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Expos de Montréal


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Il serait temps de se poser la question: qu'est-ce que (la) Pointe-Saint-Charles?

- Historiquement: réputé le second plus ancien quartier de la ville.

- Administrativement, c'est un quartier de l'arrondissement Sud-Ouest.

-  Sa superficie est d'un peu plus de quatre kilomètres carrés.  Population: près de 15,000 habitants.

- Ses limites administtratives actuelles ont été modulées par des infrastructures majeures de transport (canal Lachine et autoroute Bonaventure) et sa configuration a aussi été profondément affectée par les voies ferrées.  De plus, sa portion aux abords du fleuve Saint-Laurent est le '"fruit" de travaux de remplissage  qui se sont succédés sur plus d'un siècle.

- Sa portion résidentielle occupe environ la moitié de son territoire, essentiellement dans sa partie ouest (mais excluant les terrains "gagnés par remplissage); elle est coupée en deux par une voie ferrée surélevée.

- Le statut socio-économique des résidents est généralement faible, mais en contrepartie la cohésion communautaire est remarquablement forte.

Pourquoi poser cette question?

- Parce que des pans entiers du territoire sont convoités pour des redéveloppements majeurs.  Les aspirations des résidents actuels ne concordent guère avec les intentions des investisseurs.  Les premiers veulent des logements (à prix abordables) et des infrastructures locales (écoles etc.).  Les seconds veulent profiter de l'expansion du centre-ville en direction sud-ouest. Un projet de stade du côté sud du bassin Peel attire le gros de l'attention, mais d'autres secteurs sont/seront aussi concernés, par exemple le rivage sud du canal Lachine, ainsi que les terrains en bordure du fleuve Saint-Laurent qui "accueillent" présentement un segment de l'autoroute Bonaventure --qui pourrait être relocalisée plus au nord, probablement sous forme d'un boulevard urbain.

Pourquoi faut-il s'entendre sur une réponse?

- Parce que cela dictera dans une large mesure qui aura le dernier mot dans les choix d'aménagement des espaces libres.  S'il faut être plus explicite: est-ce que la décision revient exclusivement aux résidents actuels de PSC, ou à la Ville de Montréal dans son ensemble, ou encore à une combinaison des deux (=compromis)?

C'est le genre de question qui se pose présentement avec beaucoup d'acuité pour PSC, mais qui se pose aussi à chaque fois que des réaffectations d'usage sont proposées sur des parcelles de territoire d'une ville.

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Rays : l’espoir renaît à Tampa

essayer de convaincre les Rays d’évoluer à temps plein dans le comté de Hillsborough au-delà de la saison 2027, ce qui ne représenterait pas de bonnes nouvelles pour le groupe de l’homme d’affaires montréalais Stephen Bronfman.

Responsable de la politique et de l’engagement public à la Ville de St. Petersburg, Kevin King a indiqué au quotidien «Tampa Bay Times», par le biais de propos de l’administrateur du comté Mike Merrill, que sa municipalité n’était pas opposée à l’idée de voir Tampa et Hillsborough négocier avec les Rays. Pourtant, le projet de nouveau stade dans l’arrondissement d’Ybor City est mort dans l’œuf en décembre dernier et l’équipe du baseball majeur doit composer avec un bail l’obligeant à jouer au Tropicana Field de St. Petersburg jusqu’à la fin de la campagne 2027.

«Ce sont de bonnes nouvelles, a déclaré Merrill. Il s’agit de la nouvelle la plus positive ayant sorti depuis très longtemps.»

Un maire qui cache ses cartes

Ainsi, le maire de St. Petersburg, Rick Kriseman, pourrait avoir mis de l’eau dans son vin, lui qui avait d’abord écarté de nouveaux pourparlers avec les dirigeants de Hillsborough dont le siège est situé à Tampa.

Par ailleurs, l’administration de Kriseman avait aussi indiqué au journal local que les discussions relatives à la garde partagée des Rays avec les gens de Montréal ne constituaient pas une violation de son contrat et étaient purement à titre informatif. Ce scénario, aux yeux de la Ville, concernait l’après-2027 en dépit des déclarations du propriétaire du club, Stuart Strenberg, qui se disait prêt à aller de l’avant avec cette option dès 2024.

Aussi, d’après Merrill, la position de Kriseman pourrait avoir changé, et ce, malgré une relation tendue entre les divers intervenants.

«Peu importe, ça ne compte pas rendu là», a affirmé Merrill au sujet d’une conversation téléphonique houleuse qu’il avait eue avec le maire plus tôt cette année.

