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Marché immobilier résidentiel de Montréal : actualités


Habsfan

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  • 2 années plus tard...

Dans le Toronto Star

Average Montreal home prices reach record high in October

With consumer confidence at a 10-year-high and a strong job market in the city, people feel it’s a good time to buy.

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A new housing development is under construction in Griffintown, Montreal, on Nov. 4, 2017. Last month was the most active October in eight years for home sales in Greater Montreal.  (Graham Hughes / THE CANADIAN PRESS)  

 

By Ross MarowitsThe Canadian Press
Mon., Nov. 6, 2017
 

MONTREAL—Average Montreal island home prices hit a record high of almost $500,000 in October, rising 12.7 per cent from the prior year, the area’s real estate board said Monday.

Single family homes in the city and suburbs saw price increases of 10 per cent to nearly $630,000, condos were up 14 per cent to more than $370,000 and buildings with two to five units grew 15 per cent to $583,801.

Average prices in the city of Montreal rose at least 13 per cent in all three categories.

Still, Canada’s second-largest city and area remain a real estate bargain even as average prices were up 9.2 per cent to $386,911 from $354,163 a year ago.

That compared to $780,104 in Greater Toronto, up 2.3 per cent from the prior year and $1.04 million in Greater Vancouver, up 12.4 per cent.

Paul Cardinal of the Quebec Federation of Real Estate Boards attributed monthly housing gains this year to strong job creation, consumer confidence, low unemployment and foreign migration.

“Employment is on fire in Montreal,” he said in an interview.

With consumer confidence reaching a 10-year high, people are viewing it as a good time to make a major purchase like a house.

 
 
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  • 2 mois plus tard...
il y a 6 minutes, Rocco a dit :

Juste à cause du segment locatif qui est en feu à Montréal..

Toutes façons Montréal c’est depuis déja longtemps le locatif qui prime donc je ne pense pas qu’on puisse l’évoquer pour minimiser le résultat total.

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il y a une heure, Habsfan a dit :

WOW! Je me demande si c'est nous qui faisons vraiment bien, ou si c'est Toronto et Vancouver qui ont pris une débarque?  Je crois que c'est un peu des deux!

Un peu des deux, en effet. Mais surtout du cherry-picking. ;)

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Données annuelles:

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Modifié par nephersir7
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Le prix des condos en hausse à Montréal, sauf dans l’est

Journal Métro
Nicolas Ledain
 

Le prix médian au pied carré a connu une croissance de 5% en un an sur l’ensemble de l’agglomération montréalaise selon le dernier rapport de la firme JLR Solutions foncières. Cette hausse générale cache toutefois des disparités entre l’est et le reste de l’île.

En 2017, la vente de copropriétés a connu une croissance importante de 10% au Québec et l’île de Montréal a concentré 44% de ces transactions. Le dynamisme de ce marché s’est traduit par une forte hausse des prix à l’échelle de l’agglomération. Selon les données, le prix médian au pied carré a crû de 5% sur l’année dernière pour s’établir à 331 $ contre 315 $ en 2016. Il s’agit de la plus forte hausse depuis 2012.

«Il y a eu un fort engouement pour la copropriété. Après quelques années plus difficiles, on sent une accélération et qui dit accélération du marché, dit accélération des prix», indique Joanie Fontaine, économiste chez JLR Solutions foncières.

240 000  : C’est en dollars le prix médian de vente des condos en 2017 dans l’arrondissement de Mercier–Hochelaga-Maisonneuve. Il est inférieur au prix médian de vente à l’échelle montréalaise pour l’an dernier qui est de 306 442 $. Le prix médian au pied carré des copropriétés revendues a augmenté de 3% pour atteindre 275$.

Mais, dans ce contexte d’augmentation générale, certains arrondissements connaissent une explosion des prix, tandis que d’autres sont confrontés à une stagnation et parfois même à une baisse.

Ainsi des quartiers centraux comme Outremont, Rosemont – La Petite-Patrie, le Sud-Ouest, Westmount, Verdun ou Côte-des-Neiges–Notre-Dame-de-Grâce ont vu leurs prix au pied carré grimper avec des hausses comprises entre 7% et 9% en 2017. Ces quartiers sont aussi parmi ceux où l’on constate les prix médians les plus élevés au pied carré.

À l’inverse, la tendance est plutôt à la stagnation dans l’est puisque les prix sont restés stables à Saint-Léonard, Rivière-des-Prairies–Pointe-aux-Trembles et Ahuntsic et ils ont même baissé à Anjou (-2%). Mercier–Hochelaga-Maisonneuve (3%) est le territoire de l’est qui a connu l’augmentation la plus importante l’an dernier, mais la croissance du marché y reste mesurée sur les cinq dernières années (2%).

«L’est n’est pas le secteur le plus populaire pour la copropriété, à l’inverse des arrondissements centraux. Quand on s’éloigne, l’unifamilial devient plus intéressant. Déjà les propriétés sont moins chères, mais la demande est moins forte donc on voit une hausse moins importante des prix», détaille Joanie Fontaine.

Cette croissance globale du marché de la copropriété a aussi entraîné dans son sillage celui de la micropropriété. L’offre pour des unités plus petites est de plus en plus forte. Ainsi entre 2012 et 2017, la taille médiane des condos vendus à Montréal est passée de 947 à 921 pieds carrés. Cette tendance à la diminution de la surface est particulièrement répandue dans les quartiers centraux.

Perspectives

Dans son rapport, JLR indique que le dynamisme de la copropriété a surpris de nombreux prévisionnistes l’année dernière. La firme anticipe néanmoins une poursuite de la tendance en 2018. L’arrivée attendue de nouveaux immigrants et la baisse du taux de chômage sont deux éléments qui devraient contribuer à stimuler le secteur immobilier cette année.

En revanche, il n’est pas certain que l’augmentation des prix et des ventes sera aussi importante qu’en 2017. JLR pense que la nouvelle hausse du taux directeur annoncée le 17 janvier par la Banque du Canada et celle des taux d’intérêt qui va suivre pourrait réduire la capacité d’emprunt des ménages, ce qui risque d’avoir une influence sur les ventes immobilières.

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