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Étienne MC

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  2. Pas moins de cinq plaques indiquent l'intersection des rues Sherbrooke et Cuvillier, dans Hochelaga-Maisonneuve. Photo : Jacques Nadeau - Le Devoir 10 février 2014 17h39 | Marco Fortier | Le blogue urbain Bientôt à Montréal, des noms de rues faciles à lire Avez-vous déjà remarqué à quel point il est difficile de lire les noms de rue à Montréal? Les plaques blanches qui indiquent les noms de rue sont parfois cachées. Et tellement petites qu'il faut quasiment arrêter aux coins de rue, en voiture, pour les déchiffrer. La Ville de Montréal reconnaît le problème et compte le régler. Surtout que la population vieillit: 15,2% des Montréalais sont âgés de 65 ans et plus. D'ici 2026, cette proportion grimpera à un Montréalais sur cinq. Sans faire de bruit, la Ville a commencé un projet-pilote, rue Sherbrooke, pour créer des « plaques odonymiques » beaucoup plus grandes et aux couleurs vives. Pour que les jeunes et moins jeunes puissent les lire plus facilement. Pas moins de cinq plaques indiquent l'intersection des rues Sherbrooke et Cuvillier, dans Hochelaga-Maisonneuve. Une rouge, une bleue, une grise et deux blanches. Une de ces plaques mesure 200 mm par 750 mm — le format habituel — tandis que les autres, de plus grand format, font 300 mm par 1200 mm. « Entre vous et moi, il n'est pas toujours facile de trouver les noms de rue à Montréal. Nous tentons de déterminer un format, un type de lettrage et une couleur qui les rendront plus lisibles », explique Guy Pellerin, ingénieur en circulation et chef de division à la direction des transports de la Ville. Guy Pellerin et son équipe cherchent aussi à déterminer la hauteur optimale pour suspendre les plaques — environ 4,3 mètres pour une artère comme la rue Sherbrooke, comparés à 3 mètres et moins pour les petites rues. Les plaques doivent être visibles, mais pas trop: il faut aussi voir les feux de circulation, le mobilier urbain, les commerces, les arbres... Les tests, qui ont commencé en novembre dernier, se poursuivront encore plusieurs semaines, à d'autres intersections. Si tout va comme prévu, les plaques odonymiques « améliorées » s'intégreront au tronçon de 2 km de la rue Sherbrooke qui s'étire entre le boulevard Pie-IX et la rue Frontenac, qui sera entièrement reconstruit d'ici deux ans. Passages pour piétons D'autres mesures pour aider les personnes âgées sont en préparation. La Ville envisage d'allonger le temps de traversée pour les piétons à 1200 intersections, d'ici l'an prochain. Davantage de compteurs numériques seront installés pour indiquer le temps restant de traversée. La Ville compte aussi s'assurer qu'une zone de 5 mètres sera dégagée aux intersections, pour rendre la traversée des piétons plus sécuritaire.
