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  1. http://ici.radio-canada.ca/regions/Montreal/2016/07/06/004-politique-nationale-architecture-saint-laurent-de-sousa-ordre-architectes-quebec.shtml Saint-Laurent veut mettre un terme aux horreurs architecturales au Québec Publié le mercredi 6 juillet 2016 à 13 h 07 Centre-ville de Montréal Photo : iStockPhoto L'arrondissement de Saint-Laurent, à Montréal, devient la première instance municipale à demander officiellement au gouvernement du Québec une politique nationale de l'architecture, ce qui serait une première en Amérique. Il veut ainsi en finir avec les laideurs architecturales dans la province. Un texte de Marie-Ève MaheuTwitterCourriel Saint-Laurent a reçu plusieurs prix d'architecture et de design pour sa Bibliothèque du Boisé, construite en 2013 et certifiée LEED platine. Il veut maintenant servir d'exemple. Le conseil municipal a récemment adopté une résolution pour interpeller Québec. « Si nous voulons avoir des bâtiments qui sont faits avec la beauté, la fonctionnalité, mais aussi avec la performance environnementale, il reste encore beaucoup de barrières pour les villes et les instances municipales », dit le maire de Saint-Laurent, Alan De Sousa. Il donne en exemple le manque de latitude pour ouvrir les projets de construction à des concours d'architecture, ce qui a été possible pour la Bibliothèque du Boisé, réalisée par les firmes Cardinal Hardy, Labonté Marcil et Éric Pelletier architectes, réunies en consortium. Bibliothèque du Boisé, dans Saint-Laurent. Elle a remporté le le Grand Prix d'Excellence 2015 de l'Ordre des architectes du Québec. Bibliothèque du Boisé, dans Saint-Laurent. Elle a remporté le Grand Prix d'Excellence 2015 de l'Ordre des architectes du Québec. Photo : Yien Chao L'Ordre des architectes du Québec réclame depuis longtemps une politique nationale de l'architecture. « Les processus d'appel d'offres au Québec ne favorisent pas nécessairement la qualité. On choisit les professionnels ou les entrepreneurs selon le plus bas prix. Je ne dis pas qu'il faut payer plus cher, mais il faut qu'on fasse des projets de qualité. C'est tout le monde qui en bénéficie », soutient sa présidente, Nathalie Dion. Fin juin, l'Ordre a déposé un mémoire pour réitérer sa demande dans le cadre des consultations publiques du ministère de la Culture sur le renouvellement de la politique culturelle, qui ont lieu tout l'été. C'est ce qui a inspiré le conseil municipal de Saint-Laurent, avec l'objectif que d'autres villes lui emboîtent le pas. Manque de vision « On se pâme sur les exemples qui se font en Scandinavie ou dans d'autres pays en Europe. Pourquoi on n'est pas capable de faire aussi bien ici? », se désole Nathalie Dion, de l'Ordre des architectes du Québec. Oui, ça me décourage, surtout de savoir des fois que ce ne sont pas les architectes qui manquent de talent. C'est qu'on a pris des décisions basées sur des budgets. (Nathalie Dion) Un exemple? La reconstruction de l'école Saint-Gérard dans Villeray, à Montréal, qui se voulait un projet du 21e siècle, mais qui a été ramené à sa plus simple expression pour des questions budgétaires. Le système de géothermie a finalement été sauvé, mais l'atrium central et le toit vert sont passés à la trappe. « On aurait peut-être pu se permettre l'atrium en se disant que c'est un investissement pour les jeunes pour le futur, dit Mme Dion. Il n'y a peut-être pas d'étude qui dit textuellement que quand tu as une belle école tu vas mieux réussir, mais en général le cadre bâti influence la qualité de vie des gens au bureau ou dans un hôpital. Dans une école, c'est sûr que c'est important. » Une politique nationale de l'architecture permettrait de se donner une vision de l'architecture, dit Nathalie Dion, en termes d'esthétisme, de fonctionnalité et de durabilité environnementale entre autres. Et pas besoin d'être un pays pour en avoir une, souligne-t-elle. Elle donne les exemples de l'Écosse et de la capitale du Danemark, Copenhague.
