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Marché immobilier résidentiel de Montréal : actualités


Habsfan

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Bravo Liberal Government! Bravo economic stability!

 

Economic confidence by consumers in Quebec is slowly being restored! Isn't it great to see prosperity slowing returning to our great city!

 

La Fédération attribue cette embellie à la baisse des taux d'intérêt et aux promotions offertes par la plupart des institutions bancaires.

 

They do not mention economic and political stability + we know foreing investment are at dead 0% as of now which is pretty sad.

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Bravo Liberal Government! Bravo economic stability!

 

Economic confidence by consumers in Quebec is slowly being restored! Isn't it great to see prosperity slowing returning to our great city!

 

For a business-centric oriented fella like yourself, you did let go a bit too much emotion in your rant. Forgot your 5-o'clock tea?

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via NewsWire

 

Démonstration d'intérêt des acheteurs de condos à Montréal pour Prével

 

MONTRÉAL, le 13 avril 2015 /CNW Telbec/ - Selon le rapport d'Altus, en 2014, Prével aurait comblé 19% des besoins en unités résidentielles neuves du cœur de la métropole. Dans Griffintown exclusivement, 28% des unités vendues l'ont été par Prével. Le rythme des ventes n'est pas aussi intense qu'en 2010 et 2011, mais la demande pour le marché du condo à Montréal est toujours présente. D'ailleurs, le succès du projet S sur le Square mis en vente à l'automne 2014 démontre que les projets qui répondent aux besoins des clients sont encore très en demande à Montréal, alors que 100% des 84 unités ont été réservées en 24 heures. L'achat d'un condo à Montréal est toujours un investissement intéressant pour les gens qui achètent pour y vivre. Les acheteurs sont plus exigeants, mais l'offre est variée et intéressante, alors lorsqu'ils trouvent ce qu'ils cherchent, ils n'hésitent pas.

 

Plus d'une centaine de visiteurs par semaine fréquentent les bureaux de ventes de Prével. Les 37 ans d'expérience de l'entreprise font certainement partie des raisons qui expliquent cet intérêt. « La force de Prével a toujours été de placer l'humain au cœur de sa philosophie et de lui offrir ce qu'il recherche. Nous mettons énormément d'énergie à concevoir des lieux où il fait bon vivre et où les gens se sentent bien » explique Jacques Vincent co-président. « Je pense que nos efforts sont ressentis et que ceux qui habitent nos projets le communiquent bien à leur entourage. Au Lowney par exemple, plus de 60% des acheteurs sont une référence ou un client qui en est à sa 2e ou 3e unité Prével. » D'ailleurs, les ventes sont au rendez-vous et plusieurs mises en chantier sont prévues pour le printemps.

 

Une réponse très positive de la part des acheteurs de condos de Montréal

 

Depuis le début 2015, trois événements ont suscité l'engouement de la clientèle chez Prével.

 

Malgré une soirée hivernale enneigée et très froide, l'inauguration du nouveau bureau des ventes du Lowney sur Ville à Griffintown a attiré plus de 200 personnes. L'événement aura permis aux visiteurs de découvrir les 3 nouvelles unités modèles et de vivre l'atmosphère unique du Lowney.

 

Le lancement de la 2e phase du projet 21e arrondissement situé à la croisée du Vieux-Montréal et Griffintown a attiré plus de 350 personnes. Les intéressés étaient invités à venir découvrir les plans et la liste de prix des unités offertes dans cette nouvelle phase. La construction du square public, le cœur du projet où l'on retrouvera plusieurs commerces de proximités tels qu'une épicerie fine, un traiteur, un café et des restaurants, tous bordés par de nombreuses terrasses, débutera dès le printemps.

 

L'événement « La Cabane à sucre urbaine aux Bassins du Havre » a, quant à lui, suscité l'intérêt de plus 600 personnes désirantes de vivre l'expérience du style de vie du canal de Lachine. Cet engouement démontre ainsi l'attrait pour l'achat d'une unité en copropriété à Griffintown. Fait à noter, de nombreuses familles étaient au rendez-vous, signe prometteur pour l'avenir du quartier.