  3. Québec veut faire du parc des Îles-de-Boucherville un tremplin pour le plein air Mise à jour le vendredi 24 janvier 2014 à 20 h 18 HNE Un texte de Marie-Laure Josselin Le gouvernement du Québec a annoncé vendredi un investissement de 8,2 millions de dollars sur trois ans dans le parc national des Îles-de-Boucherville, géré par la Société des établissements de plein air du Québec (Sépaq). Québec souhaite rendre plus accessible le parc aux citadins afin qu'ils sortent plus de Montréal et fassent l'initiation du plein air, a expliqué Marie Malavoy la ministre de l'Éducation, du Loisir et du Sport, et ministre responsable de la région de la Montérégie. Québec entend instaurer un transport maritime partant du coeur de Montréal, où un stationnement incitatif serait mis en place. Les navettes actuelles qui mènent au parc seront quant à elles maintenues. En 2011, le gouvernement avait déjà annoncé la construction d'un centre de découverte et l'arrivée du camping dans le parc. Cette fois-ci, ce sont une dizaine de nouvelles haltes découvertes qui vont être aménagées et qui s'ajouteront aux cinq déjà présentes. De plus, le bac à câble reliant l'île Sainte-Marguerite à l'île Pinard sera remplacé par un pont pour piétons et cyclistes. Autre nouveauté : le développement d'une offre originale d'hébergement. Il est en effet prévu d'installer des tentes de type prêt-à-camper, comme les Huttopia, et des EXP, des hébergements d'une pièce, avec beaucoup de fenêtres et entièrement équipés. Le concept de ces logements de la Sépaq est de les personnaliser selon les parcs dans lesquels ils sont implantés. Pour Martin Soucy, vice-président Exploitation à la Sépaq et responsable de Parcs Québec, cette expérience à proximité de Montréal servira de vitrine et permettra d'attirer les clients vers les autres parcs au Québec. La fréquentation du parc national des Îles-de-Boucherville a bondi de 133 % en une douzaine d'années. Chaque année, il attire quelque 320 000 visiteurs. Les retombées économiques sont de 28 millions de dollars. Au total, Québec entend investir 54 millions de dollars dans les parcs de la Sépaq d'ici 2016, ce qui devrait se traduire par l'embauche de 384 personnes et 10 millions de dollars en revenus fiscaux et parafiscaux. http://ici.radio-canada.ca/regions/Montreal/2014/01/24/002-quebec-investissement-8-millions-parc-iles-de-boucherville.shtml
  4. Le Centre sportif du Parc olympique entreprendra des rénovations majeures à l’automne 2013 À la fin du mois d’octobre 2013, le Centre sportif du Parc olympique entreprendra une rénovation majeure de ses installations. Par conséquent, vu l’ampleur et l’importance des travaux qui y seront réalisés, le Centre sera fermé complètement pour une période de douze à quinze mois, pouvant mener à la fin du mois de décembre 2014. Cette rénovation touche l’ensemble du Centre sportif et améliorera grandement l’expérience globale vécue dans nos installations. Elle comprend notamment : ◾La mise à niveau, selon les nouvelles normes FINA+, des bassins de compétition et de plongeon, assurant ainsi la position du CSPO à titre de plus grand centre aquatique au Québec, qui inclut : ◾Réfection des tours de plongeon et des tremplins, ◾Réfection du bassin d’assouplissement, ◾Réaménagement de tous les planchers des plages et des accès menant aux bassins, ◾Enlèvement des plateformes de plots de départ, ◾Construction de socles de béton pour supporter les plots de départ, ◾Installation d’un nouveau plancher mobile à hauteur variable dans le bassin de compétition, ◾Aménagement du bassin de compétition pour la tenue d’épreuves en 25 mètres. ◾Remplacement des systèmes de filtration de tous les bassins ◾Réfection de la pataugeoire (plages et accès, enlèvement de structures) ◾Mise à niveau et augmentation de la superficie dédiée à la salle d’entraînement ◾Aménagement d’une nouvelle salle multifonctionnelle ◾Réfection des vestiaires dits « humides » (douches, salles de bain, etc.) ◾Modernisation de l’aire d’accueil ◾Ajout d’un espace boutique, d’une aire de détente et d’une aire de restauration Un Centre sportif amélioré et à l’image de la relance du Parc olympique Ces rénovations permettront au Centre sportif de se refaire une beauté, de refléter la nouvelle image de marque du Parc olympique et ainsi, de témoigner de la relance que vit présentement le Parc olympique dans son ensemble. Il faut également rappeler que l’arrivée de l’Institut national du Sport du Québec au sein du Centre sportif du Parc olympique fera de celui-ci l’un des quatre grands centres d’excellence pour le sport de haut niveau au Canada. Ainsi, les rénovations majeures des installations du Centre sportif et l’arrivée de l’Institut réaffirment l’importance du quadrilatère du Parc olympique dans le support et le soutien à la pratique du sport, quel qu’il soit. Étant donné que la réalisation des travaux de rénovation du Centre sportif fait présentement l’objet d’appels d’offres publics, il nous est impossible pour le moment de confirmer la date exacte de fermeture. Dès que ce processus sera terminé et qu’un contrat sera octroyé, la date officielle de fermeture du Centre sera communiquée publiquement. Au terme de ces rénovations, le Centre sportif pourra offrir à ses membres des installations améliorées, de qualité et dignes du plus grand centre aquatique au Québec, et ce pour de nombreuses années à venir.