  2. http://journalmetro.com/plus/immobilier/378092/nathalie-dion-montreal-et-ses-defis-architecturaux/ Avec l’élection d’une nouvelle présidente à l’Ordre des architectes du Québec (OAQ) et la campagne électorale municipale, la conjoncture est excellente pour discuter des enjeux qui attendent la métropole avec celle qui dirige l’organisme. Élue en mai dernier à la présidence de l’OAQ, l’architecte Nathalie Dion compte pas moins de 25 années d’expérience tant dans le domaine privé que public. Histoire de briser la glace, en ce matin pluvieux au sommet du majestueux mont Royal, Métro lui a demandé si elle était d’accord avec l’auteur-compositeur-interprète Jean-Pierre Ferland, pour qui «Montréal est une femme du monde en running shoes». «Montréal n’est pas une ville uniforme si on la compare à Paris, par exemple, commence-t-elle. Elle présente un paysage morcelé, qui a toutefois une identité propre, mais difficile à définir. Sa convivialité? Au fond, c’est peut-être cela son côté “femme du monde en running shoes”», sourit l’architecte, soulignant au passage que le Stade olympique semble, paradoxalement, davantage apprécié des visiteurs que des Montréalais eux-mêmes. Quels sont les grands enjeux dont nous devrions débattre au cours de la campagne électorale qui s’amorce, selon elle? «Nous avons l’impression que l’architecture montréalaise est issue de politiques qui changent continuellement : s’il existe bien divers plans (transports, préservation du patrimoine), une vision d’ensemble semble manquer. L’un des grands chevaux de bataille de l’Ordre est d’encourager la création d’une politique nationale de l’architecture et de l’aménagement», affirme la présidente. Elle ne souhaite évidemment prendre position pour aucun parti en lice, mais appelle de ses vœux une mobilisation forte pour un concours d’architecture sur l’avenir du pont Champlain. «La Ville s’était fixé comme objectif d’investir 240 M$ par année jusqu’en 2018 pour l’amélioration du transport à Montréal […]. Cet objectif n’a jamais été atteint : il y a eu 60 M$ en 2008, 104 M$ en 2009, ce qui représente de 25 à 30 % de l’objectif!» – Nathalie Dion Nouvelle présidente de l’OAQ «On ne peut pas rater cette occasion-là», souligne-t-elle avant d’ajouter, toujours au sujet des enjeux fondamentaux, qu’«il faut faire en sorte que l’ensemble de l’offre en matière de logement privilégie l’intégration des familles». Ce qui pourrait passer par l’augmentation du nombre de logements sociaux, croit-elle, mais aussi par des politiques encadrant la création de plus grands logements pour y installer les familles. Bref, dit en substance l’architecte Nathalie Dion, qui souhaite également une réactivation de l’investissement dans le réseau cyclable, «il faudrait penser davantage à une vision d’ensemble cohérente, plutôt qu’au seul profit à courte vue, comme ce fut le cas, par exemple, dans Griffintown, où l’on souhaite faire venir les familles, mais où personne n’a, semble-t-il, songé à construire une… école!» *** Palmarès Des bons coups, selon Nathalie Dion La Grande Bibliothèque (Croft Pelletier architectes/Gilles Guité/Patkau architectes), résultat d’un concours d’architecture. Elle est la bibliothèque la plus fréquentée en Amérique du Nord. En 2011, elle a reçu 2,7 millions de visites, ce qui la place devant la bibliothèque de Toronto. Pavillon Claire et Marc Bourgie du Musée des beaux-arts de Mont*réal (Provencher Roy et associés). Planétarium de Montréal (Cardin Ramirez Julien et Ædifica). Habitat 67, Moshe Safdie (Safdie Architects). De moins bons coups Parfois, des architectes qui débordent de talent doivent composer avec les demandes de leurs clients. Hélas, il arrive que les profits passent avant la qualité. La Maison symphonique de Montréal est un bâtiment fort intéressant, mais il aurait pu l’être davantage. Lorsque des consortiums PPP (partenariat public-privé) décrochent des contrats en raison de leur montage financier, cela se fait au détriment de la qualité. La salle est très belle, l’acoustique y est excellente, mais lorsqu’on en sort, cela n’a rien à voir avec la beauté de l’aire d’attente de la salle Wilfrid-Pelletier ou celle de la salle Maisonneuve.» «L’autoroute métropolitaine (la 40). La solution? On pourrait s’inspirer de New York, où l’on a transformé une infrastructure de trains surélevée qui traversait une zone industrielle et d’anciens abattoirs en projet vraiment formidable, le High Line. C’est devenu une promenade parsemée de végétation. L’un des plus beaux lieux de la ville avec sa vue imprenable sur la rivière Hudson.»
  3. Montreal heritage activist celebrates Order of Canada honour Last Updated: Tuesday, December 30, 2008 | 1:27 PM ET CBC News Montreal heritage defender Dinu Bumbaru is being recognized for his local efforts with a national honour, the Order of Canada. Bumbaru, director of Heritage Montreal, was among the new members of the order announced Tuesday by Gov. Gen. Michaëlle Jean 'Somehow this is a recognition from the highest authority in the country that communities count.'—Dinu Bumbaru, director of Heritage Montreal Bumbaru was walking on Mount Royal when he heard that the list was announced with his name on it. "It is a big beyond reach. You don't feel that you deserve such things," Bumbaru said. The citation from the Governor General states that Bumbaru was nominated for his leadership in promoting, protecting and enhancing the historical and cultural heritage of Montreal, including the preservation of world heritage sites. Bumbaru said the honour is important because it recognizes the work in communities across Canada that often goes unnoticed. "Somehow, this is a recognition from the highest authority in the country that communities count," he said. "In the days of climate change and social crisis, we tend to feel the big issue is the green and the greed of people. But we see the greatest achievement of mankind is the city where people actually live." Bumbaru has a degree in architecture from the University of Montreal and a degree in conservation studies from the University of York in England. Since joining Heritage Montreal in 1982, he has become one of the city's most vocal defenders of community preservation, including during the recent debate over the redevelopment of Griffintown southwest of downtown. Céline Dion, investment guru honoured Quebec TV personality Suzanne Lapointe will be named a member of the Order of Canada. (CBC) Other Quebecers honoured Tuesday included singer Céline Dion and Montreal investment guru Stephen Jarislowski, who both become companions of the Order of Canada. Businessman Claude Lamoureux and dancer Louise Lecavalier will become officers. Quebec television personality and singer Suzanne Lapointe will also join the order as a member. The newest additions will receive their insignias at a ceremony at Rideau Hall at a later date. The Order of Canada, the country's highest honour, recognizes citizens for outstanding achievements or for exceptional contributions to the culture of the country. Established in 1967, the award has been presented to more than 5,500 people.
