Aller au contenu

_FKS_

Membre
  • Compteur de contenus

    203
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    1

Tout ce qui a été posté par _FKS_

  1. Ce n'est pas pour dédouaner l'entrepreneur (que je connais), mais c'est un projet techniquement difficile: toute la structure du bâtiment à été refaite en béton. Il ne reste que les façades d'origine, tout le reste est neuf. Ils ont maintenu la structure en bois et les façades en place, pendant qu'ils coulaient le béton, étage par étage. Il y a eu ajout d'ascenseur aussi. Une fois le toit-terrasse fini, ça devrait aller plus vite.
  2. Bon c'est toujours des logements selon le permis. Comment il n'y a plus d'annonce pour de la vente, j'imagine que ca serra de la location. Ça parle de stationnement aussi, j'ai du mal à voir comment ils vont se débrouiller, les portes principales (des deux cotés) sont assez étroites. Coté St.Paul: Coté Place d'Youville:
  3. Quelques photos d'avant les vacances. Ça avance (avancait) doucement. Le chantier semblé être géré par Decarel, j'ai compté 7 ouvriers incluant le contre-maître. Juste avant les vacances. Toujours en train de couler les dalles de béton des étages. J'ai vu une auto ThyssenKrupp stationnée devant, j'imagine donc qu'il y aura un ascenseur.
  4. Ils gardent l'enveloppe extérieure du bâtiment, mais je pense que tout l'intérieur a été refait (incluant les planchers), vu le temps que ça prend. Ils sont toujours en train de couler du béton, j'imagine que ça serra pas fini avant 3-4 mois. En ce qui concerne le coté digital, oui, ils ont concept assez flyé et novateur. Ça vaudra le coup de faire un tour une fois fini. D'ailleurs si vous êtes dans l'informatique, surtout le web, ils cherchent du monde parrait-il, et ils payent super bien. Par contre, attendez-vous au soufle du patron dans votre cou 24h/24.
  5. Ils ont du changer d'avis. C'était prévu pour des condos en 2012, mais ils ont du abandonner l'idée, l'immeuble ne s'y prête pas vraiment (trop petit). Comme ça appartient aux proprio de Mackage (mode, vêtements), je suspecte qu'ils sont en train de suivre l'exemple de SSense qui est juste à coté aussi, et faire un magasin-boutique-café. C'est à la mode (pun). Voir l'autre fil pour SSense ici:
  6. Non, pas du tout, l'affiche est un reste de décor pour un film tourné y'a quelques années à cet endroit. Ou pour induire en erreur
  7. Oui en construction depuis l'été dernier, j'avais mis un fil là-dessus. Il faudrait les merger mais je ne sais pas comment le faire? .
  8. Sur la Rue St.Sulpice, juste à coté de la Basilique Notre-Dame, dans le Vieux Montréal. Ici: http://www.vieux.montreal.qc.ca/inventaire/fiches/fiche_bat.php?sec=i&num=26
  9. Le projet a repris doucement, mais on a aucune idée de ce qu'il vont faire.
  10. Ça avance doucement. Beaucoup d'activité tous les jours. En ce moment ils coulent les dalles de béton des étages. J'ai un peu de mal à comprendre pourquoi c'est aussi long, mais ca bouge au moins.
  11. C'est pas pour leur faire de la pub, mais en passant D Y C restaurations a fait une rénovation spectaculaire l'année dernière/y'a deux ans des immeubles du coin Notre-Dame Ouest/St-Francois-Xavier: https://www.google.ca/maps/@45.5036385,-73.5568688,3a,75y,1.36h,92.02t/data=!3m6!1e1!3m4!1sNGHF_Rxe4rU0wd_GPw3RHw!2e0!7i13312!8i6656!6m1!1e1 https://www.google.ca/maps/@45.5039343,-73.5573884,3a,75y,98.93h,92.13t/data=!3m6!1e1!3m4!1saalfX_urf1uzXFhJzvBlmg!2e0!7i13312!8i6656!6m1!1e1 Les immeubles sont comme neufs maintenant. Ça a du coûter une beurrée à la Fabrique de la paroisse Notre-Dame.
