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qwerty

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Tout ce qui a été posté par qwerty

  1. C'est plutot eux (YOO) qui ont haussé nos attentes pour nous livrer au final quelque chose de plutot "plain"...
  2. Effectivement, la tour 3 n'est surement pas à l'eau...
  3. Le 5500 pourrait etre bien plus elevé... Surtout avec la population qui explose dans ce coin de la région de Mtl.
  4. qwerty

    L'Économie du Québec

    Guys stop looking at monthly stats...
  5. Est ce qu'il y a un nouveau design?
  6. Villes Gigneault... comme tu dis... C'est un désolé pour toi, mais la dernière élection a été plus ou moins le début de la fin de cette réalité fictive promue par le PQ. Ceci inclut plusieurs choses notament la séparation. Ceci étant dit, Osisko passera bel et bien entre des mains non québécoise... Ca c'est mauvais... la politique n'a pas grand chose à voir là dedans par contre. Ca fait partie de la "game" quand tu es une société publique. C'est assez bizarre que la Caisse n'est rien fait de plus, ni même un commentaire, sur leur offre d'il y a 2 semaines... En espérant qu'il maintienne voir renforce les bureaux de Mtl. Dans le cas de Alcan par exemple, même si le nb d'employé a diminué, il y a plusieurs fonctions importantes qui ont été préservées. On se croise les doigts. Sean Roosen est mieux de se dépêcher de rebatir une nouvelle et plus grosse compagnie.
  7. Le PLQ s'est battu pour garder l'AMF sous Bachand et Charest. Qu'est ce qui te fait croire que ca serait différent avec P. Couillard?
  8. Le sauvetage «acrobatique» d’Osisko Publié à 12:08  Quelles acrobaties financières faut-il faire au Canada pour empêcher qu’une entreprise ne passe aux mains d’un acquéreur malgré l’opposition de son conseil d’administration? Goldcorp veut acheter la société minière Osisko à un prix que le conseil d’administration juge insuffisant. Dans un pays « normal », un conseil d’administration évalue une proposition d’achat et, soit, décide d’en recommander l’acceptation aux actionnaires, soit, la juge inacceptable parce que contraire à l’intérêt à long terme de l’entreprise. Pourquoi alors ne pas laisser les actionnaires décider par eux-mêmes si cette offre d’achat leur convient? 1. Parce que le système financier de nos jours est ainsi constitué qu’au moment de soumettre une telle offre au jugement des actionnaires, ceux-ci sont composés en bonne partie de fonds d’arbitrage et de couverture nouvellement arrivés comme actionnaires et dont l’intérêt est de faire en sorte que l’entreprise soit vendue le plus rapidement possible. On ne peut assujettir le destin des entreprises aux intérêts de tels spéculateurs et autres « actionnaires-touristes ». 2. Parce que le devoir fiduciaire du conseil comporte l’obligation de prendre des décisions dans l’intérêt à long terme de la société, tenant compte des intérêts de multiples parties prenantes et non des seuls intérêts des actionnaires. Si un acheteur ou un actionnaire juge que le conseil n’a pas agi dans l’intérêt de la société, il peut faire appel aux tribunaux compétents pour apprécier le jugement d’affaires du conseil d’administration et sa conformité aux obligations fiduciaires qui lui sont imparties. Au Canada, rien de cela ne tient. La règlementation concernant les prises de contrôle de sociétés adoptée par les commissions des valeurs mobilières canadiennes ne laisse aucune autorité au conseil dans de telles situations. L’Autorité des marchés financiers (AMF) du Québec veut changer cette situation intenable et contraire à la loi canadienne et aux jugements de la Cour suprême mais les commissions des autres provinces, de l’Ontario en particulier, résistent, trainent la patte. Alors, que reste-t-il comme mesure pour tenter de barrer la route à l’acquéreur « hostile » et de conserver le siège social de la société au Québec? Le recours à des montages financiers compliqués comme celui annoncé la semaine dernière par Osisko. Pour la Caisse de dépôt et placement du Québec, le montage est astucieux. Il lui permet de contribuer à ce double objectif sans créer un précédent qui ferait en sorte que la Caisse soit appelée à prendre des participations de blocage dans toute entreprise québécoise sur le point de subir une prise de contrôle non souhaitée. En effet, l’investissement de $275 millions de la Caisse lui donne en échange droit à 37 500 onces d’or à un prix égal à 