SOURCE Groupe Prével

 

Renseignements : Sarah Massariol, BICOM Communications, smassariol@bicom.ca, 514-223-6770

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  • 2 semaines plus tard...

via la Voix Pop

 

La vente de condos en hausse de 21% dans le Sud-Ouest

 

21/04/2015 Mise à jour : 22 avril 2015 | 14:22

 

Par André Desroches

 

Le marché du condo se porte bien dans l’arrondissement du Sud-Ouest alors que les ventes pour le premier trimestre de 2015 ont bondi de 21% par rapport à la même période l’an dernier, tandis qu’on observe une baisse de 17% dans l’arrondissement voisin de Ville-Marie.

 

 

Les données de la Fédération des chambres immobilières du Québec (FCIQ) indiquent que 197 unités ont trouvé preneur au cours des trois premiers mois de l’année comparativement à 163 pour le premier trimestre de 2014.

 

 

Ces chiffres confirment le grand pouvoir attractif du Sud-Ouest sur les acheteurs en quête d’un condo. Les analystes du marché immobilier pointent notamment du doigt sa situation géographique et les prix inférieurs à ceux de Ville-Marie.

 

 

«Les condos dans le Sud-Ouest ont vraiment la cote autant dans le neuf que dans la revente», constate Dominic St-Pierre, directeur principal chez Royal LePage pour la région du Québec.

Le secteur Griffintown a particulièrement un effet d’aimant. «C’est le nouveau coin à la mode de Montréal, note M. St-Pierre. Jusqu’à maintenant, c’était Ville-Marie qui avait la cote. Griffintown a pris la pôle.»

 

 

«L’ensemble du marché a ralenti en 2013-2014 avec le resserrement des règles hypothécaires», rappelle Paul Cardinal, directeur du service Analyse du marché de la FCIQ. Ces changements ont surtout affecté les premiers acheteurs. Mais aujourd’hui, les taux d’intérêt sont à un creux. En janvier dernier, la Banque du Canada a fait passer le taux directeur de 1% à 0,75%. «Une belle surprise», mentionne M. Cardinal, qui explique que cette décision a donné du souffle au marché.

 

 

Prix en hausse

 

Alors que les ventes sont en hausse, le prix des condos dans le Sud-Ouest a aussi connu une croissance.

 

 

Selon l’Étude sur le prix des maisons de Royal LePage, le prix médian a augmenté de 5% au premier trimestre, passant de 260 000$ à 273 000$. Dans Ville-Marie, le prix médian est de 310 000$.

Pas de saturation

 

Selon les données de la Société canadienne d’hypothèques et de logement (SCHL), il s’est construit 1736 condos dans le Sud-Ouest de 2010 à 2014.

 

 

Ce boum se poursuit avec, entre autres, les projets Le Myst et le Nordelec dans Pointe-Saint-Charles, District Griffin et Bassins du Havre dans Griffintown, et le projet Condos Monk dans Émard.

 

 

Les analystes croient qu’il y a encore de la place pour des condominiums dans le Sud-Ouest. «C’est un secteur qui va rester en demande», estime Paul Cardinal.

 

 

«Il bénéficie du fait que Ville-Marie est plus dispendieux», souligne-t-il. Les jeunes ménages qui n’ont pas les poches aussi profondes que les acheteurs plus âgés vont «se rabattre sur le Sud-Ouest», fait remarquer M. Cardinal.

 

 

Dominic St-Pierre abonde dans le même sens. «Le marché du condo va continuer à se développer, dit-il Dans les grands centres, c’est l’habitation du futur.»

 

 

À son avis, pour que ça demeure attractif dans Griffintown, particulièrement pour les familles, «il va falloir que la Ville réalise les services qui ne semblent pas suivre». Il note l’absence d’école, de parcs, de centres de la petite enfance. Le programme particulier d’urbanisme de la Ville prévoit l’aménagement de places publiques et de parcs.

 

 

«Si les services suivent, je pense que cette croissance peut être soutenable», affirme Dominic St-Pierre.

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  • 1 mois plus tard...

Dans LaPresse+

 

RENDEZ-VOUS IMMOBILIER

Un marché d’acheteurs… mais un peu moins

 

Maxime Bergeron

La Presse

 

Après plus de deux ans de hausse ininterrompue, le déluge de propriétés qui inonde le marché québécois de la revente commence quelque peu à se tarir.

 

Dans un rapport récent, la Fédération des chambres immobilières du Québec (FCIQ) explique que les conditions de marché connaissent une « stabilisation » assez généralisée dans la province depuis le début de l’année.

