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  1. Il y a deux nouvelles grues à Brossard sur le Bord du FLeuve. Savons nous c'est pour quel projet?
  2. Puisque vous avez déjà manifesté de l’intérêt pour le projet Pointe-Nord, nous vous invitons à faire partie des premiers à découvrir Evolo 2 avant le lancement officiel au grand public prévu vers la fin octobre. Vous profiterez ainsi des meilleurs choix de condos et des prix d’ouverture. Ne ratez pas cette chance unique de vivre dans un endroit exceptionnel au cœur du nouveau quartier Pointe-Nord. Vous pouvez vous inscrire à la liste prioritaire en cliquant sur le lien ci-contre. Située en bordure du fleuve St-Laurent et entourée de verdure, Evolo 2 témoigne de la passion de son promoteur, Proment, pour l’excellence et la qualité. Cette élégante tour de 30 étages offrira des vues époustouflantes du fleuve ainsi que des espaces de vie aux configurations et design novateurs. Les superficies des appartements standards varieront entre 690 et 1390 pi.ca. et les penthouses et condominiums de plus grandes dimensions se retrouveront aux étages supérieurs. Cliquez sur ce lien et inscrivez-vous dès maintenant ! http://pointenord.com/evolo2/bientot-disponible/ Architecte: Jean-Pierre Bart
  3. Le 215 Redfern à Westmount est un nouveau projet de condos modernes de 6 étages comprenant 65 grands appar-tements luxueux qui seront érigés sur un site où s'élève actuellement un immeuble à bureaux en voie de démolition. Ce nouvel édifice de prestige, situé dans le quartier convoité de Westmount, sera construit sur une rue résidentielle tranquille dans un emplacement exceptionnel. Il est à quelques pas de l'avenue Greene, de boutiques, de restaurants, de cinémas et du métro. Avec une vue imprenable sur le fleuve, le mont Royal et les parcs avoisinants de Westmount, il s'agit du meilleur endroit pour vous sentir comme chez-soi. Vous devez absolument jeter un coup d'œil au 215 Redfern. http://215redfern.com/accueil.php
  4. http://tdpconstruction.ca/notredame.php Pas très intéressant pour nous mais quand meme !!!
  5. Lofts Zuni Vivre sur l'Île comme en ville Les condos + lofts ZUNI (Zone Urbaine du Nord de l'Île), première phase de la communauté de la Pointe-Nord, forment le dernier ajout à la vie de l'île. Situés à quelques minutes du centre-ville de Montréal, ces condos-lofts abordables vous proposent des espaces de vies modernes, à aire ouverte, donnant sur le fleuve. ZUNI, intègre les meilleurs éléments d'architecture contemporaine et vous permettra de profiter d'installations communes de haut niveau comprenant une aire de détente, une salle de jeu, un gymnase bien équipé ainsi qu'une piscine sur le toit de l'immeuble offrant des vues panoramiques du centre-ville et du fleuve. Quartier Pointe-Nord - Une petite collectivité verte est en construction sur l'île Le Devoir Martine Letarte Édition du samedi 07 et du dimanche 08 mars 2009 Mots clés : Zuni, Quartier Pointe-Nord, Construction, Habitation, Montréal Zuni est le premier élément d'un ensemble de 1600 unités Le quartier comptera de nombreux espaces verts et, pour établir le plan directeur, les constructeurs travaillent avec le service d'urbanisme de l'arrondissement de Verdun. Depuis quelques années déjà, la Corporation Proment planche sur son projet de quartier écologique qu'elle développe sur la pointe nord-est de l'Île-des-Soeurs, un terrain d'une superficie d'un million de pieds carrés. Le projet en impose avec ses 1600 unités d'habitation d'une valeur totale d'environ 700 millions de dollars. Si tout n'est pas encore coulé dans le béton, la première phase commence à prendre forme. Zuni: voilà le nom que portera la première phase de lofts du quartier Pointe-Nord. Les 165 unités résidentielles seront construites dans un immeuble de six ou sept étages, à l'architecture contemporaine. «Au rez-de-chaussée, on retrouvera des commerces qui seront certainement appréciés des résidants, comme un café, un restaurant, une fromagerie, une boulangerie, un nettoyeur, une épicerie, une épicerie fine, etc.», indique Louis-Joseph Papineau, vice-président, développement et construction, de la Corporation Proment. Le toit de l'édifice sera transformé en terrasse commune avec piscine, vue sur le fleuve Saint-Laurent et sur la ville de Montréal. «Pour nous, c'est important de trouver un bel équilibre entre architecture poussée, design intérieur détaillé et produit somme toute abordable. Ainsi, la majorité de nos unités se vendront en dessous