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Marché immobilier résidentiel de Montréal : actualités


Habsfan

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Je pense pas qu'il y a beaucoup de speculatin a Montreal . A Toronto et Vancouver les chinoix achete 3 ou 4 condos pour s'acheter une nationalite canadienne.

Tout dépend de qui finance le projet. Des investisseurs étrangers peuvent avoir des critères beaucoup plus laxes. Je craint personnellement que Montréal soit au prise avec une bulle spéculative immobilière avec tous ces condos qui ne trouverons pas preneurs.
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Bulle ou pas, il ne faudrait pas se retrouver avec l'annulation des phases 2 de Roccabella, YUL et Icône, ce qui serait catastrophique pour l'espace urbain de René-Lévesque Ouest.

Ce qui est catastrophique, c'est que ces complexes ne sont pas des espaces urbains. Il n'offrent aucun services de proximité, ou aucun service sociaux tels écoles ou CLSC. Lorsque des espaces sont réservés pour des commerces, les loyers y sont si élevés qu'aucun commerce ne peut s'y établir en espérant y faire un profit.

Cet après midi, entendu à la radio, un promoteur dans Griffintown est rendu à offrir de payer les taxes foncières et scolaires pour un an, les frais de condo pour un an et donne un voyage pour 2 dans le sud. Moi, j'appelle ça désespéré...

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Il ne faut pas oublier que les taux d'intérêt ont encore baissé le 22 janvier: un peu plus d'oxygène pour prolonger le momentum.

En ce qui concerne les phases 2: les phases 1, commençant à se dresser, sont autant de faire valoir pour les phases restantes; plus efficace et convainquant que n'importe quelles maquettes ou croquis dans un bureau des ventes...

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Il ne faut pas oublier que les taux d'intérêt ont encore baissé le 22 janvier: un peu plus d'oxygène pour prolonger le momentum.

En ce qui concerne les phases 2: les phases 1, commençant à se dresser, sont autant de faire valoir pour les phases restantes; plus efficace et convainquant que n'importe quelles maquettes ou croquis dans un bureau des ventes...

... ou prolonger l'agonie...

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Ces investisseurs étrangers qui achètent le centre-ville de Montréal

Tout porte à croire que les investisseurs étrangers sont en train de faire main basse sur le centre-ville de Montréal. Est-ce vraiment le cas ?

 

16 fév. 2015 - par Kathy Noël

 

Le centre-ville de Montréal est la région métropolitaine canadienne où l’on trouve la plus forte concentration de copropriétés appartenant à des propriétaires étrangers, confirme la Société canadienne d’hypothèques et de logement (SCHL).

 

Depuis quelques années, les anecdotes abondent dans le domaine de l’immobilier concernant les étrangers qui achètent condos et propriétés de luxe dans le centre-ville de Montréal. Les courtiers et promoteurs ont tous leur petite histoire du riche Chinois qui débarque avec des millions en poche pour s’acheter un penthouse au centre-ville, avant de repartir illico.

 

En novembre dernier, par exemple, le groupe chinois Gansu Tianqing Real Estate a annoncé un investissement de 150 millions de dollars pour devenir propriétaire à 50 % du projet de condos de luxe YUL du groupe montréalais Brivia, par l’intermédiaire de sa filiale de Vancouver, Tianco. Il s’agit de l’un des plus gros projets de condos à Montréal.

 

Tout porte à croire que les investisseurs étrangers sont en train de faire main basse sur le centre-ville de Montréal. Mais est-ce vraiment le cas ? La dernière Enquête sur les logements locatifs de la SCHL, publiée en décembre 2014, donne pour la première fois une idée de la proportion de copropriétés appartenant à des étrangers au Canada.

 

Il en ressort que le centre-ville de Montréal et L’Île-des-Sœurs sont les endroits au Canada où les investisseurs étrangers sont les plus actifs. Le taux de propriétaires étrangers y est de 6,9 %, comparativement à 5,8 % à Vancouver et à 4,3 % à Toronto.

 

Les raisons qui amènent les étrangers à acheter à Montréal sont simples : les prix y sont encore relativement abordables, et ils ont augmenté moins vite dans les dernières années que dans les autres villes canadiennes. Si bien que s’il y a crash, la chute sera moins importante qu’ailleurs.