 

Ce retour graduel à des conditions plus normales survient après un revirement rapide – et abrupt – entre le milieu de 2012 et la fin de 2014. Pendant cette courte période, la plupart des villes sont passées d’un marché favorisant les vendeurs à un marché qui avantage les acheteurs.

 

Les prix ont stagné, voire reculé, dans certains secteurs et les délais de vente se sont allongés.

 

« Même dans les régions ressources, telles que Val-d’Or, Baie-Comeau et Sept-Îles, où les conditions de marché étaient particulièrement serrées en 2012, le nombre de mois d’inventaire a fortement augmenté et en décembre 2014, le marché avantageait les acheteurs dans ces trois agglomérations », écrivent les économistes de la FCIQ.

 

Comment déterminer si un marché est vendeur, acheteur ou équilibré ? Pour y parvenir, la FCIQ calcule le nombre de mois d’inventaire (NMI). Il s’agit du nombre de mois qui serait nécessaire pour écouler toutes les propriétés dans un secteur donné, en se basant sur le rythme actuel des ventes.

 

Selon les critères reconnus, un marché favorise les acheteurs – donc de fortes hausses de prix – lorsque le NMI est inférieur à 8. Entre 8 et 10, il est considéré comme équilibré, tandis qu’il avantage les acheteurs au-delà de 10.

 

Si les acquéreurs de maisons unifamiliales restent avantagés par le marché actuel, « la tendance haussière semble s’être estompée ». La FCIQ dit observer une stabilisation depuis quelques mois grâce à l’amélioration des ventes, couplée à une croissance plus faible de l’offre de propriétés.

 

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Sans surprise, le segment des copropriétés a connu la plus forte hausse du NMI depuis 2012. Ce marché continue d’avantager les acheteurs dans les trois plus grandes villes de la province, note la FCIQ. Le pouvoir de négociation reste important, et les délais de vente, assez longs.

 

Malgré cela, on note aussi une stabilisation du NMI dans le marché des condos. Les ventes ont augmenté depuis le début de l’année, tandis que l’offre a progressé plus lentement. En parallèle, les mises en chantiers de nouveaux appartements ont aussi reculé de 54 % à Gatineau, 53 % à Montréal et 11 % à Québec depuis le début de l’année.

 

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Qu’en est-il des « plex » ? Après des années de folie furieuse, où les vendeurs avaient la part belle, le marché des immeubles de deux à cinq logements est maintenant à l’avantage des acheteurs.

Le NMI ne semble pas encore connaître de « plateau » dans le segment des plex, souligne la FCIQ, ce qui laisse entrevoir une détente accrue des conditions de marché.

 

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La FCIQ entend surveiller l’évolution du NMI au cours des prochains mois pour voir si la tendance actuelle se confirme. « Il est même envisageable que les conditions de marché se resserrent si les ventes de propriétés continuent leur croissance au même rythme qu’en mars et en avril dernier », souligne l’organisme.

Modifié par ScarletCoral
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  • 4 semaines plus tard...

via LaPresse.ca

 

Publié le 04 juillet 2015 à 07h00 | Mis à jour à 07h00

 

Île de Montréal: le prix des condos au neutre

 

 

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Dans le secteur de la revente, le prix médian s'est établi à 304$ le pied carré en 2014, soit le même prix qu'en 2012.

PHOTO OLIVIER PONTBRIAND, archives LA PRESSE

 

 

=author%3AAndr%C3%A9+Dubuc&sort=recent"]André Dubuc

La Presse

 

L'inflation sur le prix des condos est au neutre depuis deux ans dans l'île de Montréal, constate une étude de la firme de recherche immobilière JLR. Cette stabilité contraste avec la hausse de 22% des valeurs entre 2009 et 2012.

 

Cette stagnation devrait se poursuivre au moins jusqu'au début de 2017, avance JLR, étant donné l'offre abondante de produits neufs sur le marché.

 

Dans le secteur de la revente, le prix médian s'est établi à 304$ le pied carré en 2014, soit le même prix qu'en 2012. En 2009, il se situait à 250$ le pied carré.

 

À titre comparatif, sur le marché du neuf, la firme Altus calcule un prix médian de 480$ le pied carré au centre-ville et de 330$ hors centre-ville pour les logements se trouvant dans des immeubles de cinq étages et plus. Ce sont des données du premier trimestre de 2015.

