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Let's not forget that the ballpark would be a 15 min walk from downtown where there is plenty of interior parking.  By the time you get in/out of stadium's dedicated parking with all the traffic and congestion, best to walk to downtown and you'll be on the road in the same amount of time or less.  Those who park under the Bell Centre will understand.  

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Rays Sternberg will host Montreal group leader at wild-card game

Stephen Bronfman and colleagues are heading west to see the team they hope will play part of future seasons in Montreal.

SCOTT KEELER | Times Tampa Bay Rays Principal Owner Stuart Sternberg looks out over Tampa Bay Tuesday through the Dali Museum Enigma windows prior to a Rays announcement that the team wants to play half of their home games in Montreal.

By Marc Topkin

Published 6 minutes ago

OAKLAND, Calif. — Rays principal owner Stuart Sternberg will have some interesting guests at tonight’s AL wild-card game.

Stephen Bronfman, leader of the group seeking to bring baseball back to Montreal, is heading to Oakland, with some colleagues.

Sternberg, who announced in June the Rays would like to have the team split future seasons between the Tampa Bay area and Montreal, arranged for their tickets, the Tampa Bay Times has learned, though it’s not clear if they will be seated together.

 

Le Journal de Montreal said of the development (via Google translation): If the news seems at first sight innocuous, it is significant in the process of the possible return of the major baseball in Montreal.

The Rays received permission in June from MLB to explore the unprecedented, and somewhat problematic, plan, and then held a media conference at the Dali museum to explain the benefits of splitting home games, with the team starting the season in the Tampa Bay area and finishing in Montreal. Under the plan, new open-air stadiums would be built in both markets.

Bronfman later held a media conference in Montreal and detailed why having a team on a part-time basis was better than waiting to pursue a relocation or expansion franchise.

The Rays can’t negotiate with Montreal or Bronfman, whose group would likely buy a minority interest in the team, until getting permission from the city of St. Petersburg as part of the Tropicana Field use agreement that runs through the 2027 season.

Talks between the Rays and St. Petersburg have been ongoing, with three reported meetings, but no resolution. St. Petersburg Mayor Rick Kriseman would like the team to instead build a new full-time stadium in St. Petersburg. Sternberg said in June staying in St. Petersburg or Tampa was unlikely.

 

https://www.tampabay.com/sports/rays/2019/10/02/rays-sternberg-will-host-montreal-group-leader-at-wild-card-game/

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Consultations publiques: pour ou contre un stade de baseball au bassin Peel ?

Faut-il construire un stade de baseball ou des logements sociaux au bassin Peel ? Le milieu des affaires appuie le projet du groupe de Stephen Bronfman, mais plusieurs organismes du quartier s’y opposent.

Faut-il construire un stade de baseball ou des logements sociaux au bassin Peel ? Le milieu des affaires appuie le projet du groupe de Stephen Bronfman, mais plusieurs organismes du quartier s’y opposent. Débat à prévoir ce soir, alors que le groupe de M. Bronfman expliquera son projet de stade dans le cadre des consultations publiques organisées par la Ville de Montréal sur l’avenir du quartier.

Publié le 03 octobre 2019 à 6h00

Un « vaste éventail de retombées », dit la Chambre de commerce

 

La Chambre de commerce du Montréal métropolitain appuie le projet du groupe de Stephen Bronfman, qu’elle qualifie de « projet structurant ». Dans son mémoire, la Chambre de commerce écrit qu’une équipe du baseball majeur « vient avec un vaste éventail de retombées. Un écosystème entier d’entreprises de services et de divertissements – restaurants, bars, magasins, etc. – voit alors le jour. Le nouveau flux de personnes amène des besoins en termes d’espaces de vie à plus long terme. En bref, le secteur devient une destination et un lieu de vie en soi ». Selon la Chambre de commerce, il est important de réfléchir au développement du quartier en tenant compte du fait qu’un stade de baseball doit être accessible en transports en commun (par exemple par une station du REM) et que tout projet de développement (incluant un stade) doit être complémentaire à « l’offre commerciale existante ».

Un « grand moment », selon Tourisme Montréal

L’organisme touristique montréalais pense que le retour du baseball – les Expos ont déménagé à Washington en 2004 – serait « un grand moment pour les amateurs » de sport à Montréal et en Amérique du Nord. Tourisme Montréal fait valoir (sans toutefois le chiffrer) qu’une équipe de baseball « ajouterait à l’attractivité estivale de [la] ville » en matière touristique, particulièrement auprès des touristes des régions du Québec, de l’Ontario et des États américains du Vermont et de New York.