de 300 000 $», précise M. Papineau. Pour ceux qui craignent d'aller vers un concept de loft à aire ouverte, il sera possible de fermer une ou deux chambres. Un projet mixte et intégré La Corporation Proment a également l'intention de construire une dizaine de maisons de ville dans la première phase et de hautes tours de condominiums dans les phases suivantes. «Le projet Pointe-Nord mise vraiment sur la variété: il y aura des commerces, des bureaux, des maisons de ville, des lofts, des condominiums, des familles, des couples, des célibataires, des travailleurs, etc. C'est vraiment une collectivité mixte que nous voulons créer», affirme M. Papineau. Le récent déménagement du siège social de Bell Canada à l'Île-des-Soeurs a d'ailleurs donné un bon coup de pouce au volet commercial de la Pointe-Nord. Évidemment, il faut nourrir et occuper ces milliers de travailleurs à l'heure du lunch! La Corporation Proment a aussi l'intention de maximiser la mise en valeur de la beauté naturelle du site. «La Pointe-Nord s'avance dans le fleuve Saint-Laurent, donc trois côtés de l'espace donnent sur l'eau et la vue sur le centre-ville est époustouflante. Nous allons démocratiser le fleuve et la vue, les rendre accessibles à tous les habitants du quartier», indique le vice-président, développement et construction. Un projet vert Avec la Pointe-Nord, la Corporation Proment vise une certification écologique LEED pour le quartier. Pour ce faire, les constructeurs reprendront les grands principes de construction verte de leurs projets antérieurs sur l'île, dont le Vistal, mais ils pousseront plus loin les préoccupations de développement durable. «Nous voulons vraiment créer un concept de collectivité avec une vie de quartier riche. Nous travaillons sur les plans pour que les futurs résidants de la Pointe-Nord puissent combler tous leurs besoins à proximité, sans prendre leur voiture. D'ailleurs, tous les stationnements seront souterrains et le transport en commun est accessible et rapide pour se rendre au centre-ville de Montréal», affirme Samuel Gewurz, président de la Corporation Proment. Le quartier comptera aussi de nombreux espaces verts et, pour établir le plan directeur, les constructeurs travaillent avec le service d'urbanisme de l'arrondissement de Verdun. La Ville a d'ailleurs pris possession d'une bande de terre de 15 mètres qui longe le fleuve et fait le tour de l'île, pour y construire un réseau de pistes cyclables et pédestres. «Une grande partie de cette piste cyclable est construite, mais il nous reste un tronçon à réaliser cette année», indique Gilles Baril, directeur de l'arrondissement de Verdun. Et ajoute Louis-Joseph Papineau: «La piste cyclable de la Pointe-Nord rejoindra celle qui fait le tour de l'Île-des-Soeurs et qui est reliée à la Route verte.» Plus de parcs Les discussions se poursuivent entre la Corporation Proment et l'arrondissement de Verdun, car celui-ci souhaite construire trois autres parcs qui, dans un désir d'intégration, seraient attenants au parc linéaire riverain. La volonté de donner accès à l'eau est aussi présente. «Que ce soit à Montréal ou à l'Île-des-Soeurs, il y a très peu d'accès directs au fleuve. Il n'y a pas assez d'eau pour qu'on puisse construire une marina à la Pointe-Nord, mais on veut tout de même construire un quai pour que les gens puissent pêcher, par exemple, et mettre à l'eau un kayak ou d'autres petites embarcations», ajoute M. Papineau. Après avoir consulté quelques architectes canadiens et américains pour maximiser le potentiel du site de la Pointe-Nord, la Corporation Proment en raffine actuellement les détails avec l'aide d'architectes et d'urbanistes locaux. Le projet est encore en évolution mais, si tout va comme prévu, la prévente de la première phase devrait commencer à l'automne et la première pelletée de terre est prévue en 2010. Fiche technique Pointe-Nord - première phase - Type d'unités: lofts - Nombre d'unités: 165 - Superficie des unités: de 550 à 1000 pi2 - Nombre d'étages: 6 ou 7 - Prix: de 200 000 $ à 300 000 $ - Différents commerces au rez-de-chaussée - La première phase comprendra aussi une dizaine de maisons de ville - Tous les stationnements seront souterrains - Transport en commun à proximité - Piste cyclable reliée à la Route verte - Vue sur le fleuve Saint-Laurent et la ville de Montréal
