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  1. Merci à MTLCity pour m'avoir aiguillé sur le sujet! http://w5.montreal.com/mtlweblog/?p=49437&utm_source=twitterfeed&utm_medium=twitter http://vtdigger.org/2015/06/30/vermont-pbs-soaks-up-montreal-qulture/
  2. https://www.flyporter.com/About/News-Release-Details?id=168&culture=en-CA I know, I know. It is easier for us to just drive there. That is interesting that people from Toronto can fly to Burlington now, plus also Tremblant. I was checking the prices, Montreal to Burlington (via. Toronto) is about $179 for one way. Plus they just started flying to Boston also.
  3. Ras-le-bol publicitaire - De plus en plus de voix s'élèvent pour dénoncer l'envahisseur Jeanne Corriveau 1 juin 2011 Actualités en société Photo : Jacques Nadeau - Le Devoir Des militants du collectif Artung! remplaçant une affiche publicitaire par un dessin, hier, avenue du Parc, à Montréal. Elle est partout: en bordure d'autoroute, sur les toits des immeubles, sur les autobus, sur les Bixi et même dans les toilettes de bars. La publicité est tellement omniprésente dans l'espace public que des voix de plus en plus nombreuses s'élèvent pour dénoncer l'envahisseur. L'Alliance pour la valorisation des paysages au Québec qui vient de naître réclame des autorités municipales et gouvernementales qu'elles freinent la prolifération des panneaux publicitaires dans le paysage québécois. Quand un message publicitaire à la radio nous importune, il suffit de changer de poste pour ne plus l'entendre. Mais quand un panneau publicitaire en bordure d'autoroute nous déplaît, impossible de l'esquiver. C'est là le noeud du problème, estiment les membres de la nouvelle Alliance qui regroupe 17 organisations municipales et professionnelles dont Paysages estriens, l'Union des producteurs agricoles-Estrie, l'Association des architectes paysagistes et Héritage Montréal. «Le paysage, c'est notre fonds de commerce et notre survie sur le plan touristique. C'est avec nos paysages qu'on attire les gens, explique Maurice Bernier, préfet de la MRC du Granit en Estrie. Les gens de Montréal qui veulent admirer des panneaux n'ont qu'à se promener sur le boulevard Taschereau. Mais s'ils veulent admirer la nature, il leur faut venir dans notre coin de pays.» Or, rares sont les coins de pays au Québec qui sont épargnés par la publicité. À titre d'exemple, il y aurait plus de 230 panneaux publicitaires de part et d'autre de l'autoroute 20 entre Montréal et Québec, selon un décompte réalisé en 2003. «On n'est pas contre l'affichage. Que le commerce s'affiche devant sa boutique, ça va. Mais que les entreprises utilisent les routes pour nous harceler avec la publicité, on dit que c'est assez», a indiqué Jacques Robidas, président de Paysages estriens. L'Alliance souhaite sensibiliser les municipalités et le gouvernement à ce problème, mais elle entend aussi profiter de la révision des lois québécoises sur l'affichage pour faire entendre son point de vue. L'exemple du Vermont Ailleurs dans le monde, plusieurs villes et États américains ont banni l'affichage extérieur. C'est le cas du Vermont, qui a légiféré en 1969 et qui aurait vu ses revenus touristiques bondir par la suite. «Est-ce que les paysages du Vermont sont plus beaux que les nôtres? Nous sommes convaincus que non, dit le conseiller municipal du Plateau-Mont-Royal Alex Norris. La différence, c'est que les autorités au Vermont [...] ont fait preuve de fermeté et de volonté politique pour protéger ce qui est un atout pour tout le monde plutôt que de céder aux pressions d'une poignée d'entreprises publicitaires.» L'industrie de l'affichage a fait valoir que ce sont les municipalités et le ministère des Transports qui autorisent l'affichage. «Notre industrie agit de façon très légale avec des permis en bonne et due forme», précise Jeannot Lefebvre, porte-parole du Regroupement de l'industrie de l'affichage extérieur au Québec, qui représente Astral Média, CBS Affichage et Jim Pattison Industries. «On n'ira pas s'installer devant un monument patrimonial de l'UNESCO. On est capables d'avoir un peu de jugement. Mais qu'est-ce qui est acceptable pour l'un et ne l'est pas pour l'autre? [...] Ce sera toujours difficile de plaire à tout le monde.» Même si elle est ouverte à certains compromis, l'industrie n'entend pas se laisser rayer du paysage. Le Regroupement a d'ailleurs l'intention de s'adresser bientôt à la Cour supérieure pour faire déclarer nul le règlement sur l'affichage adopté l'an dernier par l'arrondissement du Plateau-Mont-Royal et qui les forcera à démanteler leurs panneaux géants d'ici la fin de l'année. M. Lefebvre affirme que la loi protège les droits