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qwerty

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Tout ce qui a été posté par qwerty

  1. Maison Radio-Canada - Bureaux et espaces commerciales a louer
  2. Il y a pas si longtemps cette limite n'était pas vraiment un probleme. Ceci dit, à la vitesse ou vont les choses présentement, le marché lui-même devrait pouvoir dicter la hauteur des nouvelles constuctions. Sans pour autant canceller cette limite, une sorte de processus "Fast Track" qui donnerait la possibilité de modifier cette limite de manière simple mais justifiée (sans longueur et tracas administrative) serait un outil pertinent je pense.
  3. 2000 logements: Assumons 4 logement par etage x 25 etage = 100 logement / tour. On parle donc de l'équivalent de 20 tours de 25 etages. C'Est beaucoup de developpement pour faire une histoire courte.
  4. Also keep in mind that such insurance companies buy real estate as part of their investment portfolio. Let's see... Anyone would know how much space is for rent in CCE currently, with all the new tenants moving in?
  5. C'est exactement ce que j'ai remarqué, peut etre de la brique jaune??? Sérieusement, je peux pas croire que l'on va voir ca sur un edifice de verre, ca doit être préliminaire comme tu dis.
  6. À t'entendre la prochaine etape c'est le pont....
  7. So the rumour is out, Great west + investors are moving their Winnipeg head office to Mtl, :awesome::awesome: Ben non quand meme...
  8. Ca sera pret pour le 400e. Faut pas s'en faire avec ca. Si tu veux taper sur Coderre tu peux bien, mais sincerement garde aussi en tête qu'il fait pas mal mieux que ces predecesseurs récents et que son bilan net est tres positif. Il y a dix ans Mtl était encore une ville des années 70. En date d'aujourd'hui, je dirais qu'on est entré dans le 21e siècle et la contribution de Coderre y est pour quelques choses.
  9. Publié le 10 novembre 2016 à 11h33 | Mis à jour à 11h33 Le salaire minimum à 15 $ nuirait plus à ceux qu'on veut aider, conclut le Conseil du patronat Lia Lévesque La Presse Canadienne Le Conseil du patronat du Québec jette un pavé dans la mare avec une autre étude sur le salaire minimum à 15 $, qui conclut qu'une telle hausse reviendrait à faire porter le poids d'une politique sociale aux secteurs du commerce de détail, de l'hôtellerie et de la restauration. Le CPQ a finalement dévoilé, jeudi à Montréal, l'étude qu'il avait commandée sur les effets d'une hausse du salaire minimum à 15 $, en compagnie de représentants patronaux des industries concernées. Selon le scénario souvent envisagé par les promoteurs de cette idée, à savoir une hausse graduelle, de 10,75 $ l'heure actuellement, à 15 $ en 2022, cela se traduirait par une perte de 6000 emplois, dont 5400 dans le commerce de détail, précise l'étude de la firme Daméco. Mais le président-directeur général du CPQ, Yves-Thomas Dorval, s'empresse d'ajouter qu'il ne faut pas s'attarder seulement au nombre d'emplois qui risqueraient d'être perdus, mais aussi à la perte de pouvoir d'achat qui s'ensuivrait à moyen terme, à cause de la hausse des prix, sans compter la baisse des bénéfices des entreprises et la baisse des exportations. Il en conclut qu'en bout de course, les travailleurs que l'on voudrait aider en haussant le salaire minimum se retrouveraient à être ceux à qui on nuirait le plus, puisqu'ils seraient davantage affectés par une hausse des prix.
  10. Et les jeux de couleurs?? un effet d'optique sur la photo seulement?
  11. Le projet semble donc toujours en vie. De mémoire la tour était exclue cependant. Donc c'est juste un réaménagement interne? Quelqu'un a une idée.