 

Toutefois, cette ruée vers Montréal n’est pas sans risque. Les analystes craignent qu’en cas de ralentissement, ces investisseurs étrangers soient plus prompts à vendre leur unité, inondant ainsi le marché et provoquant une chute brutale des prix. Romana King, journaliste au magazine de finances personnelles MoneySense, recommande même aux chercheurs de condos d’éviter le centre-ville de Montréal.

 

La même étude montre toutefois que si le centre-ville est particulièrement prisé par les étrangers, ce n’est pas le cas de la grande région métropolitaine de Montréal. Le taux baisse à 1,5 % lorsqu’on inclut l’ensemble de la région métropolitaine de recensement (RMR). À ce titre, c’est Toronto qui remporte la palme, avec 2,4 % de propriétaires étrangers, et Vancouver, avec 2,3 %.

 

http://www.lactualite.com/lactualite-affaires/ces-investisseurs-etrangers-qui-achetent-le-centre-ville-de-montreal/

 

Tout un article pour ne pas dire grand chose. Pour essayer de faire peur encore une fois. Si les étrangers n'investissent pas ici on dit qu'ils n'ont pas confiance en notre économie et s'ils investissent en achetant des condos alors on nous averti d'une possible chute brutale !!!

 

Moi je dis que c'est une bonne nouvelle que des étrangers décident de mettre leur argent chez nous.

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Beaucoup de francais investisse ici. Mais aussi beaucoup de libanais. Le quartier Shaugnessy il y a beaucoup de libanais et d'asiatique tellement que certain nomme ce quartier le deuxieme chinatown.

http://www.lactualite.com/lactualite-affaires/ces-investisseurs-etrangers-qui-achetent-le-centre-ville-de-montreal/

 

Tout un article pour ne pas dire grand chose. Pour essayer de faire peur encore une fois. Si les étrangers n'investissent pas ici on dit qu'ils n'ont pas confiance en notre économie et s'ils investissent en achetant des condos alors on nous averti d'une possible chute brutale !!!

 

Moi je dis que c'est une bonne nouvelle que des étrangers décident de mettre leur argent chez nous.

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Beaucoup de francais investisse ici. Mais aussi beaucoup de libanais. Le quartier Shaugnessy il y a beaucoup de libanais et d'asiatique tellement que certain nomme ce quartier le deuxieme chinatown.

 

ET la vitalité du quartier de Shaughnessy village est assez impressionnant merci à ces nombreux asiatiques qui se sont installés depuis une dizaine d'année. Moi je vais la-bas très souvent et je me sens comme dans une tres grande ville ou ca bouge et ou il y a beaucoup d'activité, jour et nuit, et j'adore cela.

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  • 3 semaines plus tard...

via Radio-Canada

 

Condos : toujours un marché d'acheteurs à Montréal

 

Mise à jour le jeudi 5 mars 2015 à 12 h 59 HNE

 

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Édifices en construction à Montréal

 

Les Montréalais qui souhaitent bientôt acquérir une copropriété auront l'embarras du choix. Il y a présentement un acheteur pour 20 condos à vendre dans la métropole. La situation s'explique par la réduction du bassin d'acquéreurs potentiels, en raison du resserrement des règles hypothécaires, et par la construction de nombreuses tours d'habitation.

 

 

Un texte d'Olivier Bachand

 

L'inventaire de condominiums neufs qui n'ont pas trouvé preneur dans la grande région de Montréal n'a jamais été aussi élevé depuis 2006.

Selon la Fédération des chambres immobilières du Québec (FCIQ), tous les secteurs de l'île de Montréal étaient favorables aux acheteurs de copropriétés sur le marché de la revente à la fin 2014, à l'exception de l'arrondissement Rosemont-La Petite-Patrie, où le marché était toujours équilibré à la fin de l'année.

 

De 2013 à 2014, les délais de vente moyens ont grimpé de 14 jours pour atteindre 120 jours. Ceux qui souhaitent vendre leur copropriété doivent donc s'armer de patience.

 

Vendeur cherche acheteur

Lyne Arcand tente de vendre son condominium situé au 15e étage d'une tour du quartier Griffintown depuis juin 2014. Elle espérait conclure une transaction au plus tard l'automne dernier, mais elle peine toujours à trouver un acheteur. À l'instar de nombreux propriétaires dans la même situation, elle a décidé de louer sa copropriété en attendant.

 

Elle a fait l'acquisition de son condo en prévente il y a quatre ans, mais n'y a jamais habité. Son objectif a toujours été de le revendre pour en tirer profit.

