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  1. Trois nouveaux projets de piétonnisation à Montréal La Presse | Publié le 17 janvier 2017 à 14h33 | Mis à jour à 14h33 Trois nouveaux projets de rues piétonnes feront leur apparition l'été prochain à Montréal. Les rues Saint-Ambroise et Atwater (Sud-Ouest), Roy (Plateau) et Wellington (Verdun) seront désormais dédiées aux piétons plutôt qu'aux voitures. Le projet du Sud-Ouest vise à aménager un espace de détente aux abords du Marché Atwater. Dans le Plateau, la rue Roy sera convertie entre Coloniale et de Bullion afin d'accueillir un marché public ainsi que des bacs pour effectuer de l'agriculture urbaine. Verdun misera quant à elle sur la thématique de la plage, rappel du projet de l'arrondissement qui aménagea un nouvel accès au fleuve non loin. Pour valider le choix de ces aménagements, ceux-ci seront implantés sur une base temporaire pour les deux premières années, puis permanente à partir de la troisième. Ces conversions s'inscrivent dans le cadre du programme de piétonnisation qui cherche à améliorer la vie de quartier, programme à travers lequel neuf rues ont déjà été transformées depuis 2015. À l'heure actuelle, Montréal compte un total de 45 rues piétonnes sur une base permanente ou saisonnière.
  2. C'est devenu un symbole de Montréal, la Place Ville-Marie a 50 ans cette année. Et même si l'achitecture contemporaine nous a laissés des horreurs, ce gratte-ciel est une beauté classique qui vieillit bien. La Place Ville-Marie marque aussi la naissance du Montréal moderne. Visite guidée avec Anne-Louise Despatie. Patrice Roy parle de l'architecture montréalaise avec l'architecte Philippe Lupien. http://www.radio-canada.ca/emissions/telejournal_18h/2011-2012/Reportage.asp?idDoc=205732&autoPlay=http://www.radio-canada.ca/Medianet/2012/CBFT/2012-03-02_18_00_00_tj18h_1958_05_500.asx
  3. WE ARE ALL USE TO THE SUNGLASSES BEING A TRADEMARK FOR THE GREAT ROY ORBISON...WELL HERE'S A PHOTO THAT SHOWS HIS PEEPERS!! Roy Orbison in 1960 without his trademark sunglasses
  4. Réaménagement des rues Laurier, Rachel et Roy Radio-Canada.ca Mise à jour le lundi 21 juin 2010 à 15 h 48 Le parti Projet Montréal, au pouvoir à la mairie d'arrondissement du Plateau Mont-Royal, annonce des mesures qui modifieront les secteurs des rues Laurier, Rachel et Roy, à l'est du boulevard St-Laurent. Ces mesures visent à améliorer la sécurité des citadins qui empruntent ces rues à pied ou à vélo. De plus, ces mesures auront un impact sur la circulation automobile. Le maire d'arrondissement Luc Ferrandez a annoncé que : * La rue Laurier Est deviendra sens unique vers l'Est entre le boulevard St-Laurent et la rue de Mentana (elle est à double sens sur ce tronçon actuellement). De plus, la chaussée sera rétrécie à la hauteur du métro et d'autres rues changeront de sens pour apaiser la circulation automobile dans ce secteur. * La rue Rachel sera entièrement réaménagée au carrefour des avenues du Parc-La Fontaine et Christophe-Colomb de même qu'à l'intersection avec la rue De La Roche. * Enfin, le sens de plusieurs rues sera changé dans le secteur de la rue Roy Est, entre les rues Saint-Denis et Saint-Hubert Un quartier risqué à pied... Chaque année sur le Plateau Mont-Royal, une trentaine de piétons et de cyclistes sont victimes d'accidents de la circulation. Au kilomètre carré, il s'agit du taux le plus élevé sur l'île de Montréal. Par tranche de 100 000 habitants, le Plateau Mont-Royal occupe le second rang de ce triste palmarès sur l'île de Montréal, avec 232 blessés, chaque année. Richard Bergeron, chef de Projet Montréal, conseiller de Jeanne-Mance et responsable de l'urbanisme au comité exécutif de la Ville de Montréal, affirme que les résidents du Plateau réclamaient semblables mesures depuis plus de 20 ans. Nous redonnons à des rues qui n'avaient pas été faites pour le transit leur caractère résidentiel ou leur calme. — Le maire de l'arrondissement Plateau Mont-Royal, Luc Ferrandez L'arrondissement compte rediriger la circulation automobile vers les artères et l'éloigner des rues où se trouvent des Centres à la petite enfance et des écoles. Les travaux seront exécutés d'ici le printemps 2011. En ce qui a trait à la rue Laurier, elle sera modifiée à compter du mois d'août. La mairie d'arrondissement n'a pas indiqué combien coûteraient ces interventions.
