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STM : Prolongement : Ligne 02 orange vers le nord-est


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ils sont où les détracteurs du métro à laval?
:) Très bonne question! :) C'est simplement la preuve que si on se donne la peine de construire des infrastructures de transport en commun attrayant et efficaces, les gens vont les utiliser.

 

Ça a coûté 745M$ ? Et alors? 80 000 personnes l'utilisent chaque jour! (je peux me tromper sur les chiffres)

80 000? je pensais que c'était 60 000... en tout cas je pense que ça doit être un bon 15+% de la ligne orange

 

Beaucoup de ces usagers ne vont pas jusqu'au centre-ville : autrement, il n'y aurait plus de place lorsque j'embarque à la station Laurier chaque matin !!

D'autre part : avez-vous remarqué le nombre de passagers de l'autre côté ? :)

Justement Yarabundi, le métro est plein en partant de Laval.

-à H-Bourassa, presque personne rentre, de toute façon ils ont l'autre "un sur deux" à eux

-à Sauvé-Crémazie-Jarry, quelques uns sortent, et très peu rentrent

-à Jean-Talon, les UdeM et autres sortent, et ceux qui rentrent re-remplissent

-à Beaubien-Rosemont-Laurier, ça se re-remplit (beaucoup débarquent à Beaubien)

-à Mont-Royal et Sherbrooke, presque personne rentre (beaucoup débarquent à Sherbrooke)

-à Berri ça se vide et re-remplit à craquer...

 

Ça c'est l'heure de pointe, les autres heures c'est très différent, surtout la proportion d'usagers de Laval. Comme tu fais remarquer, il y a très peu de gens de l'autre bord... peu de gens utilisent le métro de Laval pendant les heures creuses ou "dans le mauvais sens"

 

 

 

Comme AlainS dit, la boucle devient de plus en plus pressante, surtout quand on voit le gros déséquilibre entre Montmo et C-Vertu. En complétant la boucle, le métro se rapproche directement de, quoi, 200-300 000 personnes?

Et des dizaines de milliers qui vont actuellement à Montmorency changeront pour l'autre bord, ce qui amènera plus d'équilibre.

 

Je dirais qu'il faudrait commencer par la ligne bleue des 2 bords, ensuite la boucle...

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Membres prolifiques

Un des problemes de continuer la ligne bleue vers l'est en ce moment, c'est le manque de capacité rendu a la ligne orange et les gens n'iront pas se taper la ligne bleue jusqu'a Snowdon pour transiter vers la ligne orange, trop long et inneficace.

 

D'ou l'importance de favoriser la création et la construction d'un plan d'ensemble, des petits bouts ici et la, c'est bien, mais de planifier les déplacements en entier, c'est encore mieux.

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  • 2 mois plus tard...

De Montmorency à Côte-Vertu

par Nathalie Villeneuve

 

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Article mis en ligne le 17 décembre 2008 à 11:31

 

 

Le projet de 1,5 milliard de dollars prévoit l'ajout d'une boucle vers le Carrefour Laval et deux autres stations dans l'axe du boulevard Chomedey.

 

Le maire de Laval, Gilles Vaillancourt, est un homme têtu. Lundi, lors du dévoilement du budget 2009 de la Ville, il a réitéré son intention de poursuivre les démarches en vue du parachèvement de la ligne orange du métro, jusqu'à la station Côte-Vertu.

 

«L'Agence métropolitaine de transport [AMT] va lancer un appel d'offres pour une étude d'impact et de faisabilité», a indiqué le maire, en réponse aux questions des journalistes à ce sujet. «Un engagement a été pris par le premier ministre pour compléter la ligne orange», a-t-il fait valoir.

 

À l'AMT, on confirme que le projet est effectivement dans les cartons. «Le PTI [Projet triennal d'investissement] 2009-2010-2011 prévoit en effet la mise sur pied d'un bureau de projet pour étudier le développement de la ligne orange. L'échéancier n'est pas encore déterminé», affirme une porte-parole de l'Agence, Martine Rouette.