42% du prix au marché de l’or. Ce contrat est assorti d’options de vente et de rachat structurées de telle sorte que la Caisse réalisera un rendement minimal de 8% si elle exerce son droit de vente. Ce qu’elle fera assurément à moins que le prix de l’or ne bondisse et se maintienne à $1 600 l’once. Au prix actuel de quelque $1 300 l’once et sur un horizon d’exploitation de la mine de 15 ans, le rendement pour la Caisse résultant de cet arrangement ne serait que de 5,5%; à $1 600 l’once, son rendement serait d’environ 9,4%. L’objectif important pour la Caisse consistait à rendre réalisable une transaction de blocage sans créer le précédent d’investir dans les actions d’Osisko au prix courant, lequel est gonflé par la perspective d’une transaction. L’opération est habile mais la partie n’est pas finie…C’est au tour de Goldcorp de jouer. Ce serait tellement plus simple et plus normal d’accorder au conseil d’administration, en pareilles circonstances, une autorité commensurable à ses responsabilités fiduciaires. Il faut au plus vite que les propositions de l’AMF deviennent opérantes au Québec et au Canada afin d’éviter le recours à des astuces et des arrangements alambiqués pour faire le travail qu’un conseil d’administration devrait faire.
  9. EXCELLENTE NOUVELLE ET UN SIEGE SOCIAL QUI RESTE A MONTREAL Publié le 02 avril 2014 à 10h17 | Mis à jour à 12h33 Osisko (T.OSK), qui fait l'objet d'une offre d'achat hostile du géant Goldcorp (T.G), a finalement trouvé son chevalier blanc. Avec l'aide de la Caisse de dépôt et placement du Québec et de l'Office d'investissement du Régime de pensions du Canada (OIRPC), l'entreprise torontoise Yamana Gold (T.YRI) propose d'acheter la moitié de la société aurifère québécoise pour 1,37 milliard. Si la proposition est acceptée, les actionnaires d'Osisko recevront l'équivalent de 7,60 $ par action (2,19 $ en argent comptant, 2,06 $ sous forme d'une participation dans Yamana et 3,35 $ sous la forme d'une action du nouvel Osisko). C'est environ 10 % de plus que le cours de clôture des actions d'Osisko hier et 22 % de plus que l'offre de Goldcorp, dont la valeur était de 6,21 $ hier soir. En fin d'avant-midi, mercredi, l'action d'Osisko s'échangeait à 7,45 $ à la Bourse de Toronto, une possible indication que tous les investisseurs ne sont pas convaincus que la transaction avec Yamana ira de l'avant. Dans le cadre de l'entente, la Caisse de dépôt et l'OIRPC injecteront chacun 275 millions dans Osisko. La Caisse investira dans un «contrat de fourniture d'or» alors que l'OIRPC accroîtra la facilité de crédit d'Osisko. De plus, la Caisse et Investissement Québec convertiront en actions leurs débentures d'Osiko, dont la valeur totalise 75 millions (partagé à parts égales). Selon Osisko, la transaction permettra de distribuer 1 milliard en tout aux actionnaires de l'entreprise. «L'annonce d'aujourd'hui procure une valeur beaucoup plus importante à nos actionnaires, a déclaré le PDG d'Osisko, Sean Roosen. Elle offre aussi aux actionnaires la certitude de pouvoir continuer à participer au potentiel de croissance futur de notre mine Canadian Malartic, qui génère des flux de trésorerie disponibles très solides, ainsi que la capacité de continuer à bénéficier de nos futurs travaux d'exploration et de développement.» «Cette transaction nous permet d'entrer dans une nouvelle juridiction nord-américaine de calibre mondial, a quant à lui commenté le grand patron de Yamana, Peter Marrone. Elle amène une augmentation immédiate de notre production et une amélioration de notre structure de coûts déjà avantageuse.» La transaction devra être approuvée par les actionnaires lors d'une assemblée qui aura lieu d'ici le 20 mai. Jusqu'ici, Goldcorp a assuré ne pas avoir l'intention de bonifier son offre pour Osisko, mais le géant vancouvérois a encore le temps de changer d'avis.
  10. Est ce que Rogers a regardé cet emplacement. De mémoire la compagnie cherchait à se relocaliser au QDS. Quelqu'un sait ce qui sa passe avec eux?
  11. C'est tellement laid comparé au projet qui a été refusé il y a quelques année (supposément que ca faisait trop Dubai...) Dans ce cas ci ca fait trop Longueuil... je ne sais pas si ca comptera comme critère. (Longueuil = ok / Dubai = non)
  12. Bon bon. Ce coin de la ville sera vraiment beaucoup plus beau qu'il l'est maintenant non? Ce sont des investissements massifs. Il ne faut pas perdre les priorités de vue...
  13. qwerty