  6. Publié le 09 août 2009 à 05h00 | Mis à jour à 10h38 La décontamination de l'ex-Technoparc retardée de deux ans Depuis qu'elle a acquis le terrain de l'ex-Technoparc à la fin des années 80, la Ville de Montréal a dépensé 5 millions pour capter les substances toxiques qui coulent dans le fleuve, sans jamais réussir à décontaminer les sols une fois pour toutes. Martin Croteau Cyberpresse La restauration du Parc d'entreprises de la Pointe-Saint-Charles est retardée d'au moins deux ans. La Ville de Montréal souhaitait amorcer le nettoyage de ce vaste terrain contaminé situé au bord du Saint-Laurent cette année, mais les travaux ne commerceront pas avant 2011 ou 2012, a appris La Presse. La décontamination de l\'ex-Technoparc retardée de deux ans Daniel Green, co-président de la société pour vaincre la pollution, prend un échantillon d'eau polluée par les résidus de pétrole sur les berges du fleuve St-Laurent, tout près du pont Victoria. «Il y a déjà eu des études préliminaires et des essais faits au printemps, explique le directeur du ministère de l'Environnement pour la région de Montréal, Pierre Robert. Ça a mis en évidence une problématique environnementale plus complexe que celle qui était anticipée.»Aux abords du fleuve, à quelques mètres à peine du pont Victoria, un muret de plastique orange est tenu en place par des flotteurs noirs. Un fort débit coule d'un côté. De l'autre, à l'abri du courant, des boudins beiges flottent dans une eau stagnante. Ce sont des capteurs qui absorbent les hydrocarbures. Les roches qui se trouvent au bord de l'eau sont couvertes d'une boue qui empeste l'essence. On peut voir l'auréole des taches d'huile flottant sur l'eau. Ce dispositif de captage de la pollution est une «solution temporaire». En juin 2008, la Ville avait annoncé son intention de lancer dans l'année des travaux de nettoyage permanents, mais elle doit attendre encore. Les roches qui se trouvent au bord de l'eau sont couvertes d'une boue qui empeste l'essence. «Les travaux visant à implanter la solution permanente pourraient avoir lieu autour de 2011 ou 2012», affirme Pierre Robert. Autrefois appelé le Technoparc, le site a été une gare de triage ferroviaire, un stationnement pour Expo 67, un aéroport et un dépotoir. Il recèle entre 4 et 8 millions de litres de diesel, ainsi qu'une à deux tonnes de biphényles polychlorés (BPC). Ces substances s'écoulent dans le fleuve depuis le début des années 90, et leurs traces ont été retrouvées à plusieurs kilomètres en aval. En 2005, la Ville a bâti un mur de béton souterrain d'une longueur de 160 mètres afin d'empêcher les polluants de s'écouler dans le fleuve. Un système de flotteurs déployé à deux endroits sur la rive permet de capter des matières toxiques qui coulent dans le fleuve et de les éliminer. Mais cette méthode n'empêche pas les substances toxiques de se retrouver dans le fleuve, affirme l'écologiste Daniel Green. D'autant plus que les flotteurs sont retirés de l'eau en hiver pour éviter qu'ils soient broyés par la glace. «Tous les efforts que déploient la Ville de Montréal pour l'environnement - le Bixi, le transport en commun - sont annulés par cette pollution causée au fleuve», a indiqué le directeur de la Société pour vaincre la pollution. Pierre Robert, lui, prêche la patience. «Ce n'est pas comme mettre de l'asphalte sur une route, lorsque le risque de se tromper est faible, fait-il valoir. Dans ce cas-ci, on ne voit pas en-dessous de la terre. Alors il est très important de faire une analyse fine avant de procéder.» Montréal a acquis ce terrain lourdement pollué des gouvernements fédéral et provincial, dans les années 80. Depuis, elle a déjà dépensé entre 5 et 6 millions pour étudier le problème et contrôler les déversements toxiques. Et à maintes reprises, elle a indiqué qu'elle n'avait pas été avertie de l'ampleur des travaux de décontamination. Une étude de la Commission de coopération environnementale, l'organisme nord-américain de surveillance de l'environnement, a d'ailleurs souligné qu'Ottawa savait dès le début des années 80 que les terrains recelaient des substances toxiques. Mais Montréal a renoncé à toute réclamation auprès des vendeurs en les acquérant. Les autorités municipales ignorent toujours comment s'y prendre pour nettoyer le terrain une fois pour toutes. La Ville a commandé une étude de 1,5 million au Centre d'excellence de Montréal en réhabilitation des sites (CEMRS) pour qu'il lui propose des technologies. Mais elle n'a toujours pas reçu le rapport, qui devait pourtant lui être rendu en février. Le responsable du dossier à la Ville de Montréal, Alan Desousa, a refusé de commenter le dossier, hier.