  12. Il y aurait apparemment un projet en vue pour cet immeuble: "Mais un autre immeuble, détruit depuis des années et dont seule la façade avant subsiste, recouverte d’un trompe-l’oeil, est toujours dans le même état de désolation. Après moult événements ayant empêché la réhabilitation du 22-26 NotreDame Ouest, Jacques-Alain Lavallée, Chargé de communication à la Ville de Montréal, nous informe qu’une soumission jugée conforme a été reçue en 2016. Après vérifications, le soumissionnaire a pu remettre au mois de novembre dernier un projet d’acte qui doit être validé par le Service des affaires juridiques de la Ville. « La Ville s’attend à finaliser la vente en 2017 et parallèlement, le soumissionnaire retenu travaille avec l’arrondissement de Ville-Marie et le Ministère de la culture et des communications pour l’acceptation de son projet », informe monsieur Lavallée" http://echosmontreal.com/wp-content/uploads/2016/12/ECHOSMTL-D%C3%89C-2016-web.pdf
  13. Tiens, "l’immeuble contenait de l’amiante et beaucoup de matériel toxique, selon un entrepreneur interrogé par TVA Nouvelles, qui est aussi chef du chantier." Un edifice patrimonial rase par un violent incendie au centre-ville de Montreal | JDM Comme c'est bien commode ces incendies.
  14. On dirait que le projet bat de l'aile, c'est à vendre: http://www.centris.ca/fr/maison~a-vendre~ville-marie-montreal/15350541?view=Summary - Toutefois, on voit bien la façade finie, et c'est pas si mal.
  15. L'article du JdM donne plus d'infos: http://www.journaldemontreal.com/2016/08/09/alexandre-taillefer-achete-taxi-diamond-1 Maintenant qu’Alexandre Taillefer a acheté l’entreprise Taxi Diamond, plusieurs chauffeurs s’interrogent sur leur avenir au sein de l’entreprise. «C’est juste des annonces et beaucoup de questionnements, laisse savoir Dany Atallah, du Regroupement des propriétaires de taxis de Montréal, qui salue cependant la modernisation de l’industrie par la compagnie. On a juste peur du monopole et on veut qu’il reste de la concurrence dans les intermédiaires de service.» Amar Chikh, qui cotise mensuellement chez Taxi Diamond, verra ce qu’on lui offrira avec les nouveaux contrats et n’hésitera pas à changer de partenaire d’affaires s’il le faut. «C’est le système capitaliste et on ne peut pas empêcher les transactions, explique le propriétaire Gilbert Saint-Jean. Taillefer ne me dérange pas, car il est légal, mais Uber me dérange.» Jean Neptune, un propriétaire de voiture hybride, se questionne sur les tenants et aboutissants de la transaction. «Je suis propriétaire et j’ai du mal à arrimer les deux bouts. Si on nous exige d’acheter des voitures neuves électriques, c’est une affaire de plus.» Certains concurrents à Taxi Diamond et Taxi Hochelaga ne s’opposaient pas à la venue de ce nouveau joueur. «Tant que tout se fait dans le respect des lois, contrairement à Uber», indique Rolland Dallaire, chauffeur indépendant. 40 % du marché Avec Taxi Diamond, Taxi Hochelaga, acheté il y a huit mois et Téo Taxi, Alexandre Taillefer possède une flotte de 1720 sur un peu plus de 4000 voitures, regroupant à lui seul 40 % du marché. «Aujourd’hui, c’est la dernière transaction que l’on fait dans l’industrie du taxi, a indiqué le «dragon», qui a fondé Taxelco, l’entreprise acheteuse, il y a un an. On a atteint la densité requise pour pouvoir servir les Montréalais en cinq minutes.» Les travailleurs resteront autonomes et non pas salariés et Taxelco ne devient pas propriétaire des permis. Les chauffeurs qui louent leur permis pourront aussi obtenir une voiture écoresponsable. Modernisation de l’industrie Pour le Regroupement des travailleurs autonomes Métallos (RTAM), c’est une bonne nouvelle pour aller vers une modernisation de l’industrie. «Si on tend vers la modernisation et à répondre aux besoins de la clientèle, à ce moment-là, on est heureux, croit Benoît Jugand porte-parole du RTAM, qui regroupe 3000 membres à Montréal. C’est toujours une analyse coûts et bénéfices de la part du propriétaire qui doit être faite. Si le modèle est intéressant pour le propriétaire, c’est lui qui décide au bout du compte.» 