Cycle Capital Management

« D’abord, j’aime le baseball », dit Andrée-Lise Méthot. Mais si elle appuie le projet de stade, c’est surtout parce que son entreprise qui investit dans les entreprises vertes, Cycle Capital Management, veut ériger un centre névralgique des technologies propres au bassin Peel. « Ce qui me réjouit le plus, c’est que M. Bronfman se propose de bâtir un stade vert, dit-elle. De grandes infrastructures vertes, il n’y en a pas tant que ça. Si on est capable d’amener de l’intelligence cleantech dans le stade, je vais être une fan comblée d’aller au baseball et de m’asseoir dans un stade vert, relié, en plus, à un système de transports en commun [électrique]. »

Le groupe de Stephen Bronfman dévoilera son mémoire ce soir.

Contre

« Un peu indécent », dit la Clinique communautaire

Construire un stade de baseball sur un terrain public ? « Ce serait un peu indécent de faire ça, alors que de moins en moins de terrains sont disponibles pour faire du logement social et que les besoins sont criants [en logement social]. C’est la responsabilité de nos gouvernements », dit Julie Langlois, organisatrice communautaire à la Clinique communautaire de Pointe-Saint-Charles, un organisme de santé (similaire à un CLSC) géré par des citoyens. En plus de logements sociaux, la Clinique communautaire estime que le terrain du gouvernement fédéral devrait abriter des infrastructures « qui correspondent aux besoins de la population », comme une école secondaire, une maison de la culture et un terrain multisport.

Pas de développement privé sur un terrain public

Le Carrefour d’éducation populaire de Pointe-Saint-Charles ne veut pas que la Ville de Montréal autorise des projets privés (comme un stade de baseball) sur un terrain public comme celui du gouvernement fédéral au bassin Peel. « Les terrains publics doivent répondre aux besoins de la population. Le gouvernement fédéral a une stratégie nationale du logement de 55 milliards sur 10 ans, et à Montréal, ce terrain du gouvernement fédéral est l’un des seuls publics à Montréal pour faire du logement social. Pour nous, c’est une question de volonté politique », dit Nicolas Delisle-L’Heureux, coordonnateur au Carrefour d’éducation populaire de Pointe-Saint-Charles, un organisme qui, après consultation auprès des citoyens, propose plutôt de construire des logements sociaux, des écoles et des terrains de sport sur le terrain du gouvernement fédéral.

Peut-être

Qu’en pense Phyllis Lambert ?

Plusieurs citoyens donneront leur avis lors des consultations publiques au cours des prochains jours, mais une intervenante retiendra particulièrement l’attention : Phyllis Lambert. Cette Montréalaise de 92 ans a consacré sa vie à l’architecture et à l’urbanisme, a fondé le Centre canadien d’architecture, a construit le célèbre Seagram Building à New York avec le mythique architecte Mies van der Rohe. Et Phyllis Lambert est aussi membre de la famille Bronfman : c’est la tante de Stephen Bronfman. Pour le quartier du bassin Peel, Phyllis Lambert propose un projet d’écoquartier des artisans et des métiers. Son projet n’exclut pas nécessairement un stade de baseball, mais celui-ci devra s’arrimer aux besoins du quartier, être rendu accessible à la communauté et fournir des services à la communauté.

Et l’environnement ?

Le groupe de Stephen Bronfman envisage de présenter un projet de stade de baseball vert et respectueux de l’environnement. Est-ce possible ? « Ça va être au promoteur du projet d’en faire la preuve », dit Charles Bergeron, responsable des dossiers de développement urbain durable au Conseil régional de l’environnement de Montréal (CREM), un organisme indépendant. Pour l’instant, le CREM dit ne pas avoir assez d’informations pour se prononcer. « On en connaît très peu de choses, dit M. Bergeron. Ils ont une preuve à faire. Ce qui est important pour l’ensemble du secteur, c’est qu’il y ait une vision d’ensemble pour l’aménagement qui va permettre un bon maillage des différents projets. En ce moment, chacun mène son projet de son côté [dans le quartier]. Un stade, c’est une grosse construction. Ce serait un important générateur de déplacements. Est-on équipé pour prendre ces importants déplacements-là ? »

Le projet de stade

– Un stade de baseball d’environ 30 000 sièges au bassin Peel si Montréal obtient une équipe du baseball majeur. Le coût du stade serait d’environ 426 millions en dollars de 2015 (458 millions en 2019).

