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il y a 30 minutes, Decel a dit :

Je suis du côté pragmatique d'Anie Samson. Pour Ferrandez, donner plus de cash à l'ARTM et s'attendre à des résultats équivalents... 🤪 Mon côté méchant aimerait qu'on le fasse, juste pour prouver le ridicule.

Ce n'est pas une question de donner plus d'argent à l'ARTM, c'est de leur donner les mêmes pouvoirs que CDPQi, donc revenir comme dans le temps du Bureau des transports de Montréal, qui n'avait pas a faire approuver chaque décision par 5 ministères (dont nos préférés et si efficaces MTQ et SQI 🙃) et chaque arrondissements ou leur projet passait. Pour ce qui est de Samson, ce n'est plus du pragmatisme, c'est de la complaisance. On a été pragmatique avec la ligne A et l'utilisation libérale de CDPQi des termes "projet signature" et "correspondance fluide", pour se retrouver aujourd'hui avec une version dégradé de ce qui était présenté. Être méfiant pour la ligne B (ça ne veut pas dire être contre le projet) est la position la plus rationnelle, sensée et véritablement pragmatique.

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23 minutes ago, mk.ndrsn said:

Ce n'est pas une question de donner plus d'argent à l'ARTM, c'est de leur donner les mêmes pouvoirs que CDPQi, donc revenir comme dans le temps du Bureau des transports de Montréal, qui n'avait pas a faire approuver chaque décision par 5 ministères (dont nos préférés et si efficaces MTQ et SQI 🙃) et chaque arrondissements ou leur projet passait. Pour ce qui est de Samson, ce n'est plus du pragmatisme, c'est de la complaisance. On a été pragmatique avec la ligne A et l'utilisation libérale de CDPQi des termes "projet signature" et "correspondance fluide", pour se retrouver aujourd'hui avec une version dégradé de ce qui était présenté. Être méfiant pour la ligne B (ça ne veut pas dire être contre le projet) est la position la plus rationnelle, sensée et véritablement pragmatique.

Avec les défusions, il y a aussi les différentes ville de Montréal. J'ai hâte de voir un politicien qui va s'attaquer à ce problème une bonne fois pour toute... mais avec les ratés de la première tentative, j'ai l'impression que ça n'est pas pour demain.

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Reading the CDPQ consultation site... I'm so tired of that sound argument. Anyone who argues that trains are loud really needs to see this video. Cars are a far bigger source of noise in cities then trains will ever be.

 

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Il y a 2 heures, mk.ndrsn a dit :

Ce n'est pas une question de donner plus d'argent à l'ARTM, c'est de leur donner les mêmes pouvoirs que CDPQi, donc revenir comme dans le temps du Bureau des transports de Montréal, qui n'avait pas a faire approuver chaque décision par 5 ministères (dont nos préférés et si efficaces MTQ et SQI 🙃) et chaque arrondissements ou leur projet passait. Pour ce qui est de Samson, ce n'est plus du pragmatisme, c'est de la complaisance. On a été pragmatique avec la ligne A et l'utilisation libérale de CDPQi des termes "projet signature" et "correspondance fluide", pour se retrouver aujourd'hui avec une version dégradé de ce qui était présenté. Être méfiant pour la ligne B (ça ne veut pas dire être contre le projet) est la position la plus rationnelle, sensée et véritablement pragmatique.

Les pouvoirs ne sont qu'une partie de l'équation: il y a aussi les responsabilités. La CDPQ et ses filières performent parce qu'ils ont responsabilité de rendement: efficacité (rentabilité) + efficience (bas coût et haute productivité, qui inclut indirectement dans ce cas-ci la satisfaction de la clientèle). On voit bien le ménage -autant le portfolio que la stratégie que le personnel- à Ivanhoe lorsqu'ils ont sous-performé dans avec les centres commerciaux.

L'ARTM avec plus de pouvoirs sans les responsabilités qui viennent avec ne deviendrait qu'un monstre bureaucratique. Exemples: les diverses organes des ministères de la Santé, de l'Éducation et des Transports. L'exemple contraire sont les sociétés qui ont sensiblement le même mandat que la Caisse qui, comparativement parlant, performent et sont sous les projecteurs et scrutés et critiqués lorsqu'ils ne le sont pas: Hydro-Québec, la SAQ, Loto-Québec.