    1458 de la Montagne

    Quel lien y a t'il avec le projet qui remplace l'hotel de la montagne?
  14. Hopefully they will refurbish. If the building is nicer, they can rent to someone else...
  15. C'est sur & certain qu'on est sur une mauvaise tendance. La charte est de la pure pollution économique. Ca n'apporte strictement rien à part de la mauvaise publicité. Il faut se reprendre au plus vite... Des élections svp. Une fois que ce sera derrière nous, il faudra se rappeller que des clowns comme ceux qui sont au pouvoir en ce moment ne doivent jamais être ré-élu.
  16. qwerty

    L'Économie du Québec

    Articles intéressant Publié le 26 janvier 2014 à 07h00 | Mis à jour à 07h00 Les unions, qu'ossa donne? Partout dans le monde industrialisé, le taux de syndicalisation est en baisse et l'influence des syndicats diminue. Au Québec, où les syndicats en ont toujours mené large, leur crédibilité et leur utilité sont aussi remises en question, «Les unions, qu'ossa donne?», comme se demandait Yvon Deschamps. Roger Émond, 28 années de recrutement syndical derrière la cravate, trouve son travail de plus en plus difficile. Cette année, en particulier, lui fait un peu peur. «En 2014, ce ne sera pas facile», prévoit-il. Son employeur, la FTQ, plus importante centrale syndicale du Québec, est en vedette depuis le début de l'année à la commission Charbonneau. Le fonds d'investissement de la FTQ, qui gère l'argent mis de côté par les travailleurs en vue de la retraite, a fricoté avec toutes sortes d'entrepreneurs peu recommandables, certains liés à la mafia et au crime organisé. Le Fonds de solidarité FTQ, c'est le meilleur argument de vente de Roger Émond. Ça prouve que la FTQ n'est pas un syndicat ordinaire, dit-il. Défendre les travailleurs, tous les syndicats le font, mais pas investir dans les entreprises. «On sauve des entreprises et des emplois. C'est incroyable, comme c'est un bon argument.» De bons arguments, tous les syndicats en ont besoin ces temps-ci. Le taux de syndicalisation est à la baisse partout dans le monde industrialisé. Aux États-Unis, il est à son niveau le plus bas depuis 100 ans. Le Québec ne fait pas exception. Dans la province, la proportion de syndiqués a aussi baissé, pour ensuite se stabiliser à cause de l'importance du secteur public dans l'économie. Dans le secteur privé, la dégringolade est importante. La grève, arme ultime des syndicats pour défendre les travailleurs, est de moins en moins utilisée. Le nombre de conflits de travail a été réduit de moitié depuis 10 ans. Consolidation Cette dure réalité a conduit les organisations syndicales à faire ce que toutes les entreprises font quand elles font face à des difficultés, c'est-à-dire rationaliser et consolider leurs activités. Les Travailleurs canadiens de l'automobile et le Syndicat canadien des communications, de l'énergie et du papier, deux syndicats affiliés à la FTQ, se sont regroupés pour former une seule entité, Unifor. La CSN a fusionné deux de ses regroupements, la Fédération de la métallurgie et la Fédération des travailleurs de l'industrie du papier, en un seul, la Fédération de l'industrie manufacturière. Pour les syndicats, la baisse de régime est surtout le résultat de la perte d'emplois dans le secteur manufacturier, généralement très syndiqué. Le secteur des pâtes et papiers a perdu le tiers de ses emplois au cours des 10 dernières années. Les nouveaux emplois dans le secteur des services, comme le commerce de détail, sont plus difficiles à atteindre pour les syndicats. La lutte de la CSN pour syndiquer les employés de Couche-Tard et celle encore plus dure que la centrale a menée au géant américain Walmart sont des exemples des défis actuels de la syndicalisation. D'autres activités sont encore plus réfractaires à la syndicalisation. Aucun syndicat, par exemple, n'a réussi à mettre le pied dans une des industries qui créent le plus d'emplois, les technologies de l'information et le jeu vidéo. «C'est très difficile», reconnaît Yves Rivard, coordonnateur du service de la syndicalisation de la CSN, l'autre grande centrale syndicale québécoise, qui a testé ces eaux hostiles. Dans l'industrie du jeu