100 % ÉLECTRIQUE D’ICI 2 ANS Alexandre Taillefer veut rendre la flotte de voitures de Taxi Diamond et Taxi Hochelaga 100 % électrique d'ici deux ans. On compte louer aux propriétaires des voitures hybrides chez Hochelaga et Diamond et rapidement migrer vers une flotte entièrement électrique. Chez Taxelco, on estime que les gains d’opérations seront «très motivants» pour les propriétaires lorsqu’ils remplaceront leur véhicule par une écoresponsable. «La transition sera naturelle et rapide, estime Marc Petit, chef de la direction de Taxelco. L'objectif de deux ans est indicatif, nous pensons que cela va aller vite.» Les chauffeurs autonomes devront se conformer à cette condition sine qua non pour y travailler, autrement, ils devront poursuivre leur travail chez un autre fournisseur de service. «Il pourrait y avoir des mécontents chez Hochelaga et Diamond et on pense que ça va entrainer une attrition, ce qui va faire migrer certains de ces chauffeurs vers le modèle Téo», a indiqué Alexandre Taillefer. Taxi Diamond • Créee en 1922 • 1100 propriétaires membres, près de 1700 chauffeurs, tous travailleurs autonomes • Dessert principalement le centre et l'ouest de l'île • Spécialité: corporatif et l'institutionnel Taxi Hochelaga • Créée en 1967 • 500 Propriétaires membres, près de 800 chauffeurs tous travailleurs autonomes • Dessert principalement l'est de la ville • Spécialité: le transport spécialisé (principalement transport adapté pour la STM) Téo Taxi • Créée en novembre 2015 • 65 permis en location (110 fin septembre) • Plus de 200 chauffeurs, tous salariés (350 de plus à la fin septembre)
  16. En France aussi ca monte: http://www.lemonde.fr/immobilier/article/2016/07/28/les-permis-de-construire-en-nette-hausse-au-deuxieme-trimestre_4975682_1306281.html
  17. Pas sur que ceci ait deja été posté: http://s3.documentcloud.org/documents/2850909/Cancanadaexpand.pdf "It would be very difficult to reduce emissions outside the oil and gas sector by between 47 and 59 per cent below 2014 levels by 2030. Short of an economic collapse, it is difficult to see how Canada could realistically meet its Paris commitments without rethinking its plans for oil and gas development. New pipelines are not needed under Alberta’s cap on oil sands emissions. Although current pipeline and rail capacity is not sufficient to transport the near-doubling in bitumen production forecast in the NEB reference case, it is sufficient under the Alberta government’s announced cap on oil sands emissions at 100 Mt per year" "The additional pipelines being lobbied for by industry and governments are therefore not necessary" "The only prospect for significant growth in oil production in Canada is bitumen. But new bitumen projects require oil prices between $68 and $100 per barrel to be viable (price depends on the method of extraction and level of upgrading). Given the current state of global oil prices, significant expansion of oil sands production, beyond projects currently under construction, is unlikely regardless of what the NEB forecasts, or what industry and political leaders wish for"
