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Ouvrages d'art - Antenne Deux-Montagnes


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Photos du futur centre de maintenance à St-Eustaches sur la page Facebook du REM. Était-il censé être temporaire pour les trains de banlieue? Ou est-ce le permanent pour l'entretien des voitures du REM?

 

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Voici diverses dates de rencontre publique prévue dans l'antenne de Deux-Montagnes et celle de l'Ouest-de-l'Île.

https://rem.info/fr/actualites/rencontres-publiques-2019

Rencontres publiques dans l’Ouest-de-l’Île et la ligne Deux-Montagnes

COMMUNAUTÉ 

Publiée le 15 avril 2019

Le bureau de projet du REM organise 6 rencontres publiques d’information en avril, mai et juin pour présenter les travaux à venir et répondre à vos questions.

Parmi les chantiers à venir, citons par exemple :

La construction de la structure aérienne dans l’Ouest-de-l’Île à l’aide d’une poutre de lancement (été 2019)

L’arrivée du tunnelier au Technoparc afin de creuser le tunnel en direction de l’aéroport (été 2019)

La rénovation de plusieurs pont ferroviaires sur la ligne Deux-Montagnes

La construction de 5 stations sur le segment Canora-Du Ruisseau et la fermeture du tunnel Mont-Royal (janvier 2020)

Plusieurs experts seront sur place pour répondre à vos questions. Nous présenterons également les rendus architecturaux des stations et les futures voitures de métro léger dévoilées il y a quelques semaines.

Des représentants de l’Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM) et de Mobilité Montréal seront là afin de présenter la stratégie d’atténuation pour les usagers de la ligne Deux-Montagnes.

  •  Lundi 29 avril 2019 : Ouest-de-l’Île, Hôtel Holiday Inn Pointe-Claire
  •  Mardi 14 mai 2019 : Arrondissement Saint-Laurent, Le Crystal Salles de Réception
  •  Mercredi 5 juin 2019 : Arrondissement Pierrefonds-Roxboro, Centre culturel de Pierrefonds
  •  Lundi 10 juin 2019 : Laval (lieu à confirmer)
  •  Mercredi 19 juin 2019 : Ville de Mont-Royal, Église Our Lady of the Annunciation Parish
  •  Juin 2019 : Deux-Montagnes (date exacte et lieu à confirmer)

À noter que toutes les rencontres se dérouleront selon le format suivant :

  • 18 h à 19 h : portes ouvertes et questions libres aux experts
  • 19 h à 20 h : séance d’information
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  • 2 semaines plus tard...

Avancement de la construction du quai temporaire (entre les Gares Mont-Royal et Canora)

1er avril 2019

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30 avril 2019

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et beaucoup d'arbres en moins du coté du chemin Canora...

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https://www.lapresse.ca/actualites/grand-montreal/201905/01/01-5224303-le-chantier-du-rem-cause-des-maux-de-tete-aux-employeurs.php

Publié le 02 mai 2019 à 05h00 | Mis à jour à 06h15

Le chantier du REM cause des maux de tête aux employeurs

KATHLEEN LÉVESQUE
La Presse

Le chantier du Réseau express métropolitain (REM) est un vaste casse-tête pour de nombreux employeurs du centre-ville de Montréal qui anticipent les impacts de la fermeture de la ligne de trains de banlieue Deux-Montagnes sur leur personnel et donc sur leur propre productivité.

On compte parmi eux Hydro-Québec, le Mouvement Desjardins et la Banque Nationale ; les deux premiers jonglent avec l'idée de déplacer des équipes de travail en périphérie et l'autre a déjà aménagé deux endroits pour contourner les obstacles.

La relocalisation temporaire des employés s'ajoute aux solutions déjà mises de l'avant pour tenter d'accommoder les travailleurs, mais également pour éviter des problèmes d'absentéisme ou même la tentation chez certains employés de changer d'emploi : télétravail, horaires flexibles et covoiturage, par exemple.