  12. La bombe atomique de Pierre Fortin | Francis Vailles | Francis Vailles Publié le 22 octobre 2016 à 05h00 | Mis à jour le 22 octobre 2016 à 05h00 La bombe atomique de Pierre Fortin À 16 ans, gagner 10,75 $ de l'heure est tout à fait honorable, dit Francis Vailles. Impossible de s'opposer à la hausse du salaire minimum à 15 $ sans passer pour un sans-coeur. Qui peut être contre l'amélioration du sort des pauvres ? Pierre Fortin, économiste Hausser le salaire minimum n'est toutefois pas sans conséquence économique. Et en bout de piste, il est bien possible que ces conséquences nuisent à ceux-là même que le mouvement pro 15 $ veut aider... Nécessairement, une telle hausse entraînera une majoration de l'échelle salariale de bien des organisations, notamment les commerces et les restaurants. Or, il est illusoire de penser que c'est le propriétaire qui absorbera toute la facture, d'autant plus que plusieurs entreprises sont fragiles (le quart des commerces ne sont pas rentables, selon Industrie Canada). Pour compenser, il faudra hausser les prix. Et si la concurrence est trop forte, il faudra réduire le personnel ou fermer boutique. Lundi, l'économiste Pierre Fortin a lancé un véritable pavé dans la mare à ce sujet. Dans une entrevue à Radio-Canada, il a déclaré qu'une telle hausse, surtout si elle est rapide, serait une « bombe atomique » pour notre économie. Un salaire minimum trop élevé pourrait augmenter le décrochage scolaire et décourager l'embauche dans les PME. Il parle de 100 000 pertes d'emplois si la hausse est rapide. Surtout, il affirme que les villes citées en exemple par le mouvement syndical pour leur hausse progressive à 15 $ ont un environnement salarial bien différent d'ici. Entre autres, les salaires moyens y sont passablement plus élevés. En conséquence, même avec une augmentation à 15 $, leur propre salaire minimum demeurerait moindre que celui du Québec, toute proportion gardée. Au Québec, le salaire minimum équivaut à environ 47 % du salaire moyen actuellement, comparativement à 36 % à New York et à San Francisco. DES COMPARAISONS BOITEUSES Par ailleurs, ai-je constaté, les militants syndicaux aiment bien comparer notre salaire minimum d'aujourd'hui à celui de la fin des années 70, alors à 53 % du salaire moyen. Ils oublient de dire qu'à l'époque, ce fort salaire minimum expliquait en partie le chômage très élevé des jeunes. En 1978, le taux de chômage s'élevait à 17,7 % chez les 15-24 ans, soit 9,3 points de plus que le reste de la population. Aujourd'hui, ce taux est de 12,7 %, soit 5,9 points de plus que les autres. L'écart entre les jeunes et les moins jeunes a donc baissé de 3,4 points. La hauteur du salaire minimum n'explique pas tout, mais elle est un facteur important dans cette amélioration. Autre point de comparaison boiteux des tenants de la hausse : l'international. Un document de la FTQ prend exemple d'une série de pays dont le salaire minimum dépasse celui du Québec, lorsque ramené en proportion du salaire médian. Le hic, c'est que dans six des sept pays cités en exemple, le taux de chômage des jeunes de 15 à 24 ans est nettement plus imposant qu'au Québec. De plus, l'écart entre le taux de chômage des jeunes et le reste de la population est aussi plus grand, sauf dans un cas, Israël. Par exemple, la France a un salaire minimum plus élevé qu'ici, toute proportion gardée, mais le taux de chômage des jeunes y est deux fois plus grand. La Nouvelle-Zélande, l'Australie, la Turquie et le Chili offrent tous de meilleurs salaires minimums, note la FTQ, mais dans tous ces pays, les jeunes chôment bien davantage qu'ici ou que le reste de leur population. Au Québec, près de 60 % des 210 000 personnes qui touchent le salaire minimum ont moins de 25 ans, selon des données de l'Institut de la statistique du Québec (ISQ). Dans ce groupe de jeunes, moins d'un sur quatre reçoit le salaire minimum. Parmi le reste de la population (25 ans et plus), la proportion qui reçoit le salaire minimum est de 3 %. Le salaire minimum frappe donc avant tout les jeunes, mais leur situation s'améliore avec le temps. Au début de la vingtaine, leur salaire augmente significativement année après année, démontre une étude de l'ISQ publiée en avril dernier. Autre constatation de l'ISQ : la proportion d'employés à bas salaire n'a PAS augmenté au Québec depuis la fin des années 90, elle a plutôt diminué. En 1997, 24,4 % des travailleurs québécois touchaient moins de deux tiers du salaire médian. Cette proportion est de 20,7 % aujourd'hui. Pour ma part, je crois que les jeunes qui commencent sur le marché du travail sont correctement payés lorsqu'ils gagnent le salaire minimum. À 16 ans, gagner 10,75 $ de l'heure est tout à fait honorable. Ce qui est plus difficile à comprendre, cependant, c'est l'entêtement de certains employeurs à ne pas hausser le salaire de leurs employés compétents. Ce genre de décisions entraîne un roulement de personnel coûteux pour l'entreprise et nuit au service à la clientèle. Le géant Costco a bien compris cette leçon et majoré ses salaires, avec des résultats enviables. S'il y a une bataille à mener, c'est plutôt contre la stagnation des salaires de certaines catégories d'employés d'expérience qui font leur travail honnêtement. Parlez-en aux chauffeurs d'autobus scolaires, aux cuisiniers ou aux préposés aux bénéficiaires de résidences de personnes âgées privées...
