Aller au contenu

Actualités du Plateau Mont-Royal


acpnc

Messages recommendés

Anyway, il devrait y avoir un système d'avertissement. Tabarnak, ce serait pas compliqué de donner un avertissement amical, d'enregistrer ça, pis si on recommence, on pourra pas dire qu'y était pas averti.

 

MAIS, c'est vrai que la réglementation est crissement rébarbative et pas du tout amicale pour ceux qui veulent prendre de belles petites initiatives.

 

Y'a des trucs à changer en tabouère.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Anyway, il devrait y avoir un système d'avertissement. Tabarnak, ce serait pas compliqué de donner un avertissement amical, d'enregistrer ça, pis si on recommence, on pourra pas dire qu'y était pas averti.

 

MAIS, c'est vrai que la réglementation est crissement rébarbative et pas du tout amicale pour ceux qui veulent prendre de belles petites initiatives.

 

Y'a des trucs à changer en tabouère.

Les tickets de stationnement sont budgeté. C'est pas en donnant des avertissement ou en simplifiant la signalisation que l'on va faire les chiffres !

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Dans le cas du reportage de La Gazette, ce n'est pas un journaliste qui rapporte la nouvelle mais plutôt un ''columniste". De plus, quiconque connait Josh Freed sait très bien comment cet homme adore Montréal et y dit du bien presqu'en tout temps. Il montre toujours Montréal de façon positive, avec une pointe d'humour.

 

C'est justement à cause de cela que la situation est dommageable car les journalistes cherchent des nouvelles négatives mais pas lui. Il en veut tout simplement au manque de jugement de l'inspecteur, à la bureaucratie sans âme et à l'administration qui ne semble plus voir la vie de la rue, la petite vie des gens qui font Montréal. La grosse bureaucratie est plutôt aseptisé, robotisé et d'une lourdeur assommante, elle est de plus en plus incompatible avec notre joie de vivre et notre petit laisser aller ''légendaire''.

 

Il ne faut pas s'en prendre à la Gazette, même si c'est parfois vrai qu'il cherche la puce négative. Il faut plutôt s'en prendre à ceux qui leur donnent la chance de publier ce genre de nouvelles.

 

Et il est temps que les employés de la ville, les fonctionnaires et les inspecteurs apprennent à travailler pour le bien de la ville, pour les citoyens et pour les commerçants. Et non pas le contraire. Il est là le problème. Les inspecteurs doivent aider les commerçants, leur faciliter la tache et faire en sorte que la vie de quartier fonctionne le mieux possible. D'ailleurs moi je serai en faveur d'un salaire et boni pour les employés selon les succès du quartier ou de l'arrondissement. Tout le monde travaillerait alors dans le même sens. Car pour l'instant, les employés se foutent bien du succès des rues commerciales, par exemple, eux qui n'habitent pour la plupart même pas à Montréal.

 

C'est une question de jugement et de bon sens.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Ravi de savoir que la foire de la rue Mont-Royal a été un gros succès. Tout comme l'an dernier d'ailleurs.

 

Une foire commerciale record pour Mont-Royal

 

L’avenue du Mont-Royal a connu un achalandage record historique pour sa foire commerciale de fin d’été, la fin de semaine dernière, avec près de 350 000 personnes qui y ont fait un tour.

 

«C’est du jamais vu pour une vente-trottoir de fin d’été Normalement, ça tourne plutôt autour de 300 000. Nos commerçants ont aussi enregistré des ventes record. Certains ont connu leur meilleure foire commerciale de fin d’été depuis leur ouverture», relate le directeur général de la Société de développement de l’avenue du Mont-Royal (SDAMR), Charles-Olivier Mercier.

 

Questionné sur le volume total des ventes, le directeur général a souligné que les 285 membres du regroupement ayant participé à l’événement, étaient actuellement sondés sur les retombées de l’événement, sans toutefois demandé l’impact précis sur le chiffre d’affaires.

 

Habituellement, l’événement a lieu la première fin de semaine de septembre, pendant la fête du Travail, mais les Montréalais quittent la métropole massivement pendant cette période.

 

«Normalement, c’est le boulevard Saint-Laurent qui demande une fermeture la dernière fin de semaine d’août, alors on n’avait pas le choix de le faire pendant la fête du Travail, les années passées, mais cette année, on avait cette possibilité», explique M. Mercier.