Chez Hydro-Québec, 200 employés qui travaillent au centre-ville habitent dans le secteur de Deux-Montagnes. « On explore la possibilité d'utiliser des espaces de bureaux qui nous appartiennent et qui pourraient être mis à leur disposition. Cela fait partie des solutions envisagées », affirme Louis-Olivier Batty, des affaires publiques chez Hydro-Québec. La société d'État a été invitée, par ailleurs, à participer à une possible table de concertation qui serait mise en place par les gestionnaires du projet du REM afin de discuter des problèmes de mobilité.

Réflexion globale

Le Mouvement Desjardins se dit également préoccupé, mais analyse la situation dans son ensemble. « Tout le monde pense à Deux-Montagnes, mais c'est tout le territoire qui subit les impacts des travaux du REM. Il y en a aussi sur la Rive-Sud, par exemple. Notre réflexion est donc globale sur tous les déplacements de nos employés pour se rendre au travail », explique Valérie Lamarre, conseillère principale aux relations publiques au Mouvement Desjardins.

Cette dernière souligne que « la relocalisation pourrait faire partie des solutions parce [qu'il y a] des locaux existants, mais il est encore trop tôt pour statuer là-dessus », explique Mme Lamarre. Dans l'immédiat, Desjardins procède à une évaluation du nombre exact d'employés touchés par le REM et de leurs besoins.

De son côté, la Banque Nationale a décidé d'agir il y a déjà quelques semaines. 

« On offre aux employés touchés par la ligne de Deux-Montagnes la possibilité de travailler à partir de deux emplacements que nous avons réaménagés, un à Laval et l'autre à Saint-Laurent. »

- Marie-Pierre Jodoin, directrice principale des affaires publiques à la Banque Nationale

Selon Mme Jodoin, « les sites ne sont pas utilisés à leur plein potentiel, mais on s'attend à avoir une évolution au fur et à mesure que la situation se déploiera ». Les deux emplacements permettent la relocalisation de 165 personnes.

Perturbations en 2020

Tous confirment que la réflexion en entreprise se fait en accéléré. Et pour cause, puisque les travaux d'aménagement du REM auront des conséquences importantes sur l'accès direct au centre-ville dès le début de l'année prochaine. C'est à partir de ce moment que les trains en provenance de Deux-Montagnes et de Mascouche ne pourront plus franchir le tunnel du mont Royal. De 2021 jusqu'en 2024, la fermeture complète de la ligne Deux-Montagnes viendra ajouter de la pression sur les travailleurs qui ont choisi de vivre en banlieue.

Un réseau transitoire de transports collectifs est prévu, dont des autobus qui se dirigeront vers la station de métro Côte-Vertu, pour la ligne Deux-Montagnes. 

Dix-mille usagers de plus qui pourraient ainsi se retrouver sur la ligne orange aux heures de pointe. 

Des mesures pour faciliter la circulation des autobus sont en évaluation (voies réservées, feux prioritaires, horaires modifiés et augmentation de la fréquence), mais rien n'est encore officiel.

Joint aux États-Unis, où il est en mission économique, le président de la Chambre de commerce du Montréal métropolitain, Michel Leblanc, estime que ces mesures d'atténuation « ne suffiront pas » pour faire face à « une réalité complexe ». « Ce qui est requis est costaud », soutient-il en précisant qu'une large part de la solution est entre les mains des entreprises, qui devront revoir leurs pratiques.

En 2017, la Chambre de commerce du Montréal métropolitain a mené un projet-pilote afin d'« identifier les meilleures pratiques des grands générateurs de déplacements », c'est-à-dire les grandes entreprises dont le personnel est concentré dans une tour au centre-ville, par exemple. La réflexion s'est amorcée à cause des problèmes généralisés de congestion dans la région de Montréal ; les impacts du REM n'étaient pas connus à l'époque.

« Dans un univers de congestion, on enlève une solution qui était le transport en commun, soit la ligne Deux-Montagnes. On vient accentuer un problème qui existait déjà. Ça prend donc une solution plus agressive », estime M. Leblanc. Selon lui, il ne faut pas rater l'occasion que représente une telle « crise » : le marché du travail doit changer.

Le président et chef de la direction de l'agence immobilière Devencore, Jean Laurin, reconnaît que les travaux d'aménagement du REM « perturbent tout le monde », et surtout les très grandes entreprises. Mais à cette étape-ci, « ce n'est pas la panique », précise-t-il. « Derrière tout ça, il y a un risque opérationnel. C'est ce qui est en jeu. Les entreprises doivent réfléchir à comment gérer le risque », commente M. Laurin.