  4. Est-il trop tard pour Harper ? Hélène Buzzetti Édition du lundi 01 décembre 2008 Les compromis conservateurs n'arrêtent pas le projet d'une coalition PLC-NPD Ottawa -- Les concessions accordées par les troupes de Stephen Harper au cours du week-end n'ont pas apaisé les velléités de l'opposition. Au contraire, la coalition Parti libéral-NPD qui désire se substituer au gouvernement minoritaire conservateur prend de plus en plus forme. Il ne lui manque plus qu'un chef et, selon les informations du Devoir, Stéphane Dion entend proposer à son caucus ce matin de devenir ce premier ministre recherché. Il a l'appui de Bob Rae. Le réseau anglais de Radio-Canada a indiqué hier soir qu'une entente avait été conclue entre le chef libéral, Stéphane Dion, et le leader néo-démocrate, Jack Layton, accordant au NPD le quart des sièges dans le cabinet ministériel de coalition. Selon cette entente, le ministère des Finances serait confié à un député du Parti libéral. Au cours du week-end, les troupes de Stephen Harper ont battu en retraite sur plusieurs fronts. D'abord, le gouvernement met de côté son idée d'abolir les allocations d'État versées aux partis politiques: le 1,95 $ versé pour chaque vote obtenu sera plutôt gelé (et non plus indexé selon l'inflation). Les conservateurs s'engagent à faire de son abolition une promesse électorale défendue au cours d'une prochaine campagne. Ensuite, le gouvernement renonce à suspendre le droit de grève des fonctionnaires fédéraux. Enfin, le ministre des Finances, Jim Flaherty, s'engage à déposer un budget plus tôt que prévu: le 27 janvier prochain au lieu de la dernière semaine de février comme cela est la norme à Ottawa. L'interdiction faite aux fonctionnaires de s'adresser aux tribunaux pour faire respecter l'équité salariale n'est pas levée. Ces annonces n'ont pas eu l'heur d'apaiser les ardeurs de l'opposition. «C'est trop peu, trop tard. On ne se retrouvera pas une fois de plus comme Charlie Brown sur le dos parce que Lucie a retiré la balle», a lancé le député du NPD, Thomas Mulcair, au cours d'une conférence de presse hier soir. Selon M. Mulcair, ces tentatives d'utiliser la crise économique comme un prétexte pour faire passer des mesures de droite ont révélé le vrai visage du parti de Stephen Harper. «Pendant des années, M. Harper a tenté de faire croire aux Canadiens qu'il n'avait pas un ordre du jour caché alors qu'il rassurait sa base qu'il en avait bien un. Cette fois, le chat sort du sac. Nous ne lui laisserons pas une autre chance», dit-il. Rencontres au sommet Les chefs des trois partis d'opposition se sont rencontrés en soirée hier pour s'entendre sur les mesures que prendrait la coalition pour venir en aide à l'économie. Le PLC et le NPD ont discuté intensément samedi et hier matin pour déterminer la forme que prendrait ce gouvernement de coalition. La rumeur la plus persistante veut que le cabinet comporterait 30 ministres, dont 10 néodémocrates. Le but hier soir était de présenter à Gilles Duceppe le fruit de ces discussions et s'assurer ainsi l'appui de ses troupes. D'autre part, les trois prétendants à la direction libérale -- Bob Rae, Michael Ignatieff et Dominic LeBlanc -- se sont aussi rencontrés tard hier soir à Toronto dans un contexte où la coalition se cherche un chef. À cette rencontre, Bob Rae, que plusieurs disent tirer de l'arrière dans la course, s'est fait le défenseur de Stéphane Dion. Il a demandé à ses adversaires de se rallier à la proposition de M. Dion à l'effet qu'il reste le chef jusqu'à ce qu'un vainqueur soit couronné en mai. «Il y a une course au leadership légitime en cours et M. Rae ne voit aucune raison de changer cela», a confié un proche conseiller de M. Rae. Selon cette source, «M. Rae est à l'aise [avec le fait que M. dion soit le chef]et il encourage les deux autres de faire de même.» Les clans de MM. Ignatieff et LeBlanc n'ont pas voulu commenter la rencontre hier soir. Quelles mesures de stimulation? Dans leur énoncé économique, déposé jeudi et à l'origine de toute cette crise politique, les conservateurs ont choisi de réduire les dépenses de l'État de 4,3 milliards de dollars afin d'afficher un surplus plutôt que d'injecter des sommes et de