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  1. Exit la zone industrielle! par Stéphane St-Amour Voir tous les articles de Stéphane St-Amour Article mis en ligne le 29 octobre 2009 à 15:08 Près de deux ans après son entrée en vigueur, le généreux programme fiscal favorisant la conversion de la zone industrielle avoisinant la station de la Concorde donne ses premiers fruits. La cour à bois de Carrière Lefebvre, qui borde la rue Robert-Élie au nord du boulevard de la Concorde, est à disparaître. D’une valeur estimée au rôle à 2,3 M$, la demi-douzaine de bâtiments qui abritait des matériaux de construction croule actuellement sous le pic des démolisseurs. Jusqu’à 12 étages Construction Voyer, le nouveau propriétaire des lieux, entend mettre en chantier d’ici les prochaines semaines deux premiers bâtiments locatifs de six et de douze étages, a confirmé au Courrier Laval le porte-parole de la Ville, Marc Laforge. «Le bâtiment de six étages sera construit en façade de la rue Robert-Élie et celui de 12 étages s'élèvera en arrière-plan, près de la voie ferrée», dit-il, rappelant que le plan particulier d'urbanisme [PPU] ne prévoit aucune limite de hauteur, mais plutôt un minimum de deux étages par bâtiment. À terme, ce développement résidentiel compterait neuf bâtiments de 6, 8 et de 12 étages, qui totaliseront quelque 450 unités d’habitation, nous affirmait le président de Construction Voyer, Jean-François Voyer. Adopté en janvier 2008 par le conseil municipal, le PPU visait justement la densification du secteur. «Si on ne favorise pas la densité près de la station de métro, dites-moi où on le fera?» avait fait valoir le maire Vaillancourt aux citoyens qui questionnaient la hauteur des immeubles projetés, lors d’une séance de consultation publique tenue en février 2008. Zéro logement social Selon M. Voyer, 75% des unités du projet seront vouées au secteur locatif contre 25% pour les unités en copropriété. À la Ville, on indique que le présent développement n'offrira aucun logement social, alors que l'adoption du PPU devait pourtant «permettre d'exiger des promoteurs à consentir à du logement social à proximité des stations», avait insisté M. Vaillancourt lors de la consultation publique de 2008. Le PPU se voulait «une garantie pour les gens à faible revenu de pouvoir demeurer dans le quartier», assurait-il. Questionné à ce propos, Marc Laforge soutient que c'est «toujours la volonté de l'administration municipale qu'il y en ait [du logement social] et il y en aura», dit-il, en évoquant de futurs projets qui prendront éventuellement racine de l'autre côté du boulevard de la Concorde. Incitatifs majeurs Rappelons qu'en 2007, l’administration Vaillancourt a voulu profiter de l’arrivée du métro pour faire table rase des zones industrielles enclavées du secteur résidentiel de Laval-des-Rapides. Pour en accélérer le processus, elle a concocté un alléchant programme fiscal susceptible de convaincre les entrepreneurs de la place à relocaliser ailleurs leur exploitation industrielle. Selon certaines conditions, l’aide financière accordée sous la forme d'un crédit de taxes vise le droit de mutation et la taxe foncière générale imposée sur l'immeuble où l'entreprise se relocaliserait. Dans le cas de Carrière Lefebvre, l’entreprise a déjà fait son nid dans le parc autoroutier de la 25. Pour la taxe de Bienvenue, le crédit équivaut à 100% du montant du droit sur les mutations immobilières au moment du transfert de propriété. Quant à la taxe foncière relative à la valeur imposable de l'immeuble, le programme d'allègement fiscal se décline sur cinq ans, à raison d'un crédit de 100% la première année, 90% la seconde, 80% la troisième, 60% la quatrième et d'un crédit de 40% la dernière année. Le même forfait fiscal s'applique à la construction d'unités de logement sur les terrains vacants situés dans le périmètre visé. Mine de rien, Carrière Lefebvre libère 340 000 pieds carrés de terrain au nord du boulevard de la Concorde. Le même industriel possède un terrain équivalent au sud de la Concorde, qui n’est toujours pas vendu. Son propriétaire, André Lefebvre, est confiant toutefois de trouver preneur d’ici le début 2010. Dans cette portion du territoire, une quinzaine d’industriels détiennent près d’un million de pieds carrés, une superficie monstre appelée à être redéveloppée à la faveur de complexes d'habitation, de commerces de voisinage et d'espaces verts. http://www.courrierlaval.com/article-394905-Exit-la-zone-industrielle.html http://www.voyer.ca/fr/projets/le-logix/
