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  1. La valeur de l’immobilier américain a enregistré un plongeon record de 19% au 1er trimestre de 2009 par rapport à la période correspondante il y a un an, selon l’indice S&P/Case Shiller U.S. National Home Price. L’indice S&P/Case Shiller publie chaque mois un indice brossant un portrait de l’immobilier dans 10 et 20 agglomérations urbaines aux États-Unis, en plus de dévoiler un indice national à la fin de chaque trimestre. C’est la pire performance de l’indice en 21 ans d’existence. À la fin du mois de mars, l’indice révèle que les prix de l’immobilier étaient revenus à leur niveau de 2002. Depuis le sommet du 2e trimestre de 2006, le prix moyen des résidences est en chute de 32,2%. Pénible mois de mars Pour le seul mois de mars, les indices des 10 et 20 villes à l’étude ont enregistré des déclins respectifs de 18,6% et de 18,7% comparativement au même mois en 2008. «Les 20 agglomérations urbaines à l’étude, incluant notamment celles de New York, Los Angeles, Chicago, Phoenix, Las Vegas et San Francisco, ont toutes vu le prix moyen des résidences baisser sur une base annuelle, alors que neuf d’entre elles ont connu des déclins record», a affirmé le président du conseil de l’indice, David Blitzer, dans un communiqué. Sur une note plus positive, c’est la 2e fois depuis octobre 2007 que le plongeon des deux indices mensuels ne fracasse pas de record. Toutefois, M. Blitzer soutient que les données de mars démontrent que les prix de l’immobilier ne montrent aucun signe de stabilisation. http://www.lesaffaires.com/article/0/immobilier/2009-05-26/493911/eteacutetatsunis--les-prix-de-limmobilier-seffondrent.fr.html
  2. L'annonce de profits anticipés au premier trimestre 2009 par le géant bancaire Citigroup fait bondir les indices boursiers d'Amérique et d'Europe. Pour en lire plus...
  3. Fièvre olympique à la Bourse Publié le 07 mars 2009 à 11h45 | Mis à jour le 07 mars 2009 à 11h58 Vincent Brousseau-Pouliot La Presse Dans un an, le monde entier aura les yeux tournés vers Vancouver, qui accueillera les Jeux olympiques d'hiver. La communauté financière, elle, est déjà en mode olympique. En décembre dernier, le Dow Jones a mis à jour son indice boursier olympique en prévision des Jeux de Vancouver. Créé en décembre 2006 en prévision des Jeux de Pékin, l'indice boursier olympique Dow Jones est le véhicule d'investissement fait sur mesure pour ceux qui veulent bénéficier de la manne olympique. Il regroupe les sociétés inscrites en Bourse associées à l'organisation des Jeux. «Notre raisonnement, c'est que les entreprises qui ont des liens avec les Jeux olympiques tendent à faire de meilleures affaires durant leur cycle olympique, dit John Prestbo, directeur exécutif des indices boursiers Dow Jones. Les profits de ces entreprises ont tendance à être plus élevés. Leur rendement boursier aussi.» L'indice est composé essentiellement de trois sortes de titres?: les multinationales qui commanditent le mouvement olympique d'année en année (ex?: Coca-Cola, McDonald's, VISA, Samsung), les commanditaires canadiens des Jeux de Vancouver (ex?: RONA, la Banque Royale, GM, Bombardier, le Canadien Pacifique) et les fournisseurs officiels de Vancouver 2010 (ex?: 3 M, George Weston, Saputo, TransCanada Corp). L'indice regroupe actuellement 32 titres provenant de sept pays. Pays hôte des Jeux de 2010, le Canada compte le plus de titres au sein de l'indice (15), devant les États-Unis (12), le Japon (2), la Corée du Sud (1), la Suisse (1), la France (1) et le Royaume-Uni (1). Chaque titre ne peut toutefois constituer plus de 10% de la valeur de l'indice. C'est ainsi que les grandes sociétés américaines Coca-Cola et McDonald's, qui occupent les deux premiers rangs de l'indice, voient leur participation maximisée à 10%. «C'est