vidéo, les employés pensent qu'ils n'ont pas besoin d'un syndicat pour améliorer leur sort, dit-il. «Les gens ont l'impression qu'avec les connaissances qu'ils ont, ils vont pouvoir monter dans la hiérarchie de l'entreprise.» Les concepteurs de jeux vidéo ne sont pas les seuls à se poser la célèbre question d'Yvon Deschamps: les unions, qu'ossa donne? Des petits salariés, des travailleurs autonomes et même des membres en règle des organisations syndicales actives au Québec se demandent aujourd'hui à quoi servent ces bureaucraties et leurs dirigeants bien payés. L'animateur de radio Éric Duhaime, auteur du pamphlet Libérez-nous des syndicats!, prêche à un public de convertis de plus en plus large quand il affirme, au sujet des dirigeants syndicaux: «On a souvent l'impression [...] qu'ils mènent la vie des gens riches et célèbres. [...] Ils ont des revenus dans les six chiffres. Ils sont copains-copains avec l'élite financière et politique.» Les révélations de la commission Charbonneau n'aident pas les syndicats à redorer leur image. Dans l'opinion publique, la perception des syndicats se dégrade depuis un certain temps déjà, observe Christian Bourque, vice-président de Léger Marketing. «Depuis le tournant des années 2000, la crédibilité qu'on accorde aux dirigeants syndicaux est en baisse», dit-il. Les syndicats ont été des agents de changements sociaux importants dans le passé, mais leur utilité est remise en question aujourd'hui, selon ce spécialiste de l'opinion publique. «Pour les plus jeunes générations, le syndicat n'a plus la même pertinence.» Ce qui se passe à la commission Charbonneau ne nuit pas seulement à la FTQ, mais aussi à tout le mouvement syndical, estime M. Bourque. Le discours du Conseil du patronat (CPQ) est un autre bon indice de la perte d'influence des syndicats. Il ne parle pratiquement plus de relations de travail dans son discours public. Son président explique que ça ne signifie pas que le CPQ ne s'intéresse pas aux relations de travail, mais plutôt que le sujet est moins d'actualité. Le fait est que le climat de travail est plutôt bon au Québec, dit Yves-Thomas Dorval. Les syndicats sont moins influents, mais ça s'explique, selon lui. «Les gens sont plus éduqués et mieux informés. Ils sont plus en mesure d'obtenir de meilleures conditions de travail sans l'aide d'un syndicat. Ils sont aussi plus individualistes», estime le président du CPQ. Les normes du travail sont aujourd'hui très complètes, grâce aux syndicats, et les gains qui restent à faire sont limités. Enfin, les employeurs ont appris à mieux considérer leurs ressources humaines, un changement qui ira en s'amplifiant avec la rareté de la main-d'oeuvre qui s'annonce. «Le rapport de force des employés deviendra plus grand», prévoit le président du CPQ. En attendant, les syndicats se sont donné le mot pour combattre le «vent de droite» qui souffle sur le Québec, en provenance du bureau de Stephen Harper ou de celui du maire de Québec, Régis Labeaume. Inégalités : une bombe à retardement Qui est le président de la CSN? Non, ce n'est pas Gérald Larose, mais le fait que beaucoup de gens se souviennent encore de l'ancien président et ignorent le nom du président actuel, Jacques Létourneau, est un signe que le syndicalisme n'a plus le poids qu'il a déjà eu au Québec. Nous en avons discuté avec Gérald Larose, qui a été président de la Confédération des syndicats nationaux de 1983 à 1999. Q Le syndicalisme est en crise partout dans le monde. Pourquoi? R C'est vrai que le mouvement syndical, en Occident, est sur la défensive depuis la grande crise des années 80 et la mondialisation. Il faut effectivement conclure qu'il y a une crise, mais pas une crise syndicale. Il y a une crise du travail. Il y a quelque chose qui se défait et quelque chose de nouveau qui se met en place dans le monde du travail. Q Le Québec a-t-il moins besoin des syndicats aujourd'hui? R Le Québec résiste étonnamment bien [à la baisse mondiale de la syndicalisation]. On parle de l'érosion du pouvoir syndical, mais je ne crois pas à cette fatalité. Le syndicat semble avoir perdu de l'influence, mais je dirais qu'il a perdu seulement de la visibilité. Le