acquis des entreprises d'affichage. «Le droit acquis à la pollution, ça n'existe pas. Il s'agit ici de pollution visuelle. C'est indéfendable devant un juge», réplique l'Alliance. Commandos antipub L'omniprésence de la publicité a également donné lieu hier matin à un geste d'éclat à Montréal lorsque des militants du collectif Artung! se sont déployés dans les rues de la métropole pour remplacer clandestinement les publicités sur les colonnes Morris par des oeuvres artistiques. Les commandos sont entrés en action vers 8h dans Villeray pour se disperser dans le Plateau et dans Rosemont-La Petite-Patrie pour apposer 200 affiches de création originale afin de remplacer les affiches publicitaires présentes. Artung! a été créé pour répliquer aux compagnies d'affichage qui contestent le règlement adopté par le Plateau. «De notre point de vue, ce n'est pas juste les immenses panneaux qui devraient disparaître, mais tout l'affichage publicitaire dans l'espace public», a expliqué Pascale Brunet, porte-parole d'Artung! Les structures d'affichage n'ont pas été abîmées, a insisté Mme Brunet, qui a qualifié d'«action directe légitime» l'opération d'Artung!. Les afficheurs ne sont pas du même avis. «C'est du vandalisme. Enlever une publicité qui a été payée, c'est comme barbouiller une pancarte électorale, estime Jeannot Lefebvre. Ce n'est pas une bonne façon, en démocratie, de se faire entendre et de se faire voir.» Astral, qui détient les droits d'affichage pour les colonnes Morris, a dépêché des équipes, hier après-midi, pour remettre les publicités de ses clients. Artung! souhaite que son geste d'éclat et son site Internet (http://www.cecinestpasunepub.net) inspireront d'autres citoyens et les amèneront à réfléchir sur la place de la publicité dans l'espace public. http://www.ledevoir.com/societe/actualites-en-societe/324522/ras-le-bol-publicitaire-de-plus-en-plus-de-voix-s-elevent-pour-denoncer-l-envahisseur
  4. (Courtesy of Cyberpress) Cheap flights anyone or is Quebec just going to annex Vermont, seeing we sell them electricity Plus we can also probably annex Maine.
  5. Par Radio-Canada, http://www.radio-canada.ca, Mis à jour le: 11 mars 2010 07:01 Hydro-Québec - Le Vermont veut renouveler son contrat La corporation américaine Green Mountain Power, du Vermont, serait sur le point d'annoncer une nouvelle entente avec la société d'État québécoise, selon plusieurs médias américains. Hydro-Québec - Le Vermont veut renouveler son contrat La corporation américaine Green Mountain Power, du Vermont, serait sur le point de conclure une nouvelle entente avec Hydro-Québec pour l'achat d'électricité, selon des médias américains. Le porte-parole de l'entreprise américaine, Robert Dostis, a précisé qu'une annonce officielle sera faite jeudi. Des représentants de Green Mountain Power et de Central Vermont Public Service Corporation sont à Québec depuis mercredi, rapportent des médias américains. Les négociations auraient commencé il y a plus d'un an. Le premier ministre du Québec, Jean Charest, doit rencontrer son homologue du Vermont, le gouverneur James H. Douglas, jeudi. Une « annonce en matière d'énergie » est d'ailleurs prévue au programme de M. Charest, notamment avec le PDG d'Hydro-Québec, Thierry Vandal. « Nous renégocions un contrat [en vigueur depuis] 20 ans, ce qui est un gros accord pour les deux parties », a confirmé M. Charest dans une interview avec une chaîne de télévision américaine mercredi soir. Un fournisseur pourrait disparaître Le Vermont est déjà un client d'Hydro-Québec. Il achète environ le tiers de son électricité à la société d'État, soit environ 310 mégawatts à 6,5 ¢US le kilowattheure, selon le Rutland Herald. Outre Hydro-Québec, la Vermont Yankee Nuclear Power Station fournit un autre tiers de l'électricité à cet État américain. Mais le sénat du Vermont a récemment voté la fermeture de cette centrale, dont la licence expire en 2012. Quant au contrat avec Hydro-Québec, il se termine en 2015. Le représentant démocrate Tony Klein a déclaré que cette entente était « extrêmement importante » pour le Vermont. « C'est une grande source fiable d'énergie sans émission de carbone », a-t-il ajouté. Il s'attend à une extension du contrat de 10 ans, voire 20. M. Klein tente de faire passer une loi qui accorderait le qualificatif de renouvelable à l'hydroélectricité québécoise, à condition qu'Hydro-Québec s'engage pour 10 ans ou plus, selon la radio publique du Vermont. Radio-Canada.ca avec Associated Press
  6. Gaz Métro est un distributeur gazier qui, au fil du temps, est aussi devenu un distributeur d'électricité et un producteur d'énergie éolienne. Disparates, les activités de Gaz Métro? Pour en lire plus...