  5. Roy d.g. et entraîneur de l'Avalanche? Dimanche 24 mai 2009 RDS.ca La saga Patrick Roy continue d'alimenter les rumeurs. Cette fois, il semble que Pierre Lacroix aurait fait tout une offre à l'ancien gardien de but. Selon ce que rapporte le journaliste Martin Leclerc sur le site Ruefrontenac.com, Roy aurait reçu une offre pour agir à titre de directeur général et entraîneur-chef de l'Avalanche. Toujours selon Ruefrontenac.com, Roy aimerait compter sur les services de son ancien coéquipier Sylvain Lefebvre et de l'actuel entraîneur-chef des Voltigeurs, Guy Boucher, pour l'appuyer derrière le banc. Rappelons que Boucher a affirmé à notre collègue Stéphane Leroux samedi, qu'il avait six offres sur la table mais qu'aucune décision n'était prise. Ni Roy ni Boucher n’ont pu être rejoints pour commenter.
  6. Loto-Québec se joue du ralentissement Publié le 29 janvier 2009 à 06h22 | Mis à jour à 06h25 (Montréal) Pendant que les grandes capitales du jeu comme Las Vegas, Atlantic City et Macao sont désarçonnées par les secousses de l'économie, Loto-Québec n'a pas perdu pied. Visiblement, les Québécois continuent de tenter leur chance. Selon des données fournies à la demande de La Presse Affaires, le chiffre d'affaires regroupé des casinos de Montréal, Lac-Leamy (Gatineau) et Charlevoix est de 193 millions de dollars, un résultat légèrement supérieur par rapport aux années précédentes. Les casinos ont enregistré de tels revenus en dépit d'une baisse de la clientèle dans les trois maisons de jeu. Loto-Québec attribue cette baisse à une refonte des promotions visant les visiteurs par autobus. Le total des visiteurs est passé sous la barre des 2,3 millions au cours de la période, un total moins bon que celui des quatre dernières années pour ce trimestre. Les casinos de la société d'État avaient notamment attiré 2,7 millions de personnes au cours des trois derniers mois de 2006, et 2,65 millions l'an dernier (sur une période exceptionnelle de 14 semaines au lieu de 13). Le Québec à l'abri Reste que la stabilité du chiffre d'affaires rassure Loto-Québec. «Le Québec ne vit pas les bouleversements que vit actuellement l'industrie mondiale des casinos», constate Jean-Pierre Roy, directeur des relations de presse de la société d'État. Vers la fin de 2008, des analystes faisaient pourtant état d'un des pires déclins de l'histoire des casinos. En octobre seulement, les casinos de Las Vegas ont rapporté une baisse de 26% de leurs revenus de jeu par rapport à l'année précédente. «Il y a moins d'argent dans l'économie, donc moins d'argent à jouer, c'est aussi simple que cela», a expliqué à La Presse Affaires le directeur du Centre de recherche sur le jeu de l'Université du Nevada à Las Vegas, David Schwartz. Il faut dire que les grandes capitales du jeu sont des destinations touristiques en soi, ce qui implique souvent des dépenses de transport, d'hébergement et de location. Pour plusieurs clients, le jeu n'en vaut plus la chandelle. Ainsi, en septembre 2008, Las Vegas a accueilli 10% moins de visiteurs qu'un an plus tôt. Pierre Martel, joueur de poker et président de Gestion Poker Tour, revenait d'ailleurs de Vegas quand La Presse Affaires l'a joint. «Plusieurs endroits ont baissé leurs prix d'entrée de tournois. Il y a moins de joueurs, les grands casinos s'ajustent.» Sauf que les prix remis aux gagnants sont moins intéressants. Mais il y a un avantage. «Les casinos commencent à être un peu plus dynamiques sur les prix des chambres par exemple, note M. Martel. Il va y avoir un réajustement pour cela.» Loteries: ce n'est pas le nirvana Pendant que les casinos souffrent, les ventes de loteries se maintiennent. Elles augmentent même dans la moitié des États américains. Au Québec, les ventes de loteries ont légèrement diminué au troisième trimestre de 2008. De 477 millions en 2007 (montant ramené sur une période de 13 semaines), elles sont passées à 453 millions cette année. Selon Loto-Québec, cela ne permet pas de prouver que la situation économique affecte ses revenus, d'autant