 

La médiane correspond à la valeur qui divise exactement un échantillon en deux parties égales. Un prix médian de 304$ signifie que la moitié des transactions de l'année se sont conclues à un prix supérieur à 304$, tandis que l'autre moitié s'est réalisée à un prix inférieur à 304$.

 

La firme JLR, de Montréal, a utilisé le prix au pied carré des copropriétés dans le cadre de son analyse pour faciliter la comparaison entre les quartiers. JLR s'est concentrée sur les reventes de copropriétés existantes. Les ventes non représentatives ont été éliminées de l'échantillon.

 

Les copropriétés les plus chères au pied carré se concentrent au centre-ville (388$), à Mont-Royal (381$) ainsi que dans les arrondissements d'Outremont (381$) et du Plateau-Mont-Royal (370$). Westmount aurait évidemment figuré au palmarès, mais le nombre de reventes a été trop faible en 2014 pour tirer une conclusion significative sur le plan statistique.

 

Le Sud-Ouest, qui couvre les quartiers Griffintown, Petite-Bourgogne, Pointe-Saint-Charles, Ville-Émard et Saint-Henri, arrive en quatrième place avec un prix médian de 369$ le pied carré.

 

L'arrondissement se caractérise par des logemengts de plus petite taille, ce qui contribue à hausser le prix au pied carré. La taille médiane d'un condo dans le Sud-Ouest est de 788 pieds carrés seulement, comparativement à une taille médiane de 942 pieds carrés pour l'ensemble de l'île.

 

Les endroits les plus abordables restent Montréal-Nord (229$), Pierrefonds-Roxboro (210$), Rivières-des-Prairies-Pointe-aux-Trembles (189$) et Dollard-des-Ormeaux (176$). Ces secteurs affichent des prix similaires ou inférieurs à ceux de Brossard (209$) ou de Longueuil (195$), sur la Rive-Sud.

 

«Ce n'est pas surprenant, dit au téléphone Joanie Fontaine, économiste de JLR. Ce sont des quartiers excentriques de l'île, qui ne sont pas desservis par le métro. Accéder au centre-ville prend autant sinon plus de temps à partir de ces quartiers que de Brossard ou Longueuil.»

 

Ce sont les arrondissements de Rosemont-La Petite-Patrie (+ 33%) et du Sud-Ouest (+ 38%) qui affichent les hausses de valeurs les plus fortes sur cinq ans. Les augmentations les plus faibles sont survenues à Dollard-des-Ormeaux (+ 2%), Anjou (+ 10%) et Côte-des-Neiges-Notre-Dame-de-Grâce (+ 10%)

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  • 1 mois plus tard...
tandis que Devimco a amorcé la construction d'un complexe locatif dans Griffintown.

Si Maxime Bergeron parle de l'Hexagone, la construction est terminée! Plein de gens y vivent... je les ai vus sortir la semaine dernière à cause d'une alerte d'incendie :P

 

Sinon, je ne vois pas quel autre projet locatif a été amorcé par Devimco...

 

 

via LaPresse

 

Publié le 12 août 2015 à 05h00 | Mis à jour à 06h08

Fini, le règne du condo à Montréal

 

Maxime Bergeron

La Presse

La folie du condo montre de sérieux signes d'essoufflement à Montréal. Le nombre de mises en chantier a reculé de 46% depuis le début de l'année, et pour la première fois en un quart de siècle, il s'est construit davantage de logements locatifs que de copropriétés dans la région métropolitaine.

 

Selon la Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL), 3335 condos ont été mis en chantier de janvier à juillet, contre 3504 appartements de location. Pendant la même période l'an dernier, on comptait plutôt 6147 condos et 1922 logements locatifs, un revirement de tendance majeur.

 

«Les années 1989 à 1992 ont été les dernières années où on avait plus de locatifs que de condos à Montréal, a expliqué hier David L'Heureux, chef analyste à la SCHL. Depuis ce temps-là, on a toujours eu plus de condos que d'appartements [locatifs] chaque année.»

 

La multiplication des projets locatifs témoigne de l'appétit renouvelé des consommateurs pour des appartements neufs. Le groupe Canvar a notamment lancé deux tours d'une quarantaine d'étages au centre-ville - qui comprennent aussi un volet hôtelier -, tandis que Devimco a amorcé la construction d'un complexe locatif dans Griffintown.