  2. Karim Benessaieh La Presse Aux prises avec les mêmes obligations financières que ses voisines -régimes de retraite coûteux, infrastructures à refaire-, Laval a pu compter sur une croissance enviable pour limiter les hausses de taxes de ses résidants à 1,4% l'an prochain. Le budget «respecte la capacité de payer des contribuables tout en maintenant des services de qualité», a résumé le maire Gilles Vaillancourt ce matin en point de presse. Pour le propriétaire d'une maison moyenne évaluée à 255 730$, il s'agit d'une augmentation de 39$, pour un compte de 2571$. Pour le secteur non résidentiel, la hausse sera un peu plus salée, de 2,3% en moyenne, soit le taux de l'inflation envisagé par l'administration Vaillancourt. Les dépenses s'établissent à 721,3 millions, en hausse de 4,4% par rapport à 2011. La hausse des prix et de la rémunération de ses employés explique près du tiers de cette augmentation. Le régime de retraite coûtera à lui seul six millions de plus, une augmentation somme toute modeste expliquée par des «mesures transitoires» que Laval a réussi à négocier avec ses employés. D'autres concessions sont actuellement négociées. Moins de bruit Des investissements de plus de 390,6 millions sont prévus, dont 180 en réfection des infrastructures. Au chapitre des projets, on a annoncé un montant de 10 millions pour un futur amphithéâtre dans le quartier de l'Agora, 6 millions pour un complexe aquatique et 11,8 millions en amélioration du réseau routier. Les résidants des alentours de l'autoroute 440 profiteront en outre de diverses mesures d'atténuation du bruit, au coût global de 12,2 millions. Laval, qui a dépassé les 400 000 résidants cette année selon l'Institut de la statistique du Québec, a eu la belle surprise de voir sa cote de crédit AA- améliorée par Standard & Poor, passant de perspective stable à positive. C'est la cote la plus élevée attribuée aux municipalités québécoises, dépassant même celle d'Hydro-Québec et du gouvernement provincial, a noté le maire Vaillancourt. La construction résidentielle a connu un léger fléchissement l'an dernier, alors que la valeur des permis est passée de 589 à 575 millions. Dette en régression Côté transports en commun, on a également annoncé une hausse de l'offre de services de 3,8% en 2012, portant l'augmentation totale à «35% depuis l'ouverture des trois stations de métro en 2007», a précisé le maire. On espère toujours concrétiser le parachèvement de la ligne orange, qui doit relier les stations Montmorency et Côte-Vertu, à Montréal. 34 millions seront consacrés à l'achat de 44 autobus, dont 36 hybrides. L'autobus électrique fera son apparition l'an prochain dans le cadre de projets-pilotes, pour évaluer la fiabilité de cette technologie dans des conditions hivernales. La dette par personne a baissé de façon constante depuis 1997 et s'établit en 2012 à 1131$. À peine 16% des investissements annoncés de 390 millions seront financés par des emprunts, près du quart, soit 101 millions, étant assumé par les réserves financières. http://www.cyberpresse.ca/actualites/regional/201112/12/01-4477041-une-hausse-de-taxes-de-14-a-laval.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B4_manchettes_231_accueil_POS3
  3. Le maire de Laval caresse de grands projets Sara Champagne La Presse Le maire de Laval rivalise d'audace avec le maire de Québec, Régis Labeaume, qui veut amener les Jeux olympiques dans sa ville. Dans la foulée des élections provinciales, Gilles Vaillancourt a révélé à La Presse, vendredi, que lui et son équipe sont en train de ficeler les derniers détails d'un projet de centre de foires capable d'accueillir des expositions équivalentes à celles que reçoit le Stade olympique de Montréal. «Il s'agit d'un projet d'environ 80 millions, a dit le maire de Laval, lors d'un entretien exclusif. On n'en a pas encore déterminé l'emplacement exact, mais ce n'est pas l'espace qui manque à Laval. C'est en tout cas du sérieux. Même que notre plan fonctionnel et technique (PFT) est déjà terminé.» Mais le maire de Laval ne s'arrête pas là. Il demande aussi la collaboration des gouvernements provincial et fédéral pour financer la construction d'un complexe aquatique et d'un complexe de glace qui compterait une ou deux patinoires. Les deux projets sont évalués à au moins 45 millions. M. Vaillancourt explique qu'il est tout à fait réaliste de penser que le privé financera un quart du projet et la Ville un autre quart. Le reste, donc 50% des coûts, serait fourni par Québec et Ottawa. Il demande donc un financement total de plus ou moins 60 millions. «On a réalisé de nombreuses études et le potentiel est là, ajoute le maire de Laval. La demande est là. Et notre ville a le potentiel de réaliser ces projets.» Outre ces projets d'expansion, l'administration Vaillancourt demande toujours au gouvernement de Jean Charest de financer le prolongement de la ligne orange du métro, à partir de la station Côte-Vertu, jusque dans l'ouest de Laval. Il souhaite aussi obtenir de l'argent pour la mise à niveau des usines de transformation d'eau potable, projet évalué à 125 millions. courriel Pour joindre notre journaliste: sara.champagne@lapresse.ca