stimuler l'économie. Il n'est pas assuré que les conservateurs dévoileront dans le budget les mesures attendues par l'opposition. Au cours d'une conférence de presse téléphonique hier, le ministre Jim Flaherty a encore présenté le tout au conditionnel. «Nous utiliserons de la stimulation temporaire si cela est nécessaire», a-t-il déclaré. Il a répété qu'il n'imiterait pas les États-Unis dont l'approche a consisté à «disperser l'argent en espérant que cela fonctionnerait». Le ministre aime rappeler que les diminutions d'impôts et la baisse de la TPS déjà consenties, et qui seront toutes en vigueur le 1er janvier, représenteront un stimulus d'une valeur de 2 % du PIB canadien. Or, c'est justement ce que la communauté internationale demande aux gouvernement nationaux d'investir pour sauver l'économie mondiale. Est-ce donc à dire qu'Ottawa juge avoir déjà assez fait? Le ministre reste vague. «Aiderons-nous un secteur précis ou certains secteurs précis? La réponse est probablement que oui.» Le secteur de l'automobile doit présenter d'ici vendredi un plan de relance et ce n'est qu'à ce moment que le gouvernement entend étudier la possibilité de l'aider. Plus tôt dans la journée, le lieutenant pour le Québec, Christian Paradis, avait déclaré que ce serait une «hérésie» si le Canada agissait avant de savoir ce que les États-Unis feraient à ce chapitre. «Ce serait garrocher de l'argent par les fenêtres.» Geste antidémocratique Les conservateurs ont répété au cours du week-end que la tentative de déloger le gouvernement s'apparente à un coup d'État. L'opposition a vite fait de rappeler que Stephen Harper avait une opinion bien différente il y a quatre ans. En septembre 2004, alors que Paul Martin dirigeait un gouvernement libéral minoritaire, l'opposition avait rédigé une lettre à l'intention de la gouverneure générale de l'époque, Adrienne Clarkson. «Nous faisons valoir avec respect que les partis d'opposition, qui ensemble représentent une majorité à la Chambre, sont en discussions très étroites. Nous croyons que si le gouvernement vous demandait de dissoudre la Chambre, vous devriez consulter, comme la pratique constitutionnelle le veut, les chefs de l'opposition et considérer toutes les options avant d'exercer votre autorité.» Cette lettre du 9 septembre était signée par Gilles Duceppe, Jack Layton et... Stephen Harper. En outre, les conservateurs, qui se moquent de la légitimité d'une coalition ayant besoin de l'appui des «séparatistes» du Bloc québécois, oublient de mentionner qu'en 2006, lorsqu'ils n'avaient que 124 sièges à la Chambre des communes, ils avaient eu besoin eux aussi des bloquistes pour faire adopter leur premier budget. Michael Ignatieff a d'ailleurs déclaré qu'aucun compromis ne serait fait avec le Bloc québécois sur des questions touchant l'intégrité du Canada. «C'est hors de question de compromettre l'unité nationale de notre pays.» Écoute électronique La crise politique prend par ailleurs une tournure imprévue. Le NPD songe à intenter une poursuite contre le Parti conservateur pour avoir effectué de l'écoute électronique illégale. Le Parti conservateur a en effet pu participer à un appel-conférence de Jack Layton avec ses députés samedi. M. Layton y a dit que toutes ces discussions de coalition n'auraient pas pu être possibles n'eussent été des discussions préalables avec le Bloc québécois «il y a longtemps». Pour les conservateurs, il s'agit d'une preuve que l'opposition veut renverser le gouvernement parce qu'elle le peut et non parce qu'elle est insatisfaite de l'énoncé économique. Le Bloc québécois et le NPD ont nié ces allégations, expliquant qu'en situation minoritaire, les partis d'opposition sont en contacts continuels. Les conservateurs ont admis avoir obtenu accidentellement les coordonnées pour se joindre à l'appel. Selon Thomas Mulcair, un député d'arrière-banc conservateur a écouté la conversation à l'insu des néodémocrates. La transcription d'une partie de l'appel a été distribuée aux journalistes. «Nous avons déjà contacté des spécialistes en droit des médias pour voir si le Code criminel a été enfreint, car il s'agit ici d'avoir intercepté, enregistré et diffusé un appel. Ça montre leur désespoir.»