  7. Voila quelque photos de mon périple en Australie, cette fois ci la ville de Perth. Le centre ville piéton (vraiment semblable à toute les villes australienne) Gare centrale Perth la nuit depuis le jardin botanique Perth depuis l'autre rive du fleuve Swan The bell Tower Transport en commun très agréable à Perth (bus moderne avec air conditionné, et gratuit sur le centre ville)
  8. Voici les dernières infos sur ce projet: LA TOUR TYSEL POUR UNE VIE MERVEILLEUSE Une magnifique tour qui sera construite près des rives du fleuve St-Laurent. Occupation 2010. Superbe tour de condominium, à partir de 998 P.C. à un incroyable 1466 P.C. Ces beaux comdominium auront une vue panoramique exceptionelle. Plusieurs de Montréal, la voie maritime et le fleuve St-Laurent. Les autres, des vues panoramique de la montérégie, mont St-Bruno, mont St-Hilaire et même le mont St-Grégoire. Spacieuse divisions, piscine intérieure à l'eau salée, sauna et aussi garage intérieur. Beaux jardins, bien paysagés pour votre plaisir et la détente. Très bien situé, à 10 minutes du coeur de Montréal, près des services. Pour toutes informations sur ce projet, veuillez communiquer avec nous: Sandra Therrien: 514.690.7388 Tyronne Candappa: 514.569.9219 Courriel : tyronne@tysel.ca
  9. Publié le 16 février 2009 à 05h00 | Mis à jour à 10h37 Ex-Technoparc: la facture de la Ville continue d'augmenter Martin Croteau La Presse Depuis qu'elle a acquis le terrain de l'ex-Technoparc à la fin des années 80, la Ville de Montréal a dépensé 5 millions pour capter les substances toxiques qui coulent dans le fleuve, sans jamais réussir à décontaminer les sols une fois pour toutes. Le parc d'entreprises de Pointe-Saint-Charles continue de coûter une fortune à Montréal, et la Ville ne sait toujours pas comment décontaminer ce vaste terrain une fois pour toutes. La semaine dernière, le comité exécutif a débloqué 107 000 $ supplémentaires pour capter les substances toxiques qui coulent dans le fleuve, portant ses dépenses à plus de 5 millions depuis que la Ville a acquis le terrain à la fin des années 80. Ce dernier investissement servira à redéployer un système de flotteurs sur la rive du Saint-Laurent pendant la fonte des glaces. Le dispositif permettra de récupérer des matières toxiques qui coulent dans le fleuve et de les éliminer. «La Ville de Montréal, par souci de protéger l'environnement, encourra des frais additionnels pour maintenir les estacades et les boudins, de manière à capter au maximum les hydrocarbures, pour minimiser la perturbation», a expliqué le responsable de l'environnement au comité exécutif, Alan DeSousa. L'emplacement, autrefois appelé Technoparc, a déjà été une vaste gare de triage ferroviaire et il a aussi servi de dépotoir. Il contient entre 4 et 8 millions de litres de diesel, ainsi qu'une à deux tonnes de biphényles polychlorés (BPC). Des traces de ce produit hautement toxique ont été trouvées dans le fleuve à plusieurs kilomètres en aval. Alan DeSousa estime que Montréal a dépensé entre 5 et 6 millions pour étudier le problème et contrôler les déversements toxiques depuis qu'elle a acquis ces terrains des gouvernements fédéral et provincial. «On n'a réglé aucun problème, admet-il. On a seulement acquitté nos obligations environnementales avec ce terrain qu'on avait pris de bonne foi, mais qui venait avec de lourdes responsabilités dont la Ville n'avait pas été avertie.» Une étude de la Commission de coopération environnementale, l'organisme nord-américain de surveillance de l'environnement, a souligné l'an dernier qu'Ottawa savait depuis le début des années 80 que les terrains recelaient des substances toxiques. Montréal a renoncé à toute réclamation auprès des vendeurs lorsqu'elle les a acquis. La Ville a récemment investi 400 000$ dans un projet pilote pour décontaminer le sol en y plantant des