 

En attente

Pour sa part, la mairesse de Tampa, Jane Castor, est enthousiaste quant à la suite du dossier et se dit prête à «attendre patiemment» l’autorisation de son vis-à-vis de St. Petersburg pour reprendre les discussions.

«Voilà d’excellentes nouvelles. On envisage d’autres pourparlers avec le comté et les Rays. Nous pouvons collaborer afin que l’équipe continue de jouer ici à la maison, soit la région de Tampa Bay.»

Interrogé par le quotidien, le commissaire de Hillsborough, Ken Hagan, a confirmé son intention de contacter le club de baseball au terme de son parcours en séries éliminatoires. Son comté prioriserait la construction d’un stade dans le quartier d’Ybor City, tel que prévu au départ. L’an passé, le coût de construction était estimé à 1 milliard $.

Conséquemment, les Rays pourraient-ils jouer à temps plein à Tampa et laisser tomber Montréal? Hagan avait ceci à répondre.

«Certainement, oui», ajoutant qu’il espère convaincre Sternberg à cet égard.

Par ailleurs, les Rays n’ont pas commenté ces récentes informations au «Tampa Bay Times». La formation floridienne devait disputer mardi le quatrième match de la série de division de la Ligue américaine contre les Astros de Houston.

 

https://www.journaldemontreal.com/2019/10/08/rays--lespoir-renait-a-tampa-1

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Stade de baseball : Lucien Bouchard veut que Montréal réserve un terrain

PHOTO YVES TREMBLAY, LES YEUX DU CIEL

Lucien Bouchard voit d’un bon œil le retour d’une équipe du baseball majeur et le projet d’un stade de baseball au bassin Peel. L’ancien premier ministre du Québec demande à la Ville de Montréal d’aménager le quartier de façon à réserver au groupe de Stephen Bronfman le terrain qu’il convoite pour construire un stade de baseball.

Publié le 09 octobre 2019 à 5h00

https://www.lapresse.ca/affaires/201910/08/01-5244645-stade-de-baseball-lucien-bouchard-veut-que-montreal-reserve-un-terrain.php

Vincent Brousseau-Pouliot
La Presse

André Dubuc
La Presse

Le projet du retour d’une équipe du baseball majeur « pourrait procurer des retombées significatives pour Montréal et le Québec », écrivent dans une lettre commune Lucien Bouchard, qui est associé au cabinet d’avocats Davies, le PDG de la Banque Nationale Louis Vachon, ainsi que le PDG du Groupe Cirque du Soleil Daniel Lamarre. Cette lettre a été envoyée à l’Office de consultation publique de Montréal, qui mène des consultations actuellement sur l’avenir du quartier du bassin Peel.

Considérant les retombées, « il nous semble par conséquent important de permettre au Groupe Baseball Montréal de progresser dans ses démarches », écrivent les auteurs de la lettre.

Lucien Bouchard connaît bien le dossier du baseball majeur et d’un stade au centre-ville. À la fin des années 90, son gouvernement a décidé de ne pas investir de fonds publics pour financer la construction d’un nouveau stade au centre-ville. Les propriétaires des Expos voulaient que le gouvernement du Québec paie une partie du nouveau stade, dont le coût était évalué à environ 200 millions à l’époque.

Le gouvernement Bouchard estimait que le gouvernement du Québec ne devait pas financer le nouveau stade. Québec était alors en pleine lutte contre le déficit et cherchait à réduire ses dépenses, notamment en santé. Le ministre des Finances Bernard Landry avait démontré une certaine ouverture en privé à financer le stade des Expos, mais le premier ministre Lucien Bouchard avait finalement dit non.

Lucien Bouchard

Lucien Bouchard connaît bien le dossier du baseball majeur et d’un stade au centre-ville. À la fin des années 90, son gouvernement a décidé de ne pas investir de fonds publics pour financer la construction d’un nouveau stade au centre-ville.

« Le gouvernement ne peut intervenir dans ce projet », avait dit M. Bouchard en septembre 1998 pour expliquer la décision de son gouvernement. « Les retombées économiques et les gros salaires vont en bonne partie aux États-Unis. Les joueurs paient aussi beaucoup de leurs impôts au fisc américain. D’autre part, rien ne garantit que le plan d’affaires des Expos fonctionnerait après la construction du nouveau stade. Les promoteurs du projet reconnaissent eux-mêmes que des aléas pèsent sur la suite des choses. […] Nous souhaitons que les dirigeants [des Expos] poursuivent leurs efforts. Ils font des efforts considérables pour sauver l’équipe. Mais si des surplus budgétaires apparaissent, ils iront au réseau de la santé. C’était important de mettre cartes sur table afin que les Expos puissent prendre des décisions avisées. Notre position leur a été transmise clairement et directement. »

Un an après la décision du gouvernement du Québec, le marchand d’art américain Jeffrey Loria est devenu actionnaire de contrôle des Expos. Il a abandonné le projet de stade au centre-ville et a vendu l’équipe au baseball majeur en 2002. Les Expos ont déménagé à Washington après la saison 2004.