 

Dix ans

 

Déjà, en juillet 2007, moins de trois mois après l'ouverture des stations lavalloises, le maire parlait d'un fonds de 100 M$ par année, sur dix ans, en vue de financer le projet.

 

Lundi, M. Vaillancourt avançait le chiffre de 150 M$ par année, soit le coût moyen de construction d'un kilomètre de métro, si on se fie au dernier grand chantier du genre. Les 5,2 kilomètres de prolongement du métro à Laval ont en effet coûté 803,6 M$.

 

 

Le projet caressé par le maire, dont le coût total s'élèverait à 1,5 milliard de dollars, prévoit l'ajout d'une boucle vers le Carrefour Laval. On creuserait ensuite vers le sud, dans l'axe du boulevard Chomedey. Trois stations s'ajouteraient ainsi sur le territoire lavallois.

 

La ligne ferait jonction avec la station de train de banlieue Bois-Franc (ligne Deux-Montagnes/Montréal), avant de se raccorder à la station de métro Côte-Vertu.

Métro populaire

 

Le projet se justifie aisément, a laissé entendre le maire. «Le référendum sur le métro de Laval se fait quotidiennement, a-t-il illustré. Le nombre moyen d'usagers des trois stations atteint environ 60 000 par jour, soit près de deux fois plus que les 34 000 prévus à l'origine», a-t-il souligné.

 

 

«Ça nous a pris 30 ans à obtenir l'attention du gouvernement pour le métro. Les opposants au projet disaient qu'il en coûterait moins cher d'acheter une Volkswagen à tous les Lavallois. Il faut se rappeler que Laval est la deuxième ville la plus dense de la province et notre capacité à nourrir un système de transport est déjà prouvée.»

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  • 1 mois plus tard...

Le projet le mieux géré… le métro à Laval!

* Dominique Froment, Les affaires

* 13:22

 

La gestion du prolongement du métro à Laval a SNC-Lavalin, Tecsult et le consortium MBGF. Image : AMT

 

Il devait coûter 179 millions de dollars, il aura finalement coûté 743 millions. Ce qui n’a pas empêché le prolongement du métro de Montréal à Laval d’être choisi le projet le mieux géré de l’année par PMI-Montréal (Project Management Institute).

 

Ça demandait quelques explications et c’est la raison pour laquelle nous avons joint Claude Besner, professeur au Département management et technologie d’ESG UQAM et président du jury qui a fait ce choix à priori étonnant.

 

«Le jury que je présidais a pu prendre connaissance du dossier complet du prolongement du métro à Laval et il est clair que ce qui a été perçu comme un désastre par la population est attribuable à un cafouillage et à de l’ingérence politique», explique M. Besner.

 

Selon lui, dès que les politiciens ont remis le projet entre les mains de gestionnaires de projets, tout s’est déroulé dans les règles de l’art. «Le projet a même coûté 5 millions de dollars de moins que prévu au budget et a été complété dans les délais.»

 

La gestion du prolongement du métro à Laval a été confiée au Groupement SGTM, formé spécialement pour ce projet et qui comprend les SNC-Lavalin, Tecsult et le consortium MBGF.

 

«En 1997, le prolongement du métro de Toronto avait coûté 745 millions de dollars le kilomètre. C’est la norme. Comment, l’année suivante, le gouvernement a-t-il pu annoncer que le prolongement du métro à Laval, qui en plus devait traverser une rivière, coûterait 179 millions au total, je n’en ai aucune idée. Il y avait sans doute quelqu’un quelque part qui voulait annoncer un projet à tout prix.»

 

M. Besner, qui est membre de la Chaire en gestion de projet d’ESG UQAM, mentionne entre autres que l’estimation du projet ne respectait pas les règles de l’art. Ces règles veulent que l’estimation soit indépendante, c’est-à-dire faite par une société qui ne peut pas soumissionner sur le projet.