  5. Voici une compilation de photos que j'ai prises cette année à Montréal Je suis tombé par hasard sur la plupart des fresques, les photos ont donc été prises à l'improviste avec mon iPhone. Ça reste une qualité d'image de iPhone
  6. Publié le 10 septembre 2013 Marie-Eve Fournier La Presse (HALTON HILLS) Populaires aux États-Unis et jadis près des monts de ski du Québec, les regroupements de magasins d'usine à l'américaine (appelés outlet malls) sont de retour en périphérie de Montréal. Outre Tanger qui mise depuis peu sur Bromont et Saint-Sauveur, Mirabel accueillera l'été prochain le deuxième Premium Outlets du Canada. Le premier a ouvert ses portes le 1er août, près de Toronto. La Presse Affaires l'a visité. Les portes des magasins du Toronto Premium Outlets sont verrouillées. Normal, il n'est pas encore 10h. Mais les clientes, par dizaines, se mettent en file devant la boutique Coach et regardent les sacs à travers la vitrine. Y a-t-il des soldes hors de l'ordinaire aujourd'hui? «Non, j'ai lu sur le web que c'est toujours comme ça ici. Il y a une file chaque matin», répondent en choeur trois amies dans la quarantaine, elles-mêmes étonnées de faire la queue. Dans le reste du centre à aire ouverte, qui fait penser au Square du Quartier DIX30 à Brossard, des familles déambulent en attendant le déclic des serrures. Ces visiteurs, déjà nombreux, ne sont pas impatients de saisir les meilleures aubaines de leur vie. Ils pensaient, pour la plupart, que ça ouvrait plus tôt. Les détaillants sont pourtant tenus d'offrir des rabais allant de 25 à 65%... «Je veux juste voir les magasins Polo et Michael Kors. On n'en trouve pas ailleurs», dit Liz, attablée avec son mari et sa fille. Au kiosque d'information, quelques visiteurs achetaient pour 5$ un livret de coupons, une stratégie marketing typique des outlet malls américains pour convaincre les clients de rouler des dizaines de kilomètres. Car ces destinations de magasinage s'établissent loin des grands centres. Marché canadien Pour percer le marché canadien, Premium Outlets a ainsi choisi Halton Hills, une ville à une demi-heure de route (en dehors des heures de pointe) à l'ouest de la tour du CN. Les gros logos de Polo et de Gap sont bien visibles de l'autoroute 401. Mais tout autour, on ne voit que des champs et des granges. Peut-être pas pour longtemps: sur le terrain voisin, une grande pancarte à vendre indique «Prime Retail Opportunities». Le propriétaire espère visiblement profiter de la popularité de son nouveau voisin pour modifier la vocation de la terre. Les deux principaux propriétaires américains d'outlet malls, Tanger Factory Outlet Centers et Simon Property Group (dont les centres portent le nom de Premium Outlets), sont encore peu présents au Canada, avec un total de quatre propriétés. Mais les propriétaires des Toronto Premium Outlets, Simon et Calloway, en collaboration avec SmartCentres, construisent leur 2e centre au Canada. Situé à Mirabel et baptisé Montreal Premium Outlets, il sera aussi grand que celui de la région torontoise. Comparativement à Tanger, les Premium Outlets regroupent des marques plus haut de gamme, comme Burberry, Versace, Valentino et Prada. On ne retrouve pas de si grands noms aux Toronto Premium Outlets. L'offre y est néanmoins plus prestigieuse que celle des centres Tanger de Bromont et Saint-Sauveur, où l'on retrouve surtout des marques québécoises et des enseignes américaines moyen de gamme. Exclusivités La directrice générale des Toronto Premium Outlets, Megan Johnson, explique en entrevue qu'elle mise sur ses marques exclusives au pays