arbres. Elle a commandé l'an dernier une étude de 1,5 million au Centre d'excellence de Montréal en réhabilitation de sites (CEMRS) pour qu'il lui propose des technologies pour restaurer le parc industriel une fois pour toutes. L'organisme doit lui rendre son rapport d'ici la fin du mois. Alan DeSousa espère que les résultats lui permettront de mettre en branle le projet de 70 millions le plus vite possible afin de profiter des programmes d'infrastructures annoncés dans le budget du gouvernement Harper. «Mais même avec ce rapport, ne vous attendez pas à ce que, du jour au lendemain, on puisse corriger la situation avec une baguette magique, a-t-il indiqué. Ce n'est pas réaliste. Mais au moins, si on a cette solution, ça nous donne espoir qu'on peut adopter des mesures concrètes.» La Ville accusée d'inaction Pourtant, le temps presse, dénoncent les écologistes. Le toxicologue Daniel Green, de la Société pour vaincre la pollution, estime que la Ville, par son inaction au fil des ans, est devenue l'un des principaux pollueurs aux BPC du Canada. Il affirme qu'elle s'est traîné les pieds pendant si longtemps qu'il envisage de la traîner en cour. «On est en train de ramasser notre preuve pour être capables d'intervenir, a-t-il expliqué. On parle à des avocats pour voir quelle pourrait être l'avenue juridique. Parce qu'il est clair que ni le fédéral ni la province ne vont poursuivre la Ville de Montréal.» Peu importe le résultat de l'étude du CEMRS, la Ville sait déjà comment réhabiliter le sol de l'ex-Technoparc, poursuit M. Green. Selon lui, il faut drainer l'eau souterraine qui coule vers le fleuve, poser un mur souterrain afin d'encercler le site contaminé et empêcher les matériaux toxiques de s'écouler dans le fleuve à l'aide d'un autre mur. Ce n'est qu'une fois ces étapes terminées que la décontamination du site comme telle pourra débuter. Ce long processus a fait ses preuves ailleurs, soutient Daniel Green, mais la facture sera salée : au moins 100 millions de dollars.
  10. Hydro-électricité Les éoliennes de la mer Mise à jour le samedi 26 juillet 2008, 17 h 24 . Une entreprise américaine souhaite installer des turbines au fond du fleuve Saint-Laurent, à la hauteur de Cornwall, pour produire de l'électricité. L'Ontario investit près de 2 millions de dollars dans ce projet de centrale sous-marine. L'efficacité de ces turbines, qui ont des allures d'éoliennes, a déjà été testée dans les environs de New York par l'entreprise américaine Verdant Power. Les marées les avaient cependant endommagés. L'absence de mouvements des eaux dans le fleuve devrait permettre d'éviter ce problème. Par ailleurs, les turbines ne seront pas fixées au fond du cours d'eau, comme ce fut le cas dans le projet américain. Le promoteur estime que la manoeuvre aurait été trop coûteuse. Les mécanismes seront plutôt insérés dans un long tube. Le directeur de l'Institut des sciences environnementales du fleuve Saint-Laurent, Jeff Ridal, estime que le promoteur a tiré des leçons de ses erreurs passées. L'entreprise Verdant Power précise d'ailleurs qu'elle s'assurera que ses installations ne nuiront ni à la navigation, ni à la flore et à la faune. De son côté, le maire de Cornwall, Bob Kilger, croit qu'il s'agit d'une source d'énergie très attrayante. « Le fleuve Saint-Laurent a toujours été au coeur de notre économie », indique-t-il. À terme, le projet devrait produire 15 mégawatts ce qui permettrait d'alimenter plus de 11 000 maisons. Si les autorisations sont accordées, la première turbine pourrait être installée dans le fleuve, près de Cornwall, dès l'an prochain. http://www.radio-canada.ca/regions/ottawa/2008/07/26/003-eoliennes-mer.shtml?ref=rss
  11. L'Ontario injecte près de 2millions de dollars dans un projet de centrale dans le fond du fleuve Saint-Laurent, à la hauteur de Cornwall. Pour en lire plus...
