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Il y a 11 heures, TurboLed a dit :

Mardi matin au 98.5 FM, Serge Chapleau, invité, était soudainement devenu un expert critique en transport en commun à l'émission de Isabelle Maréchal.

Ça commence à être le temps qu'elle s'en aille et qu'on passe à autre chose que des lignes ouvertes de mémères.

Pour entendre Serge Chapleau à l’émission d’Isabelle, cliquez sur le lien suivant : https://www.985fm.ca/audio/397832/maintenant-quon-sait-a-quoi-ressemblera-le-rem-au-centre-ville-doit-on-retourner-a-la-table-a-dessin-faut-il-revoir-le-projet. 

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REM de l’Est La Haye, Rennes, Washington : la Caisse donne des exemples visuels

IMAGE FOURNIE PAR CDPQ INFRA

La ligne B du métro aérien de Rennes, en France.

CDPQ Infra a cité pour la première fois mercredi matin des inspirations visuelles pour son REM de l’Est, un métro aérien dont le passage prévu en plein cœur du centre-ville de Montréal soulève une immense controverse.

Publié le 26 mai 2021 à 12h26

https://www.lapresse.ca/affaires/2021-05-26/rem-de-l-est/la-haye-rennes-washington-la-caisse-donne-des-exemples-visuels.php

Maxime Bergeron
La Presse

Pendant une séance de breffage technique, une porte-parole de cette filiale de la Caisse de dépôt et placement du Québec a donné les exemples de métros aériens récents ou en construction, dont ceux de La Haye, aux Pays-Bas, celui de Rennes ainsi que la ligne 8 du Grand Paris Express, tous deux en France.

CDPQ Infra a aussi fourni à La Presse des inspirations tirées de projets récents à Chicago et Washington, aux États-Unis.

IMAGE FOURNIE PAR CDPQ INFRA

Une station du métro de Washington construite en 2017.

Les projets cités par CDPQ Infra traversent des secteurs densément peuplés, comme ce sera le cas avec le REM de l’Est. Ce projet de 10 milliards de dollars doit traverser une partie du centre-ville, par le boulevard René-Lévesque, pour se rendre ensuite dans le nord et dans l’est de l’île de Montréal.

IMAGE TIRÉE DE TWITTER MES QUARTIERS

Une ligne récente du métro de La Haye, aux Pays-Bas.

Craignant d’être associées à un projet qui risque de défigurer le centre-ville de Montréal pour des décennies, deux prestigieuses firmes d’architectes québécoises – Daoust Lestage Lizotte Stecker et STGM – se sont désistées du projet au cours des derniers mois, a révélé en février Le Journal de Montréal.

La firme d’architecture Lemay a pris le relais et sera responsable de concevoir le design du REM de l’Est, en collaboration avec un groupe d’une quinzaine d’experts de plusieurs disciplines. Jean-Paul Viguier, un spécialiste européen des structures de transport aériennes, siège notamment sur ce comité.

Ce groupe a tenu sa première rencontre le 21 mai dernier, et deux autres sont prévues au cours des prochaines semaines. Le comité se penchera sur « l’élaboration de toute la volumétrie, les matériaux, l’architecture et le design des structures aériennes », a expliqué Virginie Cousineau, directrice des affaires publiques chez CDPQ Infra.

Architecture « imposée »

La première phase du REM, un projet de 67 kilomètres qui relie la Rive-Sud de Montréal, l’Ouest-de-l’Île et l’aéroport Montréal-Trudeau au centre-ville, est présentement en construction accélérée. Le projet de plus de 6 milliards a été décrié par plusieurs pour son aspect massif, voire sa laideur, avec ses imposantes poutres de béton.

Virginie Cousineau fait valoir que la phase 1 du REM longe surtout des autoroutes et des friches industrielles. Il est impensable d’imaginer une telle structure pour le REM de l’Est, avance-t-elle.

« L’approche va être complètement différente », résume la porte-parole.

La principale différence par rapport à la phase 1 du REM, dit-elle, est que les « lignes directrices architecturales » seront « imposées » au moment des appels d’offres. « Il n’y aura pas de place à l’interprétation. »

Mme Cousineau reconnaît que les lignes architecturales de la première phase du REM « n’étaient pas prescriptives ». Elle réfute néanmoins l’idée que les citoyens habitant près de cette mégastructure aient été sacrifiés, entre autres dans les quartiers de Pointe-Saint-Charles et Griffintown. Des œuvres d’art seront installées pour enjoliver la structure de béton, a-t-elle indiqué.