plus qu'il est hasardeux d'analyser les revenus sur une période trimestrielle en raison de la variation des gros lots, souligne Jean-Pierre Roy. Or, les revenus des neuf premiers mois de 2008 étaient assez stables, note M. Roy. «On n'exclut pas que la situation économique puisse avoir un effet, mais les chiffres semblent nous montrer que ce n'est pas le cas, dit le porte-parole. Nous pensons que le client a des choix budgétaires à faire, mais que la loterie ne fera pas partie de ses premières coupes, car elle amène la possibilité, même faible, de gagner une grosse somme d'argent.» «D'un autre côté, des gens me disent que ce doit être le nirvana pour les loteries, en raison de l'espoir des clients d'améliorer leur situation, ajoute M. Roy. Ce n'est pas le cas non plus.» Impact de la crise Selon Claude Boutin, psychologue au Centre québécois d'excellence sur la prévention et le traitement du jeu de l'Université Laval, il n'existe pas d'études spécifiques sur la consommation de jeux de hasard en période économique. Mais on peut émettre certaines hypothèses, selon lui. «En général, on pourrait s'attendre qu'une population qui n'est pas à haut risque diminue sa consommation», dit-il. Il faudra analyser les résultats de Loto-Québec sur toute la période de la récession pour voir si cette hypothèse se confirme ou non. Pour l'instant, il faut s'en tenir à la réponse négative
  7. Suddenly, we're not looking so green By MONIQUE BEAUDIN December 10, 2008 Statscan study humbles Quebecers. Many of us recycle, but few are composting Quebecers like to think they're more environmentally conscious than other Canadians, but we have some work to do when it comes to simple changes like switching to low-energy light bulbs, Statistics Canada says. A new study looked at six environmentally active behaviours: recycling, composting, using a low-flow showerhead, using reduced-volume toilet, using compact fluorescent light bulbs and lowering the temperature on programmable thermostats when members of the household are asleep. Just over half of Quebecers said they have done two or three of those six, but only 35 per cent of us have done most or all of them. Quebecers lagged far behind on composting - only 14 per cent of us do it, compared with 31 per cent in British Columbia and 92 per cent in Prince Edward Island, where composting is mandatory. About one-third of us use reduced-volume toilets, and not even half of Quebecers use the more energy-efficient light bulbs - compared with 65 per cent of people in B.C. and Ontario. On the plus side, 95 per cent of Quebecers with access to a recycling program actually recycled (still the second-lowest result for all of Canada) and 59 per cent use low-flow showerheads, which puts us in second place in that category. For a province dubbed the "conscience of Canada" on climate change by former U.S. vice-president Al Gore, and praised by David Suzuki for reducing greenhouse gas emissions for three years running, yesterday's results aren't exactly good news. "At first glance, it is a little bit depressing," said Marie-Ève Roy, a spokesperson for the environmental group Équiterre. "It reminds us that it is a challenge to transform people's interest into concrete action on a daily basis." The information Statistics Canada used is from 2006, and Roy said she expects the next study like this to have much better results. Since 2006, Quebec has announced tough targets for reducing greenhouse gas emissions, instituted a carbon tax, set the goal of five-per-cent ethanol levels in gasoline by 2012, and announced plans to implement tougher standards for vehicle emissions between 2010 and 2016. In 2006, Hydro-Québec also began offering rebates to people switching to compact fluorescent light bulbs. This year, Hydro-Québec added a rebate program for programmable thermostats. But governments and environmental groups still have a lot of work to do, Roy said, including improving access to public transit, establishing the necessary infrastructure for large-scale kitchen-waste composting, and putting a price on water consumption. "As soon as you put a price on those resources, that helps people understand the impact of each of their behaviours," she said. When people see that turning down the thermostat at night before going to sleep reduces their electricity bill, that helps them understand the effect they can have on the environment, she added. For a link to Hydro-Québec's rebate forms, visit our Green Life blog at http://www.montrealgazette.com/greenlife