– Le groupe mené par l’homme d’affaires Stephen Bronfman discute actuellement avec le propriétaire des Rays de Tampa de l’idée d’avoir une équipe partagée entre Tampa Bay (printemps et automne) et Montréal (été).

– Le groupe de M. Bronfman ne veut pas demander de fonds publics à la Ville de Montréal pour la construction du stade, mais il pourrait demander des changements de zonage qui lui permettraient de construire plus de condos, de locaux commerciaux et de bureaux dans le quartier à proximité du stade.

Qui décide pour le terrain ?

Le groupe de Stephen Bronfman convoite un terrain de 900 000 pieds carrés appartenant au gouvernement fédéral au bassin Peel. Ottawa en est propriétaire, mais la Ville de Montréal a inscrit un droit de premier refus sur le terrain en cas de vente. En clair, la Ville de Montréal doit autoriser le projet sur ce terrain, sinon elle peut le bloquer en l’achetant. Montréal et Ottawa doivent donc s’entendre au sujet de l’avenir de ce terrain. Combien vaut-il ? L’évaluation municipale est de 6 millions de dollars, mais la valeur réelle du terrain varie plutôt entre 50 millions et 150 millions selon les changements de zonage autorisés. La Ville de Montréal organise au cours des prochains jours une consultation publique pour l’aider à prendre sa décision sur l’avenir du quartier du bassin Peel (quartier Bridge-Bonaventure).

Un pôle d’emplois spécialisés

Parallèlement au projet de stade, Cycle Capital Management va détailler demain un projet de pôle d’emplois spécialisés dans les technologies propres. Andrée-Lise Méthot s’est entretenue avec La Presse pour exposer les grandes lignes de son projet, qui s’inspirerait des projets MaRS, de Toronto, Greentown Labs, de Boston, ou encore L.A. Cleantech Incubator, à Los Angeles.

 

https://www.lapresse.ca/affaires/201910/02/01-5243838-consultations-publiques-pour-ou-contre-un-stade-de-baseball-au-bassin-peel-.php

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Je suis tombé sur cet article intéressant proposant la vision d'un architecte sur le design d'un stade de baseball moderne et son intégration avec la trame urbaine.  Il n'aborde pas la question du transport, mais ça reste intéressant.

Citation

 

Throw open the gates

The relationship between teams and their surrounding urban environment — good or bad — has created some of the most memorable and familiar features in ballpark design. Fenway Park’s iconic 37-foot-high “Green Monster” wall in left field began in part as a spite fence to prevent freeloaders from watching games from nearby buildings. Wrigley Field’s rooftop viewing sections represent the (eventual, grudging) concession to that same kind of viewing. While those examples are more than a century old, the tension between teams and towns remains.

“Any time someone else puts something outside our front door, it’s going to have an adverse impact on our business,” explained Atlanta Braves president of development Mike Plant in 2016 while outlining the massive team-controlled development project accompanying the club’s move from downtown Atlanta to an undeveloped field in suburban Cobb County. This is a business strategy, but it’s not community engagement. It’s community imitation, creating a context to fit one’s own needs and walling off the city outside.

We’re going to take a different approach: we’re throwing open the gates, and offering the stadium up to the street. Instead of simply using design touches to emulate surrounding buildings, we’ll erase the distinction between stadium and surround, and put the backs of those supporters’ sections towards the street. We can’t have cars on a concourse, so a series of pedestrianized streets — like those that have been successfully implemented in urban developments like Las Vegas’s Fremont Street, Kansas City’s Power and Light District, or Louisville’s Fourth Street Live — can place the park smack-dab in the middle of a vibrant, multi-use entertainment district, developed with the same open-handed, community-led process as the park itself.

Will some people be able to catch a glimpse of the game without buying a seat? Sure. The club can make money back by leasing land to the businesses drawn in by that activity. And on slow game days, the district can support the ballpark by bringing in people who might decide to catch a couple innings over a beer after dinner at a nearby restaurant. When the ballpark is bursting at the seams for a playoff game? The crowd can flow through the entire district, expanding the ballpark’s capacity greatly.

For once, a new ballpark can be an organic part of the city, rather than just echo of it.

