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SLR Rive-Sud - Pont Champlain - Montréal


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Membres prolifiques

Envoyer des centaines d'autobus dans le centre-ville est un non sens.

Certains disent que ca va rallonger le temps de parcours si on doit debarquer du bus pour prendre le SLR.

 

Oui et non. Hors pointe je dirais que l'on peut perdre 5 minutes a 10 minutes max a sortir du bus et aller prendre le SLR.

 

Mais en periode de pointe le SLR va faire gagner beaucoup de temps car les bus sont bloqué dans les rues du centre-ville et la c'est beaucoup plus de 5 minutes a 10 minutes que l'on perd et pas seulement les usagers du bus les automobilistes aussi.

 

Juste le diesel qui se depensent pour parcourir le 10 kilometre de la sortie du pont au terminus du centre-ville. Et le temps de chauffeurs d'autobus et la pollution tout ca a un cout.

 

Les usagers du RTL doivent déjà transférer de bus hors-pointe : les lignes locales qui se rendent au centre-ville en pointe se terminent au terminus Panama hors-pointe, obligeant de transférer sur la ligne 45 (express Panama-centre-ville).

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Si en hors pointe on ne va pas directe au centre-ville alors cela ne nuit pas du tout de tranferer au SLR a Panama.

 

Je pourrai faire l'analogie avec le Transfert du terminal des bus de Henri-Bourassa a Montmorency quand on a rallongé la ligne a Laval.

Surement mieux comme ca, les bus parcourant moins de distance et le reste se fait en metro qui est a haute frequence .

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La première raison d'être du Pont Champlain est de relier le réseau autoroutier de l'île de Montréal à celui de la Rive-Sud: essentiel pour le transit des très nombreux camions, et souvent la meilleure option pour les déplacements en automobiles pour les origines-destinations(O-D) hors du centre-ville.

 

Pour ce qui est des O-D impliquant le centre-ville, qui devraient de préférence être faites en empruntant le transport en commun (donc le SLR proposé), il existe d'autres instruments (de politique) pour contrer l'attractivité du mode automobile; au premier chef je pense au stationnement, dont la tarification pourrait être significativement accrue: pas assez pour décourager le tourisme, mais suffisamment pour faire pencher la balance en faveur du TEC dans le cas de la grande majorité des navetteurs. Ainsi, on obtiendrait deux résultats positifs à la fois: 1) fluidité des déplacements commerciaux et des O-D hors centre; et 2) réduction de l'encombrement de véhicules au centre-ville.

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  • 1 mois plus tard...

Pas d'annonce (s'il y en a) avant fin 2016 selon Sabia.

 

http://www.ledevoir.com/economie/actualites-economiques/458691/michael-sabia-faire-aussi-bien-en-2016-qu-en-2015

 

Depuis l’adoption en juin dernier du projet de loi l’autorisant à réaliser de grands projets d’infrastructures au Québec, CDPQ Infra se penche sur la faisabilité de ces deux projets qu’elle piloterait du début à la fin, assurant le financement, la réalisation ainsi que l’exploitation. Les évaluations se poursuivent, mais certains détails pourraient être divulgués vers la fin de 2016. Entre-temps, l’investisseur institutionnel devrait déployer un processus de consultation auprès des intervenants concernés, comme les municipalités, ce qui ne s’annonce pas de tout repos. « C’est ma préoccupation principale, souligne M. Sabia. Est-ce que nous serons en mesure de dégager des compromis entre les intérêts de tous les maires et municipalités pour nous donner la marge de manoeuvre pour faire quelque chose ? »
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Le problème à Montréal c'est que la région de Montréal ne fait pas un tout. C'est plein de juridictions indépendantes, il faut les consulter à chaque fois. Nous devrions passer un projet de lois qui rendrait la métropole une seule et unique entité qui décide de tout sans avoir à demander la permission. Nous ne pourrons jamais passer au niveau supérieur s'il faut à chaque fois avoir l'accord de tout le monde, ce qui peut prendre des années. J'espère qu'un jour nous verrons la région de Montréal comme 1 seule ville de 4.2M d'habitants qui décide de son développement, comme à Melbourne. Faut arrêter de toujours consulter la population, si faut qu'on passe le SLR dans ta cour, bin c'est là qu'il va passer. Le développement d'une métropole intemporelle ne peut pas se faire ralentir par quelque chose de temporaire. Les petites villes de la CMM ont trop de pouvoir.

Modifié par vivreenrégion
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Le problème à Montréal c'est que la région de Montréal ne fait pas un tout. C'est plein de juridictions indépendantes, il faut les consulter à chaque fois. Nous devrions passer un projet de lois qui rendrait la métropole une seule et unique entité qui décide de tout sans avoir à demander la permission. Nous ne pourrons jamais passer au niveau supérieur s'il faut à chaque fois avoir l'accord de tout le monde, ce qui peut prendre des années. J'espère qu'un jour nous verrons la région de Montréal comme 1 seule ville de 4.2M d'habitants qui décide de son développement, comme à Melbourne. Faut arrêter de toujours consulter la population, si faut qu'on passe le SLR dans ta cour, bin c'est là qu'il va passer. Le développement d'une métropole intemporelle ne peut pas se faire ralentir par quelque chose de temporaire. Les petites villes de la CMM ont trop de pouvoir.