 

Cette première expérience d'investissement en immobilier ne sera finalement pas aussi avantageuse que prévu. Lyne Arcand affirme que le prix affiché n'est pas beaucoup plus élevé que celui auquel elle a acheté son unité.

 

« On ne savait pas exactement ce qui s'en venait sur le marché. C'était un des premiers projets dans le quartier. La concurrence est maintenant très grande », constate-t-elle.

 

Sa courtière en immobilier, Dominique Chénier, affirme que plusieurs de ses clients se trouvent dans la même situation que Lyne Arcand. « Plusieurs condos sont sur le marché depuis six mois, voire un an, alors qu'en 2010, ça se vendait vraiment rapidement. »

 

Des tours qui ont poussé comme des champignonsLes nombreux projets de tours à condominiums sont largement responsables de l'augmentation des délais de vente. Le nombre d'unités neuves invendues n'a cessé de grimper au cours des dernières années.

 

En 2010, on en comptait 1142 dans la région de Montréal, mais ce nombre a plus que doublé pour atteindre 2851 à la fin de l'année dernière. Plus de 10 000 unités supplémentaires sont présentement en construction. Parallèlement à cette situation, le resserrement des règles hypothécaires a quant à lui réduit le bassin d'acheteurs potentiels.

 

Craignant une surchauffe du marché immobilier, particulièrement à Toronto et à Vancouver, le gouvernement fédéral a abaissé la période d'amortissement maximale de 40 à 25 ans pour les prêts hypothécaires assurés par la Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL). Plusieurs acheteurs potentiels ont alors décidé de reporter l'achat d'une première propriété, jugeant que leurs paiements hypothécaires seraient trop élevés pour leurs moyens.

 

« On s'en ressent dans le marché. Il y a moins de premiers acheteurs, ce qui fait en sorte que les autres ont plus de temps pour choisir une propriété. »

— Dominique Chénier, courtière en immobilier

 

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Copropriétés à Montréal

 

Séduire les acheteurs

 

Les promoteurs immobiliers doivent aussi composer avec un marché nettement favorable aux acheteurs. Plusieurs immeubles construits au cours des dernières années visaient particulièrement une jeune clientèle à la recherche d'une première propriété. Pour les attirer, la compétition est de plus en plus féroce.

 

L'entreprise Rachel Julien a récemment organisé une conférence uniquement destinée aux premiers acheteurs, dans l'espoir de les convaincre d'acheter une copropriété dans la deuxième phase de son projet U31, dans Rosemont-La Petite-Patrie. Les prix ont aussi été réduits.

 

« Pour devenir plus compétitifs, on a choisi de réduire nos marges bénéficiaires, affirme le président de Rachel Julien, Denis Robitaille. Le facteur prix est très important pour les acheteurs. »

 

D'autres promoteurs décident par exemple d'offrir gratuitement les électroménagers à l'achat d'un condo.

 

Des prix toujours en hausseMalgré le ralentissement, les prix des condominiums ont tout de même continué d'augmenter, quoique faiblement. Sur l'île de Montréal, le prix de vente moyen des copropriétés a augmenté de 2 % l'an dernier sur le marché de la revente, pour atteindre 311 000 $.

 

Certains analystes estiment toutefois que la valeur des condos pourrait bientôt stagner dans la métropole, ou même diminuer quelque peu.

 

Selon le promoteur Martin Provencher, auteur du livre L'immobilier en 2025, les acheteurs doivent demeurer prudents dans ces circonstances.

 

« C'est le bon temps d'acheter pour ceux qui veulent occuper leur condo, mais pas pour les investisseurs. Il faut toutefois faire la transaction dans une optique de long terme. »

 

— Martin Provencher, promoteur et auteur

 

Selon lui, les acheteurs doivent songer à conserver leur copropriété au moins cinq ans pour être certains de récupérer leur mise.

 

 

 

 

 

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  • 1 mois plus tard...

via Radio-Canada

 

Un printemps prometteur pour l'immobilier dans le Grand Montréal

 

Mise à jour le mercredi 8 avril 2015 à 6 h 43 HAE

 

La saison de mise en vente des propriétés bat son plein. Après des mois décevants, le marché immobilier donne des signes d'espoir.

 

Un texte de Maxime Bertrand

 

Vendre sa maison n'est pas chose facile de nos jours. Le nombre de propriétés sur le marché ne cesse de croître, au grand dam des vendeurs. Les délais de vente aussi.