 

Touristes payants

 

L’abondance de touristes en provenance des États-Unis, en raison de la baisse du dollar canadien, aurait aussi contribué à l’augmentation du chiffre d’affaires.

 

«Ça fait longtemps qu’on avait pas vu les touristes débarquer aussi nombreux et ils ont fait de grosses dépenses dans la métropole», souligne le directeur général de la SDAMR.

 

La Société de développement commerciale a aussi travaillé très activement cette année à faire inclure l’avenue dans les recommandations touristiques des hôtels et auberges.

 

En plus, la météo a été très clémente et les nouvelles heures d’ouverture jusqu’à 20h la fin de semaine ont donné un bon coup de pouce aux commerçants.

 

http://journalmetro.com/local/le-plateau-mont-royal/actualites/834460/une-foire-commerciale-record-pour-mont-royal/[/Quote]

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Les commerçants du Mile-End continuent de s'organiser. Hâte de voir ce qui vont pousser comme «marque» pour le quartier, sans tomber dans les clichés. N'empêche, le quartier a atteint une popularité enviable sans la moindre organisation des commerçants jusqu'ici, alors donner ce petit coup supplémentaire sera certainement intéressant et bénéfique...

 

http://journalmetro.com/local/le-plateau-mont-royal/actualites/837492/un-plan-une-marque-et-des-evenements-pour-le-mile-end/

 

Un plan, une marque et des événements pour le Mile-End

 

Par Catherine Bouchard

TC Media

 

Le Plateau-Mont-Royal s’apprête à consacrer 60 000$ pour la création d’un plan d’action économique et d’une marque pour le Mile-End, a appris TC Media.

 

C’est l’Association des commerçants du Mile-End qui pilotera le projet, s’il est voté.

 

«On a un comité central, qui va s’occuper de créer un « branding » et de faire en sorte que les gens sachent lorsqu’ils entrent dans le quartier, qu’ils sont dans le Mile-End, explique la membre du comité de transition de l’Association des commerçants du Mile-End et ex-présidente de l’Association des commerçants de l’avenue du Parc, Guylaine Demers. C’est pour cela qu’on a demandé la subvention de 60 000$. On a aussi des sous-comités pour chaque artère du quartier, parce que les besoins et demandes varient de rue en rue.»

 

Une source près du dossier, mais désirant conserver l’anonymat, a confié à TC Media que cette somme devrait faire l’objet d’un vote lors du conseil d’arrondissement de mardi soir. Pour sa part, Mme Demers n’était pas en mesure de confirmer cette information.

 

L’enveloppe proviendra des redevances du Fonds de dynamisation des parcomètres, une enveloppe propre au Plateau-Mont-Royal, dont une partie sert à stimuler le développement économique et la création d’associations commerçantes.

 

Événements dans les cartons

L’association espère aussi dynamiser le quartier en y créant des activités. «On va créer des événements par rue, mais on espère aussi en faire qui touchent tout le quartier», indique Mme Demers.

 

Sur le moyen terme, les investigateurs du projet espèrent que cette nouvelle association se transformera en une société de développement commerciale.

 

Rappelons que l’adhésion aux associations commerçantes se fait sur une base volontaire, contrairement aux sociétés de développement commercial, chez qui la cotisation est obligatoire.

 

L’engouement des commerçants serait né en partie de l’initiative d’illumination de l’avenue du Parc avec des pots Mason à l’énergie solaire.

 

«Ça a piqué la curiosité des gens, et plusieurs commerçants ont eu le goût de s’impliquer par la suite. Je crois que ça a contribué, en partie, à la création de l’Association des commerçants du Mile-End», souligne Mme Demers.

 

Créee en juillet dernier, l’Association des commerçants du Mile-End regroupe plus de 25 membres et couvre l’un des plus grands territoires desservis par un regroupement du genre à Montréal.

 

En raison du congé de la fête du Travail fort probablement, l’arrondissement et les élus n’ont pas retourné nos appels.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Les commerçants du Mile-End continuent de s'organiser. Hâte de voir ce qui vont pousser comme «marque» pour le quartier, sans tomber dans les clichés. N'empêche, le quartier a atteint une popularité enviable sans la moindre organisation des commerçants jusqu'ici, alors donner ce petit coup supplémentaire sera certainement intéressant et bénéfique...