  8. Go to the website http://www.ccc.umontreal.ca/fiche_projet.php?lang=en&pId=1670&etape=1 which features all contest entries...spend a while looking at all kinds of proposals!! Repenser et redéfinir le logement social au centre-ville de Montréal / Rethinking and Redefining Social Housing in Montreal’s City Centre Competitions : 2007 Project : (Rami Abou khalil, Lia Ruccolo, Lawrence Siu, Luciano Stella) Competitions : 2007 Project : Scott Waugh, Kelly Doran, Christian Joakim Competitions : 2007 Project : (Khuyen Khuong, Ji-Young Soulliere, Roy Kuo, Gabriel Garcia) Competitions : 2007 Project : (Elisa-Jane Boucher, Renée Mailhot, Yannick Laurin, Caroline Noël ) Competitions : 2007 Project : (Dominique Côté, Simon Sauvé, Martin Belzile)
  9. Uni-Select: à grande vitesse vers les États-Unis 8 septembre 2008 - 06h00 La Presse Réjean Bourdeau Le 31 août dernier, Uni-Select (UNS) a fêté un bel anniversaire: il y a 10 ans qu'elle est installée aux États-Unis. À l'époque, l'entreprise de Boucherville avait acheté un distributeur de pièces d'automobiles du Minnesota. Du coup, ses ventes au sud de la frontière avaient bondi à 60 millions US. Aujourd'hui, avec l'achat prévu de Parts Depot, sur la côte Est, son chiffre d'affaires américain s'élèvera à 800 millions US! Click here to find out more! Et ce n'est pas fini, précise le grand patron d'Uni-Select. "Pour les trois prochaines années, on veut ajouter 100 à 150 millions US de ventes par an grâce à des acquisitions", affirme Richard Roy. Belles occasions d'affaires Si c'est le cas, le distributeur québécois verra ses revenus grandir d'au moins 10% par année, si on ajoute 2% de croissance organique. Le marché américain lui offre de belles occasions d'affaires. "Le volume global des petits acteurs est d'au moins 15 milliards de dollars, constate le président. Il y a donc beaucoup d'espace." Même si les 13 plus grandes sociétés ont des ventes totales de 20 milliards US, le secteur des distributeurs de pièces d'automobiles reste très fragmenté. "Il y a de nombreuses sociétés qui ont moins de 100 millions de chiffres d'affaires, explique M. Roy. Ce sont celles qui nous intéressent." Un des défis opérationnels pour ces entreprises est de gérer la multiplication des stocks de pièces pour les autos et les camions. "Pour suivre, elles doivent investir dans les technologies, remarque le dirigeant. Certaines sociétés ont de la difficulté à le faire." Uni-Select n'a pas ce problème. Au cours des quatre prochaines années, elle prévoit investir environ 50 millions dans ses systèmes informatiques. L'outil de gestion Cette initiative lui permettra d'améliorer son service à la clientèle, de mieux gérer ses entrepôts et d'avoir la bonne information pour gérer efficacement. Il faut dire qu'il peut y avoir jusqu'à 350 000 pièces différentes par entrepôt! Le rôle d'Uni-Select est de regrouper toutes les pièces fabriquées par les manufacturiers et de les offrir à des grossistes, qui les vendront à des installateurs et à des garagistes. L'entreprise québécoise distribue 90% des pièces au secteur commercial. Le reste est pour les détaillants. L'ENTREPRISEDeuxième distributeur canadien de pièces de remplacement, équipement, outillage et accessoires pour véhicules automobiles et septième aux États-Unis. Son réseau sert plus de 2000 marchands indépendants et plus de 3000 points de vente en Amérique du Nord. Uni-Sélect emploie 5500 personnes et affiche des ventes de 1,4 milliard. Ses actions (UNS) sont échangées à la Bourse de Toronto.