À cet égard, si la relocalisation temporaire peut être envisagée, un déménagement n'est pas une solution, croit-il, car à long terme, le REM est un projet d'envergure qui aura des retombées positives. « La venue du REM va apporter des opportunités de développement qui seront fort intéressantes », affirme Jean Laurin.

Qu'est-ce que le REM ?

Le Réseau express métropolitain (REM) est un train électrique autoguidé sur un trajet de 67 km reliant la Rive-Sud, le centre-ville montréalais, l'aéroport Trudeau, l'Ouest-de-l'Île et la couronne nord. Pour permettre le passage du REM, 30 km de voies ferrées existantes doivent être réaménagés, ce qui provoquera la fermeture de la ligne Deux-Montagnes. Le projet de 6,3 milliards est sous la responsabilité de CDPQ Infra, une filiale de la Caisse de dépôt et placement du Québec. CDPQ Infra bénéficie d'une loi qui lui attribue le statut de mandataire de l'État et lui permet de ne pas être assujettie aux règles d'urbanisme, par exemple. CDPQ Infra a confié le contrat de conception et de construction du REM à un consortium d'entreprises appelé NouvLR. Les premiers départs sont prévus en 2021 entre Brossard et le centre-ville de Montréal. Une deuxième phase de développement est à l'étude.

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Je sais que ce n'est pas la saveur du jour (avec l'annonce du lancement d'études préliminaires pour des prolongements du REM vers le nord et le sud et pour un nouveau système de transport dans l'Est de Montréal), mais voici un autre texte sur les impacts des travaux de la ligne Deux-Montagnes sur un groupe de travailleurs (plus précisément les employé(e)s de l'UQAM) et les recherches de solution du syndicat.

https://montrealcampus.ca/2019/05/06/a-la-recherche-de-solutions-pour-repondre-aux-travaux-du-rem/

À la recherche de solutions pour répondre aux travaux du REM

Annie St-Jacques  |   6 mai 2019  |  4 min

Le Syndicat des employés et employées de l’Université du Québec à Montréal (SEUQAM) implore la direction de la maison d’enseignement de trouver des alternatives en raison de l’arrêt de la ligne de train Deux-Montagnes-Montréal dès janvier 2020, dû aux travaux du futur REM.

Des milliers d’usagers et d’usagères du train de banlieue devront prolonger leur temps de transport de 35 à 40 minutes avant d’atteindre la gare Centrale. Le train qui effectue le trajet entre Deux-Montagnes et Montréal s’arrêtera désormais à la gare Bois-Franc, située dans Cartierville, en raison des travaux effectués pour le Réseau express métropolitain (REM). Les usagers et usagères devront donc se déplacer en autobus jusqu’à la station de métro Côte-Vertu, d’où ils pourront se rendre au centre-ville.

Depuis décembre dernier, le SEUQAM a élaboré un sondage pour les employés et les employées qui voyagent depuis la Rive-Nord. Il visait à déterminer précisément quelle portion du personnel serait affectée par les retards de la ligne du train de banlieue Deux-Montagnes-Montréal, avant d’émettre des demandes formelles à l’Université. « Plus on a un portrait de l’impact sur la communauté, plus on aura un levier pour pouvoir discuter avec l’employeur », soulève la présidente du SEUQAM, Louisa Cordeiro.

Contrecoups sur l’université

Les travaux pourraient avoir des impacts considérables sur l’Université, notamment par une baisse potentielle des candidatures des étudiants et des étudiantes ainsi que par des départs prématurés des employés et des employées, soulève Mme Cordeiro. « C’est important de savoir combien de gens seront touchés pour que l’UQAM soit sensible à la situation, qu’elle regarde les impacts et qu’elle détermine comment contrer la situation », ajoute-t-elle.

Aucun plan d’action n’a été mis en place de la part de l’administration. « Pour l’instant, l’impact évoqué sur les inscriptions demeure hypothétique. L’UQAM explore des pistes de solutions avec les différents intervenants en transport qui gravitent autour de ce grand chantier », mentionne la directrice des relations avec la presse de l’UQAM, Jenny Desrochers.