mouvement syndical n'est plus le creuset de toutes les revendications, celles des femmes comme celles des écologistes. Aujourd'hui, les femmes et les écologistes mènent leur propre combat et c'est très bien comme ça. Mais le mouvement syndical reste le mouvement le plus important de la société civile parce qu'il a de l'argent, ce que les femmes et les écologistes n'ont pas. Il est capable de produire des alliances. Si on n'est pas dans les gaz de schiste, par exemple, c'est grâce aux syndicats. Q Aux États-Unis, le taux de syndicalisation est à son plus bas en 100 ans et les écarts de richesse n'ont jamais été aussi grands. Y a-t-il un lien entre les deux? R Le mouvement syndical a créé la classe moyenne et amenuisé les écarts de revenus. Là, c'est reparti en sens inverse. Les inégalités augmentent. Je pense qu'on est assis sur une bombe à retardement et que nous sommes à l'aube d'une crise aussi grande que celle de 1929. Nouvelles syndicales La stratégie d'évitement Après avoir travaillé très fort, la CSN a réussi à syndiquer six dépanneurs Couche-Tard. L'organisation syndicale s'attend maintenant à ce que la direction tente de limiter la pénétration du syndicat dans son entreprise en offrant les mêmes conditions à ses autres employés qui seraient tentés de se syndiquer. De meilleures conditions sans cotisation syndicale à payer, voilà un argument convaincant utilisé dans plusieurs entreprises. C'est le cas dans le réseau des caisses Desjardins, où 128 établissements sur le total de 369 ont du personnel syndiqué. Même chose chez le géant de l'aluminium Alcoa, qui exploite trois usines au Québec, à Bécancour, Baie-Comeau et Deschambault. Seule celle de Deschambault n'a pas de syndicat. Bell-Astral: un groupe convoité Les employés d'Astral sont plus que jamais dans la ligne de mire des syndicats, maintenant que Bell - dont les employés sont majoritairement syndiqués - a avalé Astral et que la transaction a été approuvée par le CRTC. Les employés d'Astral, qui n'ont jamais été syndiqués, ont vu apparaître des feuillets d'information dans leurs locaux, ce qui alimente leurs discussions ces temps-ci. Astral est une proie de choix. Ce n'est pas tous les jours qu'un groupe d'employés de cette importance peut venir grossir les rangs d'un syndicat. Astral avait 2800 employés, dont 1400 au Québec, au moment de la transaction. Bell a 17 000 employés au Québec. Où est la relève? La contestation étudiante de 2012 a démontré que les jeunes Québécois peuvent encore se mobiliser. Les statistiques indiquent toutefois que les syndicats peinent à rajeunir leurs membres. La diminution du taux de syndicalisation a été plus prononcée chez les jeunes travailleurs que chez les plus vieux entre 1981 et 2012, selon Statistique Canada. En 1981, 26% des travailleurs âgés de 17 à 24 ans étaient syndiqués, contre 42% des 55 à 64 ans, un écart de 16 points. En 2012, 15% des jeunes étaient syndiqués, et 36% des plus vieux. L'écart est passé à 21 points. Taux de syndicalisation : une baisse généralisée États-Unis 1981 : 20,1% 2012 : 11,3% Canada 1981 : 38% 2012 : 30% Québec 1981 : 44% 2012 : 37%* *26% dans le secteur privé et 81,2% dans le secteur public Ontario 1981 : 35% 2012 : 27% Terre-Neuve 1981 : 45% 2012 : 38% Sources: Statistique Canada, US Bureau of Labor et OCDE Ailleurs dans le monde (2012) France : 7,6%** Allemagne : 18,5% Norvège : 54,6% Suède : 67,7% **Le taux de syndicalisation mesure le nombre de membres en règle d'un syndicat. En France, malgré un taux de syndicalisation relativement bas, le nombre de travailleurs couverts par une convention collective est élevé, soit autour de 90%. Salaires : des écarts qui se réduisent Les travailleurs syndiqués gagnent toujours plus que ceux qui ne le sont pas, mais l'écart salarial tend à se rétrécir. Foi d'un vieux routier du recrutement syndical à la FTQ, Robert Émond, ce n'est pas l'argent qui pousse les travailleurs à se syndiquer, c'est le manque de respect de la part de l'employeur. «Ce qu'on entend le plus, c'est: "Le boss me traite comme de la marde."». Salaire horaire moyen au Québec : Syndiqués 27,9% Non-syndiqués 21% Source: Travail Québec
  17. qwerty