 

Par ailleurs, M. Besner met en garde contre la pensée magique attachée aux PPP (partenariat public-privé). «Si le projet en PPP est aussi mal défini que celui du métro de Montréal à Laval, on va avoir les mêmes mauvaises surprises. Les PPP ne sont pas une panacée.»

 

L’expert croit qu’il n’y a qu’une seule solution pour éviter le cafouillage comme à Laval, soit d’adopter une loi pour encadrer la gestion des grands projets. «C’est ce que voulait faire Madame Monique Jérôme-Forget, ministre des Finances, qui voulait que sa politique de gestion des grands projets devienne une loi, mais son gouvernement était minoritaire à cette époque et l’opposition s’est objectée.»

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Il devrait pas faire une quatrieme station sur St-Martin:Le corbusier? la il y a beaucoup de parking inutile pour le zellers presque en faillite a cause du wal-mart et le magasin qui marque vente de faillite. Enfin presque tous les galeries laval est en faillite(il y a personnes)

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Laval stoppe sa contribution au métro

 

Kathleen Lévesque

Édition du jeudi 05 février 2009

 

Mots clés : CCM, Gilles Vaillancourt, Gérald Tremblay, Municipalité, Transport en commun, Laval (région), Montréal

 

La tarification imposée aux usagers de la Rive-Nord est inéquitable, dit le maire Vaillancourt

La Ville de Laval n'entend pas verser en 2009 sa contribution financière au déficit du métro de Montréal, considérant que la tarification imposée aux usagers de la Rive-Nord est inéquitable par rapport à celle dont bénéficient les gens de la Rive-Sud.

 

Dans une lettre du 10 octobre dernier adressée au maire de Montréal, Gérald Tremblay, à titre de président de la Communauté métropolitaine de Montréal (CCM) et dont Le Devoir a obtenu copie, le maire de Laval, Gilles Vaillancourt, prévient son homologue que «les Lavallois ne paieront pas deux fois la facture du métro». Du coup, c'est une somme de 1,641 million de dollars que Laval retient.

 

En vertu d'une entente intervenue au moment de l'ouverture des trois stations du métro de Montréal sur le territoire lavallois en avril 2007, il a été convenu que le tarif payé par la clientèle demeurerait le titre métropolitain TRAM 3, soit un montant mensuel de 103 $ (aujourd'hui à 109 $).

En comparaison, les clients qui montent dans le métro à partir de la station à Longueuil n'ont à débourser que les 68,50 $ que coûte mensuellement la CAM.

 

Dès novembre 2007, le maire de Laval a alerté M. Tremblay en lui soulignant que les tarifs assumés par les usagers lavallois représentaient pour la Société de transport de Montréal (STM) des revenus supplémentaires de l'ordre de 2,5 millions par année. «Les stations de Laval et de Longueuil doivent être traitées de la même façon», écrivait-il alors.

 

Tous les partenaires du transport en commun avaient convenu qu'il fallait le plus tôt possible procéder à une harmonisation des tarifs pour toute la clientèle à l'extérieur de l'île de Montréal. Mais le règlement du problème tarde: l'ajustement n'est venu ni en janvier 2008, ni en janvier 2009. Devant cette situation, Gilles Vaillancourt, pourtant connu pour son attitude flegmatique, s'impatiente.

 

«À partir de maintenant, la Ville de Laval considérera que ses citoyens, en tant qu'usagers du métro, auront pleinement et totalement rempli leur obligation envers le financement de ce mode de transport, écrit M. Vaillancourt. Je n'ai donc pas l'intention de faire payer aux contribuables fonciers le montant de 1 641 000 $ qui devrait normalement être versé par Laval à la STM, via l'AMT.»