  5. Publié le 15 octobre 2008 à 23h59 | Mis à jour le 16 octobre 2008 à 00h03 Des libéraux rêvent à Frank McKenna Hugo De Grandpré et Joël-Denis Bellavance La Presse Stéphane Dion n'a pas encore fait connaître ses intentions, mais dans l'esprit d'une grande majorité des libéraux, le chef du Parti libéral doit tirer sa révérence. Et parmi les aspirants à sa succession, on pourrait compter l'ancien premier ministre du Nouveau-Brunswick, Frank McKenna, a appris La Presse. Le Parti libéral n'a remporté que 76 sièges au scrutin de mardi et obtenu que 26,2% des voix exprimées, ce qui représente le plus faible appui populaire de toute l'histoire de cette formation politique. En 1984, le Parti libéral dirigé par John Turner a récolté 28% des voix, mais remporté 40 sièges. Après avoir encaissé la défaite, mardi soir, M. Dion a préféré ne pas rencontrer les médias hier, signe qu'il a entrepris une réflexion au sujet de son avenir. «Le fait qu'il ne réagisse pas est un indice important (qu'il va tirer sa révérence)», a affirmé une source libérale hier. S'il décide de s'accrocher, M. Dion devra soumettre son leadership à un vote de confiance au congrès libéral prévu en mai prochain à Vancouver. Les chances qu'il puisse remporter un tel vote sont plutôt minces étant donné que M. Dion jouissait au départ de peu d'appuis au sein de son caucus. Dans les coulisses, les aspirants à sa succession s'activent. Si les principaux adversaires de M. Dion dans la dernière course à la direction multiplient déjà les appels (notamment Bob Rae et Michael Ignatieff), d'autres libéraux influents estiment qu'aucun de ces deux prétendants au trône n'est l'homme de la situation. McKenna pressenti Plusieurs militants influents exercent d'ailleurs des pressions énormes sur l'ancien premier ministre du Nouveau-Brunswick, Frank McKenna, pour qu'il soit sur les rangs dès que Stéphane Dion aura confirmé son départ, a appris La Presse hier de plusieurs sources. Selon nos informations, un noyau de partisans regroupant des gens d'affaires très influents, des organisateurs libéraux et des membres du caucus libéral a déjà vu le jour dans l'espoir de convaincre M. McKenna de reprendre du service à Ottawa. Ayant dirigé le Nouveau-Brunswick pendant 10 ans, M. McKenna jouit d'une bonne réputation parmi les gens d'affaires. Il a aussi été ambassadeur du Canada aux États-Unis durant le règne du gouvernement libéral de Paul Martin. «Par respect pour le chef, M. McKenna ne fera rien, il n'organisera pas et il ne fera aucun téléphone avant que Stéphane Dion n'annonce ses intentions. Mais s'il annonce son départ, il y a de bonnes chances que Frank annonce sa candidature», a dit un libéral influent au fait des intentions de l'ancien premier ministre du Nouveau-Brunswick. Division interne Selon cette personne bien placée au PLC, les risques de division interne seraient beaucoup trop grands si le parti se lançait dans une course à la direction avec Bob Rae et Michael Ignatieff comme principaux candidats. «Il y a une crainte que Rae et Ignatieff replongent le parti dans une bataille semblable à celle qui a existé entre Martin et Chrétien», a-t-il confié. Cette source fait valoir que seul Frank McKenna a les compétences pour diriger le parti en temps de crise économique. «Les gens craignent que l'expérience de Bob Rae soit reprise par Harper, a-t-elle dit. Quant à Michael Ignatieff, c'est un professeur de la Ivy League qui vient d'un milieu privilégié et qui n'a jamais même eu à faire équilibrer un carnet de chèques!» Une autre source libérale a aussi affirmé que M. Rae et M. Ignatieff sont à couteaux tirés et que le parti ne peut se permettre une course au leadership qui laisse de vives plaies. «Rae a aussi un bilan qu'il sera impossible de faire oublier aux Ontariens. Et il est trop centralisateur. Ce serait un mauvais choix.» Frank McKenna a été premier ministre du Nouveau-Brunswick de 1987 à 1997. Il est passé à l'histoire en remportant tous les sièges à ses premières élections en temps que leader libéral. Avocat et homme d'affaires, il a depuis été ambassadeur du Canada aux États-Unis et est président adjoint du Groupe financier de la Banque TD. M. McKenna partirait cependant avec une longueur de retard sur Michael Ignatieff et Bob Rae, dont les équipes n'ont jamais arrêté de grenouiller depuis deux ans et qui ont recommencé à s'activer de manière encore plus intensive durant la fin de semaine dernière. «Le corps n'était pas encore froid», s'est même désolé une source. L'opposition de l'ancien premier ministre à l'accord du lac Meech est aussi vue comme un handicap potentiel au Québec, où le parti doit rebâtir son organisation. Les autres candidats potentiels à la succession de M. Dion sont l'ancien ministre des Affaires étrangères, John Manley, Gerard Kennedy, qui était candidat en 2005 et qui s'est rangé derrière M. Dion pour lui permettre finalement de l'emporter, et l'ancien ministre de la Justice Martin Cauchon.
  6. De passage dans la circonscription ontarienne d'Ajax-Pickering, le chef libéral a dressé un bilan économique sombre du gouvernement Harper. Il a aussi vanté son plan vert et ses avantages fiscaux. Pour en lire plus...