René-Lévesque ou rien

De nombreux aspects du REM de l’Est seront appelés à évoluer avec la tenue d’audiences publiques et de consultations environnementales en 2021 et 2022. « La hauteur, la grandeur, les matériaux qui seront utilisés, rien n’a encore été décidé », a dit Virginie Cousineau.

Elle rappelle que plusieurs éléments de la première phase du REM ont été modifiés en cours de route, entre autres après les audiences du BAPE. Par exemple, des changements ont été faits pour protéger des milieux humides près du Technoparc.

Une chose est sûre cependant : c’est bel et bien sur le boulevard René-Lévesque que le métro aérien traversera le centre-ville. Sept scénarios ont été étudiés par la Caisse – incluant en sous-terrain –, mais aucune de ces options n’était viable, insiste Virginie Cousineau.

Architectes inquiets

Les esquisses non officielles du REM de l’Est qui ont circulé jusqu’ici ont soulevé l’inquiétude de nombreux citoyens, gens d’affaires, politiciens et membres de la communauté montréalaise des urbanistes et des architectes.

Le caricaturiste de La Presse, Serge Chapleau, a fait grand bruit en publiant ce week-end une esquisse où il plaquait grosso modo la structure existante du REM sur le boulevard René-Lévesque – un scénario exclu par CDPQ Infra, et qui n’est pas à l’échelle.

CARICATURE LA PRESSE

Une caricature du REM de l’est traversant le centre-ville, par Serge Chapleau

Des architectes montréalais, qui ont refusé d’être identifiés pour ne pas nuire à leurs relations d’affaires, ont par ailleurs préparé des esquisses non officielles qui sont davantage à l’échelle que la caricature de Chapleau.

Leurs dessins, obtenus par La Presse, laissent entrevoir une structure assez massive à divers endroits le long du tracé du REM de l’Est.

IMAGE FOURNIE

L’angle du boulevard René-Lévesque et de la place du Frère André

IMAGE FOURNIE

L’angle des boulevards René-Lévesque et Saint-Laurent

PHOTO FOURNIE

Vue de la rue Baldwin vers la rue Sherbrooke Est.

Virginie Cousineau indique que les premières esquisses officielles du REM de l’Est pourraient être présentées à la rentrée d’automne. CDPQ Infra vise un projet « signature » et bien intégré à son environnement.

La filiale de la Caisse a par ailleurs dévoilé mercredi son avis de projet, qui constitue une étape concrète supplémentaire dans l’avancement du projet de 32 kilomètres et 23 stations.

IMAGE FOURNIE PAR CDPQ INFRA

Une esquisse, présentée à titre indicatif par CDPQ Infra, d’une station du REM de l’Est le long de la rue Notre-Dame.

CDPQ Infra vise à commencer la construction du réseau en 2023. Le projet REM de l’Est a reçu un appui extrêmement enthousiaste du gouvernement caquiste de François Legault et devrait s’arrimer à une station de l’extension de la ligne bleue du métro de Montréal.

IMAGE FOURNIE PAR CDPQ INFRA

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"René-Lévesque ou rien"  -- Rien par la CDPQ-i. 

Ce qui n'implique pas "Rien du tout".  Ça n'empêche pas/n'interdit pas la possibilité de rechercher d'autres moyens d'atteindre les objectifs visés (ou au moins quelques-uns d'entre eux).

Quels sont ces objectifs?  -- 1) Meilleure desserte par TEC de l'est et du nord-est de Montréal.  2) Séparément, idem pour le secteur de Lachine.  3) Alléger la pression sur la branche "est" de la ligne orange du métro.

Quels sont les moyens "alternatifs"?  -- 1) Pour le financement: des investissements directs de l'Etat, financés par des emprunts dont le service (de la dette) n'a pas de raison d'excéder les contributions directes et indirectes de l'Etat qui seraient fournies à la CDPQ-i dans le scénario original.  2) Pour le(s) mode(s): une combinaison (en fonction des besoins réels et de la configuration des lieux) de lignes de métro, de voies réservées et de voies ferrées. 

Nous devons éviter de penser que nous sommes prisonniers du modèle d'affaires de la CDPQ-i.  Ce modèle a ses mérites, mais ses limites aussi.  Cela ne constitue pas un reproche fait à la CDPQ-i, mais juste une constatation.