Aucune demande précise n’est revendiquée par le SEUQAM. « Au-delà des demandes, c’est de prendre conscience des humains qui travaillent à l’UQAM. Est-ce qu’il y a un risque pour l’employeur de perdre de l’expertise ? Parce que c’est quatre ans de galère qui s’en viennent », soulève l’agente de recherche et de planification à l’UQAM Magali Barré, qui a travaillé sur le dossier.

Pour certains employés de l’UQAM il est difficile d’envisager des solutions pour contrer la durée de transport prévue pour janvier 2020, dû aux horaires rigides. « Je suis tenue d’être présente pour certaines heures précises. Je ne peux pas raccourcir mes journées de travail sans qu’il y ait des conséquences sur ma retraite prévue dans 5 ans », explique l’agente de gestion aux études de l’UQAM Dominique Machabée, qui doit partir de St-Eustache chaque matin pour se rendre à l’université.

Retards à prévoir

Près de 1500 personnes utilisent chaque départ de train. Afin que celles-ci soient transportées par navette jusqu’à la ligne orange, il faudrait minimalement vingt autobus, prévoit Magali Barré. « La station Côte-Vertu n’est pas équipée. À l’intérieur, c’est déjà saturé. Ça [n’aura pas que des impacts sur] les usagers de la ligne de train mais aussi les usagers du métro actuel et les automobilistes de l’autoroute 13 et de la 15 », affirme-t-elle.

Les travaux du futur REM vont s’effectuer en deux vagues, explique Dominique Machabée. « Dans un premier temps, ils vont faire les travaux le plus près de Montréal. Puis, deux ans après, ils vont faire les travaux du milieu du trajet jusqu’à Deux-Montagnes. J’ai rarement vu des travaux se finir dans les temps prévus, donc nous, les résidents de St-Eustache et de Deux-Montagnes, sommes privés [du train] pendant un minimum de quatre ans », soulève-t-elle.

« Pour le moment, on a l’impression que l’UQAM ne réalise pas ce qui s’en vient, peut-être comme certains usagers. Il y a une désinformation, c’est incroyable », exprime Mme Barré.

Afin de contester les mesures mises en place, une manifestation a eu lieu le 1er avril à la gare centrale entre 7h00 et 9h00. Quelques centaines d’usagers et d’usagères de la ligne de train Deux-Montagnes-Montréal ont évoqué leur colère par des slogans et des pancartes à la sortie du train Deux-montagnes-Montréal. Ceux-ci et celles-ci désiraient apporter une modification du transport proposé lors des travaux du REM.

La direction du Réseau express métropolitain n’a pas donné de suivi à de multiples demandes d’entrevues soumises par le Montréal Campus.

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Ce que je retiens de cet article, c'est que NouveLR a ajusté sa façon de faire: les résidents demeurant à proximité du chantier sont maintenant avisés avant des travaux de nuit; et ces travaux semblent être moins bruyant ni trop dérangeant qu'appréhendés, selon ce que les représentants de La Presse ont perçu lors de leur passage.  ->  voir Vidéo des travaux de nuit

N.B. À la fin du vidéo, on voit qu'on remet les rails de la travée Ouest en place à la Station Mont-Royal.

https://www.lapresse.ca/actualites/grand-montreal/201905/08/01-5225144-le-voisinage-avise-les-travaux-de-nuit-du-rem-se-poursuivent.php

Publié le 08 mai 2019 à 06h25 | Mis à jour à 06h34

Le voisinage avisé, les travaux de nuit du REM se poursuivent

Vidéo des travaux de nuit

KATHLEEN LÉVESQUE
La Presse

Le chantier du Réseau express métropolitain (REM) file à toute allure, même quand tout le monde dort. Après des travaux nocturnes de forage au cours des dernières semaines, l'entrepreneur NouvLR a procédé à l'installation de rails à la hauteur des gares Mont-Royal et Canora, la nuit dernière. Mais cette fois-ci, le voisinage a été prévenu.