  7. Le feedback américain Alain Dubuc La Presse dimanche 7 septembre 2008 Voilà. C’est parti. C’est aujourd’hui que le premier ministre Stephen Harper annonce officiellement la dissolution du Parlement et la tenue d’élections générales à la mi-octobre. En choisissant de provoquer des élections, il a désarçonné le chef de l’opposition, qui n’était pas encore prêt à renverser le gouvernement. Parmi les raisons qui poussaient Stéphane Dion à vouloir remettre à plus tard le rendez-vous électoral, outre son impopularité chronique, figurait en bonne place le fait que les stratèges de son parti auraient préféré que la campagne électorale canadienne se déroule après les présidentielles américaines. On comptait ainsi capitaliser sur l’impact d’une défaite de la droite républicaine et sur ses effets par la bande sur les conservateurs canadiens, et profiter de l’esprit de renouveau représenté par l’arrivée de Barack Obama à la Maison-Blanche. Ce scénario n’aura pas lieu, non seulement parce que les Canadiens iront aux urnes avant leurs voisins du Sud, mais aussi parce que, de toute façon, la victoire démocrate est loin d’être acquise. Mais si les libéraux estiment avoir besoin d’un coup de pouce américain, le timing actuel est sans doute le meilleur. Les présidentielles américaines, que les Canadiens suivent avec plus d’attention et de passion que jamais dans le passé, se dérouleront en même temps que les élections canadiennes. Cela pourra avoir une influence sur les débats qui se dérouleront au nord du 45e parallèle. Ce feedback de la campagne américaine, cet effet Larsen, comme disent les scientifiques, pourrait fort bien donner un coup de pouce aux libéraux de Stéphane Dion. Ceux qui ont suivi de près ou de loin les primaires, et plus particulièrement la convention républicaine de Saint Paul, la semaine dernière, peuvent comprendre facilement pourquoi. Il était difficile, pour un Québécois, tout comme pour un Canadien anglais, d’observer le déroulement de cette convention sans ressentir un profond malaise, face au patriotisme primaire, au ton guerrier, aux valeurs de la droite évangélique, à l’idéologie du laisser-faire, au conformisme culturel, au populisme haineux, tout comme au choix de Sarah Palin comme colistière. Non seulement cette culture politique nous est-elle étrangère, mais elle nous semblera menaçante. Un sentiment qui sera partagé par une majorité de Canadiens, au-delà de leurs orientations idéologiques ou de leur province d’origine. Les valeurs dites canadiennes, largement consensuelles, sont en fait bien plus proches de celles des démocrates. Et ce malaise sera encore plus palpable lorsque les présidentielles auront pris leur envol, que les gants seront tombés, et que les républicains, avec les tactiques qui ont fait leur force, s’acharneront sur les démocrates et leurs leaders. Plus ça volera bas, plus les Canadiens seront mal à l’aise. Cet effet de feedback jouera certainement dans une campagne où l’un des grands enjeux sera la possibilité réelle que les conservateurs puissent former un gouvernement majoritaire. Les expressions les plus crues de l’idéologie républicaine fourniront des arguments précieux aux libéraux, qui voudront certainement insister sur les risques qui attendent les Canadiens si Stephen Harper et son équipe sont majoritaires et que les partis de l’opposition ne peuvent plus rien faire pour les empêcher de mettre en oeuvre leurs politiques de droite. La satanisation des conservateurs, depuis que les réformistes ont pris le contrôle du parti, a déjà donné certains résultats lors de la campagne de Paul Martin, où ce dernier insistait, à tort d’ailleurs, sur les menaces qu’un gouvernement conservateur ferait peser sur le système de santé canadien. Cette fois-ci, les exemples d’initiatives du gouvernement Harper inspirées du conservatisme social sont assez nombreux, que ce soit sur l’avortement, la loi et l’ordre, les armes à feu, l’environnement, les arts, pour alimenter une campagne de peur efficace. Bien sûr, ces parallèles sont injustes. Les courants qui dominent la famille républicaine existent aussi au Parti conservateur, où l’on voit parfois poindre leur jupon. Mais ce parti est une coalition, ce qui temporise les risques d’excès, et ses origines puisent aux mêmes valeurs canadiennes. Un gouvernement Harper, même majoritaire, ne pourra pas faire abstraction de l’électorat. Assez pour que les scénarios de programme secret relèvent de la caricature. Mais la caricature peut être rentable en politique, surtout que, dans ce cas, elle peut se nourrir de l’anti-américanisme profondément ancré dans la culture canadienne. Un pays dont l’histoire même repose sur un refus de l’aventure américaine et qui, depuis, se bat pour affirmer son identité face à un voisin dominant. Voilà pourquoi John McCain et Sarah Palin pourront être de précieux alliés pour Stéphane Dion. Si celui-ci veut jouer dur, il n’aura qu’à dire : "Regardez ce qui se passe chez nos voisins. Voulez-vous que ça arrive ici ?" adubuc@lapresse.ca
  8. Le président sortant du plus important syndicat du secteur privé au Canada a confié avoir été approché par Stéphane Dion mais a cependant déterminé que sa vie familiale était plus importante. Pour en lire plus...