    L'Économie du Québec

    Come on. C'est avec cette vision là que tu pourras te regarder et te lire à chailer sur ce site que rien ne change au Qc. En fait ce sera de ta faute, rappelle toi en quand tu feras tes critique et commentaires. Les sondages actuels ne sont pas représentatifs. Le sondage fait probabalement référence à +/- 1000 personnes sondés un peu partout au Qc (peu importe si c'est un peu plus ca ne change rien). Les firme de sondage vont vous dire que c'est représentatif de la "moyenne" de la population parce que ca se rapproche de ce qu'on appelle la loi "normale" qui assume une certein homogénéité dans la population. Le problème c'est que les sondeurs ne peuvent pas assumer quel est la dispersion des votes (homogénéité) et donc ne peuvent tout simplement pas assumer que qu'ils ont % d'erreur de +/- 5% par exemple. Encore une fois, c'est une guerre qui se gagne conté par conté. Ce ne serait pas la première fois qu'un sondage serait faux... C'est arrivé tellement souvent dans les 15 dernières années en plotique qu'on ne devrait même plus y porter d'attention. Surtout hors des periodes électorales, quand la moyenne des gens n'ont pas la tête à la politique comme (ceci reduit encore plus la veracité du sondage). le chiffre qui compte c'est les quelques centaines de mille personnes qui ne se sont pas décider à oter pour la CAQ la dernière fois. S'ils croient au programme S'il veulent un changement C'est la qu'il faut agir. Les discussions et les positions sur la séparation de vote ne sont pas pertinente. Avant les années 60 et au cours de l'histoire, il y avait d'autres parties qui ont exister, ont gouverné et ont disparu. Pourquoi croire que l'on est figé dans cet équilibre à 2 partis qui représente ce que nous critiquons le plus sur ce site: le statu quo et l'immobilisme du Qc.
  18. qwerty