 

   

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Honestly, if the starting point is the totally-serviceable-if-banal West Island segment, as long as officials (Infra, City, I don’t care) can keep it free of tags and street art, it’s not even that bad. It should be noted that not one of these sketches is at the correct height, accentuating the “heaviness” from ground level. The minimum clearance below will be 5 metres; these illustrations show it more like 3.5 metres (like parts of the Doney spur on either side of the 40). In all likelihood it will be quite a bit higher than the minimum, like the Tokyo Yurikamome line @Enalung showed us. If they make it more svelte and stylized, and with good up-lighting, it will be just fine.

 

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I wonder if a possible solution would be to go with a wider design, one that could accomodate staggered/alternating (north/south) support columns. It would create the illusion of greater distance between the columns and if designed properly you probably wouldn't see the ones on the alternate side because they would be partially hidden by the ones closer to you.

I imagine it's significantly more complicated from a technical standpoint. 

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1 hour ago, acpnc said:

REM de l’Est La Haye, Rennes, Washington : la Caisse donne des exemples visuels

IMAGE FOURNIE PAR CDPQ INFRA

La ligne B du métro aérien de Rennes, en France.

CDPQ Infra a cité pour la première fois mercredi matin des inspirations visuelles pour son REM de l’Est, un métro aérien dont le passage prévu en plein cœur du centre-ville de Montréal soulève une immense controverse.

Publié le 26 mai 2021 à 12h26

https://www.lapresse.ca/affaires/2021-05-26/rem-de-l-est/la-haye-rennes-washington-la-caisse-donne-des-exemples-visuels.php

Maxime Bergeron
La Presse

Pendant une séance de breffage technique, une porte-parole de cette filiale de la Caisse de dépôt et placement du Québec a donné les exemples de métros aériens récents ou en construction, dont ceux de La Haye, aux Pays-Bas, celui de Rennes ainsi que la ligne 8 du Grand Paris Express, tous deux en France.

CDPQ Infra a aussi fourni à La Presse des inspirations tirées de projets récents à Chicago et Washington, aux États-Unis.

IMAGE FOURNIE PAR CDPQ INFRA

Une station du métro de Washington construite en 2017.

Les projets cités par CDPQ Infra traversent des secteurs densément peuplés, comme ce sera le cas avec le REM de l’Est. Ce projet de 10 milliards de dollars doit traverser une partie du centre-ville, par le boulevard René-Lévesque, pour se rendre ensuite dans le nord et dans l’est de l’île de Montréal.

IMAGE TIRÉE DE TWITTER MES QUARTIERS

Une ligne récente du métro de La Haye, aux Pays-Bas.

Craignant d’être associées à un projet qui risque de défigurer le centre-ville de Montréal pour des décennies, deux prestigieuses firmes d’architectes québécoises – Daoust Lestage Lizotte Stecker et STGM – se sont désistées du projet au cours des derniers mois, a révélé en février Le Journal de Montréal.

La firme d’architecture Lemay a pris le relais et sera responsable de concevoir le design du REM de l’Est, en collaboration avec un groupe d’une quinzaine d’experts de plusieurs disciplines. Jean-Paul Viguier, un spécialiste européen des structures de transport aériennes, siège notamment sur ce comité.

Ce groupe a tenu sa première rencontre le 21 mai dernier, et deux autres sont prévues au cours des prochaines semaines. Le comité se penchera sur « l’élaboration de toute la volumétrie, les matériaux, l’architecture et le design des structures aériennes », a expliqué Virginie Cousineau, directrice des affaires publiques chez CDPQ Infra.

Architecture « imposée »

La première phase du REM, un projet de 67 kilomètres qui relie la Rive-Sud de Montréal, l’Ouest-de-l’Île et l’aéroport Montréal-Trudeau au centre-ville, est présentement en construction accélérée. Le projet de plus de 6 milliards a été décrié par plusieurs pour son aspect massif, voire sa laideur, avec ses imposantes poutres de béton.

Virginie Cousineau fait valoir que la phase 1 du REM longe surtout des autoroutes et des friches industrielles. Il est impensable d’imaginer une telle structure pour le REM de l’Est, avance-t-elle.

« L’approche va être complètement différente », résume la porte-parole.