  7. Cette usine a été endommagée par un feu le 29 septembre dernier. Depuis cet incident, la production a été transférée dans d'autres usines de Saputo aux États-Unis. Pour en lire plus...
  8. Le Vermont va accroître ses achats d'électricité du Québec 16 septembre 2008 - 15h49 La Presse Canadienne Les besoins d'énergie du Vermont vont sans cesse croissant et c'est le Québec qui va en profiter. Car le Vermont, État limitrophe du Québec, s'apprête à accroître ses achats d'électricité en provenance d'Hydro-Québec. Le premier ministre du Québec et le gouverneur du Vermont doivent se rencontrer le 6 octobre prochain, dans l'État de la Nouvelle-Angleterre, pour jeter les bases d'un nouveau contrat à long terme d'achat d'énergie d'Hydro-Québec. Le premier ministre Jean Charest et le gouverneur James Douglas ont annoncé leur projet mardi, lors d'un bref point de presse conjoint, dans le cadre de la 32e conférence des gouverneurs de la Nouvelle-Angleterre et des premiers ministres de l'Est du Canada, qui se tenait à Bar Harbor, dans le Maine, sur la côte atlantique. Cependant, ils ont dit ne pas pouvoir préciser pour l'instant combien de mégawatts supplémentaires étaient en cause, ni divulguer l'importance des sommes à venir dans les coffres d'Hydro. Quoi qu'il en soit, «c'est beaucoup de profits pour Hydro-Québec, a calculé M. Charest. C'est très payant.» Les divers contrats d'achat d'électricité conclus entre Hydro-Québec et le Vermont viennent à échéance d'ici 2015. Au total, les États-Unis achètent environ 3000 mégawatts du Québec annuellement. Le Massachusetts vient au premier rang. Actuellement, le Vermont acquiert environ 10% du total, soit 325 mégawatts.
  9. Les besoins d'énergie du Vermont vont sans cesse croissant et c'est le Québec qui va en profiter. Pour en lire plus...
  10. Chez les résidents de la région de Coaticook, la tentation est grande de traverser du côté du Vermont. Pour le plein, le consommateur sauve de 10 à 15 $. Pour en lire plus...
  11. Un permis de conduire à puce d'ici 2008 au Québec Martin Ouellet Presse Canadienne Québec Un nouveau permis de conduire «à puce», contenant des informations personnelles comme le passé criminel du détenteur, pourrait faire son apparition au Québec d'ici la fin de l'année 2008. Ce permis de conduire «amélioré» permettrait à ses détenteurs de voyager d'un côté à l'autre de la frontière nord de l'État du Vermont sans avoir à présenter un passeport, a indiqué mardi le premier ministre Jean Charest, en conférence de presse à Québec. M. Charest était accompagné du gouverneur du Vermont, Jim Douglas, avec qui il s'est entendu pour présenter vers «la fin de l'année 2008» un permis de conduire satisfaisant aux critères de sécurité des États-Unis. Restera alors à faire approuver la mesure par le gouvernement fédéral américain. Depuis le début de 2007, les États-Unis obligent les voyageurs canadiens à présenter un passeport pour entrer en sol américain. Pour l'heure, la mesure est limitée aux voyageurs entrant au pays par avion, mais il est prévu qu'elle s'étende aux passages terrestres et maritimes dès l'été 2009. Compte tenu que 85 pour cent des déplacements entre le Canada et les États-Unis se font par les voies terrestres, la présentation obligatoire du passeport risque de réduire le nombre de passages à la frontière et par conséquent, de nuire aux échanges commerciaux entre les deux pays, opinent MM. Charest et Douglas. Surtout qu'aux États-Unis, contrairement au Canada, la grande majorité des citoyens ne disposent toujours pas d'un passeport. Le gouvernement Charest craint que nombre de touristes américains, rebutés par le coût du passeport, préfèrent demeurer aux États-Unis plutôt que de passer quelques jours de vacances par année au Québec. En cela, le permis de conduire «à puce» constitue une solution de rechange «plus prometteuse» que le passeport obligatoire, a estimé M. Charest. Le document, émis sur une base volontaire, serait un peu plus dispendieux qu'un permis régulier, mais «beaucoup moins cher que le passeport», a affirmé M. Charest. Déjà, l'État de Washington et celui de l'Arizona ont mis de tels permis de conduire en circulation pour faire l'économie du passeport obligatoire. Le permis de conduire «amélioré» comporterait en outre une «identification numérologique» comprenant l'identité, la date de naissance et, s'il y a lieu, le dossier criminel du détenteur. Ces informations seraient partagées par les autorités américaines et canadiennes. Pour le gouverneur Douglas, il apparaît clair que les exigences de sécurité ne doivent pas nuire au commerce et au tourisme qui lient le Québec et le Vermont. «Il faut s'assurer de maintenir un accès facile», a-t-il dit, faisant valoir que les Québécois «ne sont pas des étrangers» au Vermont. La valeur des échanges entre le Vermont et le Québec avoisine les 6 milliards $. Bon an mal an, le Québec achète 80 pour cent des exportations du Vermont vers le Canada.