 

 

https://www.sbnation.com/2019/9/26/20883568/american-sports-stadium-architecture-future

 

 

Modifié par bryston
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Je me croise les doigts pour qu'il n'y aie pas de stationnement extérieur. De plus, un toit ouvrant serait vraiment le scénario parfait, mais je doute de la possibilité de cette option. 

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MERCI SCARLET

 

 

Commentaires:

Filo, on t ils parlé d'une date de début de construction?

Bronfman a parlé de genre approx dans 2 ans. Attendre au printemps pour la réponse, 8 mois pour les dessins plus une autre année pour préparer le terrain. Ça c’est si ils ont le ok vite des Rays. 2023-2024 est la projection pour l’ouverture du stade.

:highfive:

 

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On peut aussi écouter la conférence de presse de Bronfman  par ce lien 
https://www.985fm.ca/nouvelles/sports/254550/baseball-un-projet-ecolo-et-collectif-pour-stephen-bronfman

Baseball: un projet écolo et collectif pour Stephen Bronfman

Par Jeremy Filosa | 98,5 Sports

3 OCTOBRE 2019 21:10

L’homme d’affaires Stephen Bronfman a donné jeudi soir les grandes lignes de son projet de stade de baseball à l’Office de consultation publique de Montréal à Montréal.

Sans présenter de plan ou de maquette, Bronfman a expliqué pourquoi il désirait s’investir dans ce projet qu’est de tenter de rapatrier les Expos.

Bronfman a surtout misé sur l’aspect écologique de ce futur stade. Il a indiqué qu’il serait le stade le plus vert de tout le baseball majeur, et que cela l’excitait énormément.

Il a aussi fait savoir que les amateurs ne seront pas invités à se déplacer en auto pour venir au stade, mais plutôt en transport en commun. Les places de stationnements seront d'ailleurs très limitées.

Par ailleurs, Bronfman a insisté sur le fait que le stade ne sera qu’une petite partie de ce grand développement qui comptera aussi sur des logements abordables, des parcs, des immeubles commerciaux, etc.

Pour l'instant, le seul plan qui est sur la table pour Bronfman est celui de partager la garde des Rays de Tampa Bay et ce dossier évolue plutôt lentement du côté de St. Pete.

Rappelons que la ville de Montréal a un droit de préemption sur le terrain du Bassin Peel qui appartient présentement au gouvernement fédéral. 

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https://www.lapresse.ca/sports/baseball/201910/03/01-5243989-stade-de-baseball-bronfman-veut-batir-pour-les-100-prochaines-annees.php

Stade de baseball: Bronfman veut bâtir pour les 100 prochaines années

 

(Montréal) Stephen Bronfman a été clair : le développement du secteur Bridge-Wellington offre une occasion de bien penser ce quartier, de construire pour les 100 prochaines années.

Publié le 03 octobre 2019 à 21h47
FRÉDÉRIC DAIGLE
LA PRESSE CANADIENNE

Le président exécutif de Claridge et fer-de-lance du Groupe de Montréal a fait une présentation passionnée de son « projet-rêve », sur lequel il travaille depuis plus de sept ans, devant les commissaires de l’Office de consultation publique de Montréal.

« Nous sommes des gens passionnés, des sportifs, des cosmopolitains, a-t-il dit des Montréalais, rappelant que leur histoire d’amour avec le baseball professionnel remonte à l’époque des Royaux de Montréal et de Jackie Robinson. On profite de la vie, on rit et nous sommes des gens fiers. Moi-même, je suis comme ça : je suis passionné, j’adore notre ville, j’adore le sport, j’adore notre vie. »

En compagnie de son bras droit Pierre Boivin, Bronfman a expliqué les grandes lignes de son projet qu’il veut « innovateur, communautaire et écoresponsable ».

« On parle d’un projet vert. On ne veut pas faire un site avec du stationnement. Les nouveaux projets de stades aujourd’hui n’offrent pas beaucoup de places de stationnement. Ça crée des îlots de chaleur et on ne veut pas ça.