Il y a 2 heures, Normand Hamel a dit :

On peut aborder la question du REM au centre-ville de trois manières:

1- Sur le plan financier.

2- De façon pragmatique.

3- D'un point de vue urbanistique.

Sur le plan financier c'est un no-brainer: on construit une structure aérienne car cela revient beaucoup moins cher qu'en tunnel.  Du côté pragmatique des choses on essaye de desservir le plus de monde possible en adoptant des solutions de transport qui soient le plus efficaces possible et optimisées de manière à rendre le tout cohérent. Là où les choses se compliquent c'est lorsque l'on aborde le sujet du point de vue urbanistique. Dans le cas présent un REM aérien défigurerait complètement le boulevard René-Lévesque et altèrerait de façon significative une partie très importante du tissus urbain de Montréal.

Devant un tel dilemme trois possibilités s'offrent à nous, mais il est toutefois important de comprendre qu'aucune solution ne se prête à un quelconque consensus:

1- On construit un REM aérien pour la simple raison que c'est la solution la moins coûteuse, peu importe les conséquences du point de vue urbanistique.

2- On construit un tunnel souterrain dans lequel on fait passer le REM, peu importe le prix que cela coûtera.

3- On abandonne l'idée de faire passer le REM sur, ou sous, le boulevard René-Lévesque, peu importe les conséquences pour les usagers.

Je suis d'accord avec toi si on le découpe ainsi, mais ça revient sensiblement au paradigme triangle cout/rapidité/qualité: choisis-en 2 sur les 3.

REM-A: 1 + 2

Extension de la ligne bleue: 2 + 3

REM-B: 1 + ?

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il y a 33 minutes, Decel a dit :

Je suis d'accord avec toi si on le découpe ainsi, mais ça revient sensiblement au paradigme triangle cout/rapidité/qualité: choisis-en 2 sur les 3.

Mon choix s'est fait dès l'instant où j'ai pris connaissance ce ce projet complètement insensé: il faut préserver le tissus urbain de Montréal le long du boulevard René-Lévesque, coûte que coûte.

Boulevard René-Lévesque.jpg

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Si on parle de pragmatisme, alors la réalité est qu'il existe d'autres projets qui pourraient être réalisé qui sont moins controversé et qui couteraient moins cher. Taschereau est l'exemple que j'utilise depuis le début de cette conversation. Mon avis, c'est que c'est un projet qui à besoin de plus de temps de planification et qui devrait inclure le plan de reconstruction de Notre-Dame. Je suis également d'avis qu'il est temps qu'on recommence sérieusement à considerer la construction en tranché comme étant une option viable. C'est une option médiane qui coute moins cher que de construire un tunnel. C'est certain que c'est très dérangeant pendant la période de construction, mais une fois terminé, ça n'occupe pas l'espace visuel comme un viaduc. Si c'est ça l'alternative, alors j'embarque. Plusieurs autres semblent d'ailleurs avoir une opinion similaire sur le site de consultation de CDPQ.

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il y a une heure, Decel a dit :

Les pouvoirs ne sont qu'une partie de l'équation: il y a aussi les responsabilités. La CDPQ et ses filières performent parce qu'ils ont responsabilité de rendement: efficacité (rentabilité) + efficience (bas coût et haute productivité, qui inclut indirectement dans ce cas-ci la satisfaction de la clientèle). On voit bien le ménage -autant le portfolio que la stratégie que le personnel- à Ivanhoe lorsqu'ils ont sous-performé dans avec les centres commerciaux.

L'ARTM avec plus de pouvoirs sans les responsabilités qui viennent avec ne deviendrait qu'un monstre bureaucratique. Exemples: les diverses organes des ministères de la Santé, de l'Éducation et des Transports. L'exemple contraire sont les sociétés qui ont sensiblement le même mandat que la Caisse qui, comparativement parlant, performent et sont sous les projecteurs et scrutés et critiqués lorsqu'ils ne le sont pas: Hydro-Québec, la SAQ, Loto-Québec.

Je suis d'accord avec toi si on le découpe ainsi, mais ça revient sensiblement au paradigme triangle cout/rapidité/qualité: choisis-en 2 sur les 3.