  4. Laval: près de 75% des contrats à huit entrepreneurs Bruno Bisson La Presse Publié le 21 octobre 2009 à 06h31 | Mis à jour à 09h55 Un petit groupe de huit entrepreneurs obtient les trois quarts des sommes versées par la Ville de Laval pour ses travaux de voirie et d'infrastructures, selon une compilation des soumissions publiées entre 2001 et 2008 dans le système officiel d'appel d'offres du gouvernement du Québec. La Presse a écrit, hier, qu'une quinzaine d'entreprises se partagent la moitié des contrats de travaux publics à Montréal. Mais à Laval, la concentration est encore plus forte. Un point commun, toutefois: dans les deux villes, c'est l'homme d'affaires Tony Accurso qui se tient au sommet du palmarès. Les entreprises de M. Accurso, Construction Louisbourg et Simard-Beaudry, ont en effet raflé le quart des sommes attribuées par la Ville de Laval entre 2001 et 2008, soit 97 millions sur un total de 388 millions. Pendant la même période, 24 autres sociétés ont obtenu des contrats totalisant à peine plus que les seules entreprises de M. Accurso, soit 100 millions. Il est de notoriété publique que M. Accurso a ses entrées directes dans le bureau du maire Gilles Vaillancourt. Il n'a pas été possible de parler à M. Accurso hier: il était absent de son bureau. Pour sa part, le maire Vaillancourt a confirmé hier par écrit, à La Presse, qu'il «a rencontré M. Accurso à quelques reprises» par le passé. Le maire de Laval, élu pour la première fois à ce poste en 1989, a aussi admis avoir assisté à l'inauguration du bar que possède M. Accurso à Laval, le TOPS. Des règles normales Les sept autres entreprises à qui la Ville de Laval a remis les sommes les plus importantes sont, dans l'ordre, Nepcon, Poly Excavation, J. Dufresne Asphalte, Jocelyn Dufresne, Demix Laval, Valmont Nadon Excavation et Timberstone. Tout comme Construction Louisbourg et Simard-Beaudry, ces entreprises ont obtenu ces contrats en suivant les règles d'attribution normales. «Tout contrat est soumis au processus de soumission publique et octroyé au plus bas soumissionnaire conforme», a souligné l'attachée de presse du maire, hier. Dans des réponses écrites à La Presse, M. Vaillancourt n'a toutefois pas voulu commenter le fait qu'un nombre très restreint d'entreprises ait obtenu la plus grande part des travaux octroyés par la municipalité: «Compte tenu de la période couverte par votre demande et du court délai que vous nous accordez, nous ne pouvons confirmer les pourcentages que vous avancez.» Des entreprises bien établies Le maire de Laval a longtemps été le partenaire du propriétaire de Poly Excavation (une des entreprises qui ont obtenu beaucoup de contrats) dans une société immobilière qui possède un vaste terrain vacant en bordure de l'autoroute 13, dans la municipalité de Boisbriand, au nord de Laval. M. Vaillancourt était alors le troisième actionnaire de la société Parc Domiciliaire Boisbriand, dont le président était l'entrepreneur Léo Lefrançois, principal dirigeant de Poly Excavation. Après le décès de M. Lefrançois, en 1995, l'entreprise a été prise en charge par son fils, Marc, qui en est toujours le président. M. Vaillancourt a affirmé hier dans son courriel à La Presse qu'il avait vendu ses intérêts dans Parc Domiciliaire Boisbriand en 2001, et qu'il ne sait pas qui en sont, aujourd'hui, les actionnaires. Pour leur part, les sociétés Nepcon, présidée par Tony Mergl, et Jocelyn Dufresne, dirigée par l'entrepreneur du même nom, sont des habituées des contrats d'infrastructures de Laval depuis au moins deux décennies, où elles brassent l'une et l'autre la majorité de leurs affaires, dans divers domaines de la construction. En 2000, la firme Nepcon a été reconnue coupable de collusion avec cinq autres entreprises de la région métropolitaine, dans l'obtention de six contrats de déneigement régionaux du ministère des Transports du Québec (MTQ). À l'époque, le Bureau de la concurrence du Canada avait accusé ces entreprises de s'être entendues pour se partager les territoires de déneigement et pour fixer le prix des contrats à un coût environ 20% plus cher que ce que le MTQ anticipait. Les six entreprises impliquées ont été condamnées solidairement à payer une amende de 1 million. Pour sa part, l'entrepreneur Jocelyn Dufresne s'est récemment retrouvé au centre d'une controverse entre la Ville de Laval et le ministère du Développement durable, de l'Environnement et des Parcs (MDDEP), à