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La question des édifices et terrains laissés dans un état lamentable concerne bien sûr le secteur commercial, mais s'étend également au résidentiel et à l'industriel.

 

A première vue, des mesures coercitives (par exemple des amendes) pour contrer le phénomène peuvent susciter la crainte d'emprunter une "pente dangereuse", mais il m'a semblé que si la ville de Chicago, dans un pays (les USA) réputé paradis du capitalisme et du droit individuel, semble à l'aise dans cette voie, j'ai tendance à laisser mes craintes de côté. En d'autres mots, pourquoi ne pas faire comme eux? Je crois que les propriétaires et/ou investisseurs sérieux n'auraient rien à craindre, et au contraire devraient s'en réjouir. Car il ne faut pas perdre de vue une autre "pente", très dangereuse celle-là, qui consiste à tolérer le laisser-aller jusqu'à ce que le voisinage entier soit "contaminé" --et ultimement abandonné comme cause perdue. Ça s'est déjà vu...Et dans ce cas, les taxes foncières élevées (payées par le propriétaire mais refilées au locataire), qui sont censées refléter une valeur foncière (proportionnellement) élevée, s'évaporent comme par "enchantement".

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En fait, on pourrait dire qu'il y a déjà un dérapage quand il y a des règlements contraignants sur la taille des affiches et la qualité des chaises sur les terrasse pendant qu'un propre à le droit de laisser tout un édifice dans un état lamentable jusqu'à en devenir dangereux. Il faut effectivement recentrer la réglementation sur l'essentiel sans étouffer la compétitivité du secteur.

 

C'est une très bonne observation que tu apportes. Mais je me demande pourquoi tout cela semble évident et logique pour nous alors que pour la ville, ou dans ce cas l'arrondissement, c'est rarement la logique ? Je me demande vraiment comment pense les élus et haut fonctionnaires.

 

Je dis aussi que je ne comprends plus la logique de Ferrandez. Après avoir mené la vie dure aux commerçants il est maintenant prêt

à monter aux barricades pour défendre les intérêts des rues commerciales de la ville !!! J'espère que c'est vrai mais je doute de sa logique.

 

Moi je ne me battrais pas contre le projet 15/40 mais plutôt pour une baisse des taxes municipales par exemple.

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La hausse des taxes municipales est reliée à la hausse des évaluations pour renflouer les coffres des municipalités qui ont décidé de plier devant les syndicats à l'époque au lieu de gouverner responsablement. Cette spéculation a été amplifiée par les baby-boomers qui veulent renflouer leurs poches avant la retraite à l'extérieur de Mtl et pour supporter leur progéniture gauchiste dans ce marasme qu'ils ont laissé. Finalement, cette progéniture gauchiste manifeste quand elle n'a plus d'argent car ils n'ont évidement pas appris à se débrouiller seuls.

 

Ok, je me suis laissé emporter :)

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http://www.mtlblog.com/2015/02/montreals-saint-laurent-street-has-lost-160-stores/

 

Montreal’s Saint-Laurent Street Has Lost 160 Stores

 

Another area is turning into a ghost-town.

by Jeremy Hazan

February 11, 2015 · Comments 0

Montreal’s Saint-Laurent Street Has Lost 160 Stores

 

 

Photo cred – Martin Tremblay

 

If you’ve walked along St-Laurent recently you’ve probably noticed an unusually high amount of closed businesses. You can tell because they’ve been promptly spray painted by taggers who do not fear repercussions from the owners because, there are no owners.

 

According to La Presse, throughout the entire boulevard more than 160 store are closed, most of them being ground floor businesses. Between Sherbrooke and Mount-Royal alone, the busiest section of the boulevard, 47 store fronts remain unoccupied.

 

According to real estate brokers, there is no interest in the area. This is disturbing because it’s supposed to be one the busiest areas in the city, when you think of an area like St-Laurent Boulevard, you imagine a massive lineup of businesses fighting over each other to open a store front there. And yet in the area of little Italy where there are about 110 commercial locations, 10 remain unoccupied and real estate brokers predict that only 4 will rented out by the summer (if they’re lucky). Adding to the problem are the old businesses who are disappearing because they aren’t adapting to today’s consumer needs as well as the waves of taggers who cover the empty store front with graffiti which makes the area seem even more abandoned and undesirable.

 

Still it seems some owners aren’t worried and think the trouble is only temporary. Bruce Burnett who owns a number of store fronts says he’s fully booked since the start of February and the restaurant Aux Vivres has recently doubled in size.

 

So maybe things aren’t as bad as they seem, the Société de Développement du Boulevard Saint-Laurent (Society for the development of St-Laurent boulevard) claims that La Presse did not include in their calculations the number of closed store front that are still technically occupied or still under lease (but being kept closed until the market picks up so they can charge a higher rent), the buildings being renovated which will eventually be occupied, as well as the businesses that are in the process of being rented. They claim that when you factor this in, the level of occupation is actually better than it was in 2012.