    L'Économie du Québec

    La charte est une distractions politiques. Le tout va se solde par la constattion que son application est pratiquement impossible et on aura perdu tout ce temps a en parler. Pendant ce temps ca fait 14 mois que l'on n'a pas vu l'état des finances du Qc et ca dort au gaz...
  19. qwerty

    L'Économie du Québec

    Again. I don'T think your prediction for provincial election in the Mtl area is set in stone. Please think don't reply and think about it.
  20. qwerty

    L'Économie du Québec

    That's my point, you're wrong. CAQ can make it. Look how many spots they have lost by a few 100's of votes. Don't forget something: Quebecers know what they don't want but don't know what they really want. CAQ was a new party a most likely a lot of electors were cautious with them. Hence the results we got: a minority PQ government. Qc did not want to elect PQ, they wanted to kick out PLQ but were not sure on the solution. Mtl island voters are tired of being hostaged by PLQ, while this has not materialised last election, this is a reality. I mean you cannot go out and vote PLQ if you want change, just take a chance and go with CAQ. If you know the way to go why don't you just go for it?
  21. qwerty

    L'Économie du Québec

    Mark, la CAQ à manqué plusieurs circonscriptions par quelques votes. Elle n'étaient pas si loin du pouvoir et rappelle toi qu'avant la campagne, les sondages la placait à 15-20% bien en dessous du PQ & PLQ. F. Legeault a mené une campagne hors pair, rappellez vous. Nous avons tellement besoin d'un renouveau au Qc. Es tu le genre de gars qui veut des changements mais qui veut que quelqu'un les mette en place pour lui? La PQ est un fossile qui nous ralentit en tant que société (sur plusieurs plans: social, economique, etc.). Si tu veux quelqu'un d'autre en place qu'est ce qu'il a de mieux à faire d'après toi? Tu sais très bien que le PLQ va avoir des problèmes avec la commission Charbonneau, les élections potentielles n'étaient meme pas commencée en septembre dernier que la machine à bull shit du PQ avait deja commencée à répandre des petites secret sur P. Couillard et le PLQ. M. Couillard est quelqu'un de brillant mais malheureusement il semble s'être placé comme Paul Martin l'a fait après Jean Chrétien... Qu'est ce que tu crois que ca veut dire pour la prochaine élection?
  22. Toi, qui est si impliqué, tu devrais savoir qu'il y a un engorgement de projet en ce moment...
  23. qwerty

    Griffix - 20 étages (2013)

    La portion laide de ce building sera caché dans le futur. Est ce que je me trompe?
  24. qwerty

    L'Économie du Québec

    Agree that PQ needs to go (and never come back). It is not just about how do we do economically speaking (since Sept.4th 2012, we have not done very well). Don't forget there are several moving parts in the economy and it is always easy to justify yourself. For example, the PQ was blaming the PLQ for the potentiel debt downgrade that Qc is facing now (we could have a very long debate on who is really responsible for this...) I think the important part is rather about how do we position our selves for the future. The past is the past, there is not much we can do about it. In this case, PQ simply is a party that has not evolved over the years. Qc is not as important as it used to be in Canada. It is dependant on Perequation to survive. Again while PQ's intention are good, but their ability to execute a consistent plan for Qc has failed so far. Their latest band aid to patch the situation: La Charte (a discussion that could sound like a real issue, but should rather be no. 27th priority on the list of things to do to make Qc more prosperous - meanwhile we have to keep in mind that the proposed document will be a source of tension and will further divide the citizen of Qc instead of filing out its intended purpose). We have to stop eating that lunch. We have to vote for politicians based on what they do, not on what they say (because most of them end up talking a lot but doing few). We have to stop looking at the party itself and rather look at the individuals and their background / track record to assess what they are able to do for Qc. We have to stop the "Voting by legacy" leading to the same 2 parties exchanging political power for decades (hence the statut quo in Qc). We have to take that risk because otherwise we will all be here in 10 years having the same discussion... Qc is different than the rest of Canada so it cannot be compared. However clearly Qc can do better than what it is currently doing right now.
  25. qwerty