  13. Chronique d'un entrepreneur Nicolas Duvernois http://www.lesaffaires.com/blogues/nicolas-duvernois/pourquoi-je-suis-contre-le-salaire-minimum-a-15/590729 Depuis quelques mois, plusieurs acteurs du monde des affaires et du milieu de la politique se sont exprimés en faveur du salaire minimum à 15 dollars. Est-il vraiment réaliste de croire que cette proposition améliorera la situation de centaines de milliers de travailleurs québécois? On ne peut être contre la vertu et s’opposer à l’idée que des gens moins nantis puissent hausser leur niveau de vie. Il est inadmissible qu’une personne se retrouve sous le seuil de la pauvreté en travaillant 40 heures par semaine. Collectivement, nous ne pouvons pas accepter cette situation et devons trouver des solutions au problème. Augmenter le salaire minimum est la solution miracle qui vient spontanément à l’esprit. Je n’y crois pas. Voici pourquoi. Hausser le salaire minimum est l’équivalent de mettre un pansement sur une plaie nécessitant des points de suture. Ça soulage le mal temporairement, mais ça ne règle pas le problème. Le problème n’est pas tant le salaire minimum que le manque de formation qui permettrait a plus d’un million de travailleurs d’accéder à un salaire supérieur. Confucius avait raison. Quand un homme a faim, mieux vaut lui apprendre à pêcher que de lui donner un poisson. Dans la majorité des cas, le salaire dépend de nos dernières études. Tant que nous accepterons que les jeunes puissent arrêter l’école au secondaire cinq (et même avant), la situation va perdurer. Pourquoi ne pas rendre obligatoire ne serait-ce qu’une formation professionnelle pour que nos jeunes qui sortent de l’école aient la garantie qu'ils pourront obtenir plus que le salaire minimum? Le calcul est simple. Une meilleure formation mène à un meilleur salaire. Plutôt qu’offrir plus d’argent, pourquoi ne pas proposer quelques avantages aux travailleurs les moins bien rémunérés? Comme des coupons repas pour le midi (comme en France), des cartes de transport en commun à prix réduit, des assurances… Des avantages financiers qui, sans augmenter le salaire minimum, permettront au travailleur d’en avoir plus en poche à la fin du mois. À mon avis, offrir un salaire minimum «confortable» comporte des risques à long terme. On ne veut pas d’une société où le travailleur est satisfait de faire le minimum, on veut une société où le travailleur veut faire mieux. Il ne faut pas faire l’autruche. Ce n’est pas le gouvernement qui paiera pour cette hausse, ses employés gagnant tous plus de 15 dollars l’heure. Et ce ne sont pas les multinationales qui verront la différence dans leurs états financiers. Ce seront les dizaines de milliers d’entrepreneurs à la tête de petites et moyennes entreprises qui paieront la note. L’immense majorité des entreprises au Québec sont de toutes petites entreprises. 99.8% des entreprises de la province sont des PME. Sur les 250 000 qu’on dénombre au Québec, plus de 72% comptent moins de 10 employés. La hausse du salaire minimum aura un effet catastrophique sur ces organisations, puis sur leurs employés eux-mêmes. On ne se cachera pas, pour respecter leur budget, les entrepreneurs auront comme premier réflexe de couper dans les heures de leur personnel. Un salaire minimum qui passe de 10,75$ à 15$ représente une augmentation de 40%. Rare sont les PME qui verront leurs revenus, même sur une période de 5 ans, augmenter autant. Il n’y a pas de solution miracle. Améliorer les conditions de travail de centaines de milliers de travailleurs ne se fera pas en criant «ciseaux». Afin de régler le problème une fois pour toutes, prenons le temps de trouver les meilleures solutions à long terme en impliquant les travailleurs et les employeurs.
  14. A t'on une idée sur le type de projet? Le monticule de 16 etages etait pour Rio Tinto et ils sont dans la tour PWC.
  15. Quel désastre. Ca n'a absoluement rien à voir avec les rendu qui montre de belle courbe avec des balcons de verre Tout ce qu'on voit c'est le prefab derrière. Quand je pense qu'on refuse des projets comme ceux de Panzini Sous prétexte qu'il faisait trop Dubai il y a quelques années et qu'on a laissé ca monter. Quel bande de clown.