REM-A: 1 + 2

Extension de la ligne bleue: 2 + 3

REM-B: 1 + ?

Justement, CDPQi a été très conservatrice sur ses prévisions de réalisation de la ligne A. On se retrouve aujourd'hui avec un projet plus cher, avec des années de retard, une qualité architecturale inférieure à ce qui avait été vendu, et une intégration au reste du réseau sous-optimale à ce qui était décrit. C'est dans ce contexte qu'il faut être très intentionnel dans la commande de ce projet et ne pas tombé dans l'indulgence juste parce que CDPQi est la plus agile des société d'état. Il ne s'agit pas de simples actifs immobiliers qui peuvent aisément changer de mains, être rénovés, démolis pour des projets plus rentables; ils s'agit de 32 km de métro qui ne pourront pas être substitués ou déplacés, et qui vont accaparer la majeur partie des ressources destinées au TEC pour plusieurs années.

il y a 14 minutes, Enalung a dit :

Si on parle de pragmatisme, alors la réalité est qu'il existe d'autres projets qui pourraient être réalisé qui sont moins controversé et qui couteraient moins cher. Taschereau est l'exemple que j'utilise depuis le début de cette conversation. Mon avis, c'est que c'est un projet qui à besoin de plus de temps de planification et qui devrait inclure le plan de reconstruction de Notre-Dame. Je suis également d'avis qu'il est temps qu'on recommence sérieusement à considerer la construction en tranché comme étant une option viable. C'est une option médiane qui coute moins cher que de construire un tunnel. C'est certain que c'est très dérangeant pendant la période de construction, mais une fois terminé, ça n'occupe pas l'espace visuel comme un viaduc. Si c'est ça l'alternative, alors j'embarque. Plusieurs autres semblent d'ailleurs avoir une opinion similaire sur le site de consultation de CDPQ.

Arrête de te faire violence en allant lire le site de consultation ("Je vais perdre ma tranquillité avec ce petit train léger électrique!" -personne qui habite déjà à coté de ce qui essentiellement une autoroute) 🤦‍♂️

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il y a 5 minutes, mk.ndrsn a dit :

Justement, CDPQi a été très conservatrice sur ses prévisions de réalisation de la ligne A. On se retrouve aujourd'hui avec un projet plus cher, avec des années de retard, une qualité architecturale inférieure à ce qui avait été vendu, et une intégration au reste du réseau sous-optimale à ce qui était décrit. C'est dans ce contexte qu'il faut être très intentionnel dans la commande de ce projet et ne pas tombé dans l'indulgence juste parce que CDPQi est la plus agile des société d'état. Il ne s'agit pas de simples actifs immobiliers qui peuvent aisément changer de mains, être rénovés, démolis pour des projets plus rentables; ils s'agit de 32 km de métro qui ne pourront pas être substitués ou déplacés, et qui vont accaparer la majeur partie des ressources destinées au TEC pour plusieurs années.

Tout à fait d'accord.

Ceci-dit, c'est surtout au gouvernement de gérer les critères d'investissement et d'acceptation. Et la population gère leur acceptation de ces décisions lors des élections.

Est-ce que le gouvernement (ie: la CAQ) critique les choix et performances de la réalisation du REM-A? Est-ce que le gouvernement met tout l'effort pour empêcher un tronçon souterrain? Est-ce que la population va punir le gouvernement pour ses décisions ou absence de décision lors des prochaines élections?

On récolte ce que l'on sème.

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il y a 13 minutes, Decel a dit :

Est-ce que le gouvernement met tout l'effort pour empêcher un tronçon souterrain?

Pour l'instant non. Dans l'esprit de François Legault, où j'habite en permanence, il s'agit d'abord et avant tout d'une décision d'affaires, et c'est en ce sens qu'il appuie la démarche de CDPQ Infra qui ne veut rien savoir d'un tunnel sous René-Lévesque car cela compromettrait la rentabilité du projet de REM de l'Est.

Ceci étant dit, Legault pourrait éventuellement changer d'idée s'il comprend qu'il serait dans son intérêt de le faire car il ne veut certainement pas se mettre à dos les citoyens de Montréal s'ils ne veulent pas de REM aérien au dessus de l'un des plus importants boulevards de Montréal.

Le Devoir.jpg

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