  12. A sampling tour of Vermont and Montreal Miami Herald BY LIZ BALMASEDA This is the trip you take when you can't decide what trip to take. You want country-style serenity, but you also want big-city fabulous. You want glorious lake views and rolling green hills, but you also want cosmopolitan boutiques, downtown bustle and jazz. A tour through the soul-soothing Lake Champlain region of northern Vermont and the stimulating thoroughfares of Montreal is a best-of-both-worlds trip you can enjoy in just five easy days. But here's a word to the overly ambitious traveler who wants to see it all on every journey: Think of this tour as a gourmet sampling, not an all-you-can-eat buffet. COUNTRY: VERMONT'S WEST COAST Our tour began in Burlington, Vt., an easily accessible destination for South Florida travelers, since JetBlue has affordable, frequent flights from Palm Beach and Fort Lauderdale, with a short layover at JFK airport in New York. For big-city escapists hoping to capture a few days of peace, the gentle signs that you've arrived are noticeable right away. I saw them just moments after my flight landed in Burlington, as I walked along an airport corridor to the rental car parking lot. There they were, perfectly white, wooden rocking chairs. Not generic airport seating, but rocking chairs. The quaintness continued on the 25-mile drive south toward Vergennes, on the shores of Lake Champlain, or Vermont's ''West Coast,'' as they call it here. Along carefree U.S. 7, we passed farms and creameries, vintage New England fa?ades, sloping country roads and even one of Vermont's vintage covered bridges. This road takes you past some of the area's most popular attractions. There's the Vermont Wildflower Farm, the Vermont Teddy Bear Company and the Shelburne Museum. There are plenty of teddy bears to hug, cheeses to taste, hiking trails to explore and folk art to buy along this route, depending on your time and interests. As for us, we were in a hurry to reach Lake Champlain and check into our lakefront hotel, the Basin Harbor Club. It was close to 5 p.m. and we didn't want to miss the daylight views. But as we turned on to Basin Harbor Road, we watched the sky blacken across the sprawling farmlands. Lightning streaked the sky in the distance. The sudden darkness along this solitary road gave me the creeps, but I tried to put up a good front for my travel companion, my 16-year-old niece, Natalie Alatriste. ''We're almost there,'' I reassured her, straining to read the passing road signs. But then, like some kind of joke from the universe, one sign called out to me: ''Sleepy Hollow Lane,'' it said. Natalie and I looked at one another and burst into laughter. I stepped on the gas and sped toward the hotel. We joked about what it might be like -- the Bates Motel, maybe? And when we had to dash into the resort lobby under a thunderstorm and take an old wooden staircase to our room, we wondered what kind of adventure awaited us. Indeed, as I opened the door, I gasped. It wasn't the room that stunned me, for it was ample and nicely appointed in a charming New England style, with a quiet balcony overlooking the leafy landscape. No, what stopped my suburban South Florida heart cold was what wasn't there: There was no TV. No TV? How could I survive Wednesday night without ``Top Chef Miami''? But moments later, we walked outside to find the sun had returned, casting a magical light on the trees, the lovely walking paths, the sturdy collection of cottages and the main attraction: the shimmering lake. We sat on brightly colored Adirondack chairs and gazed at the mountains that inspired their name. The sun shone well past 9 p.m., illuminating the landscape of mountains and lake. It was simply gorgeous. The resort sits on 700 rolling acres on the eastern shore of Lake Champlain, the sixth-largest lake in America. The historic resort, which is open from mid-May to mid-October, has been welcoming families for 120 years. It offers its guests a laid-back ambience and activities that include golf, tennis, swimming, boating, water sports and hiking. There's even a museum on the grounds, the Lake Champlain Maritime Museum, devoted to the lake's history. In early October, this is a prime spot to take in northern Vermont's spectacular foliage. For up-to-date