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Transports en commun - Discussion générale


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Green transport: Montreal is fourth best in North America

When it comes to getting around sustainably, Montreal is No. 4 in North America and No. 36 in the world, according to a new ranking of 100 big cities.

Montreal GazetteMONTREAL GAZETTE
Published on: October 29, 2017 | Last Updated: October 29, 2017 5:11 PM EDT
 

When it comes to getting around sustainably, Montreal is No. 4 in North America and No. 36 in the world, according to a new ranking of 100 big cities.

The Arcadis Sustainable Cities Mobility Index, made public Sunday, ranked cities based on 20 criteria, including transit investments and affordability, access to multiple transport modes, active commuting, bike infrastructure and air pollution.

The top three cities in North America, in order: New York, San Francisco and Vancouver, with Toronto at No. 9. Vancouver was 28th on the global index, while Toronto was 54th.

On the plus side, “Montreal makes good use of digital technologies to keep riders informed and the public responds with a high rate of travel on public transit,” the study found, noting the city’s transit fares are relatively low.

The city did well on the environmental front thanks to low air pollution and incentives for electric vehicles, though it lost points for not having as many green spaces as some other cities.

There were areas where Montreal could improve, the study found, noting its “transit system would serve the city better with an increased density of stops. Proportionally, Montreal (also) spends less of its budget on public transit.”

arcadis-index-2017.png?w=640

The top five cities on the global list were Hong Kong, Zurich, Paris, Seoul and Prague.

No American or Canadian city cracked the top 20. European cities dominated, making up 14 of the top 20 cities in the world.

Arcadis is a design and consulting company based in the Netherlands.

http://montrealgazette.com/news/green-transport-montreal-is-fourth-best-in-north-america

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On 10/13/2017 at 4:20 PM, Internist said:

L'idée soulevée par certains de réaliser une  phase ultérieure du REM en convertissant une partie ou la totalité de la ligne de train Saint-Jérôme est intéressante, mais pose plusieurs questions:

1) L'investissement supplémentaire requis pour prolonger au-delà de Sainte-Thérèse serait-il justifiable (i.e. rentable) aux yeux de CDPQ infra? Je n'ai aucune donnée quant à la rentabilité d'une extension jusqu'à Sainte-Thérèse, mais en la comparant à la ligne Deux-Montagnes en termes de distances et de bassins de population, on est tenté de croire que ce serait justifiable.

2) Dans l'éventualité d'une station terminale à Sainte-Thérèse, je doute fortement qu'il y ait l'espace nécessaire. La gare de Sainte-Thérèse offre peu d'espace pour faire cohabiter les stations terminales du REM et du train. Une solution probablement envisageable serait de prolonger d'à peine 1 kilomètre le REM jusqu'à l'ancienne antenne de l'usine GM à Boisbriand. De cette façon, la station terminale desservirait le "Faubourg Boisbriand" en manque de transport en commun, et elle disposerait de beaucoup plus d'espace, permettant même l'entreposage de plusieurs rames. 

3) Contrairement à la ligne Deux-Montagnes, l'AMT n'était pas propriétaire des rails. Je doute que les propriétaires soient enclins à s'en départir...

4) Le doublement des rails. Je ne sais pas combien d'expropriations seraient nécessaires, mais ce ne serait probablement pas un problème insurmontable. 

5) La connexion avec le REM phase 1. Serait-il préférable de rabattre cette extension sur le tronçon principal et la faire passer par le tunnel du Mont-Royal? La saturation possible du tunnel est à prendre en compte. Sinon, il y a l'option de contourner la montagne. Il deviendrait alors indispensable de créer une station connectant les deux phases à Canora. La modernisation de la station terminale Lucien-Lallier serait également de mise*. 

*Bien que ça relève peut-être de l'utopie et que les défis techniques soient considérables, je rêverais de voir une extension dans l'axe des rails du CP passer sous Lucien-Lallier et Bonaventure, pour ressortir à l'est du centre-ville dans l'emprise longeant Notre-Dame. Les possibilités d'interconnexions offertes seraient nombreuses, et permettraient un maillage intéressant du réseau. Sans parler que ça créerait un nouvel axe de transport lourd au centre-ville. 

Une autre piste de réflexion comme ça... Il pourrait être intéressant de faire un tunnel à partir de la gare Parc jusqu'à la rive sud en passant par la gare centrale. Il serait alors possible de joindre les lignes St-Jérôme et Mont-St-Hilaire en une seule ligne. Ça deviendrait une alternative intéressante à la ligne orange. Je dis jusqu'à la rive sud puisque le pont Victoria appartient au CN et que c'est un axe important pour le transport de marchandise.