  10. Un groupe d'actionnaires formé de Michel Cadrin, Jacques Tanguay et Patrick Roy peut faire l'acquisition de la station de radio de Québec. Pour en lire plus...
  11. Profits stables pour Loto-Québec 18 juin 2008 - 11h21 LaPresseAffaires.com Olivier Bourque Loto-Québec a vu ses profits demeurer stables au terme de son exercice financier se terminant le 31 mars dernier. Loto-Québec a présenté des résultats financiers presqu’inchangés pour son dernier exercice financier se terminant le 31 mars dernier. Les profits ont légèrement fléchi en raison notamment de la Loi sur le tabac qui a fait mal aux revenus provenant des loteries vidéo, ces machines à sous qui sont installées dans les bars du Québec. Le bénéfice est ainsi demeuré pratiquement le même s’affichant à 1,44 G$ comparativement aux 1,47 G$ annoncés il y a un an. «La Loi a eu un impact sur nos résultats. Pour la section Loteries vidéo, il s’agit d’une baisse d’environ 50 M$», indique Jean-Pierre Roy, porte-parole de la société lors d’une entrevue avec LaPresseAffaires.com. Les revenus totaux ont été en légère hausse pour cette dernière année. Ils ont atteint 3,85 G$ comparativement aux 3,79 G$ récoltés pour l’année précédente. Loto-Québec peut toutefois sourire. Car des records ont été battus notamment pour les loteries qui ont amené 1,9 G$ dans les coffres de l’État et les revenus des casinos qui ont atteint 790 M$. Dans les deux cas, c’est du jamais vu. Le bingo a également été profitable pour Loto-Québec alors que la société a profité de son réseau en ligne. Les revenus ont atteint 41 M$, une augmentation de 4,3%. Mais, tient à le souligner le porte-parole, la société a accordé 66 M$ de plus aux gagnants lors de sa dernière année. Ces gagnants (loteries et bingo) se sont partagés 1,051 G$. Durant cette période, Loto-Québec n’a toutefois pas été à plaindre. Elle aussi a profité d’une hausse de 67 M$ des ventes de ses produits. Concernant Ingenio, la filiale multimédia de Loto-Québec qui perd environ 5 M$ par année, M. Roy affirme que la société est «satisfaite» de ses résultats. «C’est un laboratoire important qui permet de trouver des avenues prometteuses et qui fait de la recherche et du développement», assure Jean-Pierre Roy. Les résultats de cette filiale multimédia sont d’ailleurs en net retrait. Elle a engendré 626 000 $ en retrait de 41% par rapport aux résultats de l’année précédente. Loto-Québec affirme également qu’elle a fait ses devoirs dans la dernière année quant à l’intégrité de son réseau en appliquant les recommandations du rapport de KPMG. Cette initiative faisait suite aux cas de fraudes de propriétaires de dépanneurs en Ontario et au Nouveau-Brunswick.
  12. (Merci a La Presse) Finally they are doing this, took them forever. Honestly, if you win, people should not know.
