Aller au contenu

REM (ligne A) - Discussion générale


Messages recommendés

la Banque de l’infrastructure du Canada fournira du financement à faible taux aux projets de construction de nouvelles infrastructures ,on parle de prêt avec un faible taux d’Intérêt rien qui va réellement aider le transport en commun . La caisse ne manque pas de liquidité et du coté de la ligne bleue elle ne sera jamais rentable a court terme donc il se peut que ce projet ne soit pas admissible...

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

la Banque de l’infrastructure du Canada fournira du financement à faible taux aux projets de construction de nouvelles infrastructures ,on parle de prêt avec un faible taux d’Intérêt rien qui va réellement aider le transport en commun . La caisse ne manque pas de liquidité et du coté de la ligne bleue elle ne sera jamais rentable a court terme donc il se peut que ce projet ne soit pas admissible...
Tout à fait mais mon commentaire est que pour le REM, l'investisseur est déjà là...
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Si M. Sabia n'est pas inquiet du financement du fédéral pour le REM, pourquoi le serions-nous? Son discours est très optimiste malgré que prudent. Si les intentions du fédéral étaient de ne pas financer une partie du projet, je suis sûr que M. Sabia aurait un discours bien différent.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Si M. Sabia n'est pas inquiet du financement du fédéral pour le REM, pourquoi le serions-nous? Son discours est très optimiste malgré que prudent. Si les intentions du fédéral étaient de ne pas financer une partie du projet, je suis sûr que M. Sabia aurait un discours bien différent.

 

 

*M. Leitao oui, d'un autre fil.

 

 

À ses côtés, le ministre des Finances, Carlos Leitao, a reconnu que l’absence de financement du fédéral pourrait compliquer le début des travaux de construction du REM, prévus à l’automne.

«Ça veut dire que, d'ici l'automne, il va falloir que nos conversations avec le gouvernement fédéral s'intensifient pour qu'ils soient au rendez-vous», a-t-il commenté.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Le projet de REM de la CDPQ n'a pas besoin de financement en provenance de la future BIC. En fait, je pense que la CPDQ n'en veut même pas; ce qu'elle veut, ce sont des contributions/subventions de Québec et d'Ottawa; la partie «privée» du financement, celle qui requiert un rendement sur le capital investi, c'est la Caisse elle-même qui la fournit.

 

Pour rappel: le concept de la BIC, c'est de réunir du financement pour des projets d'infrastructures: dans tous les cas, l'apport public (fédéral) représentera une part fortement minoritaire; la plus grande part viendra, au cas par cas, d'institutions financières privées, dont les banques et les fonds de retraite; le rendement financier escompté sur la part privée de l'investissement devra être (suffisamment) attrayant, en d'autres mots: concurrentiel avec les autres opportunités d'affaires à l'échelle mondiale qui s'offrent à elles.

 

En résumé: la CDPQ n'attend pas après la BIC, elle attend une décision sur la contribution «directe» d'Ottawa, ainsi que sur celle de Québec.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Budget fédéral : satisfaction et déception dans le milieu économique

 

PUBLIÉ AUJOURD'HUI À 20 H 23 | Mis à jour il y a 19 minutes

*

Le budget fédéral est globalement bien accueilli, mais laisse certains intervenants sur leur faim, notamment dans le secteur des infrastructures. Tour d'horizon des réactions des syndicats, des organismes de développement économique et autres associations qui ont commenté le budget fédéral.

 

Bien qu’il salue le budget Morneau, le Conseil du patronat du Québec (CPQ) aurait aimé un engagement plus précis du gouvernement fédéral dans la construction du Réseau électrique métropolitain (REM), de la Caisse de dépôt et placement du Québec.

 

« Les investissements fédéraux dans ces grands chantiers ne doivent pas être à la remorque de la mise sur pied de la Banque de l’infrastructure, qui aura lieu dans plusieurs mois encore. Dans plusieurs cas, entre autres pour le REM, les décisions doivent être prises d’ici trois mois. Le gouvernement peut aller de l’avant dès aujourd’hui pour appuyer ces projets porteurs pour le Québec et son économie », dit Yves-Thomas Dorval, PDG du CPQ.

 

D’ailleurs, le CPQ constate qu’aucune annonce concernant l’emplacement du siège social de la Banque de l’infrastructure du Canada n’a été faite. L'organisme réitère l’importance que ce dernier soit situé au Québec, où l’expertise en la matière a déjà commencé à se développer.

 

Le Conseil du patronat du Québec est déçu de constater qu’aucune annonce n’a été faite pour soutenir le Service rapide par bus à Québec ou encore le prolongement de la ligne bleue du métro à Montréal.