Subvention de l’État ?

S’ils semblent avoir un préjugé favorable au retour du baseball majeur à Montréal, M. Bouchard, M. Lamarre et M. Vachon ne se prononcent pas directement sur le projet. Dans leur lettre, ils n’abordent pas non plus la question de savoir si l’État doit subventionner directement ou indirectement l’équipe ou le stade.

« Monsieur Bronfman et son groupe devront, en temps et lieu, préciser tous les paramètres de leur projet de stade, consulter les parties prenantes et s’entendre avec les autorités gouvernementales appropriées pour obtenir les autorisations requises. Il ne nous appartient pas de spéculer sur la conclusion de ce processus ni d’exprimer une opinion sur le fond du projet à ce stade de son cheminement », écrivent-ils.

« Les membres du Groupe Baseball Montréal sont des citoyens engagés à l’égard du développement de Montréal, du respect de l’environnement, et ils seront soucieux d’assurer l’acceptabilité sociale de leur projet », écrivent Lucien Bouchard, Daniel Lamarre et Louis Vachon.

Pour construire un stade de baseball advenant le retour d’une équipe du baseball majeur, le groupe de M. Bronfman convoite un terrain de 900 000 pi2 appartenant au gouvernement fédéral. La Ville de Montréal a un droit de préemption sur ce terrain. En pratique, Ottawa et Montréal doivent donc se mettre d’accord sur l’acheteur et la vocation du terrain. L’évaluation municipale du terrain est de 6 millions de dollars, mais la valeur réelle du terrain varie plutôt entre 50 millions et 150 millions selon les changements de zonage autorisés.

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https://www.lapresse.ca/elections-federales/201910/17/01-5245838-stade-de-baseball-les-conservateurs-ne-ferment-pas-la-porte-au-financement-public.php

Stade de baseball : les conservateurs ne ferment pas la porte au financement public

Le prochain gouvernement fédéral financera-t-il la construction d’un stade de baseball au bassin Peel à Montréal ? Ou donnera-t-il le terrain appartenant au fédéral qui est convoité par le groupe de Stephen Bronfman ? S’il est élu pour former le gouvernement lundi, le Parti conservateur du Canada ne ferme pas la porte à ces deux possibilités.

Publié le 18 octobre 2019 à 7h00
VINCENT BROUSSEAU-POULIOT
LA PRESSE

« Nous reconnaissons que c’est un enjeu important pour plusieurs Montréalais et Québécois. Nous allons prendre en considération les points de vue de chaque groupe et analyser les différentes propositions avant de nous prononcer », a indiqué par écrit le Parti conservateur du Canada.

Cette position diffère de celle du gouvernement conservateur de Stephen Harper, qui avait toujours refusé de financer à même les fonds d’infrastructures les projets d’amphithéâtre ou de stade de sport professionnel. En vertu de cette politique, Ottawa n’avait pas participé au financement de l’amphithéâtre de Québec, inauguré en 2015, qui avait coûté 400 millions.

Depuis quatre ans, le gouvernement libéral de Justin Trudeau a maintenu la même politique de ne pas financer directement les insfrastructures de sport professionnel. S’ils sont réélus lundi, les libéraux continueront dans cette veine et ne financeront pas de projets de sport professionnel, y compris celui d’un stade de baseball au bassin Peel. « La réponse est non. Le premier ministre [Justin Trudeau] a été assez clair. Il n’y aura pas de subvention dans ce cas-ci », dit le candidat libéral David Lametti.

M. Bronfman est président du financement du Parti libéral du Canada depuis les élections fédérales de 2015. Dans ce poste bénévole, M. Bronfman « ne participe pas à la prise de décisions politiques », précise le Parti libéral du Canada.

Donner ou vendre le terrain ?

Ottawa aura une deuxième décision à prendre dans le dossier du stade de baseball : si le projet fonctionne, donnera-t-il ou vendra-t-il à sa juste valeur marchande le terrain convoité par le groupe de Stephen Bronfman ?

Pour construire son stade de baseball, le groupe de M. Bronfman convoite un terrain d’environ 700 000 pieds carrés appartenant à la Société immobilière du Canada (SIC), une société d’État fédérale. L’évaluation municipale du terrain est de 6 millions de dollars. Mais avec un changement de zonage qui permettrait de construire jusqu’à 4 millions de pieds carrés de bâtiments, le terrain vaudrait 140 millions, selon le promoteur immobilier Devimco, qui est associé avec le groupe de M. Bronfman pour construire autour d’un futur stade.