  12. Jalouse de Québec Rima Elkouri La Presse Québec est devenue une vraie ville, m’a avertie un ami avant de partir. Il faut maintenant des réservations pour aller au resto. Et les gens y portent des jeans...» J’ai cru qu’il exagérait, lui, l’ex-gars de Québec qui tentait de convaincre la fille de Montréal que Québec n’était plus la carte postale lisse et ennuyeuse d’autrefois. À l’entendre, Québec était devenue la capitale culturelle la plus extraordinaire au monde, à peine une coche en dessous de Londres… J’avais déjà visité Québec à quelques reprises, le plus souvent en coup de vent. Mais je n’y avais jamais rien vu de plus qu’une jolie petite ville, monochrome et proprette. Québec veut dire «là où le fleuve se rétrécit». Et le plus souvent, j’avais l’impression que ce n’était pas seulement le fleuve qui s’y rétrécissait. Moi qui me sens parfois à l’étroit à Montréal, ce grand village obsédé par son nombril, j’ai du mal à apprécier plus petit encore. Mais Québec a changé. Pendant que Montréal stagne, la capitale, déjà belle, s’est refait une beauté à 500 millions de dollars pour son 400e anniversaire. Là où le fleuve se rétrécit, il s’élargit aussi. Tout dépend de la direction dans laquelle on regarde. Vas-y, tu verras, m’a-t-on dit. J’y suis allée, j’ai vu. Et s’il n’est toujours pas question pour moi de déménager à Québec, j’avoue que j’en suis revenue plus jalouse que je ne l’aurais cru. Vendredi après-midi, quand j’ai quitté Montréal, il faisait 30°. Trois heures plus tard, à Québec, il faisait à peu près 12°, avec un vent à écorner les bœufs. «Apportez une petite laine», a averti le gars de l’hôtel. Québec, là où le fleuve se rétrécit, là où on gèle aussi… Jusqu’ici, pas de jalousie. Il était 19h30. J’avais une faim de loup. Rue du Sault-au-Matelot, l’une des plus anciennes rues d’Amérique du Nord, impeccablement restaurée, j’ai tenté ma chance au restaurant Toast!, dont on dit beaucoup de bien. Des gens en jean se pressaient vers la jolie terrasse. «Désolé, c’est complet.» On me suggère d’aller au Café du Monde, un bistro dit «parisien» avec vue sur le fleuve. Mais c’était complet aussi. Tant pis. Une bière et un hot-dog feront bien l’affaire, me suis-je dit en me dirigeant vers le bar L’Inox, rue Saint-Paul. «Désolée, on ne peut pas accepter les enfants», a tout de suite dit la serveuse en apercevant fiston dans sa poussette... C’était donc vrai. Québec est devenu une vraie ville, cruelle pour le pauvre touriste sans réservation. Finalement, je dois remercier cette serveuse d’avoir appliqué à la lettre le règlement visant à prévenir l’alcoolisme chez les enfants de 2 ans. J’ai ainsi pu me réfugier sous un des chapiteaux du Vieux-Port, en face des silos Bunge, où on présente tous les soirs à 22h le fabuleux Moulin à images de Robert Lepage. Le meilleur endroit pour voir ce spectacle, qui vaut à lui seul trois heures d’ennui sur l’autoroute 20. On a pris des sandwichs et une bouteille de vin. «Combien ça vous a coûté, votre bouteille?» a demandé notre voisine en lorgnant notre cabernet sauvignon sans prétention de la Maison Nicolas. Vingt dollars, pourquoi? «Ah, c’est pas si pire! En 1984, les restaurants du Vieux-Port ont voulu en profiter…» a-t-elle dit, en faisant référence aux festivités de Québec 84 boudées par le public. Le vin faisait oublier le vent. Des gens prévoyants avaient apporté de grosses couvertures. Et les magnifiques images de Lepage racontant l’histoire de Québec me rappelaient que j’avais tort de tourner le dos à cette ville. Il