notamment pour augmenter le rendement de l'indice, dit John Prestbo. L'impact des Jeux olympiques sur l'ensemble de leurs activités est moins important en raison de leur statut de multinationale. Les entreprises de construction canadiennes, par exemple, seront davantage touchées par les Jeux de Vancouver qu'une entreprise comme McDonald's.» Rendement supérieur à la moyenne Depuis sa création en décembre 2006, l'indice olympique Dow Jones a perdu 30% de sa valeur. Malgré tout, il a battu presque tous les indices de référence nord-américains et mondiaux. Durant la même période, l'indice américain S?&?P 500 a perdu 53?%, la Bourse de Toronto 41?% et l'indice mondial Morgan Stanley 53%. Seul l'indice de la Bourse de Shanghai a fait mieux que l'indice olympique Dow Jones, perdant 17% de sa valeur depuis décembre 2006. «L'indice olympique n'est pas immunisé contre les tendances générales du marché, dit John Prestbo. Quand ça va mal en Bourse, le facteur olympique n'est pas nécessairement une protection (contre des pertes).» Les investisseurs qui ont misé sur l'indice olympique Dow Jones à un an des Jeux de Pékin ont toutefois gagné leur pari. Entre août 2007 et août 2008, l'indice olympique a gagné 5,4% alors que la Bourse de Shanghai encaissait des pertes de 38?%. Retirer ses billets à la veille des Jeux permet-il de maximiser son investissement dans l'indice olympique?? Après une seule olympiade, il est trop tôt pour tirer des conclusions définitives, mais l'inventeur de l'indice est optimiste. «Comme l'indice a obtenu d'excellents résultats avant les Jeux, c'est toutefois une hypothèse valide», dit John Prestbo. Points d'interrogation Même si l'indice olympique Dow Jones a battu la plupart des indices de référence, l'analyste boursier Jean-René Ouellet met les investisseurs en garde contre certaines de ses particularités. «La dynamique de l'indice olympique Dow Jones est intéressante, mais l'indice est très mal diversifié», dit l'analyste du groupe conseil en portefeuilles de Valeurs mobilières Desjardins. Jean-René Ouellet s'inquiète de la surpondération de l'indice olympique Dow Jones dans plusieurs secteurs, notamment la consommation discrétionnaire (21% contre 5% au TSX et 8% au S?&?P 500), la consommation durable (19% contre 4% au TSX et 14% au S?&?P 500) et le secteur industriel (23% contre 6% au TSX et 10?% au S?&?P 500). L'indice olympique ne contient aussi aucun titre dans le secteur de la santé et des télécommunications. «?En temps de récession, les gens réduisent considérablement leur consommation discrétionnaire, un secteur où l'indice olympique est très surpondéré, dit-il. Les gens changent leur comportement durant une récession. Ils ne commenceront pas à rénover leur maison parce que Rona remet des médailles olympiques.?» L'analyste boursier note aussi quelques titres en difficulté au sein de l'indice olympique?: GM, Samsung, CanWest Global Communications et Teck Cominco, pour ne nommer que ceux-là. Bref, s'il trouve l'exercice olympique de Dow Jones intéressant, Jean-René Ouellet demeure sceptique. «Intuitivement, ça semble bon, mais il y a quelques points d'interrogation quand on gratte un peu, dit-il. Et il ne faut pas oublier que créer des indices, c'est une industrie pour Dow Jones.» Le créateur de l'indice olympique Dow Jones, John Prestbo, incite aussi à la prudence les investisseurs canadiens atteints de fièvre olympique. Aussi amusant soit-il, son indice n'a pas été conçu afin d'y faire fructifier tout son portefeuille boursier. «Ça demeure un véhicule d'investissement secondaire, dit-il. C'est une bonne façon d'avoir un peu plaisir en investissant tout en bénéficiant d'un phénomène économique réel, dit-il. On peut investir dans l'indice olympique pour essayer de majorer ses rendements, mais on ne doit pas y investir tout