  18. Rehabilitation complete d'un ancien batiment à coté de l'Hôtel Saint-Sulpice (au 418, rue Saint-Sulpice). La bâtisse serra ultimement convertie en boutique de vetements de luxe (sur 3 étages!!!) ainsi qu'un café-terasse. La propriété avait été achetée par Rami Atallah en 2013, donc naturellement je pense que ca deviendra une nouvelle boutique Ssense. Et la fiche: http://www.vieux.montreal.qc.ca/inventaire/fiches/fiche_bat.php?sec=i&num=26 (désolé pour la photo des toilettes dans l'entrée, j'essaierai d'en prendre une meilleure ) Envoyé de mon iPhone en utilisant Tapatalk
  19. Rehabilitation d'un ancien batiment en pierres. Ajout de deux étages. Ca a pris 2 ans d'avoir le permis. Ca m'etonne que la ville ait permis le projet, la majorité de ce genre d'ajout est assez rare dans le Vieux (mise à part le Penny Lane) La fiche du bâtiment: http://www.vieux.montreal.qc.ca/inventaire/fiches/fiche_bat.php?sec=j&num=62 Envoyé de mon iPhone en utilisant Tapatalk
  20. Il est fort probable aussi que ça soit juste Esso qui décontamine le site. Le coffrage c'est peut-être juste pour éviter que le terrain ne s'effondre avec l'eau pompée dedans.
  21. Ce ressemble à de la décontamination des sols. Il y a une machine dans le coin opposé qui pompe de l'eau dans le sol 24h/24. On voit les tuyaux qui arrosent le sol. Sur le site on peut voir deux énormes citernes à eau sur le coté du terrain, j'imagine pour recevoir l'eau contaminée. Il y a quelques semaines ça sentait fort l'essence, mais là ça ne sent plus rien, ça doit tirer sur la fin. Envoyé de mon iPhone en utilisant Tapatalk
  22. http://plus.lapresse.ca/screens/c0e295e3-c827-41b5-bf13-3daa468c8118%7C_0.html ALAIN DUBUC UBER ÉTAIT UN TEST, LE QUÉBEC L’A RATÉ ALAIN DUBUC COLLABORATION SPÉCIALE Il arrive parfois qu’un dossier relativement mineur prenne des proportions majeures parce qu’il est porteur d’un message symbolique qui dépasse largement l’enjeu initial. C’est certainement le cas du débat autour d’Uber. En soi, le dossier du taxi à Montréal n’est pas d’une importance majeure. Bien sûr, l’industrie du taxi est tout croche, sa performance est médiocre, mais la métropole peut fonctionner, avec ou sans la multinationale du transport alternatif. Mais la façon dont Québec a choisi de résoudre les problèmes que posait l’arrivée de ce nouvel acteur pour l’industrie du taxi et d’établir de nouvelles règles du jeu équitables risque de hanter le gouvernement Couillard et de rester le symbole d’un échec qui le suivra longtemps. Si j’étais Philippe Couillard, j’aurais un petit doute, en voyant qui a applaudi avec le plus d’enthousiasme à la solution proposée par son ministre des Transports, Jacques Daoust. Martine Ouellet, qui incarne la gauche syndicale dogmatique du PQ, et l’ex-ministre péquiste Guy Chevrette, qui a défendu le lobby du taxi avec la même verve qu’il a défendu celui de l’amiante. Et de l’autre côté, ceux qui semblent les plus déçus sont les jeunes libéraux, la relève de sa formation politique. M. Daoust devait trouver un équilibre entre le monde du taxi et celui d’Uber. On s’attendait, hélas, à ce que l’arbitrage penche beaucoup en faveur du taxi. En fait, dans le projet de loi 100, déposé jeudi, il n’y a tout simplement pas d’arbitrage. Il ne propose qu’un seul modèle, celui du taxi traditionnel, et exclut de facto toute solution de rechange, que ce soit Uber ou d’autres formules. Un statu quo timidement amélioré qui perpétue les fondements archaïques de l’industrie. Non seulement la solution est rigide sur le fond, mais elle est primaire sur la forme. « Si Uber veut être chez nous, a expliqué le ministre, ils sont bienvenus chez nous, mais ils devront respecter les règles en vigueur chez nous. » Cette phrase est d’une