 

Par contre, le CPQ salue le Plan pour l’innovation et les compétences qui prévoit une enveloppe de 753 millions de dollars pour la formation des travailleurs et de 527 millions de dollars qui sera allouée à la recherche et développement.

 

http://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1023851/budget-morneau-reactions-milieu-economique-satisfaction-deception

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Le projet de REM de la CDPQ n'a pas besoin de financement en provenance de la future BIC. En fait, je pense que la CPDQ n'en veut même pas; ce qu'elle veut, ce sont des contributions/subventions de Québec et d'Ottawa; la partie «privée» du financement, celle qui requiert un rendement sur le capital investi, c'est la Caisse elle-même qui la fournit.

 

Pour rappel: le concept de la BIC, c'est de réunir du financement pour des projets d'infrastructures: dans tous les cas, l'apport public (fédéral) représentera une part fortement minoritaire; la plus grande part viendra, au cas par cas, d'institutions financières privées, dont les banques et les fonds de retraite; le rendement financier escompté sur la part privée de l'investissement devra être (suffisamment) attrayant, en d'autres mots: concurrentiel avec les autres opportunités d'affaires à l'échelle mondiale qui s'offrent à elles.

 

En résumé: la CDPQ n'attend pas après la BIC, elle attend une décision sur la contribution «directe» d'Ottawa, ainsi que sur celle de Québec.

 

Tout à fait, c'est mieux exprimé ce que je voulais dire.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Tout à fait, c'est mieux exprimé ce que je voulais dire.

 

 

 

Le problème, notre inquiétude en tout cas, est que le gouvernement fédéral, lui, semble attendre après la BIC et que, si c'est bien le cas, ça retarderait l'annonce d'un financement et peut-être le début des travaux.

 

Bien qu’il salue le budget Morneau, le Conseil du patronat du Québec (CPQ) aurait aimé un engagement plus précis du gouvernement fédéral dans la construction du Réseau électrique métropolitain (REM), de la Caisse de dépôt et placement du Québec.

 

« Les investissements fédéraux dans ces grands chantiers ne doivent pas être à la remorque de la mise sur pied de la Banque de l’infrastructure, qui aura lieu dans plusieurs mois encore. Dans plusieurs cas, entre autres pour le REM, les décisions doivent être prises d’ici trois mois. Le gouvernement peut aller de l’avant dès aujourd’hui pour appuyer ces projets porteurs pour le Québec et son économie », dit Yves-Thomas Dorval, PDG du CPQ.

Modifié par jerry
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Deux choses qu'on peut retenir, entre autres, d'une entrevue de Gérald Filion avec le ministre des finances Bill Morneau à RDI:

 

- Michael Sabia aide, conseille le gouvernement pour mettre en place la Banque d'Infrastructures (bon signe)

- Celle-ci ne sera pas fonctionnelle avant 3 mois, donc il va probablement falloir attendre au moins ce temps pour des annonces officielles du fédéral sur le REM.

 

Effectivement! Ça paraîtrait mal de voir la BIC à Toronto avec Sabia qui aurait "conseillé" ça? Anyway, on le saura pas avant qq mois encore.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Le projet de REM de la CDPQ n'a pas besoin de financement en provenance de la future BIC. En fait, je pense que la CPDQ n'en veut même pas; ce qu'elle veut, ce sont des contributions/subventions de Québec et d'Ottawa; la partie «privée» du financement, celle qui requiert un rendement sur le capital investi, c'est la Caisse elle-même qui la fournit.

 

Pour rappel: le concept de la BIC, c'est de réunir du financement pour des projets d'infrastructures: dans tous les cas, l'apport public (fédéral) représentera une part fortement minoritaire; la plus grande part viendra, au cas par cas, d'institutions financières privées, dont les banques et les fonds de retraite; le rendement financier escompté sur la part privée de l'investissement devra être (suffisamment) attrayant, en d'autres mots: concurrentiel avec les autres opportunités d'affaires à l'échelle mondiale qui s'offrent à elles.

 

En résumé: la CDPQ n'attend pas après la BIC, elle attend une décision sur la contribution «directe» d'Ottawa, ainsi que sur celle de Québec.

 

Par contre, si on veut la ligne bleue, ça peut être plus décisif!

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Join the conversation

You can post now and register later. If you have an account, sign in now to post with your account.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Vous avez collé du contenu avec mise en forme.   Supprimer la mise en forme

  Seulement 75 émoticônes maximum sont autorisées.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédent a été rétabli.   Vider l’éditeur

×   You cannot paste images directly. Upload or insert images from URL.


Countup


×
×
  • Créer...