  16. I guess this is what Mark_ac was talking about when he said good news in the pipe for this week... This is wonderful. Publié le 23 septembre 2016 à 07h44 | Mis à jour à 07h44 Un an après le début du vol Pékin-Montréal d'Air China, Air Canada a annoncé vendredi le lancement d'un vol quotidien entre la métropole québécoise et Shanghai à partir du 16 février. Les vols seront assurés par des avions Boeing 787-8 Dreamliner de 251 sièges. « C'est un jour que nous attendions depuis longtemps », a déclaré le PDG d'Air Canada, Calin Rovinescu, lors d'une conférence de presse à laquelle ont notamment participé le premier ministre Philippe Couillard et le maire Denis Coderre. L'annonce créera environ 200 emplois, a précisé M. Rovinescu
  17. Agreed... What are they going to bring to the table, another study supporting minimal wage increases, why we need to pay more for the lazies and careless of this society... Hopefully this will not be taking too much attention and will become marginalised soon so that we can forget about it.
  18. qwerty

    Expos de Montréal

    Le retour des expos est une question de court terme. Les facteurs economiques sont la, la volonté politique et le support d'investisseurs aussi. Patience... 2018 / 2019...
  19. A quand un rendu pour ce projet?
  20. Et considérant que l'on va peut etre voir Alcoa installer son siege social sous peu http://www.lesaffaires.com/bourse/nouvelles-economiques/curieuse-erreur-alcoa-parle-effectivement-d-amener-un-siege-social-au-quebec/589218 L'idée d'une division qui s'installe à Montréal pourrait avoir du sens (cout électricité / Négo avec gouvernement / etc.) L'idée du siège social me semble un peu exagérée... C'est peut être une question d'impôt (Valeant, Tim Horton Burger King, etc.)
  21. Montréal n'est pas une Ferrari. on le sait tous. Mais elle est résiliente et continue d'absorber de l'espace. Peu importe ce que les oiseaux de malheur en dirons, les choses ne sont pas comme il y a 10 ans.
  22. Je suis plutôt d'accord avec acpnc. Son commentaire plus haut est pertinent. Sans discréditer le style de Tor, Mtl batit un nouveau quartier à sa propre image. Effectivement de style plus européen et pensé pour les résidents. C'est juste que je le dit en utilisant moins de mots que lui
  23. qwerty

    La LNH à Québec?

    Effectivement. Winnipeg. Quand on parle de taille de la ville, des sièges sociaux, du corporatisme, etc. tout n'Est que du vent, Winnipeg a eu son équipe et cette ville st exposée au $CAN, a encore moins de profondeur économique que Québec, etc. etc, Il y a assurément une histoire plus complexe derrière tout ca,.
  24. http://electrek.co/ June 3 Norway reportedly agrees on banning new sales of gas-powered cars by 2025 Fred Lambert - 2 days ago  @FredericLambert Norway’s four main political parties have been discussing a possible ban on new gasoline-powered car sales (diesel or petrol) for quite some time, but they were not able to come to an understanding until now, according to a new report from Dagens Næringsliv (Paywall), an important newspaper in Norway. The four main political parties, both from the right and the left, have agreed on a new energy policy that will include a ban on new gasoline-powered car sales as soon as 2025 – making it one of the most aggressive timeline of its kind for such a policy. What’s probably most remarkable here is that Norway is currently one of the world’s largest Oil exporters. India confirmed that it is evaluating a scheme for all its fleet to be electric by 2030 and the Dutch government is discussing the possibility to ban gas-powered car sales and only allow electric vehicle sales starting also by 2025, but the idea divides the parliament. Norway’s initiative looks like it could be the first made into law and would only allow zero-emission vehicles to be sold in the country starting in less than a decade. With 24% of new vehicles being powered by electric drivetrains, Norway already has the highest percentage of electric vehicle market share of any country – meaning that it’s less of a leap for Norway than any other country, but it’s still a big step. In order for the initiative to really work, the electric vehicle offering on the Norwegian market would really need to increase, but almost every automaker is planning to offer a wide range of electric vehicles in their lineups by the end of the decade, which should help the project. Tesla CEO Elon Musk is already congratulating Norway, but it’s not a done deal yet: While representatives from the Democratic Party and the liberal Party have corroborated Dagens Næringsliv’s story, representatives from the two parties on the right have told the aftenposten.no that they have not yet agreed on the rule. It looks like Norway is getting closer to its fossil fuel ban, but a little more work will be needed before the country can say goodbye to gas.
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