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Actualités du Plateau Mont-Royal


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  • 2 semaines plus tard...

Un gros BRAVO pour l'aménagement de la grande terrasse rouge sur la rue St-Denis. Excellents choix pour le mobilier et les végétaux uniques. Je crois fortement que cette amélioration va redonner vie à l'artère commerciale. Je n'ai jamais été un grand fan de cette rue. Dorénavant, je vais surement la fréquenter plus souvent.

 

P.S. Une mention spéciale pour l'aménagement de la rue De Castelnau dans Villeray / Petite-Italie. Petite rue commerciale de quartier dont l'aménagement est de très bon goût.

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Les seules installations utilisées de la terrasse rouge sont les gros hamacs. Ils sont toujours pleins, mais il n'y en a qu'une dizaine. Le reste, tables, bancs, espaces gazonnés sont vides vides vides....

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  • 2 semaines plus tard...

C'est ce genre de chose qui me met le feu au derrière et qui me fait haïr les bureaucrates et les politiciens et les inspecteurs dont le nombre est beaucoup trop important pour le résultat et le service qu'on obtient. On dirait que les inspecteurs sont contre la population, contre les commerçants et contre le bien-être de la ville.

 

Pour moi, une autoroute bloquée ou fermée pendant une fin de semaine est moins dommageable que ce genre de comportement zélé des inspecteurs. C'est dans les petites choses qu'on apprend à aimer la qualité de vie d'un quartier ou d'une rue mais lorsque tout le travail des artisans et des commerçants est anéantis par une attitude bornée d'un inspecteur qui peut tout se permettre alors cela peut être très démoralisant.

 

Bravo pour la commerçante du Wavel pour continuer le combat contre la bureaucratie de la ville (ou de l'arrondissement). D'ailleurs je vais aller la voir et l'encourager cette semaine.

 

La coïncidence fait que j'ai justement été chez la ''charcuterie Hongroise'' fréquenté la semaine passé. Il y avait d'ailleurs des chaises sur le trottoir et je me suis assis pour manger mon sandwich sans savoir que c'était ''illégal''. Et c'était très agréable. Deux hommes âgés se sont aussi assis l'instant de manger leur sandwich. J'aurais bien aimé voir un inspecteur à ce moment là!

 

A $250 fine for letting a woman in a wheelchair enjoy her ice cream outside?

 

Josh Freed, Montreal Gazette

August 29, 2015

 

It was a beautiful summer day when Janine Lauster saw an elderly woman in a wheelchair being pushed up to her just-opened Wawel Polish Patisserie on St-Laurent Blvd.

 

The woman’s companion came in and ordered her an ice cream, so Janine impulsively grabbed a small table and two chairs and brought them outside — and the woman happily munched ice cream in the sun.

 

Shortly after they’d left Janine was still inside serving customers when a city inspector marched in. He handed her a $250 ticket for “illegal furniture occupying the public domain.”

 

That was a year ago and Janine is still battling the ticket — heading for municipal court this September to challenge her ice cream charge.

 

“We explained to the inspector we were just doing something nice for someone,” says the gregarious Janine, showing me a photo she took of the woman in the wheelchair eating ice cream.

 

“But the inspector didn’t care. He just said the rules are the rules.”

 

In the months that followed Janine visited her borough office twice to appeal, where people clucked sympathetically but ultimately gave no help. By then her ticket’s cost had risen to $400 — so she’s off to court.

 

“I have to sell lots of pastries to make that much,” says Janine, an enthusiastic 27-year old business grad from Germany. She immigrated here 18 months ago, and threw her life savings into the colourful shop she co-owns. She works 50-hour weeks baking bread, strudel and what her sign proclaims as ‘The World’s Best Donuts.’ “I’m also fighting for the principle – it’s just wrong to punish people for doing the right thing.”

 

But it’s hard fighting Montreal City Hall — even when you occasionally win, as other St-Laurent merchants have learned.

 

The past two summers many shop-owners there were ticketed for simply putting two or three plastic chairs out by their windows, where people could take the sun — illegally! — and I conspired with them.

 

I often went to the street’s Hungarian butcher shop for a take-out sausage sandwich, then sat on its flimsy outdoor chairs eating scofflaw sandwiches that cost the owner two $500 tickets last summer alone.

 

“The inspectors told me to get a permit for a fancy terrasse I’d pay thousands of dollars for,” says Angelo, the shop’s owner. “But I’m just a butcher who sells some sandwiches.”

 

“It was enraging,” adds Steve Da Silva, co-owner of Vieille Europe gourmet grocery, which also got huge tickets. “We were just giving customers and mostly passersby a free place to sit.

 

“Handicapped people, homeless and especially old people like to stop and rest in our chairs for hours, to watch street life. We helped improve the Main, make it more inviting and festive, but the bureaucrats punished us.”

 

Last year, the fed-up merchants banded together and got their street association to demand the city legalize their chairs. The civil servants refused saying it was too complicated, but finally the local borough asked inspectors to turn a blind eye.

 

This summer there have been no tickets, yet — “but it’s still illegal under law” says one merchant. “We’re always looking over our shoulders hoping we don’t get a ticket.”

 

It was a similar battle when St-Laurent merchants asked to put up festive holiday lights last Christmas — and city bureaucrats vetoed the plan. At the last minute Mayor Coderre intervened personally, ending months of frustration.