y a à peine 10 ans, le quartier Saint-Roch était un trou caché sous son «mail». Aujourd’hui, la rue Saint-Joseph Est peut envoyer se rhabiller l’avenue du Mont-Royal. Le lendemain matin, j’ai redécouvert Québec en marchant. Du Vieux-Port, j’ai longé la rue Saint-Paul. Devant la gare, il y a un joli parc, soigneusement aménagé, comme on en voit rarement à Montréal. Dans le parc, 40 chaises de l’artiste Michel Goulet, sur lesquelles sont inscrits les mots de 40 poètes. L’œuvre, qui s’appelle Rêver le Nouveau Monde, est un cadeau de Montréal. Un très beau cadeau. Je me suis arrêtée devant ces mots de Louise Dupré: «Dans les yeux s’allume une ville, qu’on n’a jamais pris la peine de visiter.» Et j’ai repris mon chemin. J’ai marché jusqu’à la rue Saint-Joseph Est, dans le quartier Saint-Roch, ancien quartier ouvrier, pauvre, délabré et placardé que le maire Jean-Paul L’Allier a eu l’audace de revitaliser avec intelligence. Il y a à peine 10 ans, le quartier Saint-Roch était un trou caché sous son «mail», à l’abri des regards. Aujourd’hui, la rue Saint-Joseph Est peut envoyer se rhabiller l’avenue du Mont-Royal. Et on se prend à rêver d’avoir un maire avec autant de vision que L’Allier pour diriger Montréal. À la tabagie de la Place, un monsieur feuilletait le Paris Match soi-disant consacré au 400e de Québec. «C’est tout sur Montréal!» a-t-il lancé à son ami. En effet, Paris Match pensait que c’était le 400e DU Québec et non DE Québec. On y parle de Garou, de Luc Plamondon, de Denise Bombardier, des meilleures adresses à Montréal, bref de tout et de n’importe quoi, sauf de Québec. Il fallait le faire. Rue Saint-Joseph, à côté de la tabagie, je suis entrée dans la superbe librairie-galerie Le Vaisseau d’or. Puis défilent des cafés, des boulangeries, un théâtre, des pâtisseries, des restaurants branchés à côté de restos de hot-dogs à 89 cents, un magasin Hugo Boss tout près d’une boutique où on vend des t-shirts de Bérurier Noir et des Doc Martens. La Basse-Ville n’a plus rien à envier à la Haute-Ville. Remontant vers la Haute-Ville, je suis passée par le parc des Esplanades. Là, des cochers alignés sous un élégant auvent attendent les touristes. Rien à voir avec les calèches du Vieux-Montréal et leurs cochers débraillés qui font parfois peur aux passants. J’ai ainsi arpenté la ville pendant deux jours, sous le soleil et sous la pluie. Au pied de la côte d’Abraham, j’ai apprivoisé l’édifice de la Falaise apprivoisée, avec son audacieux manteau de rouille. J’ai vu la magnifique promenade Samuel-de-Champlain le long du fleuve, avec son mobilier de bois design et ses jolies dunes de gazon. Partout, j’ai été séduite par l’aménagement soigneux, la mise en valeur du patrimoine, la créativité. Je suis rentrée hier avec un calepin plein de questions pour Montréal. Comment se fait-il que, en matière d’aménagement urbain, Québec réussit là où Montréal échoue? Comment se fait-il que le Vieux-Québec soit aussi bien mis en valeur alors que le Vieux-Montréal est toujours tout croche? Pourquoi la rue Saint-Paul n’est-elle pas encore piétonne? Pourquoi Montréal n’est-il toujours pas foutu de trouver une vocation à son bon vieux Silo no 5? Qu’attend-on pour mettre nos berges en valeur? Quelle est la dernière fois que Montréal a posé un geste fort en matière d’urbanisme? Quelle est la dernière fois que la Ville a réalisé un grand projet? Est-ce après une «enquête» du Paris Match qu’on a donné à Montréal son titre de ville de design? Où ça, le design? Avez-vous vu ces pots de