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Tour des Canadiens 2 - 53 étages (2019)


MARTY

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Après le 13, voilà que le 4 et le 14 sont aussi surperstitieux?? Les chinois?

 

Oui en effet, les Chinois! C'est un groupe important d'acheteurs dans ce projet et le chiffre 4 sonne comme la mort dans leur langue. Il y en a des plus superstitieux que d'autres, à un point tel que certains édifices en Chine n'ont aucun étage qui contient le numéro 4 : 14, 24, 34, etc mais aussi tous les étages 40 à 49. Donc un édifice dont le plus haut étage est le 50è pourrait n'avoir que 36 étages physiques. La plupart du temps, ça ne va pas si loin cependant et c'est seulement l'étage no 4 qui est coupé (comme ici le 13).

Modifié par jerry
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Juste par curiosité: est-ce la même chose pour la TDC 1?

 

Et par extension: pourrait-on généraliser cet «usage» au Québec? -Juste pour faire parler de «nous» dans le monde entier, et d'attirer encore plus de Chinois (ou d'argent chinois) ici?

 

Mais j'y pense soudainement: que faire du numéro «4» du «Gros Bill»? (vraiment problématique):confused:

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Oui en effet, les Chinois! C'est un groupe important d'acheteurs dans ce projet et le chiffre 4 sonne comme la mort dans leur langue. Il y en a des plus superstitieux que d'autres, à un point tel que certains édifices en Chine n'ont aucun étage qui contient le numéro 4 : 14, 24, 34, etc mais aussi tous les étages 40 à 49. Donc un édifice dont le plus haut étage est le 50è pourrait n'avoir que 36 étages physiques. La plupart du temps, ça ne va pas si loin cependant et c'est seulement l'étage no 4 qui est coupé (comme ici le 13).

 

Le prix du condo a 444 444$ ne se vendra pas mais si le même condo est afficher a 555 555$ il va se vendre! Je vous le jure, j'ai déjà fait l'experience a l'époque ou je vendais des électros.

.

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Le prix du condo a 444 444$ ne se vendra pas mais si le même condo est afficher a 555 555$ il va se vendre! Je vous le jure, j'ai déjà fait l'experience a l'époque ou je vendais des électros.

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Si je comprends bien cette logique, on ne devrait pas parler de nos 4 saisons, pourtant bien marquées. Inutile aussi de les envoyer sur la ligne 4 du métro. Ils n'iront donc jamais sur les Iles, à la Ronde ou à Longueuil, ça pourrait peut-être leur porter malheur? On leur vendra aussi 3 ou 5 pneus d'hiver pour leurs voitures, autrement ils risqueront l'accident mortel...

 

On pourrait ainsi multiplier les aberrations, cependant ce ne sont pas les seuls peuples superstitieux ou aux croyances inusitées. Mais en tant que bon hôte, nous n'avons pas d'autres choix que de nous ajuster à leurs attentes, par des accommodements raisonnables ponctuels. C'est ce que les diplomates font tous les jours dans leurs missions internationales. A ce propos il faut voir le guide des Affaires Extérieures, véritable bible qui guide le personnel canadien entre les écueils et les pièges des cultures étrangères.

 

J'en ai déjà eu une copie du temps que j'élaborais notre système d'accueil pour recevoir les différentes délégations des pays participant aux Jeux de Montréal. Dans une moindre mesure Air Canada a toujours organisé des classes de sensibilisation culturelle à chaque fois que l'on ouvrait une route internationale vers un pays aux moeurs différentes. Ainsi on évitait d'avoir des comportements choquants pour nos clientèles étrangères. Je prends un exemple simple: pour une agent de bord pousser commodément un bagage à main pour le sécuriser sous le siège avant, gentiment avec un pied, est très mal vu par les asiatiques en général, tandis qu'il est à peine remarqué par un occidental.

 

On peut donc conclure que plus on s'ouvre aux étrangers, plus on doit devenir flexible et versatile dans nos rapports d'affaires. C'est donc au vendeur ou au prestataire de services de s'ajuster au client et non le contraire. Comme les chinois sont de plus en plus nombreux à nous visiter et à acheter, la seule façon de les séduire sera de connaitre et de tenter de respecter leur culture dans la mesure du possible. Comme on dit en affaires: money talks.

Modifié par acpnc
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Merde, ils peuvent bien être en train de ravager certaines espèces animales à cause de leurs croyances dans des remèdes miracles à base de couilles de ci et de cornes de ça.

 

Je suis bien pour respecter les traditions, mais misère, j'affirme le droit au respect de ma désapprobation totale!

 

Anyway, comme je dis toujours, c'est la hauteur en mètres qui comptent, pas le nombre d'étages! C'est ça qui détermine pour vrai l'impact sur la ville. Et la qualité de l'architecture aussi, mais ça c'est un autre débat....

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Si je comprends bien cette logique, on ne devrait pas parler de nos 4 saisons, pourtant bien marquées. Inutile aussi de les envoyer sur la ligne 4 du métro. Ils n'iront donc jamais sur les Iles, à la Ronde ou à Longueuil, ça pourrait peut-être leur porter malheur? On leur vendra aussi 3 ou 5 pneus d'hiver pour leurs voitures, autrement ils risqueront l'accident mortel...

 

On pourrait ainsi multiplier les aberrations, cependant ce ne sont pas les seuls peuples superstitieux ou aux croyances inusitées. Mais en tant que bon hôte, nous n'avons pas d'autres choix que de nous ajuster à leurs attentes, par des accommodements raisonnables ponctuels. C'est ce que les diplomates font tous les jours dans leurs missions internationales. A ce propos il faut voir le guide des Affaires Extérieures, véritable bible qui guide le personnel canadien entre les écueils et les pièges des cultures étrangères.

 

J'en ai déjà eu une copie du temps que j'élaborais notre système d'accueil pour recevoir les différentes délégations des pays participant aux Jeux de Montréal. Dans une moindre mesure Air Canada a toujours organisé des classes de sensibilisation culturelle à chaque fois que l'on ouvrait une route internationale vers un pays aux moeurs différentes. Ainsi on évitait d'avoir des comportements choquants pour nos clientèles étrangères. Je prends un exemple simple: pour une agent de bord pousser commodément un bagage à main pour le sécuriser sous le siège avant, gentiment avec un pied, est très mal vu par les asiatiques en général, tandis qu'il est à peine remarqué par un occidental.

 

On peut donc conclure que plus on s'ouvre aux étrangers, plus on doit devenir flexible et versatile dans nos rapports d'affaires. C'est donc au vendeur ou au prestataire de services de s'ajuster au client et non le contraire. Comme les chinois sont de plus en plus nombreux à nous visiter et à acheter, la seule façon de les séduire sera de connaitre et de tenter de respecter leur culture dans la mesure du possible. Comme on dit en affaires: money talks.

 

Remembering Pearl Harbor !

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