pour convaincre les consommateurs de la région de faire le déplacement. «La Compagnie de la Baie d'Hudson a développé un nouveau concept de magasin juste pour nous, souligne-t-elle. Et Polo revient au Canada, après l'avoir quitté il y a peut-être 10 ans, grâce au Toronto Premium Outlets. Avoir de grandes marques est un gage de succès.» Embouteillages Jusqu'ici, la réponse des Ontariens dépasse les attentes, assure-t-elle, sans être en mesure de fournir des chiffres. Chose certaine, le jour de l'inauguration, on a pu voir à la télévision l'embouteillage qui s'est produit sur l'autoroute près de la sortie menant au Toronto Premium Outlets. Depuis, l'immense stationnement se remplit pratiquement tous les jours. Plusieurs résidants de la région nous ont d'ailleurs dit qu'ils attendaient une certaine accalmie avant de faire leur première visite. Grands amateurs d'outlets lorsqu'ils voyagent aux États-Unis, George et sa femme Maureen se sont précipités à ceux de Halton Hills. Ils ont été très déçus. «C'est plein de marques canadiennes qu'on retrouve dans les autres centres commerciaux de la région. On s'attendait à plus de noms américains.» Les Premium Outlets font aussi beaucoup de promotion auprès des voyagistes pour faire partie des circuits qu'ils organisent pour les touristes. Celui de Toronto, pas si loin de l'aéroport Pearson, comme le fait remarquer Megan Johnson, ne fait pas exception. Des rabais et divers avantages VIP sont offerts aux groupes de 15 personnes et plus. Le site web est d'ailleurs en 8 langues, dont le français, le chinois, le coréen et l'allemand. Des clients perplexes Nombreux depuis le début août, les clients continueront-ils d'être au rendez-vous pendant les saisons froides? Plusieurs se questionnent. «Que vont-ils faire pendant l'hiver? Ça ne pourra pas fonctionner. Je ne viendrais même pas un jour de pluie!» Liz croit que le centre aurait dû être entièrement couvert plutôt que partiellement. Une autre cliente prédit qu'elle viendra, mais seulement pour un ou deux magasins plutôt que de faire le tour. «Nous offrons une ambiance de magasinage dans la rue. Alors ce sera pareil comme magasiner dans une vraie rue l'hiver. Et les Canadiens sont capables d'en prendre!», croit la directrice générale des lieux, Megan Johnson, tout en rappelant qu'il y a des Premium Outlets dans d'autres villes au nord, comme Chicago, au New Hampshire et dans l'État de New York. Autre point soulevé par les clients: l'offre alimentaire. «Il n'y a pas de bonne nourriture. Je pensais qu'il y aurait un bar ou un restaurant pour mon mari, que ce serait une destination pour toute une journée», dit Chantal, étonnée, qui est repartie les mains vides. Tandis que les centres commerciaux (Galeries d'Anjou, Carrefour Laval) et le DIX30 misent de plus en plus sur la qualité de leurs restaurants pour allonger le temps de visite des consommateurs, le Toronto Premium Outlets ne comprend que cinq fast-food.»Nous misons plus sur la mode que sur le lifestyle [offre incluant des divertissements tels que cinéma, bars, spectacles, restaurants avec service aux tables]. C'est le positionnement de notre marque», justifie Megan Johnson. Le Premium Outlet de Mirabel sera situé près de l'autoroute 15 et du chemin Notre-Dame. ------------------- EN CHIFFRES 9: Nombre d'outlet malls inaugurés cette année en Amérique du Nord. Cela en fait le type de centre commercial en plus forte croissance. Source : Value Retail News ---------------- Tanger Factory Outlet Centers > 64 dans 26 États américains et au Canada (Bromont, Saint-Sauveur et Cookstown en Ontario) > 180 