 

Une bonne partie de la hausse observée est toutefois imputable aux résidences pour personnes âgées. Ce segment représente presque 2000 logements locatifs sur les 3504 mis en chantier depuis le début de l'année dans le Grand Montréal.

Frénésie

 

L'engouement des promoteurs de résidences est indéniable. Réseau Sélection, par exemple, érige ces jours-ci dans Rosemont un complexe de 250 millions de dollars, le plus important du genre au Québec, où 1000 appartements seront réservés aux aînés. Le groupe lavallois compte de nombreux autres projets en chantier ou sur la table à dessin.

 

«Avec près de 1300 logements en chantier dans le Grand Montréal et plus de 2100 au Québec, nous sommes fidèles à notre plan de développement adopté en 2013, soit la construction de 30 nouveaux complexes immobiliers pour retraités d'ici 2019, totalisant des investissements de près de 2 milliards de dollars», a souligné Gaétan Cormier, vice-président exécutif, Développement chez Réseau Sélection.

 

Les promoteurs se montrent-ils trop enthousiastes? Hélène Bégin, économiste principale au Mouvement Desjardins, semble croire que oui. «Ça m'étonne à ce stade-ci, puisque le marché des résidences pour personnes âgées est encore saturé à certains endroits.»

 

En revanche, Hélène Bégin juge salutaire la baisse de 46% du nombre de condos observée depuis le début de l'année à Montréal. Ce recul permettra un certain rééquilibrage du marché, où l'offre de copropriétés demeure très abondante et les délais de vente, parfois très longs.

 

Selon les données publiées hier par la SCHL, le nombre mensuel de mises en chantier désaisonnalisé et annualisé - qui correspond grosso modo au rythme d'activité sur un an, tous types de propriétés confondus - s'est élevé à 25 744 en juillet dans le Grand Montréal, contre 25 182 le mois précédent.

 

Les données réelles, soit le nombre de constructions entamées, a atteint 2219 le mois dernier dans la région métropolitaine, contre 1762 en juillet 2014. La SCHL explique cette hausse par la forte construction de résidences pour personnes âgées.

Modifié par ScarletCoral
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  • 1 mois plus tard...

Publié aujourd'hui dans la section business/Real estate du Toronto Star

 

Foreign investors looking at Montreal and Saskatoon real estate

 

Low loonie is boosting manufacturing, making interest shift from Calgary and Edmonton to Montréal.

 

By: Alexandra Posadzki The Canadian Press, Published on Wed Oct 07 2015

 

TORONTO—A new report on real estate trends says foreign investors may start looking beyond Toronto and Vancouver and begin targeting markets in Montreal and Saskatoon in the coming year.

 

The report by PwC Canada and the Urban Land Institute says both foreign and domestic real estate investment will shift in 2016 from Western Canada, where falling oil prices are hurting growth, to the east, where the low loonie is boosting manufacturing.

 

Vancouver is the notable exception, rising to first place as the country’s must-watch real estate market. Money is also expected to continue to flow into the Toronto market, the country’s largest.

 

PwC says Calgary and Edmonton were, until recently, among the most country’s most promising real estate markets. However, as the price of crude has plummeted and investment in the oilpatch has dried up, both residential and commercial properties in the region have stopped switching hands as owners take a wait-and-see approach.

 

Meanwhile, real estate markets in Ontario and Quebec — home to the bulk of the country’s manufacturing sector — are poised to benefit from the lower loonie as well as the economic recovery in the U.S., Canada’s biggest trading partner.

 

And that could spark greater interest from foreign buyers in the Montreal market, PwC predicts.

 

.....

 

The report is based on interviews and survey responses from more than 1,400 real estate experts, including developers, brokers, property managers and investors.

 

PwC says foreign investors are also likely to start snatching up medical clinics and other real estate in the health-care sector, which is expected to benefit from Canada’s large population of aging baby boomers.

 

Meanwhile, the lack of affordable housing in Toronto and Vancouver threatens to cull the urbanization trend in those regions, as first-time homebuyers move out to the suburbs in search of cheaper properties.

 

......

 

http://www.thestar.com/business/real_estate/2015/10/07/foreign-investors-looking-at-montreal-and-saskatoon-real-estate.html

 

So this must taken very very seriously since it comes from a Toronto paper, wihtout a doubt it must be very credible, right ?

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