  9. Stéphane Dion au pays des BBQ Gilles Toupin La Presse C'est un été chaud pour Stéphane Dion. Le chef libéral s'est lancé dans ce que l'on appelle, dans la tradition politique canadienne, la tournée des BBQ. Le défi? Ne pas sortir de l'opération tout cuit. En fait, il ne s'agit pas d'une tournée estivale habituelle où le chef d'un parti se contente de serrer des mains loin du regard scrutateur des médias, de forger des alliances et de roder son organisation en prévision de prochaines élections. Stéphane Dion, lui, a décidé de faire comme s'il était déjà en campagne électorale et d'y aller avec la vente à domicile de sa politique environnementale, son fameux Tournant vert. «Bonne chance!» lui ont lancé ses rivaux, le sourire fendu jusqu'aux oreilles. Imaginez! Aller prêcher dans la riche Alberta pétrolière les bienfaits d'une taxe sur le carbone! Aller expliquer aux Albertains qu'ils devront payer plus que les autres Canadiens pour combattre les émissions de gaz à effet de serre! Ce n'est pas de cette façon que le chef libéral présente les choses, mais c'est ainsi qu'elles sont souvent comprises dans l'Ouest. Cela rappelle déjà aux habitants des Prairies le Plan national de l'énergie de Marc Lalonde, tant décrié à l'époque. Tout le monde s'entend pour dire que le chef libéral n'a pas froid aux yeux. Ce que vend Stéphane Dion dans ces raouts en bermuda, c'est l'idée que les familles à petits revenus et à revenus moyens vont profiter de baisses d'impôts importantes afin de compenser l'instauration de nouvelles taxes sur la pollution. Le chef libéral assure que ce stratagème permettra de réduire de beaucoup les émissions de GES. Ses opposants qualifient le plan de «fantaisie écologique». M. Dion est convaincu que les Canadiens approuveront sa politique, puisqu'il s'agit d'une «bonne politique». Du point de vue de la tradition des tournées de BBQ, il est inusité qu'un chef veuille engager ainsi les estivants dans un tel débat de fond. Paul Martin - tout juste viré du cabinet de Jean Chrétien - s'était lancé à l'été 2002 dans une tournée semblable qui avait attiré des milliers de partisans et qui avait envoyé un message clair au premier ministre en poste. M. Martin n'avait eu qu'à se montrer dans les jardins, les arrière-cours, les parcs et les terrains de camping pour obtenir le résultat que l'on sait. Stephen Harper, l'actuel premier ministre, avait également parcouru en long et en large le Sud-Ouest ontarien à l'été 2005, après sa décevante défaite électorale de 2004, ce qui avait eu pour effet de remettre son parti sur les rails et de lui permettre voguer vers la victoire électorale de 2006. Les deux hommes avaient pris soin de s'en tenir aux daïquiris et de laisser au parlement leurs plateformes électorales. Pourtant aujourd'hui, à la mi-juillet, la tournée de Stéphane Dion est loin d'avoir du plomb dans l'aile. À Edmonton, il y a deux semaines, le chef libéral a attiré 500 personnes lors d'un événement. «Mettons qu'en Alberta nous ne nous attendions pas à avoir tant de personnes, commente son attaché de presse, Jean-François del Torchio. Tout le monde disait que nous nous jetions dans la fosse aux lions et ça s'est bien passé.» Il y a eu ensuite le Sud ontarien la semaine dernière, les Maritimes, l'Est ontarien cette semaine et le Québec au mois d'août. «Ça n'arrêtera pas, affirme M. del Torchio. C'est difficile quand tu es dans l'opposition d'attirer autant l'attention. Nous avons déjà réussi cela.» --- LAYTON Le chef du NPD, Jack Layton, et son épouse, la députée de Trinity-Spadina, Olivia Chow, ont leur façon à eux d'attirer l'attention des Canadiens sur les changements climatiques. Ils sont en ce moment du côté de Whitehorse, au Yukon, en pleine expédition de canot-camping d'une dizaine de jours dans le parc national Kluane. Le couple en profite pour filmer une partie de la rivière Alsek afin de démontrer que le glacier qui alimente le cours d'eau est en pleine régression. M. Layton préfère au plan Dion un système d'imposition de plafonds d'émissions de GES et d'échange de crédits. --- SÉPARATISME Est-ce que cela aurait quelque chose à voir avec la taxe sur le carbone de Stéphane Dion? Un sondage de la maison Ipsos Reid a révélé la semaine dernière que les Albertains, après le Québec, étaient les plus enclins à appuyer l'idée de la souveraineté de leur province. Quelque 35% des répondants du Québec au sondage se sont dits en faveur d'un Québec indépendant. En Alberta, 18% des Albertains interrogés pensent que la province devrait quitter la Confédération. http://www.cyberpresse.ca/article/20080720/CPACTUALITES/807200368/1019/CPACTUALITES