 

Call it what you will, there’s no denying the area looks like a ghost town (remember Globe and Med?) And it’s not just St-Laurent, St-Denis is also gradually being abandoned.

 

Source

 

sent via Tapatalk

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L'article de Mtlblog est très mal présenté, par contre.

 

La Main n'a pas perdu 160 magasins. Ce n'est pas non plus dans un secteur de Montréal.

 

La Presse à compté 160 locaux vacants le long de la Main, du fleuve à la rivière. C'est à travers 5 arrondissements. Ce serait une perte de 160 locaux seulement s'il y avait 100% d'occupation, ce qui n'a probablement jamais été le cas sur toute cette longueur.

 

Selon la méthodologie de La Presse, ça fait quand même 88% de locaux occupés dans une des pires sections de la rue, à 88%, on est quand même loin de la ville fantôme, surtout que ce taux était plus bas il y a quelques années. Bien sûr, on et tous d'accord que ça devrait être mieux.

 

Ce qui est un peu dommage (en omettant absolument pas les problèmes des rues commerciales), c'est que le malheur des rues commerciales fait toujours plus les manchettes que lorsque les choses vont bien, et on a encore le même effet de spiral au niveau de la perception de rues commerciales. Par exemple, on ne parle jamais de Mont-Royal, ses nouveaux commerces et son taux d'occupation pas loin du 100%. Pourquoi ne pas parler de cette transformation positive? On empire encore plus la perception de ces rues en omettant certaines réalités. Le président de la SDC de la Main tente de se battre pour montrer le travail accompli des dernières années, mais ce n'est pas ça qui se ramasse dans les journaux, alors que c'est important pour un portrait juste.

Modifié par vincethewipet
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mais plutôt pour une baisse des taxes municipales par exemple.

 

Dans La Presse, Ferrandez parle de ce sujet:

 

http://www.lapresse.ca/actualites/montreal/201502/11/01-4843152-plateau-et-rosemont-vers-un-permis-pour-les-locaux-commerciaux-inoccupes.php

 

Loyers trop élevés

Luc Ferrandez reconnaît que Montréal doit revoir sa façon d'imposer les commerces. «Comme la valeur immobilière est élevée, la taxe est élevée, et comme la taxe est élevée, les rares commerçants qui seraient attirés dans ces locaux seraient complètement effrayés parce que ce sont eux qui payent les taxes.»

 

Le maire du Plateau croit toutefois qu'une partie du problème des locaux vacants vient des loyers trop élevés demandés, que les propriétaires refusent de réduire. «Le bail commercial détermine la valeur de l'immeuble. Si tu baisses ton bail commercial, tu baisses la valeur de ton immeuble. Ce sont des propriétaires qui possèdent des dizaines et des dizaines d'édifices commerciaux. S'ils baissent leurs baux, c'est leur richesse globale, leur capacité d'emprunt, qui vient de s'effondrer.»

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Ce qui est un peu dommage (en omettant absolument pas les problèmes des rues commerciales), c'est que le malheur des rues commerciales fait toujours plus les manchettes que lorsque les choses vont bien, et on a encore le même effet de spiral au niveau de la perception de rues commerciales. Par exemple, on ne parle jamais de Mont-Royal, ses nouveaux commerces et son taux d'occupation pas loin du 100%. Pourquoi ne pas parler de cette transformation positive? On empire encore plus la perception de ces rues en omettant certaines réalités. Le président de la SDC de la Main tente de se battre pour montrer le travail accompli des dernières années, mais ce n'est pas ça qui se ramasse dans les journaux, alors que c'est important pour un portrait juste.

 

Tu as tout à fait raison. Si on ne fait que lire les journaux on dirait que c'est le désert total sur le Plateau, que c'est Détroit !!! Alors que la réalité est tout autre. Il y a tellement de monde qui marche sur Mont-Royal que je me demande si l'idée d'élargir les trottoirs serait une bonne affaire.

 

Et la ''Main'' ne se porte pas si mal que cela. Peut-être qu'elle n'est pas à 100% comme le bon vieux temps mais à mon avis elle n'a qu'une bonne grippe qui dure !!! Avec quelques petits remèdes comme une petite baisse de taxe pour les commerçants, une hausse de taxe pour les locaux vacants, un ajustement des prix du stationnement et une augmentation de la densité du secteur....et ca devrait faire l'affaire !

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  • 2 semaines plus tard...

Deux articles sur le boulevard Saint-Laurent.

 

Voici le premier. Je trouve intéressant de savoir que le taux de survie des commerces sur Saint-Laurent, malgré tous les déboires, est le double de la moyenne québécoise! Comme quoi l'artère a toujours une bonne résilience quand on compare à tout le reste.