 

Selon M. Vaillancourt, la tarification différenciée devrait s'appliquer tant à Laval qu'à Longueuil. Outre le fait que cela rétablirait, à ses yeux, l'équité, cela permettrait à la STM d'empocher des revenus additionnels estimés à 1,4 million pour couvrir le déficit du métro.

 

Les usagers du métro de Longueuil se verront-ils imposer une augmentation de plus de 40 $ par mois? À Laval, on se défend bien de proposer un tel scénario. On se borne à répéter que, tant sur la rive nord que sur la rive sud, on doit payer le même tarif.

 

À la Ville de Montréal, l'agacement du maire Vaillancourt ne suscite guère d'émoi. André Lavallée, vice-président du comité exécutif et responsable du plan de transport, rappelle que le débat sur l'intégration tarifaire se fait au sein du comité aviseur des élus sur le financement et la gouvernance du transport en commun. Une première réunion s'est tenue en octobre; une autre est prévue au cours du mois. «Plusieurs questions importantes sont discutées, dont les trains de banlieue, la gouvernance, c'est-à-dire est-ce que les responsabilités de l'Agence métropolitaine de transport ne devraient pas relever de la CCM ainsi que l'intégration tarifaire? [...] On cherche une entente globale et le maire de Montréal espère un règlement sous peu», a déclaré M. Lavallée.

 

Sur la lenteur des discussions, M. Lavallée a rappelé que les Montréalais attendent depuis 1967 un partage équitable des coûts du métro. «Pendant des années, il n'y a eu aucune contribution [des villes de banlieue]», a-t-il dit avant d'ajouter: «Est-ce qu'on arrête les trains de banlieue demain parce que c'est injuste pour les Montréalais? Le coût du déficit des trains de banlieue est partagé en fonction du kilométrage parcouru et puisque tous les trains traversent Montréal, les Montréalais paient. On peut faire la guerre ou faire une entente qui va nous permettre de développer le transport en commun», a soutenu André Lavallée.

Il y a deux ans, les élus de la CCM, qui regroupe 82 municipalités, ont reconnu que le métro de Montréal est un équipement métropolitain et que de ce fait, doit être assumé financièrement par la collectivité métropolitaine. Selon les règles de partage établies en fonction de la provenance de la clientèle pour une période de cinq ans (jusqu'en 2011), Laval doit verser 1,641 million par année puisque 4,3 % de la clientèle du métro provient de son territoire. À Longueuil, bien que les usagers totalisent près de 8 % de la clientèle, la Ville paie 1,7 million, le gouvernement lui ayant consenti une aide ponctuelle.

 

Dans ce contexte, le maire Vaillancourt n'en démord pas et a prié Gérald Tremblay «d'aviser la STM de ne plus compter sur une double contribution de Laval au déficit du métro».

 

http://www.ledevoir.com/2009/02/05/231696.html

 

 

 

 

 

 

 

 

Bravo M. Vaillancourt, c'est fini le niasage.

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Désolé, mais moi je suis écoeuré d'attendre Laval chialer.

 

J'acepterais jamais que l'on compare également LA station métro de Longueuil au TROIS stations de laval.

 

En ce moment, le point de référence pour la tarification selon les zones TRAM est la station Berri UQUAM.

Longueuil est à moins de 4 Km de Berri. 90 % du territoire de Longueuil est à moins de 10 Km de Berri.

 

La première station à Laval est à 11 KM de Berri. La 3e station est à plus de 15 Km de Berri. La majorité du territoire Lavalois est à plus de 15 Km de Berri.

 

J'accepte déjà difficilement qu'une personne de Lachine (à 10 Km de Berri) soit dans la zone 1 tandis qu'un résident de Longueuil (à 5 Km de Berri) soit dans la zone 3. Alors pour moi, il n'est pas logique que les usagers de Laval et de Longueuil paye le même prix.

 

 

Si il faut tout revoir la base tarifaire, fesons le.

Si il faut payer selon la distance parcouru, fesons le.

 

Tarifs AMT

 

Bref il fallait que je chiale moi aussi.

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