reports on leaf coloration until late October, travelers can call Vermont's 24-hour foliage hot line (for details, see below). About 7 miles from downtown Vergennes, the Basin Harbor Club embraces its remote setting, beckoning visitors to relax and forget big-city stress. That explained our missing TV set: In fact, there are no TVs in any of the resort's 74 cottages, 24 rooms or 14 suites. (I did spy a small television and two computers in a den tucked beside the bar in the main lodge. And there is telephone Internet access in the rooms.) The resort also embraces another tradition: All gentlemen over age 12 must wear a coat and tie after 6 p.m. during July and August. That first night, my niece and I dined at the Red Mill, the more casual of the two places that serve dinner at the Basin Harbor. With its funky red facade, its lively bustle and eclectic menu, the renovated sawmill quickly became our favorite place. We were hooked after our first taste of the house specialty, Basin Harbor Cheddar Ale soup: a creamy, lightly spicy tribute to one of Vermont's great gifts to the world -- cheddar. We paired it with a wonderful plate of crispy calamari tossed with scallions, pepperoncini and hot cherry peppers in a garlicky sauce. And because one can never have enough cheese, we ordered a plate of local cheeses for dessert. Our server kindly wrote down the names of our two favorites: Grafton Young cheddar and Crowley Reserve (both cow milk cheeses). The menu, varied and tempting, kept us coming back throughout our stay. Just check out the menu's description of the Champlain Valley Rabbit Papardelle: ''Braised rabbit, chocolate, espresso, brandy, paprika, raisins and hazelnuts,'' tossed over pasta. You get the idea. For breakfast, however, we preferred the Main Dining Room, an elegant, gourmet restaurant that really dresses up at night. In the morning, guests can get the same quality food and service without having to put on their fancy threads. If the cheese soup kept us coming back to the Red Mill, the French toast kept us coming back to the Dining Room. I should be more specific here: The prime Vermont maple syrup on the French toast kept us coming back. Good Vermont maple syrup, we learned, is not the sticky, overly sweet stuff they serve you at I-Hop. It's a perfectly balanced elixir that never overpowers your palate. More local delicacies awaited us in downtown Vergennes, Vermont's oldest city, established in 1788. The heart of this small, Victorian city is a great place to walk and take in the essence of Vermont. The streets are dotted with cafes and shops, along with a couple of bed-and-breakfasts. At the suggestion of locals, we stopped in at Vergennes' sweetest shop. Daily Chocolate is no regular candy store: It's a chocolate shop par excellence. Tucked below street level on a side street, it would be hard to find if not for the aromatic wafts rising from its kitchen. There, owner Floery Mahoney makes fresh batches of uniquely flavored chocolate each day. We found her behind the counter, arranging truffles and hand-formed chocolate barks. Natalie scooped up a bag of her favorite dark chocolate for the road. I was tempted by the wide selection of flavors, which included far-flung combinations like lemongrass/sake, maple/chipotle/pecan and green tea infused mint. But I resisted -- well, only because Mahoney told me the shop has a Web site, dailychocolate.net, and she gladly takes orders for shipment. TOWN: MONTREAL Fortified with Vermont chocolate, it was time to make a run for the border. Montreal is just 90 miles north of Burlington. The AAA Web site routes travelers west across the lake into New York state, where they can pick up I-87 into Canada. But that route would add at least one hour to our travel time, thanks to the Burlington-Port Kent, N.Y., ferry crossing. (There's also another crossing between Charlotte, Vt., and Essex, N.Y, a 20-minute sail along a particularly lovely part of Lake Champlain. But that crossing is farther to the south.) After conferring with Vermont locals, I decided to skip the ferry and the New York detour altogether and take I-89 north from Burlington, a breezy highway that turns into Canada's Route 133, a slower, but perfectly fine country highway that guides you into Montreal. The best part about it is there was no traffic at the border. We showed Canadian border guards our U.S. passports -- don't leave home without a passport or other valid immigration documents -- and we were on our way. While the landscape remains rural, the French signs remind you that you've entered another country, another culture. An