Un mémo a été déposé de porte en porte hier matin dans le quartier qui borde la voie ferrée. C'est là que le train électrique autoguidé de CDPQ Infra, la filiale de la Caisse de dépôt et placement-un projet de 6,3 milliards - traversera la petite ville cossue. En fin d'après-midi, un courriel a permis de faire un rappel aux résidents.

Geneviève Comeau, dont la cour arrière jouxte le chantier du REM, constate que CDPQ Infra a modifié ses façons de faire après avoir reçu récemment plusieurs plaintes, dont les siennes, pour « ne pas avoir cru bon de prévenir la population affectée par le chantier ». Mais Mme Comeau demeure inquiète. Craignant un vacarme comme celui des dernières semaines lors des travaux de forage (deux nuits en deux semaines), elle a pris les grands moyens pour protéger sa petite famille hier soir.

« On a établi un camp de base au sous-sol. On va se coucher plus tôt que d'habitude parce qu'on ne sait pas à quoi s'attendre », a expliqué Mme Comeau.

Lorsque La Presse s'est rendue sur place au début de la nuit dernière, le bruit appréhendé n'avait rien d'alarmant puisque tout se déroulait à bonne distance des résidences. À proximité du chantier, on entendait le frottement du rail sur le sol et le grondement des moteurs des véhicules lourds, mais sans que cela soit assourdissant. L'éclairage était important, mais dirigé vers le sol.

Comme l'a annoncé CDPQ Infra, les travaux consistaient « à prendre les rails et les tirer avec de la machinerie pour qu'ils soient dans l'alignement nécessaire au passage des trains » ; la reprise du service du côté ouest est prévue pour le 21 mai prochain. Or, les conditions météorologiques des dernières semaines ont retardé la séquence des travaux, a expliqué CDPQ Infra.

« À cette étape-ci du projet, cette activité doit exceptionnellement se dérouler la nuit, car elle doit se faire sans alimentation électrique au-dessus des rails (entre 1 h 15 et 4 h 30), pour assurer la sécurité des travailleurs et l'intégrité des infrastructures », indique-t-on dans le mémo aux résidents.

En début de soirée, Geneviève Comeau et des voisins s'étaient rendus au parc Montgomery. Des représentants du REM et de NouvLR étaient sur place pour informer la population de la situation qualifiée d'« assez exceptionnelle ». « On m'a dit qu'il fallait faire les travaux la nuit pour ne pas prendre de retard. Après le forage, on a eu l'espoir d'être écouté, mais de toute évidence, ça n'a pas duré », estime Mme Comeau qui rêve d'un répit alors que les travaux se déroulent sept jours par semaine depuis près d'un an. Geneviève Comeau dit avoir développé un mélange de « colère et d'anxiété » à l'égard du projet du REM dont elle reconnaît, par ailleurs, la valeur pour améliorer le transport collectif dans la région montréalaise.

Deux phases

La première phase du REM s'étend sur 67 km, entre Brossard et Deux-Montagnes, en passant par Mont-Royal. À mi-parcours, deux embranchements sont prévus, l'un devant se rendre à Sainte-Anne-de-Bellevue, et l'autre bifurquant vers l'aéroport Montréal-Trudeau. Une deuxième phase du REM est présentement à l'étude (vers Saint-Jean-sur-Richelieu, vers Laval et vers l'est de Montréal), a annoncé lundi le gouvernement du Québec. Rappelons que le projet du REM n'est pas assujetti aux règles d'urbanisme et au processus habituel d'octroi de contrats publics.

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L'achalande de la ligne Deux-Montagne a baissé de 6.1% en 2018 par rapport à 2017 en raison des travaux du REM et de la baisse de service que ces travaux ont engendrée
https://globalnews.ca/news/5254658/ridership-drop-montreal-communter-trains-2018/

The busiest line on the network, Deux-Montagnes, also saw the greatest loss of riders. There were 6.1 per cent fewer rides in 2018 compared to 2017. That’s a drop of 474,600 rides in one year.

“Well, it’s not surprising. Seeing what is coming, people have to look for different alternatives,” Beatrice Nasui, a Deux-Montagnes rider, told Global News on Wednesday morning. 

Exo spokesperson Catherine Maurice told Global News the drop in ridership was partly due to decreased service on the Deux-Montagnes line as construction for the light rail electric train network (REM) continues.