    L'Économie du Québec

    Il faut absolument dynamiser le marché de l'emploi au Québec Publié le 12/01/2014 à 16:40, mis à jour le 12/01/2014 à 22:04 Pour l’ensemble de l’année 2013, le Québec est parvenu à gagner un grand total de… 2 100 emplois. Le bilan est famélique, et encore, c’est un terme poli. Il devient encore plus navrant si on se compare à l’ensemble du Canada : gain net de 106 000 emplois. D’un côté comme de l’autre, la dégringolade du marché du travail en décembre n’a pas aidé : le Québec a perdu 10 200 emplois – essentiellement, à temps plein -, le Canada en a vu disparaître 45 900. L’Ontario n’a certes pas aidé, avec un recul brutal de 39 300. Il reste que sa progression annuelle, même modeste, est largement supérieure à celle du Québec, avec un ajout final de 24 000 emplois. En passant, même si les chiffres américains ont eux aussi déçu (gain de 74 000 emplois), c’est la première fois depuis la récession que le taux de chômage, aux Etats-Unis, glisse sous celui du Canada : 6,7 % contre 7,2 %. Ces données sont à prendre avec réserve, puisque là-bas, bien des chômeurs découragés ont cessé de chercher et ne font plus partie des statistiques, mais la tendance est indiscutable. L’horizon américain s’éclaircit. Et des 2 100 nouveaux emplois québécois, 1 000 sont allés à la seule région de la capitale nationale. Autrement dit, tout le reste de la province, Montréal compris, en a ajouté à peine l’équivalent. L’idée n’est pas de taper sur un malade. L’économie du Québec, on la dit et redit, est en piteux état. Le gouvernement Marois a mis du temps à le reconnaître mais a lancé depuis quelques vastes programmes dont on peut espérer qu’ils finiront par donner des résultats. Mais il va bien falloir qu’on reconnaisse un jour l’urgence de la situation et qu’on agisse pour dynamiser sans tarder cette économie languissante. C’est bien beau vouloir électrifier les transports pour faire de cette société un modèle enviable, dans les faits, il faudra des décennies pour y parvenir. On ne change pas les comportements du jour au lendemain : et pour que la transformation soit rentable à tous points de vue, il faudra réussir à en exporter des composantes – batteries, moteurs, véhicules, réseaux, etc. Sans compter que la concurrence sera robuste quand viendra le temps de vendre ces produits. Coréens ou Français, d’autres s’activent. En attendant, on apprenait la semaine dernière que la valeur du fonds souverain norvégien vient d’atteindre 5,11 trillions de couronnes norvégiennes (environ 900 milliards de dollars canadiens). On compte 5,01 millions de citoyens en Norvège. Ce qui signifie que, théoriquement, chaque Norvégien est maintenant millionnaire en monnaie locale (ok, 190 000 $ pour chacun, mais ce n’est pas si mal). La Norvège a commencé à exploiter son pétrole off shore en 1969, il y a 45 ans, après de longues discussions et en instaurant une réglementation rigoureuse. Sa côte est l’une des plus dentelées qui soit, jalonnée de profonds fjords. Un accident y serait catastrophique. Et pourtant, elle a foncé. Il n’y a pas eu de catastrophes. Juste un enrichissement collectif. Ici, on palabre. On perd du temps. On se fait dire que le Québec ne sera pas la Norvège, que le vingt-et-unième siècle n’est pas le vingtième, et patati et patata. Je le rappelle : tout juste 2 100 nouveaux payeurs de taxes sur 12 mois alors que les ambitions sociales n’ont jamais été aussi élevées. Comme le disait le proverbe, vous voulez vraiment le beurre, l’argent du beurre, et même le c… de la fermière ?
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