes, mais c'est un premier pas au moins!

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Un article sur la hausse des revenus des parcomètres à Montréal, spécifiant que l'augmentation de l'achalandage a été particulièrement visible dans Ville-Marie et sur le Plateau Mont-Royal, confirmant l'augmentation de cette clientèle automobile dans le quartier.

 

http://www.lapresse.ca/actualites/montreal/201506/22/01-4880261-les-parcometres-rapportent-de-plus-en-plus-a-la-ville.php

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Un article sur la hausse des revenus des parcomètres à Montréal, spécifiant que l'augmentation de l'achalandage a été particulièrement visible dans Ville-Marie et sur le Plateau Mont-Royal, confirmant l'augmentation de cette clientèle automobile dans le quartier.

 

Par contre Est-ce que l'article prend compte que le prix du stationnement a augmenté sur le Plateau ? Car cela aussi peut affecter la hausse des revenus.

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Par contre Est-ce que l'article prend compte que le prix du stationnement a augmenté sur le Plateau ? Car cela aussi peut affecter la hausse des revenus.

 

Le prix n'a pas augmenté sur le Plateau. Il est toujours à trois dollars de l'heure depuis 2012 je crois. Le nombre de parcomètres est aussi stable depuis l'an passé. L'article mentionne que c'est l'achalandage dans Ville-Marie et le Plateau qui se démarque.

 

Il faut aussi spécifier que l'article concerne l'année 2014!

 

J'ai l'impression que la popularité de l'application mobile y est pour quelque chose, à donner des outils simples et appréciés, les gens vont plus utiliser le service.

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  • 3 semaines plus tard...

Gentrification : les commerçants aussi affectés

10 juillet 2015

Simon Van Vliet

 

Il n’y a pas que les locataires résidentiels qui souffrent des conséquences de l’embourgeoisement. Les commerçants indépendants du Plateau en font aussi les frais.

 

Le développement commercial est un enjeu sensible sur le Plateau. « C’est très émotif », confie Frank Hénot, un commerçant de l’avenue Mont-Royal, membre de la Société de développement de l’Avenue du Mont-Royal (SDAMR). « Il y a des gros bobos à soigner », ajoute le propriétaire de l’Intermarché Boyer, qui s’inquiète notamment du problème de l’abordabilité des locaux commerciaux.

 

« Il y a beaucoup de locaux vides », explique le commerçant qui reconnaît qu’à ce chapitre, Mont-Royal s’en sort mieux que Saint-Denis ou Saint-Laurent. Il est difficile d’établir avec précision le taux d’inoccupation des locaux commerciaux sur le Plateau en raison de problèmes méthodologiques, tel que le relevait La Presse en début d’année.

 

Le commissaire au développement économique de l’arrondissement, Martin Belzile, tente d’ailleurs de résoudre ce problème en procédant à un recensement des commerces ayant pignon sur rue le long des 14 artères commerciales du Plateau. « On a quand même une diversité insoupçonnée », note le commissaire qui souligne que l’inventaire dénombre plus de 2 300 commerces allant des services, au commerce de détail en passant par le divertissement.

 

Selon les données produites par l’équipe de Martin Belzile, le taux d’inoccupation sur l’avenue Mont-Royal se situe aux alentours de 4 %, soit le taux le plus bas à Montréal après la promenade Masson. À titre de comparaison, le taux d’inoccupation moyen sur les artères commerciales se situe à 9,8 %.

 

Le commissaire espère avec ce recensement dégager des pistes d’analyse et d’action pour mieux soutenir le développement économique dans l’arrondissement.

 

Si la situation morose des grandes artères comme Saint-Denis et Saint-Laurent n’est pas un phénomène restreint au Plateau, l’arrondissement est en proie à une importante vague de spéculation foncière. Quand elle n’entraîne pas des hausses de loyer accélérées, la hausse de valeurs foncières qui en résulte pousse certains propriétaires à laisser leurs locaux inoccupés dans l’espoir de pouvoir les louer plus cher dans quelques années ou encore d’encaisser des gains en capitaux importants lors d’une éventuelle revente.

 

« Les prix sont corrélés avec la proximité du centre-ville », explique Martin Belzile qui constate « une forme de gentrification commerciale » sur les artères commerciales du Plateau. En effet, la taxe d’affaires, établie à 4 % de la valeur foncière, fait en sorte que les coûts pour les exploitants explosent, ce qui exerce une pression importante sur les commerces indépendants.

 

Le commissaire au développement économique note que les outils règlementaires existants à l’échelle locale ne permettent pas de réguler le marché immobilier pour lutter contre la gentrification commerciale et considère que la spéculation immobilière résidentielle représente une menace au développement commercial.

 

Il espère par ailleurs que la négociation entre la Ville de Montréal et le ministère des Affaires municipales permettra de renforcer les leviers de développement commercial.