  10. Les ténors souverainistes réclament des gestes concrets Photo Patrick Sanfaçon, La Presse Jean-François Cloutier La Presse La reconnaissance symbolique de la nation québécoise par le gouvernement Harper ne suffit pas aux ténors du mouvement souverainiste, qui exigent qu'elle se traduise par des mesures concrètes. «On a tous trouvé ça positif, la reconnaissance de la nation, mais maintenant on exige des actes qui ne soient pas seulement de l'ordre du symbole», a affirmé hier Gilles Duceppe. Le chef bloquiste était accompagné pour l'occasion de Gérald Larose, du Conseil de la souveraineté, de Jean Dorion, de la Société Saint-Jean-Baptiste, et de Marilyse Lapierre, des Intellectuels pour la souveraineté. De l'aveu même du chef du Bloc québécois, ce ne sont toutefois pas de nouvelles concessions qui réduiront l'appétit de souveraineté des Québécois. «Quand on voit qu'on est capables, on en veut toujours plus», a-t-il expliqué. Gilles Duceppe a ainsi rappelé que c'est à l'époque de Jean Lesage, au moment où les Québécois n'avaient jamais eu autant de place dans le Canada, que les aspirations indépendantistes avaient pris forme. À quelques jours de la fête nationale, le Bloc réclame trois gestes de la part du gouvernement Harper, dont la création d'un Conseil québécois de la radiodiffusion et des télécommunications (CQRT), qui remplacerait le CRTC fédéral. Le Bloc se défend cependant d'être opportuniste. «Cette demande n'est pas nouvelle, elle remonte à Duplessis», a fait valoir M. Duceppe. «Demandez aux employés de TQS s'ils aimeraient que nous ayons un CQRT, et beaucoup vous diront oui», a-t-il ajouté. La formation souverainiste demande également que la Loi 101 s'applique aux employés québécois d'entreprises de compétence fédérale. Quelque 275 000 personnes travaillant dans des secteurs comme les ports, les banques, les télécommunications et les transports seraient concernées par la mesure. Le Bloc réclame enfin que le Québec soit exclu de la loi fédérale sur le multiculturalisme, un concept ramené par Gilles Duceppe au «fractionnement de la société en une multitude de solitudes». Il lui préfère l'«interculturalisme». «Ici, nous avons un héritage commun auquel nous voulons que les immigrés se greffent», a-t-il déclaré pour illustrer les différences entre les deux modèles d'intégration. Taxe sur le carbone Questionné sur le projet de taxe sur le carbone de Stéphane Dion, Gilles Duceppe s'est montré sceptique: «Sans cibles absolues de réduction des gaz à effet de serre, on passe à côté du problème.» «Stéphane Dion a déjà dit qu'il ne fallait pas trop nuire aux pétrolières pour éviter de nuire à l'économie», a-t-il rappelé. http://www.cyberpresse.ca/article/20080621/CPACTUALITES/806211046/1019/CPACTUALITES
  11. Après Céline Dion et le Cirque du Soleil, un autre Québécois pourrait faire sa marque sur le «Strip» de Las Vegas. Pour en lire plus...
  12. Cash-strapped Quebec Liberal wing warns of closing CAMPBELL CLARK From Thursday's Globe and Mail September 27, 2007 at 5:07 AM EDT OTTAWA — The Liberal Party's Quebec wing has warned Leader Stéphane Dion that it needs a quarter-million-dollar cash injection by Friday or it will have to close its Montreal office and lay off staff. The threat is not a sign of a financial crunch but part of an internecine battle between the party's national headquarters, run by officials close to Mr. Dion, and its Quebec machine over the transfer of funds, according to party officials. The Montreal office will remain open, Liberal officials said, but the dire warning has piled onto a run of troubles for Mr. Dion. It all seems to be centred in Quebec, where grumbling about his leadership has been loudest since last week's poor showing in three by-elections, including the loss of the party's traditional safe seat of Outremont. Mr. Dion yesterday lost potential star candidate Marc Garneau, the former astronaut, who said he was frustrated by the leader's delay in appointing him to run in the safe Liberal seat of Westmount-Ville Marie. And even an MP who leapt to his defence, Raymonde Folco, of the suburban Montreal riding of Laval-Les Iles, appeared to damn him with faint praise and conceded that Mr. Dion was "not getting through" in Quebec. At his age, Ms. Folco told reporters, the leader is not going to be able to change radically, so strong players in the party might have to travel with him in the province. Former Liberal cabinet minister Jean Lapierre said on CTV-Newsnet that the party's Quebec director-general, Serge Marcil, told Mr. Dion "that if [the Liberals] don't deposit a quarter of a million dollars by Friday, they probably will have to close down the office in Montreal and they can't even honour the payroll." When reached by telephone, the president of the party's Quebec wing, Robert Fragasso, said he would call back, but he did not. A spokesman for the Liberal Party in Ottawa, Elizabeth Whiting, said that the party's Montreal office will not close. She said that a request for funds came from Quebec, but did not discuss the details, although she acknowledged that Ottawa and the Quebec Liberals disagree over money. The public departure of Mr. Garneau was another blow to Mr. Dion yesterday. The former head of the Canadian Space Agency had wanted to carry the party's banner in Westmount Ville-Marie, but decided to give up on running for the party because he doubted Mr. Dion would choose him. The Liberal Leader has said he will name a candidate in the riding, but, having been passed over for an appointment in Outremont, Mr. Garneau said he decided he will no longer try to run.
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