Modifié par Enalung
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Surtout qu'il serait hors de question de faire attendre un REM/Métro à tout les passage de bateau.  Concernant le débat tunnel/sur terre. Il faut faire attention. un mode en surface n'est rentable que si l'on ne doit pas exproprier en masse. Sinon, ça deviens vite très coûteux. 

Mais la question est: Faut t'il plus de capacité nord sud dans l'axe de la ligne orange parce que la demande est la, ou la demande est la parce qu'il manque de chemin alternatif et les gens doivent se rabattre sur ce trajet. 

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Support financier fédéral pour le transport collectif – Le Québec pourrait perdre plusieurs centaines de millions de dollars qui lui sont dédiés

Montréal, le 27 octobre – Avec la mise à jour économique du gouvernement fédéral de mardi dernier, TRANSIT, l’Alliance pour le financement des transports collectifs au Québec, se désole de constater à nouveau la lenteur du Québec à engager les sommes fédérales en transports en commun. Il est clair que quelque chose cloche dans le processus d’approbation des projets. Les différents paliers de gouvernement ne peuvent plus se renvoyer la balle.

L’approbation des projets au Québec fait pratiquement du surplace

En décembre 2016, 173,7 millions $ demandés par Québec avaient reçu l’approbation fédérale pour s’élever aujourd’hui à seulement 252,39 millions $ (voir la capture d’écran ci-dessous). Par rapport aux sommes prévues, il reste donc plus de 650 millions $ sur les 914,7 millions $ promis initialement au Québec qui doivent être engagés au plus tard en 2018 pour la phase 1 du Plan investir dans le Canada.

Le Québec en queue de peloton

Dans le contexte de cet important retard du Québec, TRANSIT s’inquiète du devenir de ces sommes non utilisées après l’échéance. Après avoir soulevé des inquiétudes à l’automne 2016, puis au moment du dépôt du budget fédéral au printemps 2017, TRANSIT a sonné l’alarme au cours de l’été, craignant que le gouvernement du Québec passe à côté de sommes importantes. En effet, dans une lettre transmise au ministre des Finances du Québec, Carlos Leitão, le ministre fédéral de l’Infrastructure et des Collectivités, Amarjeet Sohi, incitait le gouvernement québécois à accélérer la cadence « pour veiller à ce que [l’]allocation de financement puisse être utilisée dans son intégralité ».

approbation-FITC-onqc.png

À Toronto, le maire Tory s’inquiétait mardi dernier que sa ville puisse perdre 121 millions $ du fédéral en raison de la date d’échéance de la phase 1, alors que l’Ontario a déjà reçu 71% des budgets prévus pour ses projets. Comparativement, le Québec a à peine réussi à approuver des des projets qui équivalent à 28% des sommes disponibles en transport collectif, ce qui pourrait se traduire par une perte de plusieurs centaines de millions de dollars. Pour sa part, la Colombie-Britanique a déjà fait approuvé 88% des sommes.

Considérant la lenteur du processus actuel, TRANSIT s’interroge sérieusement sur la capacité du Québec d’utiliser les sommes inégalées inscrites dans la phase 2 du Plan investir dans le Canada. Rappelons qu’en transport collectif seulement, plus de 25 G$ sont prévus pour l’ensemble du pays.

Pour que la population du Québec profite d’améliorations importantes des services en transport collectif

Encore une fois, TRANSIT exhorte tous les paliers de gouvernement à collaborer davantage afin que les projets du Fonds pour l’infrastructure de transport en commun qui ont été soumis et qui sont en cours d’examen par le fédéral soient acceptés le plus rapidement possible, la date d’échéance étant le 31 mars 2018.

 

Capture d’écran du site d’Infrastructure Canada en date du 26 octobre 2017

Investissement de la Phase 1 du Fonds pour l’eau potable et le traitement des eaux usées et du Fonds pour les infrastructures du transport en commun

Québec (28% des sommes approuvées)

Capture-siteinfra-Canada-FITC.png

http://www.transitquebec.org/2017/10/support-financier-federal-pour-le-transport-collectif-le-quebec-pourrait-perdre-plusieurs-centaines-de-millions-de-dollars-qui-lui-sont-dedies/

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8 minutes ago, nephersir7 said:

Soit le maire de Montréal a d'autres priorités, soit le message ne se rend pas à Québec.

Peut-être des subventions pour l’éventuel stade? Les gouvernements payeront jamais pour les deux...

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