 

C'est une bonne initiative. J'espère qu'ils réussiront à trouver une marque de commerce qui reflète l'Image du quartier.

 

Par contre, ce que je souhaite le plus au quartier, comme partout sur le Plateau d'ailleurs, c'est de trouver une façon pour contrer les hausses de loyers abusives. On voit trop souvent ces hausses qui chassent les petits commerçants qui font la renommés du quartier. Il doit y avoir une façon de le faire.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 2 semaines plus tard...

Un portrait du commerce dans le Plateau. Il est toujours intéressant d'avoir de vrais chiffres, et tempérer un peu les opinions catastrophes (même si on pourrait toujours faire mieux).

 

Bien sûr, un article sur le commerce dans le Plateau ne serait pas complet sans l'avis du propriétaire du Fouvrac. Ce type se fait interviewé dans pratiquement tous les articles du genre, même s'il n'est qu'un commerçant sur plusieurs centaines. C'est vraiment fascinant. Un jour il va peut-être comprendre que si les gens du quartier ne vont pas chez lui, ce n'est pas la faute à Ferrandez, mais de son service pitoyablement mauvais.

 

http://journalmetro.com/local/le-plateau-mont-royal/actualites/845388/exclusifle-commerce-dans-le-plateau-similaire-au-reste-de-montreal/

 

Le commerce dans le Plateau similaire au reste de Montréal

 

Par Catherine Bouchard

TC Media

 

Alors que plusieurs voix s’élèvent pour accuser l’administration de Luc Ferrandez de tuer le commerce dans Le Plateau-Mont-Royal, des données obtenues en exclusivité par TC Media et analysées par un expert du HEC Montréal semblent plutôt démontrer une stabilisation du secteur commercial.

 

«On crie souvent au loup dans le cas du Plateau, mais la réalité est plus complexe. Je ne dirais pas non plus que ça va bien, mais c’est la même chose partout à Montréal», croit le chercheur spécialisé en commerce du HEC Montréal, Jacques Nantel.

 

Le nombre de demandes de certificats d’occupation commerciale, soit les permis que les nouveaux commerces doivent obtenir, a certes fluctué, entre 2007 et 2014, mais cette variation reflète surtout le climat économique montréalais, croit l’expert.

 

Ainsi, 555 et 587 demandes ont été faites pour 2007 et 2008. Ce nombre chute à 499 et 420 demandes, pour 2009 et 2010. La cause? La crise économique, indique M. Nantel.

 

La reprise ne tarde toutefois pas. En 2011 et 2012, alors que l’équipe Ferrandez est en place depuis 2009, l’arrondissement reçoit 664 et 627 demandes de certificats d’occupation commerciale. Selon M. Nantel, il s’agit d’une période de rattrapage, à la suite de la crise économique. En 2013, le nombre de demandes est passé à 427. En 2014, 409 demandes ont été reçues.

 

«Singulariser le Plateau, c’est simpliste», atteste le chercheur.

 

Apaisement de la circulation

 

Bien des commerçants affirment que des mesures comme l’augmentation des zones réservées aux vignettes de stationnement et les changements de sens des rues éloignent les clients de la banlieue et des quartiers excentrés.

 

Or, selon le chercheur, ces mesures affectent en principe peu les commerces, car ses recherches démontrent que les consommateurs ne font pas plus de cinq kilomètres pour se rendre dans un commerce de proximité.

 

«La seule exception, ce sont les magasins suprarégionaux comme Walmart ou encore des commerces ultraspécialisés, avec une offre qu’on ne retrouve pas ailleurs. À ce moment-là, les consommateurs peuvent faire jusqu’à dix kilomètres. La vérité, c’est que si c’est une offre unique, le consommateur va trouver le moyen de se rendre», affirme M. Nantel.

 

Stabilisation, mais pas de retour à 2007

 

«On observe une période de stabilisation depuis 2013, mais sans être revenu au stade de 2007, car l’économie n’est pas non plus revenue au même point qu’avant la crise de 2008. On prévoit qu’un recul est possible pour 2015, en raison des nombreuses pertes d’emplois à Montréal», indique le commissaire au développement économique de l’administration locale, Martin Belzile.