La SIC a-t-elle l’intention de donner son terrain ou de le vendre à sa juste valeur marchande (environ 140 millions) ? Sans faire de commentaire sur le terrain du bassin Peel, la SIC rappelle que « [ses] transactions se font de façon générale selon la valeur marchande d’un terrain ».

Habituellement, quand [elle vend] un terrain à un promoteur privé, [elle] le fait à sa valeur marchande. [Ses] transactions doivent être économiquement viables.

— Marcelo Gomez-Wiuckstern, vice-président des communications de la SIC

L’organisme fédéral précise être « une société d’État indépendante et autofinancée ».

« Le gouvernement ne participe pas aux activités quotidiennes [de la SIC] », indique l’organisme, qui possède le terrain du bassin Peel depuis que le gouvernement fédéral le lui a cédé (à la valeur marchande) en 2010.

Les libéraux de Justin Trudeau ont indiqué leur intention de laisser la SIC décider de l’avenir du terrain convoité par le groupe de M. Bronfman. « La décision appartient à la SIC, ils ont leurs critères, ils doivent décider [avec] le plan d’aménagement de la Ville de Montréal. [La SIC] prend des décisions indépendantes [du gouvernement] […] Ce n’est pas à nous de décider. Nous laissons la décision à la SIC. S’ils ne suivent pas leurs propres critères, c’est une autre affaire », dit le candidat libéral David Lametti, ministre fédéral de la Justice.

De son côté, le Parti conservateur du Canada veut « prendre en considération les points de vue de chaque groupe et analyser les différentes propositions avant de [se] prononcer » sur le dossier du terrain fédéral.

L’homme d’affaires montréalais Stephen Bronfman est à la tête du groupe de gens d’affaires voulant ramener une équipe du baseball majeur à Montréal. Advenant le retour d’une équipe du baseball majeur, le groupe veut construire un stade de baseball au bassin Peel. Le groupe de M. Bronfman n’a pas encore précisé quel type d’aide gouvernementale il pourrait demander.

Détail important dans ce dossier : la Ville de Montréal détient un droit de premier refus sur toute transaction concernant le terrain fédéral au bassin Peel. En pratique, Ottawa et Montréal doivent donc être d’accord sur l’utilisation du terrain pour qu’une transaction ait lieu. Montréal fait actuellement une consultation sur l’avenir de ce quartier. « Notre façon de fonctionner est de travailler avec toutes les parties prenantes, la Ville de Montréal, les voisins, les résidants, les groupes communautaires, pour comprendre leurs visions, dit Marcelo Gomez-Wiuckstern, vice-président des communications de la SIC. Nous avons une belle relation avec la Ville de Montréal et nous travaillons très bien ensemble. »

NPD, Bloc québécois et Parti vert

Chez les autres partis politiques fédéraux, le Bloc québécois et le Parti vert du Canada ne veulent pas utiliser de fonds fédéraux pour les infrastructures afin de financer la construction d’un stade de baseball à Montréal. Le NPD est « prêt à étudier » la possibilité de financer la construction du stade, même s’il a des « choses plus prioritaires en matière d’infrastructures », comme les logements abordables.

Pour le terrain fédéral, le NPD et le Parti vert du Canada estiment que le terrain en question doit être utilisé entièrement pour la construction de logements abordables, tandis que le Bloc québécois attend de voir la position de la Ville de Montréal sur l’avenir du quartier (p. ex. : le fédéral pourrait céder la partie pour des logements sociaux, mais demander la juste valeur marchande sur la partie du stade et de l’immobilier de luxe).

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Et dire qu'on avait l'emplacement idéal il n'y a pas si longtemps et que la traversée du désert de Montréal avait permis aux inénarrables Jardins Windsor de pousser comme de la mauvaise herbe.😭

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Il y a 23 heures, KOOL a dit :

Et dire qu'on avait l'emplacement idéal il n'y a pas si longtemps et que la traversée du désert de Montréal avait permis aux inénarrables Jardins Windsor de pousser comme de la mauvaise herbe.😭

Il faut se remettre dans le contexte pour comprendre qu'à l'époque on n'envisageait pas le retour en force des Expos à Montréal. On ne pouvait donc plus réserver ce terrain pour un hypothétique stade. Pendant ce temps on terminait le développement résidentiel de l'ancienne cour de triage qui coupait complètement le secteur en deux. 

Je me console donc en me disant que le Bassin Peel sera un excellent compromis à quelques rues plus au sud et desservi par le futur REM, si tout se passe comme souhaité.

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