 

But our Supermayor can’t be everywhere, battling our uncivil civil servants one by one.

 

Says one frustrated merchant who ran the street association in another part of town: “There’s an overwhelming culture of bureaucracy and hidebound rules in our civil service that’s almost impossible to change.

 

“Our bureaucrats have no sympathy and no idea how hard it is to run a small business. They’re out to make money, not help us.”

 

Back at Wawel Patisserie, Janine has bought a permit for a terrasse this summer. It’s the tiniest terrasse on all St-Laurent with three two-seat tables crammed into a wooden frame she built and festooned with flower boxes.

 

The City charges her $2,000 per summer — cheaper than bigger nearby terrasses that cost as much as $20,000, but a small fortune for her.

 

They tell her it’s a cleaning and maintenance fee, but there’s a huge Montreal pothole marring her terrasse’s pavement — and most mornings she has to clean cigarette butts, garbage, beer cans and even vomit off the pavement.

 

If you ask me, the City should subsidize terrasses that enhance Montreal street life, not charge discouraging fees and fines. Why not charge pedestrians to use sidewalks? Or children to use playgrounds?

 

“As a shop owner, it’s so discouraging to see how the city hurts us instead of helps us. It’s wrong … it’s just wrong,” says Janine – and she’s going to court hoping to make it just a little more right.

 

http://montrealgazette.com/business/local-business/josh-freed-a-250-fine-for-letting-a-woman-in-a-wheelchair-enjoy-her-ice-cream-outside

 

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a-woman-in-a-wheelchair-eats-ice-cream-o

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http://montrealgazette.com/business/...-cream-outside

 

En lisant cet article et le commentaire qui l'accompagne sur le forum, je me sens à mon tour le besoin de réagir. Mais pas dans le sens que certains s'y attendraient néanmoins. Il y aura toujours des aberrations dans toutes réglementations, parce qu'il est impossible de tout prévoir, surtout quand cela tient à une simple interprétation d'un inspecteur apparemment zélé. On pourrait remplir des journaux entiers d'histoires semblables, où le manque de jugement est l'élément principal qui fait problème. De là à généraliser comme le fait si souvent The Gazette, il y a un pas que je refuse de franchir.

 

Le manque de jugement n'appartient à aucune classe de gens, pas plus aux fonctionnaires qu'aux commerçants ou aux clients. Ce n'est que du cas par cas qu'il faut justement éviter d'extrapoler, en divisant le monde entre les bons et les méchants. En agissant ainsi on compartimente la société en pointant des coupables par association, un geste facile et plutôt superficiel qui est loin d'être convaincant. Pendant que l'on accuse un employé de la ville, on oublie tous les autres qui font bien leur travail et dont on n'entend jamais parler.

 

The Gazette s'est fait une spécialité de ce genre d'articles qu'on voit rarement dans les autres journaux montréalais. D'ailleurs ces gens aiment bien déterrer de vieilles histoires pour étayer leurs preuves de la mauvaise foi de la ville ou certains comportements jugés inappropriés selon leurs propres critères. C'est finalement ce qui m'agace le plus de ce journal qui a le don de mettre le focus sur l'exception, en oubliant la règle. Un comportement journalistique que l'on voit souvent dans les petits journaux locaux de province et qui m'apparait indigne du journal d'une grande ville.

 

Oui il y aura toujours des petites histoires de mal-entendu dans la société, on les appelle les faits divers et ils sont rarement d'intérêt général. Les relater de manière aussi insistante et récurrente comme le fait ce journal, ne fait que contribuer à développer des préjugés tenaces et injustes envers des gens, des groupes de gens ou des institutions qu'on a déjà culpabilisé, en omettant leur propre version des faits.

 

Pas fort comme journalisme qui vient jouer dans les émotions des gens de manière aussi gratuite:thumbsdown:

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Acpnc,

 

I understand your point of view. However, isn't it the responsability of journalists to report on things that are out of the normal? Most of the times people don't get shot and killed, so when someone does they report on it. Most of the times an inspector does his job properly, but when he doesn't it gets reported. Même chose, non? Peut-etre tu n'aime pas trop The Gazette. Personnellement, je ne lis pas les journaux, j'ai des meilleur choses à faire dans ma vie que de lire du bitchage. But isn't that what newspapers are? Il n'y a presque rien de positif dans un journal.

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La gazette comme journal est tres local. Beaucoup plus que LaPresse et Le Journal de Montreal. Et je trouve qu'il font tres bien de rapporter des manques de jugement des fonctionnaires de la ville.

 

Il y a de ca quelques années j'etait dans le quartier chinois avec un ami et mon ami a recu un ticket de parking. Quand l'agent de stationnement nous a vu il se sauvait il ne voulait pas nous parler. J'ai dit a l'agent de stationnement montreal que la signalisation n'etait pas clair, compliqué et portait a confusion.

 

Il m'a répondu que non et que c'est clair et facile a dechiffrer.

 

Je lui ai demander alors (Est ce que vous a avez suivi une formation sur les panneaux de stationnement pour travailler comme agent de stationnement? Parceque moi et mon ami on n'a pas suivi aucune formation. ) Alors l'agent m'a repondu que oui il a suivi une formation et que dans le fond c'est vrai que c'est compliqué.

Modifié par andre md
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