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L'Économie du Québec


Habsfan

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Je dit un problème de génération par ce que franchement la génération qui est venue d'age dans les années 60s et 70s est responsable pour beaucoup des challenges que aux quels nous devons faire face.

 

Au niveau économique, politique j’espère qu'au fils des ans a suivres que les préoccupations des 40 dernières années vont disparaître (ces gens vont avoir un certain age disons). Pendent ce temps il y aura des décisions difficiles a prendre mais peut être la génération politique suivante aura la sagesse nécessaire pour les prendre (wishful I know). Décrochage, vieillissement de la population, debt/déficit, investissement prive (le manque de) ... pour moi c'est des gros enjeux mais personne en parle.

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Tu as raison, on préfère dire des conneries de bas étage, genre "le PQ c'est de la marde". "Legault, lui il connait ça" les libéraux sont les seuls qui sont capables..., bla bla bla. Ça ne m'encourage pas pour l'avenir. On n'est pas capable de réfléchir sur les questions importantes et de dépasser les intérêts partisans. Les partis politiques seront touts pris avec les mêmes problèmes et si personne ne les poussent à prendre des décisions difficiles, ils vont continuer de nous bourrer avec des slogans creux et des actions électoralistes.

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Le PQ n'a pas encore été réélu et on est loin d'un référendum gagnant. Bien qu'elle soit présidente de son partie, Pauline Marois n'est ni René Levesque ni Lucien Bouchard. Il n'y a pas de leader charismatique pour défendre la cause. Ce n'est quand même pas Jean-François Lisee qui fera courir les foules. La situation politique actuelle est trop incertaine pour garantir une victoire électorale pour le PQ ou le PLQ. Avant de s'alarmer sur de possibles conséquences d'un référendum, encore faut-il le gagner. Le PQ peut fort bien gagner les élections - ce que je peux convenir en tant que fédéraliste et libéral - mais la popularité de la cause de l'indépendance peut fort bien se mettre à piquer du nez. Tant qu'à faire, pourquoi ne pas voter majoritairement libéral au fédéral aux prochaines élections fédérales? Comme on dit en anglais, le tout aurait un air de "déjà-vu". On aime l'histoire au Québec, quitte à se répéter : "Je me souviens".

 

 

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T'inquiètes pas, la zizanie, c'est juste pour gagner les élections. Penses-tu vraiment qu'ils ont des chances de gagner un référendum? Voyons donc...

 

C'est pour ça que je pense que le PQ se dirige vers une autre stratégie vers la souveraineté. Il s'agit simplement de créer des conditions au Québec qui seraient inacceptables pour la Canada anglais. Un peu comme les "Intolérable Acts" qui ont (involontairement) conduit à la Révolution américaine, le PQ va essayer de passer des lois (comme la Charte dans son intégralité) qui vont aliéner le Québec aux yeux du ROC. Si le PQ avait été majoritaire, on aurait vu un resserrement de la loi 101, et combien d'autres lois ayant pour but de faire plaisir à sa frange plus radicale et à écœurer le ROC. Il y a bien des Canadiens qui n'aiment pas le Québec et qui ne nous aimeront jamais, mais il y en a aussi beaucoup qui tiennent fermement que nous restions avec eux au Canada. Cependant, plus il y aura de lois intolérables, et plus de Canadiens se diront que de nous garder au Canada n'en vaut simplement pas le prix. Conserver un marché plus ou moins captif pour les produits manufacturés en Ontario et le prestige d'avoir le territoire du Québec à l'intérieur de Canada ne vaudront peut être pas toutes les chicanes que provoqueront ces lois. Ça pourrait faire en sorte que le gouvernement fédéral autorise le Québec à quitter la fédération sans avoir à gagner un referendum (ou à tout le moins à créer des conditions de chicanes qui pourraient pousser temporairement le Oui à tout juste au-dessus du 50%, ce qui sera suffisant aux yeux du PQ même si c'est extrêmement fragile comme majorité).

 

Un PQ majoritaire n'a pas besoin d'une tendance lourde vers la souveraineté pour gagner, ils ont simplement besoin de provoquer une courte fenêtre d'opportunité et de se lancer dedans. Je ne suis pas certain que c'est comme ça que René Lévesque aurait voulu la souveraineté du Québec.

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L'hostilité, voire la haine que manifestent certains Canadiens-anglais à l'endroit des Québécois est parfois difficile à supporter, mais il n'est pas besoin d'aller bien loin pour se rendre compte que le Net foisonne d'énergumènes et de fêles. Je ne pense pas que le PQ puisse créer des conditions sans qu'on se laisse berner. Et puis, si le Québec doit un jour devenir indépendant, soit. Je n'ai pas l'intention de déménager. Je trouve cependant que ce serait une grave erreur, une sorte de repli sur soi, choisir de devenir des provinciaux plutôt que des citoyens du monde.

 

 

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Malheureusement, il y a trop de gauchistes qui font peur au québecois en leurs disant que Legault est la version québecoise du Parti Républicain américain! :rolleyes:

 

Et y'a trop de droitiste qui font croire aux Québécois que Québec Solidaire est la réincarnation du parti communiste cubain ou nord-coréen!;)

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Mining.com

Cecilia Jamasmie | February 11, 2014

Miners avoided Quebec last year, investments plunged 34%

 

Mining investments in Canada’s province of Quebec dropped significantly more than expected in 2013, plunging about 37% from a record year in 2012, and marking the first annual drop in a decade.

 

According to preliminary data released Tuesday by Quebec's provincial statistics agency, investments in the sector tumbled to $3.25 billion from $5.13 billion a year earlier, driven mainly by weak gold prices and softer demand in China and emerging markets.

 

The news shouldn’t come as a surprise for investors following the latest development in the east-central province.

 

Early last year, conservation group Canadian Boreal Initiative (CBI) published a poll results that revealed Quebec was turning hostile to mining.

 

And in December, think-tank Fraser Institute warned Quebec was quickly losing its edge as a consequence of mounting uncertainty over protected areas and environmental restrictions, as well as increased regulation and tax changes.

 

The province that ranked first worldwide from 2007 to 2010 as a desired mining destination, barely reached the 11th place out of 96 jurisdictions last year. In 2012, it was fifth.

 

More than 96% of the investments in 2013 went to Quebec's mining regions of Abitibi-Temiscamingue, the North Shore and Northern Quebec, which all experienced decreases ranging between 27% and 37%.

 

Gold stayed the most sought after metal, but its share in the total exploration expenditures for the province plummeted to 37% from 54% in 2011.

 

Yet authorities are optimistic, projecting an increase of 14% to $374 million in exploration and development projects. In 2013, both dropped 47% to $328 million.

 

Junior mining companies accounted for 65 per cent of all exploration expenditures last year.

 

Canada’s federal government is set to release results for all the other provinces in March.

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