La principale différence par rapport à la phase 1 du REM, dit-elle, est que les « lignes directrices architecturales » seront « imposées » au moment des appels d’offres. « Il n’y aura pas de place à l’interprétation. »

Mme Cousineau reconnaît que les lignes architecturales de la première phase du REM « n’étaient pas prescriptives ». Elle réfute néanmoins l’idée que les citoyens habitant près de cette mégastructure aient été sacrifiés, entre autres dans les quartiers de Pointe-Saint-Charles et Griffintown. Des œuvres d’art seront installées pour enjoliver la structure de béton, a-t-elle indiqué.

René-Lévesque ou rien

De nombreux aspects du REM de l’Est seront appelés à évoluer avec la tenue d’audiences publiques et de consultations environnementales en 2021 et 2022. « La hauteur, la grandeur, les matériaux qui seront utilisés, rien n’a encore été décidé », a dit Virginie Cousineau.

Elle rappelle que plusieurs éléments de la première phase du REM ont été modifiés en cours de route, entre autres après les audiences du BAPE. Par exemple, des changements ont été faits pour protéger des milieux humides près du Technoparc.

Une chose est sûre cependant : c’est bel et bien sur le boulevard René-Lévesque que le métro aérien traversera le centre-ville. Sept scénarios ont été étudiés par la Caisse – incluant en sous-terrain –, mais aucune de ces options n’était viable, insiste Virginie Cousineau.

Architectes inquiets

Les esquisses non officielles du REM de l’Est qui ont circulé jusqu’ici ont soulevé l’inquiétude de nombreux citoyens, gens d’affaires, politiciens et membres de la communauté montréalaise des urbanistes et des architectes.

Le caricaturiste de La Presse, Serge Chapleau, a fait grand bruit en publiant ce week-end une esquisse où il plaquait grosso modo la structure existante du REM sur le boulevard René-Lévesque – un scénario exclu par CDPQ Infra, et qui n’est pas à l’échelle.

CARICATURE LA PRESSE

Une caricature du REM de l’est traversant le centre-ville, par Serge Chapleau

Des architectes montréalais, qui ont refusé d’être identifiés pour ne pas nuire à leurs relations d’affaires, ont par ailleurs préparé des esquisses non officielles qui sont davantage à l’échelle que la caricature de Chapleau.

Leurs dessins, obtenus par La Presse, laissent entrevoir une structure assez massive à divers endroits le long du tracé du REM de l’Est.

IMAGE FOURNIE

L’angle du boulevard René-Lévesque et de la place du Frère André

IMAGE FOURNIE

L’angle des boulevards René-Lévesque et Saint-Laurent

PHOTO FOURNIE

Vue de la rue Baldwin vers la rue Sherbrooke Est.

Virginie Cousineau indique que les premières esquisses officielles du REM de l’Est pourraient être présentées à la rentrée d’automne. CDPQ Infra vise un projet « signature » et bien intégré à son environnement.

La filiale de la Caisse a par ailleurs dévoilé mercredi son avis de projet, qui constitue une étape concrète supplémentaire dans l’avancement du projet de 32 kilomètres et 23 stations.

IMAGE FOURNIE PAR CDPQ INFRA

Une esquisse, présentée à titre indicatif par CDPQ Infra, d’une station du REM de l’Est le long de la rue Notre-Dame.

CDPQ Infra vise à commencer la construction du réseau en 2023. Le projet REM de l’Est a reçu un appui extrêmement enthousiaste du gouvernement caquiste de François Legault et devrait s’arrimer à une station de l’extension de la ligne bleue du métro de Montréal.

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21 minutes ago, SameGuy said:

Honestly, if the starting point is the totally-serviceable-if-banal West Island segment, as long as officials (Infra, City, I don’t care) can keep it free of tags and street art, it’s not even that bad. It should be noted that not one of these sketches is at the correct height, accentuating the “heaviness” from ground level. The minimum clearance below will be 5 metres; these illustrations show it more like 3.5 metres (like parts of the Doney spur on either side of the 40). In all likelihood it will be quite a bit higher than the minimum, like the Tokyo Yurikamome line @Enalung showed us. If they make it more svelte and stylized, and with good up-lighting, it will be just fine.

 

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Je ne comprends pas leurs points. L'article nous parle d'exemples architecturaux pour le REM, mais procède à seulement nous en montrer deux et puis une trollés de rendus "pire scénario" du REM-A au C.V. Ils auraient pu au moins les montrer au public pour justement arrêter de leur rentrer dans la tête que ça va être ce genre d'architecture au milieu de R-L.

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