hour from Burlington, and you can stop for French pastry and a cafe au lait -- or more maple syrup, if you wish. But once you've entered Montreal, with its skyscrapers and churning traffic, you're snapped into another reality, a world away from the rural pastures. The city carries the heart-pumping, electric charge of a big-time metropolis. We found our way to Rue Sherbrooke, a vibrant boulevard that anchors some of the city's best hotels. There, we spotted ours, the Omni Mont-Royal, a favorite of business travelers and weekend shoppers. The hotel is just off the main shopping drag, Rue Sainte-Catherine, and the entrances to the network of subterranean shopping malls that makes up Montreal's Underground City. Also within walking distance are some of the city's major museums, including the Musee des Beaux-Arts and the Musee d'Art Contemporain. But we -- meaning Natalie -- had decided this trip was not nearly long enough to squander on museum-hopping. Not when we could be shopping. We dropped off our luggage and headed for the shops. Back in Vermont, Natalie had looked up the locations of her favorite store, H&M, and didn't waste too much time directing me to the nearest one. Unfortunately, this one was not within walking distance. It was at the Rockland mall about 20 minutes north of the hotel. But the drive there gave us the chance to see the busy streets and storefronts of city's immigrant communities, a mix of cultures sharing blocks and buses. That night we met friends, transplants from South Florida, for dinner in the Vieux-Montreal quarter. They gave us a tour of the charming, Old World streets of old town. ''Doesn't this feel like we're in a tiny corner of France?'' one of my friends asked. Indeed. The narrow, cobblestone streets, quaint shops and bistros set off all sorts of French culinary cravings. Lucky thing my friends' favorite restaurant couldn't have been more French. Its name alone speaks to its specialties and no-nonsense nature: the Steak Frites. The restaurant, which anchors a corner of Rue Saint-Paul, is a cozy place where the menu is handwritten on a chalkboard. Of course, none of us needed menus -- we ordered steaks and fries all around, followed by a shared dish of profiteroles. The neighborhood is a great place to stroll at night, or listen to good jazz. After all, this is the city that each year gives us one of the best jazz festivals in the world. A perfect place to indulge in the live jazz sounds of Montreal is directly across from the Steak Frites restaurant. The Modavie is a restaurant, wine bar and jazz club featuring live music nightly. But you must dine there to watch the show. Later, as we toured the city at night, we stopped in at the sleek W Hotel, at 901 Square Victoria, for a Perrier. It was a fitting end to a great evening. The next morning, we breakfasted at Anton & James, on nearby Stanley Street, a chic coffee shop that bills itself as a ''cafeteria urbaine.'' Then we hit the Underground City, walking the malls from one end to another. As we made our way out of the city, we stopped to walk around the Plateau neighborhood, perusing the shops and storefronts along Rue Saint-Denis. I found a great music shop called L'Atelier Grigorian -- http://www.grigorian.com -- with an extensive collection of jazz. A few doors down, we also found a casual spot for lunch at La Brioche Lyonnaise, a pastry shop with outdoor seating. I could have spent hours on Rue Saint-Denis, but I knew we had to head back to Vermont. It was already afternoon, and we had a morning flight. Our drive to Essex Junction, Vt., was easy and relatively quick. We checked into the Inn at Essex, a cute 120-room country hotel that houses the New England Culinary Institute. And we arrived just in time for a spectacular dinner at Butler's, the inn's finest restaurant. There, a multi-course gourmet feast is prepared each night by the culinary students. This inn is perhaps the area's best bargain. For what you might pay at a Holiday Inn Express, you can stay at a charming, well-appointed inn with gourmet touches, spa services and culinary classes. Even the toiletries, sweet-smelling and organic, are yummy. And the place is only 7 miles from the Burlington airport -- there's an airport shuttle, too. The next morning came all too quickly as we packed our bags for our return flight. Outside, in the gardens of the inn, it was a glorious, Vermont morning, the kind that nudges you to stay a little longer. We couldn't, of course. But we did stop at the gift shop for a souvenir: a bottle of Vermont maple syrup.
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