stupéfiante bêtise. C’est un peu comme dire : les homosexuels sont bienvenus chez nous, à condition qu’ils ne s’embrassent pas… Cette solution limite la fluidité du transport urbain, elle va à l’encontre d’une logique de mobilité durable, elle envoie un très mauvais message sur la capacité de la métropole d’incarner la mobilité et l’intelligence. Mais il y a quelque chose de beaucoup plus fondamental. Le cas d’Uber avait aussi valeur de test. C’est un des dossiers, sans doute le plus visible, où le Québec fait face à des pressions extérieures – elles peuvent venir des progrès technologiques, de la porosité des frontières, des transformations de l’économie mondiale – qui menacent les équilibres sociaux et économiques. Il faut pouvoir développer des stratégies, des grilles d’analyse, une philosophie pour nous guider dans ces situations difficiles. Les pressions d’Uber nous donnaient l’occasion d’amorcer cette réflexion, de nous préparer à d’autres situations qui seront bien plus lourdes de conséquences, quand on sait l’évolution fulgurante des technologies de l’information. C’est ce test auquel le Québec a échoué. D’un côté, on ne peut pas laisser s’exercer toutes ces forces sans réagir, sans établir des règles du jeu, sans nous protéger. Mais de l’autre, on ne peut pas non plus se fermer et s’enfermer, parce que cela mène à la sclérose, nous exclut des mouvements associés au progrès et, finalement, risque de nous faire perdre nos batailles. Le défi, c’est de trouver un juste équilibre. Il faut aussi tenir compte du fait que, dans le cas de plusieurs menaces extérieures, le vrai problème ne vient pas d’ailleurs, il est chez nous. Les industries qui réagissent le plus mal aux pressions sont celles dont les structures sont si rigides qu’elles ont perdu leur faculté d’adaptation, particulièrement celles qui sont régies par la gestion de l’offre, comme le lait ou le taxi, où le problème vient des quotas et des permis. C’est une véritable aberration qu’il faille payer 200 000 ou 300 000 $, pas pour être radiologiste ou pilote d’avion, mais pour exercer un métier dur et peu payant. La pire chose à faire, c’est de tout bloquer, d’ériger un rempart autour du Québec. Et pire encore, d’y voir des vertus identitaires, un symbole de notre différence, exprimé de façon caricaturale par Guy Chevrette, qui y a vu « une victoire pour le peuple québécois ». J’ai entendu, dans le débat sur Uber, des gens reprendre l’image du village gaulois, que sa palissade protège de la mer anglophone. On ne se rend pas compte à quel point l’image du village gaulois est malheureuse. D’abord parce qu’elle provient d’une bande dessinée et que, dans la vraie vie, il n’y a pas de potion magique. Mais surtout parce que les Gaulois représentent un très mauvais exemple de résistance fructueuse. Ils ont été battus, rayés de la carte à un tel point qu’il ne reste, dans le français moderne, que 130 mots hérités de la langue de nos « ancêtres ».
  23. Rien à voir avec le permis de conduire, ou les assurances, ou le code d'éthique. Ça a tout avoir la bulle spéculative de 1.5 miliards $ créé par la revente des licences de taxi, et donc ils ne savent quoi faire. Autoriser Uber c'est de crever la bulle du jour au lendemain, donc mettre en faillite tous les prêteurs, genre FinTaxi. Même chose pour les gros propriétaires de licences qui ont un juteux commerce en louant leur licence. Ou les charges pour les centres d'appel. Tout ça n'est qu'une affaire de fric et de pouvoir déjà en place, rien d'autre? C'est quand même étonnant venant de la part d'un parti qui ne souhaite que "libéraliser" le marché. Deux poids, deux mesures.
×
×
  • Créer...