 

Selon des données obtenues auprès de l’arrondissement, le taux de roulement, soit le nombre de commerces ayant fermé, ayant déménagé ou ayant été rénovés, était de 17,5%, pour la dernière année, alors que la moyenne sur l’île de Montréal se situait autour de 20%.

 

«Ce taux démontre qu’on est légèrement plus stable que le reste de Montréal», continue le commissaire.

 

La restauration serait le secteur éprouvant le plus de difficulté dans l’arrondissement qui compte plus de 600 restaurants, soit un ratio par habitant plus élevé qu’à New York.

 

«Le marché est saturé. On ne peut pas empêcher les gens d’ouvrir des restaurants, mais c’est certain que c’est plus risqué. Les sorties au restaurant sont les premières dépenses que coupent les consommateurs lorsque l’économie va moins bien», indique M. Belzile.

 

La conseillère d’arrondissement responsable du dossier du commerce dans Le Plateau-Mont-Royal, Marie Plourde, se réjouit de la stabilisation du commerce, mais assure comprendre la réalité difficile des commerçants.

 

«On sait que ce n’est pas facile pour les commerçants, mais c’est en grande partie en raison des augmentations démesurées des prix des loyers commerciaux dans notre quartier. Ça gruge la marge de profits des entrepreneurs. Ça prendra peut-être un registre des baux commerciaux pour rectifier la situation», mentionne Mme Plourde.

 

Des bâtons dans les roues

 

Certains commerçants n’en démordent pas. Pour eux, l’administration Ferrandez nuit au commerce.

 

«On sait que la baisse du dollar, l’économie, l’internet et l’arrivée de jeunes joueurs sont des facteurs déterminants qui nuisent à nos affaires. Ce qu’on déplore, c’est que les mesures d’apaisement nous créent des obstacles supplémentaires. Les gens de Rosemont vont à ma boutique d’Ahuntsic maintenant, plutôt que d’aller à celle de l’avenue Laurier», indique le propriétaire de Fouvrac sur l’avenue Laurier, Marc Doré.

 

Même son de cloche du côté de Georgio Sodano, de la Maison des pâtes, sur la rue Rachel.

 

«C’est sûr que l’économie est un facteur, mais il [Ferrandez] nous met des bâtons dans les roues. L’arrondissement nous a enlevé la dernière place de stationnement sur Rachel récemment. J’ai perdu l’ensemble de ma clientèle automobiliste. Il nous reste les cyclistes et piétons, mais ce n’est pas suffisant», indique M. Sodano.

Modifié par vincethewipet
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 2 semaines plus tard...

Un article du journal Métro mentionnant les taux d'inoccupation actuels:

 

http://journalmetro.com/local/le-plateau-mont-royal/actualites/849537/saint-denis-a-le-plus-haut-taux-dinoccupation-sur-le-plateau/

 

Mont-Royal: 2.9%

Saint-Laurent: 6%

Saint-Denis: 12.5%

 

Moyenne montréalaise: aux alentours de 9%

 

Bref, ce qu'on sait depuis un bout... Mont-Royal s'est toujours maintenu dans un taux d'occupation très élevé, Saint-Laurent a remonté la pente de belle manière (et ça paraît vraiment quand on marche le long du territoire de la SDC de la Main), Saint-Denis connaît des difficultés, et ça ne va probablement pas s'améliorer avec les travaux sur la rue. Comme quoi tout est cyclique dans la vie.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Contrairement à l'avenue du Mont-Royal et au boulevard Saint-Laurent, il ne faut pas oublier que la composante commerciale sur Saint-Denis est beaucoup plus récente. Il y a 30 ans à peine il n'y avait que très peu de commerces sur Saint-Denis au nord de Sherbrooke. C'était une rue résidentielle, il n'y avait pas 5% des rez-de-chaussée qui étaient occupés par des commerces.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Join the conversation

You can post now and register later. If you have an account, sign in now to post with your account.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Vous avez collé du contenu avec mise en forme.   Supprimer la mise en forme

  Seulement 75 émoticônes maximum sont autorisées.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédent a été rétabli.   Vider l’éditeur

×   You cannot paste images directly. Upload or insert images from URL.


Countup


×
×
  • Créer...