 

EXCLUSIF: Deux fois plus de commerces survivent sur la Main

 

Par Catherine Bouchard

TC Media

 

La réalité commerciale à Montréal n’est pas aussi sombre que dépeinte ces derniers temps, du moins, pour la portion du boulevard Saint-Laurent située sur le Plateau, entre la rue Sherbrooke et l’avenue du Mont-Royal. Dans une de ses périodes les plus difficiles,soit de 2008 à 2013, l’artère a enregistré un taux de survie de 68,5 % de ses commerces, selon des données obtenues par TC Media.

 

Rappelons que des travaux de la Ville-centre en 2008, qui se sont éternisés, avaient occasionnés plusieurs fermetures. La situation est toutefois moins dramatique qu’il n’y paraîssait, puisque plus de deux commerces sur trois sont toujours en affaires. En comparaison, la moyenne québécoise du taux de survie du commerce de détails au bout de cinq ans est de 34%. C’est donc deux fois moins que celui enregistré sur la Main.

 

Le journal Le Plateau a pris en compte dans son calcul uniquement les commerces ayant pignon sur rue, sur le territoire de la Société de développement du boulevard Saint-Laurent (SDBSL). Il faut aussi préciser que plusieurs entreprises étaient en affaires depuis plus longtemps que la période étudiée.

 

En 2008, un total de 295 entreprises louaient des espaces de rez-de-chaussée sur l’artère. Sur ce nombre, 202 sont toujours en affaires (68,5%). Parmi les 93 établissements ayant fermé boutique, on recense seulement sept bannières. En excluant celles-ci, puisqu’elles existent toujours, le taux grimpe à 70,8 %.

 

Beaucoup de travail à faire

 

Le directeur général de la SDBSL, Glenn Castanheira, se montre agréablement surpris par ces résultats.

 

«Ce sont des chiffres encourageants, compte tenu qu’il s’agissait d’une période très difficile, surtout avec les travaux. Je crois toutefois que l’expression à retenir, c’est « taux de survie ». Plusieurs enfants en Éthiopie survivent également. Ça ne veut pas dire qu’ils sont bien pour autant. Sur Saint-Laurent, nous avons principalement de petits commerces indépendants qui se battent becs et ongles pour survivre. Les marges de profits sont minces. Il faut les aider à s’en sortir, parce qu’eux, ils ne partent pas à l’étranger s’ils ne sont pas contents. Ils restent et sont des acteurs dans leur communauté. Même des établissements reconnus comme le Joe Beef (NDLR:Sur la rue Notre-Dame O.) sont à 21 jours de la faillite. Une mauvaise période de quelques semaines et c’est terminé», nuance M. Castanheira.

 

Données manquantes

 

Les statistiques n’étaient pas disponibles pour les sociétés de développement commercial (SDC) de l’avenue du Mont-Royal et de la rue Saint-Denis.

 

Dans le cas de la SDC Pignons rue Saint-Denis (SDCPSD), celle-ci n’existe que depuis 2010 et ne possède pas ce genre de données.

 

«Nous avons tenté d’obtenir les chiffres de l’arrondissement et de la Ville-centre, mais en vain. La seule statistique que nous détenons, c’est la moyenne provinciale, qui est de 20% de taux de survie au bout de cinq ans, pour tous les types d’entreprises», explique le directeur général de la SDCPSD, Joël Pourbaix.

 

Du côté de la Société de développement de l’avenue du Mont-Royal, un problème informatique en 2012 a causé la perte de données d’archives, rendant difficile d’évaluer avec précision le taux de survie des commerces, ces cinq dernières années.

 

«À Montréal, on manque de vision d’ensemble. Il est préoccupant que nous n’ayons pas cette donnée pour l’ensemble de la métropole. Comment peut-on évaluer la réalité commerciale du territoire, si on ne sait pas le pourcentage de commerces et d’entreprises qui sont toujours en vie après la période critique de cinq ans», questionne M. Castanheira.

 

Le directeur général de la SDBSL soutient que le taux de survie est un meilleur indicateur de performance économique que le taux d’inoccupation, souvent présenté, puisque des commerces peuvent déménager ailleurs dans la métropole, pour s’agrandir, par exemple. Ainsi, des rues peuvent afficher un taux d’inoccupation inquiétant, alors que d’autres affichent complet, mais le tout ne signifie pas que les entrepreneurs échouent pour autant.

 

Fermetures remarquées

•Soho

•Globe

•Bedo

•Pizzédélic

•Café Méliès

 

Ouvertures remarquées

•Big in Japan

•1861

•Appartement 200

•Majestique

•Mà Mobilier

 

http://journalmetro.com/local/le-plateau-mont-royal/actualites/727181/deux-fois-plus-de-commerces-survivent-sur-la-main/

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Voici le deuxième article, sur la provenance de la clientèle sur le boulevard Saint-Laurent.