  13. Montreal church stands as mariners' rock A view westward, toward the core of downtown Montreal, from a tower of the Notre-Dame-de-Bon-Secours Chapel in the Old Montreal district. The Marguerite Bourgeoys Museum is adjoined to the church. (Marcos Townsend for the Boston Globe) By Patricia Harris and David Lyon, Globe Correspondents | May 9, 2007 MONTREAL -- Poet-songwriter Leonard Cohen was hardly the first Montrealer to gaze fondly on the chapel of Notre-Dame-de-Bon-Secours when he wrote "the sun pours down like honey / on Our Lady of the Harbour" in his pop hit "Suzanne." While the statue of the "Lady" wasn't erected until 1893, homecoming mariners have watched for the welcoming visage of the Old Port church since the first wooden chapel was erected on the spot in 1655. Although the church is dedicated to the Virgin Mary, it is equally a monument to its founder, Marguerite Bourgeoys , who was born in France in 1620 , became known as "the mother of the colony," and was ultimately canonized by the Roman Catholic Church in 1982 . In an era when most women rarely left their villages, Bourgeoys crossed the Atlantic Ocean seven times in her mission to educate the women of Montreal and raise money in her homeland to support the Congrégation de Notre-Dame , the religious order she founded. Just as Bourgeoys's legend became ever more expansive over the years, so did the church. She persuaded the community to rebuild it in stone in the late 1670s , and when that church burned in 1754 , it was replaced with the stone structure that stands today. In 1893 it sprouted a central tower topped with the nearly 20-foot-high open-armed statue of "Mary, Star of the Sea," flanked by two herald angels. The single-vault chapel's intimacy contrasts sharply with Montreal's more bombastic churches, and ship models suspended from the ceiling as ex-votos for voyages survived identify the church as the mariners' own. With the rapid secularization of Montreal (the Catholic Church dominated education, health care, and social services through the 1960s), public recognition of Bourgeoys has declined. But she remains one of the rocks on which the city was built, and the Marguerite Bourgeoys Museum , attached to the chapel, memorializes her accomplishments. The exhibits evoke an intimate vision of the early years of Montreal. Visitors can inspect the original foundations of the early chapels and view artifacts exhumed during archeological work here in the 1990s . Cracked blue and white porcelain cups and plates, discarded belt buckles, and broken pipes seem to conjure up their long-ago owners, who were determined to maintain the veneer of civilization in the distant wilds. They never stopped thinking of themselves as French, as the green glass wine bottles attest. The tour winds up a 69-step staircase to the 19th-century tower. Walls along this level's open walkway are lined with images of the St. Lawrence River and the port of Montreal in 1685 . For a perfect juxtaposition of old and new, turn and look outside to see people strolling and cycling along the modern-day Old Port promenade while the grand geodesic dome of the Biosphère shines in the distance. Another 23 steps lead up to the belvedere, where visitors are suddenly almost face to face with the herald angels and the broad expanse of the modern city extends down the waterfront to the horizon. By 1668 , Bourgeoys had moved her religious order from the center of the town to a rural farm on Pointe St-Charles near the Lachine rapids , a short bike ride or bus trip from Old Montreal. Bourgeoys originally taught the women of the colony to read, but soon expanded her activities to include schools for surrounding First Peoples villages and the care of the "filles du roy," the young women given dowries by Louis XIV and sent to the colony to marry and multiply. The old stone farmstead, Maison St-Gabriel , now functions as a heritage museum of 17th-century rural life with a focus on the filles du roy, who still loom large in Quebecois legend. Often recruited among the urban poor, many of the women lacked even rudimentary skills for colonial life. Tours in English and French by guides in 17th-century garb focus on the transformation of the filles du roy into sturdy colonists. Their re-created period vegetable gardens underline the need for self-sufficiency. The property's 19th-century fieldstone barn holds temporary exhibitions, such as "An Iron in Time," which opens this month. It recounts the evolution of clothes-pressing, lest there be any doubt about the hard work of women in New France. When Marguerite Bourgeoys died in 1700 , she was interred on the farm. But in 2003 , the 350th anniversary of her arrival in Montreal, her remains were placed in the left side altar of Notre-Dame-de-Bon-Secours below the statue she had brought back from France in 1672. Marguerite Bourgeoys Museum and Notre-Dame-de-Bon-Secours Chapel 400 rue St-Paul Est, Montreal 514-282-8670 marguerite-bourgeoys.com Tuesday-Sunday 10 a.m.-5:30 p.m. May-October, 11-3:30 November-mid-January and March-April. Adults $5.10, seniors and students $3.40, family $10.20. Maison St-Gabriel 2146 place Dublin Pointe-St-Charles 514-935-8136 maisonsaint-gabriel.qc.ca Tuesday-Sunday 1-5 p.m. April 15-June 23 and Sept. 4-Dec. 21, 11-6 June 24-Sept. 2. Adults $6.80, seniors $5.10, students $3.40. Patricia Harris and David Lyon, freelance writers in Cambridge and authors of the "Compass American Guide: Montreal," can be reached at harris.lyon@verizon.net. © Copyright 2007 Globe Newspaper Company.
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