 

Pour des raisons politiques il n'y a pratiquement aucune chance que cela arrive, car le poids démographique de la nouvelle ville représenterait plus de la moitié de celle du Québec. Je ne vois pas le gouvernement provincial créer une entité qui pourrait ensuite menacer son pouvoir et contrecarrer son action. Au mieux on fera un jour comme le GTA de Toronto + ou - 5 entités réparties en plusieurs villes. https://fr.wikipedia.org/wiki/Grand_Toronto#/media/File:Greater_toronto_area_map.svg

 

Dans ce cas, seule la logique politique peut prévaloir en divisant pour régner, parce qu'il n'y aurait pas de contrepoids suffisant pour éviter une érosion du pouvoir provincial au profit de la métropole. On en parlait déjà du temps de Drapeau. C'est peut-être là où les feux rouges se sont d'ailleurs allumés. Car le monsieur était tellement populaire que les gouvernements du Québec et même d'Ottawa, essayaient de le satisfaire pour ne pas qu'il fasse trop de vagues. Pourtant à cette époque il y avait bien plus de villes dans la région métropolitaine qu'aujourd'hui. Mais la popularité du maire dépassait largement les frontières de sa ville.

 

On peut donc comprendre que si on avait une ville unifiée, qu'on donnerait un pouvoir démesuré à un seul maire, ce qui reviendrait à pratiquement lui donner un droit de véto au Québec. Donc oublions cette éventualité, car aucun gouvernement n'est intéressé à se faire hara-kiri.

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Pour des raisons politiques il n'y a pratiquement aucune chance que cela arrive, car le poids démographique de la nouvelle ville représenterait plus de la moitié de celle du Québec. Je ne vois pas le gouvernement provincial créer une entité qui pourrait ensuite menacer son pouvoir et contrecarrer son action. Au mieux on fera un jour comme le GTA de Toronto + ou - 5 entités réparties en plusieurs villes. https://fr.wikipedia.org/wiki/Grand_Toronto#/media/File:Greater_toronto_area_map.svg

 

Dans ce cas, seule la logique politique peut prévaloir en divisant pour régner, parce qu'il n'y aurait pas de contrepoids suffisant pour éviter une érosion du pouvoir provincial au profit de la métropole. On en parlait déjà du temps de Drapeau. C'est peut-être là où les feux rouges se sont d'ailleurs allumés. Car le monsieur était tellement populaire que les gouvernements du Québec et même d'Ottawa, essayaient de le satisfaire pour ne pas qu'il fasse trop de vagues. Pourtant à cette époque il y avait bien plus de villes dans la région métropolitaine qu'aujourd'hui. Mais la popularité du maire dépassait largement les frontières de sa ville.

 

On peut donc comprendre que si on avait une ville unifiée, qu'on donnerait un pouvoir démesuré à un seul maire, ce qui reviendrait à pratiquement lui donner un droit de véto au Québec. Donc oublions cette éventualité, car aucun gouvernement n'est intéressé à se faire hara-kiri.

 

Je ne vois pas où est le problème d'avoir la moitié de la population. Le Toronto urbain fait 7M donc déjà plus de la moitié de l'Ontario. Il faut arrêter de penser en terme de province. Melbourne fait plus de 75% de la population de l'état de Victoria. Faut pas virer parano, tout le monde sait que les banlieues de Montréal sont francophones. Si le gouvernement a peur de quelque chose, qu'ils passent des lois pour empêcher que ça dérape. La région de Montréal devrait avoir le statut de métropole et devrait pouvoir décider de ce qu'elle veut à l'intérieur de son territoire. Les dirigeants sont quand même au courant qu'il y a autant de gens à l'extérieur du Grand Montréal qu'à l'intérieur, et les projections semblent tenir ce ratio de 50/50 pour encore au moins 30 ans. Les petites villes ne désirent rien d'autre que d'avoir un meilleur accès à la métropole, comme St-Hyacinthe et Drummondville.

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Montréal cause de la jalousie (et parfois de la peur) aux autres régions. S'il fallait que Montréal soit de façon politique une entité de 4,2 millions d'habitants, avec le pouvoir et l'influence d'une région métropolitaine de cette taille, ça crierait très for dans les régions et dans la ville de Québec. C'est ridicule, mais c'est comme ça. C'est comme des joueurs de hockey qui se plaindrait que la super-vedette du club obtient trop de temps de glace par rapport aux autres. Si le Québec veut gagner la partie, il faut donner plus de moyens à notre joueur de concession, pas essayer constamment de ménager les sensibilités de tous et chacun. On joue dans les ligues majeures, pas dans une ligue de garage pour enfants.

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Montréal cause de la jalousie (et parfois de la peur) aux autres régions. S'il fallait que Montréal soit de façon politique une entité de 4,2 millions d'habitants, avec le pouvoir et l'influence d'une région métropolitaine de cette taille, ça crierait très for dans les régions et dans la ville de Québec. C'est ridicule, mais c'est comme ça. C'est comme des joueurs de hockey qui se plaindrait que la super-vedette du club obtient trop de temps de glace par rapport aux autres. Si le Québec veut gagner la partie, il faut donner plus de moyens à notre joueur de concession, pas essayer constamment de ménager les sensibilités de tous et chacun. On joue dans les ligues majeures, pas dans une ligue de garage pour enfants.

Et le poids démographique de Montréal ne va aller qu'en augmentant. L'urbanisation est une tendance mondiale lourde. Le pourcentage de la population en dehors des quatre centres urbains que sont les régions de Montréal, Québec, Sherbrooke et Trois-Rivières périclite de façon continue.

 

 

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