 

À l’heure actuelle, les investissements en infrastructures représentent « la seule façon de faire du développement économique actif », déplore Martin Belzile. Si le programme de soutien aux sociétés de développement commercial a fait ses preuves, il ne s’attaque cependant pas aux causes du problème qui relève avant tout de phénomènes macro-économiques comme le ralentissement économique observé depuis la crise financière de 2008, les changements dans les habitudes de consommation et les mutations du marché du commerce de détail.

 

« On ne peut pas continuer à dire qu’il y a une crise et ne rien faire », lance Frank Hénot qui insiste sur l’importance de préserver les commerces de proximité et les services qui rendent le Plateau attrayant.

 

http://plateau.pamplemousse.ca/2015/07/gentrification-les-commercants-aussi-affectes/[/Quote]

 

Il n'y a aucun doute que le Plateau est victime de son propre succès.

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  • 2 semaines plus tard...

Ce n'est pas exactement Le Plateau mais plutôt Le Mile End alors j'estime qu'on est dans les mêmes eaux. On est surtout dans le même arrondissement. Bref, un bel article qui résume bien l'esprit du Mile End et dont je dirais qui se visite bien mieux à pieds, une fois la voiture stationné pour quelques heures.

 

Montreal's Mile End: Walk, drink, eat in this cosmopolitan Canadian enclave

 

I’m not going to pretend to be objective about Montreal. It’s one of my favorite cities on this continent. After my most recent trip, a jaunt that focussed on the city’s vibrant and eclectic Mile End neighborhood, I realized why. Montreal is a lot like New Orleans: arty, international, architecturally distinct, connected to its French roots yet decidedly independent. Throw in the current high American dollar, and Canada’s second largest city becomes an even more appealing escape. As one recent transplant from Toronto explained, “Toronto is where you go to work. Montreal is where you come to live.”

 

Then, there’s the food and drink parallel. In short, eating and drinking choices are ubiquitous in Montreal. Ask what you should do in Mile End, and chances are you’ll get a list of restaurants, bakeries and cafes. Twice, we were told by locals that they were sure there were other things to do in Mile End besides eat and drink, but what followed were polite blank stares. Clearly, no one knew what waited beyond the culinary frontier. As a New Orleanian, I understood.

 

Mile End runs in a longish, narrow strip located within the larger Plateau Mont Royal section of the city. Before its recent reincarnation as Montreal’s hippest neighborhood, the area was like many other urban hotspots: an immigrant, working-class section. Here, waves of Jews, Eastern Europeans and Italians found a place in the New World, often packing large families into cheaply rented flats and starting up small businesses or working in the district’s numerous garment factories.

 

Eventually, the factories closed, leaving behind spaces ripe for artists, lofts and upstarts. Today, bustling commercial avenues alternate with quiet, charming leafy streets and alleys.

 

Three-story row houses of brick and stone, many over a century old and with carved Victorian doors, line the sidewalks. Human-scaled and embracing, Mile End’s understated elegance may evoke Brooklyn or Boston, but with Montreal’s telltale architectural detail: the exterior staircase. Meandering these less frequented byways is one of the great freebie pleasures of the neighborhood.

 

But the traces of the Mile End’s immigrant roots remain, especially when it comes to inexpensive food options, like handmade bagels that can go hole-to-hole with New York any day.

 

The two longest-running shops, St. Viateur and Fairmount, maintain a healthy rivalry, relying on century-old recipes and churning out fresh bagels 24 hours a day. (My vote goes to St. Viateur’s ever so slightly sweet sesame bagel — ours was so hot from the oven that we had to wait several minutes before digging in.) If you still need convincing, note this: Montreal bagels are flavored on BOTH sides. I ask, Why not, America?

 

The neighborhood’s tradition of small, family and independent businesses also continues — a parallel most New Orleanian visitors will appreciate. Indeed, Mile End remains decidedly diverse with a significant population of Hassidic Jews and more recent influxes of Latino, Asian and African immigrants, all of whom have created authentic eateries.

 

And while plenty of upscale establishments exist, budget-minded options abound, like Chez Boris, on Avenue du Parc, where a Russian emigre makes small, delicate doughnuts or beignets (minus the heaps of powdered sugar). How can any self-respecting New Orleanian not be curious?

 

Like the French Quarter or the Marigny, Mile End is best enjoyed on foot, and driving can be more of a hassle than a convenience. We arrived, parked the car and didn’t use it until we left. There is a metro but stations are sparse. Given all the temptations, walking several miles each day is probably for the best. Mile End is small enough to be easily navigated on foot, and on a sunny afternoon, it’s a pleasure to stroll the streets or meander through nearby Parc de la Fontaine.

 

Rubber-soled shoes, Euro-styled sneakers and small backpacks are de rigeur for locals.

 

As are bicycles: visitors may want to consider renting a bike from one of the kiosks scattered throughout the area. For most Montrealais, two wheels are better than four, and the city has numerous bike lanes.

 

http://www.theneworleansadvocate.com/features/12843390-176/montrealsmile-end

 

Seul problele, je ne crois pas qu'il s'agit du parc Lafontaine dont il parle, mais plutôt du parc Jeanne-Mance et/ou parc du Mont-Royal car Lafontaine est beaucoup plus à l'est.

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