“Remember some trains were cancelled during the week, and trains during the weekend were cancelled. And the delays, seen more and more, are caused by the single track due to the REM,” said Maurice.

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https://www.journaldemontreal.com/2019/05/14/reseau-express-metropolitain-les-travaux-commencent-dans-saint-laurent-1

Réseau express métropolitain: Les travaux commencent dans Saint-Laurent

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COURTOISIE/RÉSEAU EXPRESS MÉTROPOLITAIN

CAMILLE DAUPHINAIS-PELLETIER

Mardi, 14 mai 2019 22:25MISE À JOUR Mardi, 14 mai 2019 22:25

MONTRÉAL | Plusieurs chantiers de construction seront mis en branle au cours des prochaines semaines dans l’arrondissement de Saint-Laurent, à Montréal, pour préparer l’arrivée du Réseau express métropolitain (REM), notamment en réparant des viaducs, ce qui causera des perturbations routières.

Des réparations commenceront au cours du mois sur les viaducs ferroviaires qui enjambent le boulevard Côte-Vertu et la rue Grenet. Ces chantiers s’étendront respectivement jusqu’en novembre et en août et créeront des «entraves routières», a mentionné le bureau du REM mardi soir lors d’une rencontre d’information au centre de réception Le Crystal. La circulation des trains ne devrait pas être affectée.

De mai à octobre, la voie ferrée qui passe sous l’autoroute 13 dans le parc-nature du Bois-de-Liesse sera pour sa part doublée en largeur. Un nombre d’arbres supérieur à ceux qui devront être coupés pour les travaux sera replanté dans le secteur, a assuré le bureau du REM.

Trois stations

Des travaux se dérouleront également en 2019 à trois des cinq stations du REM qui seront situées sur le territoire de Saint-Laurent.

Les fondations de la station Correspondance A40, qui permettra notamment aux utilisateurs du train de banlieue de Mascouche de transférer dans le REM, seront installées. Le garage de fin de ligne, large de cinq voies, sera mis en place.

Les travaux à l’actuelle station Bois-Franc sont pour leur part entamés depuis quelques semaines: il s’agit de relocaliser des poteaux qui soutiennent les fils électriques nécessaires à la circulation du train et d’installer les fondations de la future station du REM.

Le secteur du Technoparc Montréal connaîtra aussi un grand chantier, avec la construction de la tranchée couverte qui accueillera à terme une station.

Deux-Montagnes

Les mesures d’atténuation qui seront mises en place lors de la fermeture de la ligne de train de banlieue Deux-Montagnes dès janvier 2020 ont également été présentées lors de la rencontre de mardi. Aucune nouvelle information n’a été fournie au public; les détails viendront en septembre, assure l’Autorité régionale du transport métropolitain (ARTM).

Le trajet qu’empruntera la navette d’autobus qui reliera la gare Bois-Franc à la ligne orange du métro n’a pas encore été déterminé, à la surprise d’une femme qui a demandé si celle-ci roulerait sur le boulevard Marcel-Laurin.

Le porte-parole de l’ARTM, Simon Charbonneau, lui a répondu que la navette circulerait «dans l’axe Marcel-Laurin», c’est-à-dire sur l’axe nord-sud, sans pouvoir préciser davantage. «On ne parle pas de rue et de boulevard, on parle de direction, a-t-il dit. On regarde présentement avec les autorités, les gens du secteur, afin de raffiner tout ça.»

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Dans la présentation d'hier https://rem.info/sites/default/files/document/SaintLaurent_Panneaux_FR.pdf

Mesures transitoires Entre 2020 et 2022 SECTEUR CÔTE-VERTU 

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Mesures transitoires 2020 à mi-2021 SECTEUR ROXBORO/SUNNYBROOKE

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Mi-2021 à 2022 (connexion à Du Ruisseau - REM, jusqu’à la fin 2023) SECTEUR ROXBORO/SUNNYBROOKE

 

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Les travaux ont commencé au niveau du viaduc Côte-Vertu. Les voies de gauche dans chaque direction sont maintenant fermées, il semble y avoir de l'excavation près du pillier central. Le débarcadère du côté ouest est fermé et deux roulottes de chantier sont en place! 

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