Selon le sondage réalisé, seulement 9% de la clientèle se rend sur l'artère en voiture! Je me doutais bien que les gens à pied et en transport en commun étaient majoritaires, mais pas à ce point. Peut-être que l'échantillon était un peu atypique? En tout cas, ça met l'espace dédié à l'automobile sur cette rue en perspective. J'imagine qu'on peut voir l'augmentation de l'accessibilité automobile comme un moyen d'attirer une nouvelle clientèle, plutôt qu'un défi de rétention, devant ce constat.

 

Revoir l’accessibilité aux commerces

 

Par Catherine Bouchard

TC Media

 

Lorsque vient le temps de faire un bilan sur le commerce de détails, la provenance de la clientèle devient un enjeu. Un sondage réalisé par la firme Convercité et financé par la Société de développement du boulevard Saint-Laurent (SDBSL), sur le mode de transport utilisé par la clientèle et la satisfaction de ceux-ci à l’égard de l’accessibilité des commerces démontre que le plus grand taux d’insatisfaction provient des utilisateurs du transport en commun.

 

Alors que plusieurs commerçants ont décrié les mesures d’apaisement de la circulation mises en place par l’administration Ferrandez, les données récoltées démontrent que les consommateurs de la Main ne semble pas privilégier l’automobile dans leurs déplacements, puisque seulement 9% d’entre eux avaient utilisé ce moyen de transport pour accéder à l’artère. Selon ce sondage, les automobilistes se montrent aussi satisfaits à 80%.

 

L’étude de clientèle a été réalisée auprès de 300 personnes faisant leurs courses sur l’artère. Elle démontre que le plus grand taux d’insatisfaction provient des utilisateurs de l’autobus.

 

«En autobus, le taux d’insatisfaction est de 45%. Il y a beaucoup de problèmes avec le circuit 55, que ce soit les retards ou la fréquence des passages. Il faut améliorer l’accessibilité au boulevard par autobus. Il faut toutefois préciser que pour avoir une idée plus précise, il faudrait faire un sondage beaucoup plus vaste. Comme je le répète toujours, ça s’inscrit dans une politique de développement économique qui donnerait des outils aux sociétés de développement commercial pour utiliser leur plein potentiel», souligne le directeur général de la SDBSL, Glenn Castanheira.

 

Les consommateurs font leurs courses à pieds dans 68% des cas. La clientèle locale représente 46% de l’achalandage. Une partie des marcheurs sont des touristes de passage à Montréal.

 

Rappelons que Projet Montréal milite actuellement pour une amélioration du transport en commun et s’oppose aux coupes du maire Denis Coderre dans la Société de transport de Montréal (STM).

 

La conseillère d’arrondissement, Marie Plourde, mentionne que le projet I-Bus, qui devrait voir le jour en 2016 pourrait améliorer la situation de l’autobus 55.

 

«Avec son portable, il sera possible de planifier ses déplacements, ce qui risque de diminuer l’insatisfaction. Toutefois, s’il y a matière à augmenter la fréquence, ce pourrait être revu. Le problème sur Saint-Laurent, c’est que beaucoup de camions de livraison se stationnent en double, ce qui crée des ralentissements de circulation qui peut expliquer les retards», affirme Mme Plourde.

 

Verdissement et propreté: des enjeux

 

Les répondants se sont dit satisfaits de la sécurité du boulevard dans 90% des cas. Ils ont toutefois critiqué le manque de verdure et de propreté de la Main.

 

«Ça nous a surpris que les personnes sondées trouvent le boulevard sécuritaire, alors que nous avons des problématiques au niveau de la sécurité des piétons. La propreté, ce n’est toutefois pas surprenant et c’est vrai qu’il manque de verdure, mais ces deux questions sont des enjeux montréalais. Si on veut attirer des investisseurs et du talent, ça ne prend pas juste des déductions d’impôts, il faut que la ville soit belle. C’est la qualité de vie qui garde les gens talentueux dans une métropole», conclut. M. Castanheira.

 

Du côté de l’arrondissement, on mentionne que des sommes sont données annuellement aux sociétés de développement commercial pour le verdissement.

 

«Cette année encore, nous avons donné un montant à la SDBSL pour verdir le secteur. Ce n’est toutefois pas simple sur le boulevard, parce qu’on ne peut faire de saillis, c’est trop étroit. On œuvre toutefois avec les commerçants pour améliorer la situation sur les artères. La relation avec ces derniers a beaucoup changé depuis quelque temps. Nous obtenons une collaboration exemplaire», affirme Mme Plourde.

 

http://journalmetro.com/local/le-plateau-mont-royal/actualites/727217/provenance-de-la-clientele-de-saint-laurent/

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