« On est autour, disons, de quatre mois pour la maison unifamiliale et de cinq mois pour le condo », soutient Hélène Bégin, économiste en chef au Mouvement Desjardins

 

Il y a tout de même une lueur d'espoir à l'horizon. Le marché immobilier qui tournait au ralenti vient de changer de vitesse.

 

Dans la grande région de Montréal, les transactions qui accusaient une baisse de 1 % au début de l'année viennent de faire un bond de 6 % en mars 2015 par rapport à la même période l'an dernier.

 

« Ça fait plusieurs mois qu'on n'a pas eu un aussi bon résultat. [...] Depuis le dernier resserrement des règles d'assurance prêt hypothécaire, à l'été 2012, ce n'est pas arrivé souvent qu'on ait de bons mois comme celui-là », affirme Paul Cardinal, directeur du service analyse de la Fédération des chambres immobilières du Québec.

 

La Fédération attribue cette embellie à la baisse des taux d'intérêt et aux promotions offertes par la plupart des institutions bancaires.

 

Résultat : 4495 ventes résidentielles ont été réalisées en mars 2015.

 

Hormis la Rive-Nord, tous les principaux secteurs ont enregistré des hausses des ventes. La Rive-Sud remporte la palme avec une augmentation de 17 %. Elle est suivie de l'île de Montréal avec 7 %, puis de Laval et de Vaudreuil-Soulanges avec 2 %. Par contre, la Rive-Nord accuse un recul de 5 %.

 

Cet accroissement des ventes est de bon augure pour certains types de propriétés qui affichent un surplus.

 

C'est le cas des copropriétés, particulièrement à Montréal, où les mises en chantier de cette catégorie de domicile commencent à peine à ralentir.

 

« Grâce au ralentissement dans les mises en chantier, ça devrait aider le marché à se rééquilibrer au cours des prochaines années. On ne parle pas de 2015, mais plutôt de 2016-2017 », estime Paul Cardinal.

 

« Du côté de Québec, la bonne nouvelle c'est que la construction de copropriétés s'est affaiblie depuis maintenant deux ans; donc, on observe qu'il y a un ajustement qui est en train de se faire dans le marché », observe Hélène Bégin.

Des trucs pour vendre

 

En attendant, les propriétés résidentielles, peu importe la catégorie, abondent.

 

Si les acheteurs ont la partie belle, les vendeurs, eux, doivent ramer.

 

« Ça stimule les acheteurs à aller magasiner. [...] C'est important pour un vendeur à ce moment-ci de l'année que sa maison se démarque », croit Hugo Leroux, président de Hypotheca, agence hypothécaire.

 

Or, c'est justement ce qu'offrent les sociétés de plus en plus nombreuses à se spécialiser dans la mise en valeur des propriétés (qu'on appelle le home staging dans le milieu).

L'entreprise de France Arcand a lancé la tendance au Québec, il y a une dizaine d'années. Elle offre des services et des cours de rafraîchissement de décor (relooking) et de valorisation résidentielle, notamment.

 

« Dans le home staging, ce qu'on va faire c'est qu'on va, si on peut dire, dépersonnaliser; donc, l'acheteur potentiel doit arriver dans la maison et sentir que moi, je me vois ici, et je ne vois pas quelqu'un d'autre ici », affirme Patricia Le Blanc, porte-parole de France Arcand, création et design.

 

Que l'on ait ou non les moyens de recourir à un professionnel, l'entretien de la maison s'impose.

« Le fait d'avoir bien entretenu la propriété et de la présenter sous son meilleur jour pour les visiteurs, c'est sûr que ça donne un plus », conseille Hélène Bégin.

Réalisme

 

Enfin, l'apparence de la maison, c'est une chose, mais il faut aussi être réaliste quand on vend, car le marché a changé, rappelle l'économiste.

 

« On est loin de l'époque où on avait des offres multiples à l'intérieur de quelques jours seulement. Dès le départ, il faut que le vendeur établisse le juste prix pour sa propriété. »

 

Un avis que partage le courtier Hugo Leroux.

 

« Avant, le plus grand défi des acheteurs, c'était de trouver une propriété, parce qu'il n'y en avait pas beaucoup à vendre et les vendeurs étaient très sévères sur le prix, si vous voulez, ils ne voulaient pas beaucoup négocier. Là, il va y avoir une sorte de flexibilité qui va aider les acheteurs, surtout les premiers acheteurs à entrer sur le marché de l'habitation. »

 

Bref, un vendeur qui ne se plie pas aux nouvelles règles du jeu risque de rater sa chance.

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