fleurs beiges qui ressemblent à s’y méprendre à des poubelles bon marché placées un peu n’importe comment dans le Vieux-Montréal? Vous appelez ça du design? Monsieur Gérald Tremblay, vous qui serez à Québec cette semaine pour le 400e, ouvrez les yeux. Regardez comme c’est beau. Regardez comment cette ville prend soin de son patrimoine. Regardez comment elle a su redonner vie à ses coins les plus délabrés. Monsieur le maire, cette ville a quelque chose à vous dire. Montréal ne peut pas continuer comme ça. http://www.cyberpresse.ca/article/20080630/CPOPINIONS05/80629126/-1/CPOPINIONS05
  13. Complété il y a moins d'un an, mais posté ici car il n'y avait pas de fil sur ce projet. Quand même un beau projet pour Longueuil. En plein centre du secteur vieux-Longueuil, sur le bord du fleuve, etc. Personnellement, j'aime. 6 étages, condos. Emplacement: Construction automne 2006: 2008:
  14. Le vendredi 23 mai 2008 Un projet menace le Saint-Laurent Charles Côté La Presse Le fleuve Saint-Laurent risque de vivre des épisodes dévastateurs de sécheresse, au point de voir le lac Saint-Pierre disparaître, si les autorités canado-américaines adoptent le nouveau régime de gestion du débit actuellement à l'étude, selon Nature Québec. Ce nouveau régime est appelé à remplacer l'actuel, en place depuis 1958. Le débit du fleuve est contrôlé par un barrage international, Moses-Saunders, entre Cornwall en Ontario et Massena, New York. «Il y a énormément de monde qui s'intéresse à cette question en Ontario et aux États-Unis, dit Christian Simard, de Nature Québec. L'Ontario et l'État de New York se sont déjà prononcés en faveur du projet.» Joint par La Presse, le porte-parole de la ministre du Développement durable, de l'Environnement et des Parcs (MDDEP), Line Beauchamp, a indiqué que la position du gouvernement du Québec à cet égard n'était pas encore déterminée. Urgence Pourtant, il y a urgence, affirme Marc Hudon, responsable de ce dossier à Nature Québec. «On tient pour acquis que l'eau va toujours être là, dit M. Hudon. Mais aujourd'hui, il y a l'incertitude des changements climatiques.» Le projet prévoit de plus grands extrêmes entre crues et étiages. Cela aurait pour effet d'imiter un régime plus naturel en amont du barrage, mais il y a des risques importants pour l'aval, dit M. Hudon. «Une diminution de débit sur le fleuve a beaucoup plus d'impact que sur un lac, dit-il. Ce n'est pas long que l'eau se retrouve dans le chenal de navigation.» Une réduction du volume d'eau dans le fleuve aurait toutes sortes d'impacts négatifs, selon M. Hudon. «C'est le volume d'eau qui permet de diluer la pollution des systèmes d'épuration municipaux ou de la pollution agricole, dit-il. S'il coule moins d'eau, on aura plus de difficulté à la traiter pour les aqueducs. Les contaminants seront plus concentrés. Il y aura même des sections du fleuve qui seront à sec où des sédiments contaminés seront exposés à l'érosion.» La proposition de nouveau régime doit être présentée en audience publique à Montréal le 17 juin et le 18 à Sorel.
  15. TVA pas rapport mais je la trouvais belle Cour arrière très laides près du pont Pont Radio Canada 2 Églises Rue Ste-Catherine Boul. René Lévesque Molson :cheers: Traffic sur le pont Porc Autoroute Ville-Marie 1000 Port Train Fleuve St-Laurent Plus belle vue possible sur le skyline :banana: La ville avec son fleuve Bateau de plaisance Passerelle ... ça shake en sale ça avec le traffic pis les van :sly: Twins !
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