son argent.» * * * Pas disponible au Canada Les Canadiens s'apprêtent à accueillir les prochains Jeux olympiques, mais l'indice olympique Dow Jones n'est pas disponible au pays, faute d'intérêt de la part des institutions financières. Pour l'instant, l'indice olympique n'est offert que dans certaines institutions financières de Londres, la ville hôtesse des Jeux d'été en 2012. «Nous discutons actuellement avec des institutions financières canadiennes pour rendre l'indice olympique disponible au Canada», dit John Prestbo, directeur exécutif des indices boursiers Dow Jones. Le Mouvement Desjardins, qui ne connaissait pas l'existence de l'indice olympique Dow Jones avant le coup de fil de La Presse Affaires, n'a pas l'intention de l'offrir à ses clients d'ici le début des Jeux olympiques de Vancouver le 12 février 2010. «Ce n'est pas sur notre radar», dit le porte-parole André Chapleau. Même son de cloche du côté de la Banque Royale, pourtant commanditaire de Vancouver 2010. «Ça ne fait pas partie de nos projets en 2009», précise le porte-parole Raymond Chouinard. John Prestbo suggère tout de même aux investisseurs canadiens de jeter un coup d'oeil à son indice olympique. «L'indice donne une idée des entreprises qui pourraient mieux faire cette année en raison des Jeux olympiques de Vancouver en 2010, dit-il. Les investisseurs peuvent sélectionner quelques titres sans nécessairement acheter l'indice au complet, ce qui est impossible de toute façon à l'heure actuelle au Canada.»
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  9. Les indices nord-américains de même que le pétrole et le huard ont tous fait un pas en arrière hier, dans une danse des marchés rythmée par les difficultés de GM et le plan d'aide aux propriétaires américains. Pour en lire plus...
  10. Les principaux indices nord-américains ont tous commencé la journée de mardi en territoire négatif alors que les inquiétudes face à l'économie persistent. Pour en lire plus...
  11. Les indices boursiers nord-américains ont conclu la semaine en territoire positif malgré la déconfiture de GM et de mauvais chiffres sur l'emploi aux États-Unis. Pour en lire plus...
  12. Les indices nord-américains n’ont pas eu une direction claire lundi passant la majorité de la journée en territoire positif mais concluant la journée légèrement dans le rouge en attente de l’élection d’un nouveau président américain. Pour en lire plus...
  13. Après une journée de lundi salvatrice pour les investisseurs, les indices nord-américains ont terminé la journée en forte baisse mardi. Le Dow Jones a tombé de 2,5%, le TSX de 4,44%. Pour en lire plus...
  14. Les principaux indices boursiers nord-américains ont ouvert à la baisse vendredi en dépit d'un discours rassurant du président américain qui défend l'efficacité des mesures économiques prises par son gouvernement. Pour en lire plus...
  15. Pour les investisseurs boursiers, un répit au terme d'une semaine infernale durant laquelle les principaux indices ont encore été recalés de 20 % en moyenne. Pour en lire plus...
  16. Tous les indices mondiaux étaient dans le rouge en attente du plan de sauvetage qui n'est toujours pas adopté. Sur Wall Street, le Dow Jones perdait 1,08%. Pour en lire plus...
  17. Si la plupart des Bourses d'Asie ont terminé en hausse lundi, dopées par le plan de l'administration américaine, leurs homologues européennes ont entamé la semaine dans le rouge. Pour en lire plus...
  18. Les indices étaient généralement haussiers ce jeudi matin à l'ouverture, dans la foulée de l'action concertée de banques centrales. Pour en lire plus...
  19. Les principaux indices boursiers asiatiques et européens chutent fortement. Les titres du secteur bancaire sont sévèrement malmenés. Pour en lire plus...
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