L'Économie du Québec

[MRG]

Je veux bien croire qu'on exagère parfois danse les commentaires au Canada anglais, Mais la Commission Charbonneau nous a démontre à quel point la corruption était bien installée au Québec, tant aux mairies que dans certaines officines syndicales. Nous verrons dans quelques semaines quelles répercussions auront eu les audiences de la Commission sur le fonds de la FTQ.

 

 

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[Habsfan]

BRAVO Mme Marois!!! Excellente décision. En espérant que cette étude pourra nous confirmer exactement combien de barils de pétrole cette réserve contient et ce que ça pourrait nous rapporter. Une fois que nous aurons les VRAIES réponses à ces questions, nous pourrons prendre une décision éclairée!

[mtlrdp]

So if there is so much potential oil on this site why isn't Exxonmobil, Shell, BP or even Suncor involved?

[acpnc]

J'imagine que les grosses pétrolières attendront des études plus sérieuses avant de s'avancer elles-mêmes. Pour le moment nous demeurons en pleine spéculation et hypothèses.

[Né entre les rapides]

Quelle étrange logique! On n'a pas encore décidé si on en veut, de l'exploitation pétrolière, mais on est prêt à investir des fonds publics pour déterminer s'il s'en trouve (en quantité suffisante), du pétrole sur Anticosti.

 

A moins que, la vérité soit qu'on en veuille, à condition que cela soit "rentable".

 

Ou encore à moins qu'on pense avoir trouvé un moyen de plaire aux "pro-pétrole" sans déplaire aux "anti-pétrole". Question de calcul. ce qui vaudrait bien quelques dollars...

 

Par ailleurs, on semble pouvoir emprunter le chemin des "partenariats", sans que cela n'évoque les fameux "PPP". Remarquable.

[YUL]

Excellent! Ça va nous permettre de valider l’efficacité des nouvelles redevances minières, et aussi de tester la législation environnementale pour le « fracking », dans un endroit faiblement peuplé (et où peu de chevreuils y possèdent un puits artésien …).

 

On va mieux y connaitre la réserve d’hydrocarbure, son coût d’extraction/transport/traitements et y faire une analyse économique appropriée.

 

En cas d’exploitation, un retour sur l’investissement de 61% est plutôt imbattable. (Versus les autres subventions/investissement gouvernemental actuel). En plus, 100% de cette production ira alors à faire diminuer notre déficit commercial (vis-à-vis nos amis du Moyen Orient…).

 

À peu de risque, et à faible coût, ça nous donne un benchmark afin de pouvoir prendre de meilleurs décisions (et législations) pour l’exploitation future de nos hydrocarbures.

[nephersir7]

 

À peu de risque, et à faible coût, ça nous donne un benchmark afin de pouvoir prendre de meilleurs décisions (et législations) pour l’exploitation future de nos hydrocarbures.

 

Le risque que le pétrole soit là, mais que l'extraction ne soit pas rentable est très réel.

 

Mais même si c'est le cas, et qu'on ne revoit jamais cet argent, le jeu en vaut la chandelle.

 

On a déjà vu du pire gaspillage de fonds publics. (les mini centrales et les éoliennes priveés qui produisent de l'électricité qu'Hydro-Quebec achète plus cher qu'elle la vend).

 

Ça, au pire, c'est du gaspillage qui va stimuler l'économie locale sans ruiner le reste du Québec à long terme.

[vivreenrégion]

On base les profits sur le prix actuel du pétrole, pas sur un prix 50% plus cher. Si le prix du gaz naturel monte, on ferait aussi là beaucoup de profit.

[acpnc]

Le plus gros risque est en effet au niveau du prix. Les puits conventionnels sont de plus en plus rares, entrainant des méthodes d'extractions plus couteuses et moins généreuses en pourcentage de matière produite au bout du processus. Quant au gaz il n'est pas près de remonter avec l'exploitation généralisée partout aux USA. En fait le virage énergétique américain vise l'autodétermination, qui aura pour conséquence d'ajouter d'énormes quantités d'hydrocarbure sur le marché, et qui à terme fera pression à la baisse sur les prix internationaux.

[WestAust]

Le Québec perd des emplois en février, le chômage monte

 

Le Québec a perdu 26 000 entre janvier et février, ce qui a entraîné une augmentation de 0,3 point de pourcentage du taux de chômage, qui s'établit désormais à 7,8 %.

 

 

Cette baisse de l'emploi succède à une légère tendance à la hausse amorcée en septembre 2013, souligne Statistique Canada dans son rapport mensuel publié vendredi.

 

 

La province a créé 2900 emplois à temps plein, mais a perdu 28400 postes à temps partiel au cours du dernier mois.

 

 

La population active de la province a par ailleurs diminué de 9600 entre janvier et février pour s'établir à 4,375 millions.

 

 

Au Canada, l'emploi a peu varié en février, et le taux de chômage s'est maintenu à 7,0 %

 

https://www.lesaffaires.com/bourse/nouvelles-economiques/le-qubec-perd-des-emplois-en-fvrier-le-chmage-monte/567005