millions : nombre de visiteurs annuellement ----------------- Factoreries Tanger de Bromont (ex-Carrefour Champêtre Bromont) > 43 magasins > Superficie : 162 000 pi2 > Propriétaires : RioCan Real Estate Investment Trust et Tanger Outlet Centers ------------------ Factories Tanger Saint-Sauveur (ex-Factoreries Saint-Sauveur) > 28 magasins > Superficie : 116 000 pi2 > Propriétaires : RioCan Real Estate Investment Trust et Tanger Outlet Centers ------------------ Les Premium Outlets Copropriété de Simon Property Group, d'Indianapolis, et de Calloway REIT, l'un des plus importants fonds de placement immobilier au Canada. Premium Outlets de Montréal (à Mirabel) > 370 000 pi2 (première phase) > 80 magasins > Population dans un rayon d'une heure de route : 3 millions Toronto Premium Outlets > 358 000 pi2 > 85 magasins > Visiteurs attendus : 2 millions par année > Espaces de stationnement : 2200 > 5 restaurants de type fast-food > 1 foyer > 1 aire de jeux pour les enfants > Création d'emplois : 800 > Durée de la construction : 12 mois > Population dans un rayon d'une heure de route : 5,5 millions Premium Outlets dans le monde > 64 aux États-Unis > 1 à Puerto Rico > 9 au Japon > 2 en Corée du Sud > 1 en Malaisie, au Mexique et au Canada
  7. La grande roue sur le rendu sera l'oeuvre d'art intégrée au projet : Voici une perspective du boulevard Pie-IX vers le sud (à l'intersection de Henri-Bourassa bien entendu) :
  8. En attendant des développements dans les travaux, voici la liste exhaustive des rendus de chaque gare pour ceux qui ne les auraient pas déjà vues.
  9. - Complété à la fin de 2015 - Vise à prolonger le boulevard Maurice-Duplessis, entre la 87e avenue et le boulevard de la Rivière-des-Prairies - Aménagement d'une voie cyclable du côté nord du boulevard et de trottoirs de chaque côté de cette même artère - Assurer la circulation sécuritaire des cyclistes et des piétons à proximité de la future gare et du terminus d’autobus - Coûts de ces travaux évalués à 25 M$
  10. Cette gare n'existera pas! La carte n'est simplement pas à jour. Il s'agit de la gare Charlemagne mais elle a été rayée de la carte dans le projet du Train de l'Est pour des questions budgétaires... Si je ne me trompe pas les habitants de ce nouveau quartier devront se rendre jusqu'à la gare Repentigny pour prendre le train, car la gare Terrebonne est plus loin. Envoyé de mon iPhone avec Tapatalk
  11. Juste l'autre côté du pont Charles-de-Gaulle et à proximité des nouvelles gares de train de banlieue.
  12. Projet divisé en 13 phases de développement situé à proximité de la future gare Rivière-des-Prairies • Préservation et mise en valeur de milieux naturels et d'une zone de conservation de 72 500 m² • Conservation au maximum du couvert végétal existant lors de la construction des bâtiments • Chemins piétonniers et sentiers récréatifs en lien avec le parc-nature de la Pointe-aux-Prairies • Insertion de diverses typologies d’habitation • Uniformité visuelle des ensembles construits tout en évitant la monotonie • Enfouissement complet des réseaux câblés • Mobilier urbain propre au secteur
  13. Projet de 330 unités d'habitations de prestige unifamiliales, détachées et jumelées.
  14. - Prolongement de la rue Victoria entre les 53e et 64e avenues - À proximité du fleuve St-Laurent, d'une piste cyclable et d'un club de golf - À proximité de la future gare de train de banlieue - Stationnement souterrain dans le but de laisser plus de place à la verdure - Fils et câbles électriques souterrains par souci esthétique
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