“On veut utiliser des technologies innovatrices, a-t-il ajouté. On veut réutiliser toute l’eau de pluie et de la fonte des neiges pour arroser le terrain, les aménagements paysagers et faire fonctionner nos toilettes. Nous n’avons pas besoin d’eau potable pour ça. Nous allons chauffer avec de l’énergie géothermique, nous allons traiter nos déchets, faire du compostage et travailler avec les banques alimentaires pour leur donner la nourriture qui n’aura pas été utilisée. »

Le projet de Bronfman comptera sur les transports en commun, le R. E. M., les vélos et les déplacements à pieds. Quand un commissaire lui a fait remarquer qu’aucune station de métro ne desservait le quartier, Bronfman a rappelé l’association entre les Alouettes et la STM pour mener leurs partisans vers le stade Percival-Molson, lui aussi mal desservi sur ce point.

Bronfman a beaucoup insisté sur sa vision environnementale pour ce projet, non seulement pour le stade, mais également pour le quartier environnant. Il a rappelé que les préoccupations écologiques ne sont pas une lubie et que Montréal avait une occasion unique.

« Avec cette vision verte et communautaire, on veut que ça stimule le développement vert de tout ce secteur. On a l’opportunité à Montréal, ici maintenant, de faire quelque chose de très important. On a un quartier qui s’étend sur 2,3 kilomètres. Si c’est bien fait, ce sera fait pour les prochaines 100 années. […] Je ne suis pas un bâtisseur, mais j’ai une vision. »

Le stade serait également ouvert à la communauté. Bronfman a évoqué pour la première fois la possibilité que les Alouettes y évoluent et a ajouté qu’il aimerait accueillir des matchs de la Coupe du monde de soccer de 2026, une Classique hivernale de la LNH, ou encore des événements de surf des neiges et ski acrobatique. Mais il a également parlé de faire la part belle aux initiatives communautaires, comme d’abriter une glace Bleu-Blanc-Bouge du Canadien, d’accueillir des artisans comme les forgerons des Forges de Montréal, des souffleurs de verre, ainsi que des programmes sports-études, en baseball.

Bronfman a aussi évoqué la possibilité de tenir des concerts dans ce stade « de 32 000 à 34 000 sièges ».

Étape cruciale

Cette audience était très importante pour la suite du projet. Bronfman et Devimco tentent d’acquérir quelque 1 million de pieds carrés dans ce secteur de Griffintown, le dernier quartier à proximité du centre-ville de Montréal toujours à être développé.

Quelques groupes communautaires s’opposent à la venue d’un club de baseball dans le quartier. Ils ont profité de ces audiences pour faire part de leurs inquiétudes, notamment le manque de logements sociaux et l’achalandage accru qu’engendrerait la venue d’une équipe.

Les terrains visés appartiennent à la Société immobilière du Canada, un organisme public. La ville de Montréal dispose d’un droit de préemption sur ceux-ci. Bronfman a aussi souligné que c’est ce terrain que son groupe vise.

« On a regardé les autres sites : l’Hôpital de Montréal pour enfants, c’était trop petit. On a regardé ici et là. Certains parlent du Stade olympique : la MLB ne veut pas du Stade olympique et il n’est pas un stade de baseball. On veut quelque chose d’intime, d’attirant. Comme j’ai dit au commissaire : c’est le temps et ce site est le bon. »

Il s’agit également de la plus récente étape à franchir par Bronfman et son groupe pour l’obtention d’une concession du Baseball majeur. En juin dernier, le propriétaire des Rays de Tampa Bay, Stuart Sternberg, a révélé avoir obtenu la permission de la MLB d’explorer la possibilité de partager la saison entre St. Petersburg et Montréal, un projet inédit qui nécessiterait la construction d’un nouveau stade dans chacune des villes.

Déjà, le maire de St. Petersburg, Rick Kriseman, s’est dit contre le projet. Il a rappelé que le contrat qui lie les Rays à sa municipalité pour l’utilisation du Tropicana Field — jusqu’en 2027 — stipule que la totalité des matchs doit y être jouée.

Trois rencontres entre la direction des Rays et le Bureau du maire de St. Pete ont eu lieu jusqu’ici, sans que rien ne transpire des discussions qui y ont été tenues.

« Stuart Sternberg est persuadé qu’il va obtenir les appuis nécessaires, a indiqué Bronfamn. Mais si ça ne fonctionne pas, on retournera à la table à dessin. Notre attention est tournée à 100 % vers cette idée novatrice. »

Bronfman a rappelé que tant que Sternberg n’obtient pas cette permission de la ville de St. Petersburg, la mise sur pied de cette équipe dans deux villes ne peut pas commencer. L’homme d’affaires ne peut pas avancer un échéancier.

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