cause d'un terrain utilisé comme dépotoir de débris d'asphalte et de béton. En 2005, la municipalité considérait les activités de Dufresne comme légales et conformes au zonage en place, alors que le MDDEP les considérait comme illégales, au sens de la Loi sur la qualité de l'environnement. Des avis d'infraction ont alors été émis par le MDDEP, après que La Presse eut publié des photos de ce dépôt de matériaux secs qui était en activité depuis plusieurs années, selon les témoignages recueillis à l'époque. http://www.cyberpresse.ca/actualites/regional/200910/21/01-913326-laval-pres-de-75-des-contrats-a-huit-entrepreneurs.php ..... L'autre article qui disait qu' "une quinzaine d'entreprises se partagent la moitié des contrats de travaux publics à Montréal" : Contrats de construction: des entreprises très sollicitées André Noël La Presse http://www.cyberpresse.ca/actualites/regional/montreal/200910/19/01-912904-contrats-de-construction-des-entreprises-tres-sollicitees.php
  5. YMCA taking on new name in Quebec By Katherine Wilton The Gazette , January 7 After a storied 158-year history, the YMCA name is disappearing from the Montreal landscape. The charitable organization, first established in 1851 to minister to the poor, is rebranding itself as the Ys of Québec to better reflect its evolving work in communities outside of Montreal. The rebranding, which is only being done in Quebec, also includes a new logo which retains the “Y,” because members have long used the shortened name. “We are presenting ourselves as the Ys of Québec because people are calling us that, they have been calling us that for decades,” said Stéphane Vaillancourt, president and CEO of the Ys of Québec. “As well, we are moving from the Montreal area to the entire province. We have programming across the province in places like St. Sauveur, Quebec City and Joliette. We want to get in touch with more people and families throughout the province.” Vaillancourt said the group wants the community to know that it does more than just health, fitness and recreation. “We want to show people that the Y is more than just a gym – that we do good for other areas of the community. Apart from offering gym and pool facilities, the Y offers a wide range of programs in health and fitness, youth and leadership development. For example, several Ys and their partner organizations across Quebec offer a program called Alternative Suspension, which offers tutoring and workshops to teens suspended from school. North America’s first Young Men’s Christian Association was established in Montreal in 1851. The Y has nine centres across Montreal and is building a 10th centre in the city’s Cartierville district. The Y is not planning to construct new buildings across the province, but wants to work in partnership with independent organizations to provide programming developed by the Y. So what does the name change mean for the popular 1979 dance song “Y.M.C.A.” by the Village People? Vaillancourt said he wasn’t sure if the group would come out of retirement to write a song about the Ys of Québec. “I don’t think that would be necessary,” he joked. kwilton@ thegazette.canwest.com
  6. Christian Paradis, responsable de la métropole - Montréal et Laval satisfaits Le Devoir Jeanne Corriveau Édition du vendredi 31 octobre 2008 Mots clés : Laval, Montréal, Christian Paradis, Municipalité, Gouvernement, Canada (Pays) Faute d'élu conservateur dans la région de Montréal, le premier ministre Stephen Harper a confié au député de Mégantic-L'Érable, Christian Paradis, la responsabilité de la métropole. Qu'importe si le ministre n'est pas de la région, les intérêts de la métropole seront bien défendus, soutiennent les maires Gérald Tremblay et Gilles Vaillancourt. Gérald Tremblay s'est entretenu hier après-midi avec le nouveau lieutenant politique de M. Harper au Québec et responsable de la métropole, Christian Paradis, et les deux hommes ont convenu de se rencontrer bientôt. C'est que M. Tremblay a une longue liste de sujets dont il veut discuter avec le ministre, dont la diversification des sources de revenus pour Montréal, les projets culturels à réaliser dans la métropole, le réaménagement de l'autoroute Bonaventure et les enjeux liés au transport. Le fait que M. Paradis ne soit pas un député de la métropole ne semble pas inquiéter outre mesure le maire Tremblay. «J'ai de bonnes raisons de croire, pour en avoir discuté avec Stephen Harper, qu'il va consacrer beaucoup d'énergie à la métropole du Québec», a-t-il dit. Le maire, qui avait appuyé la candidature de l'ex-ministre responsable de la région de Montréal Michael Fortier pendant la campagne électorale fédérale, croit que M. Paradis lui prêtera une oreille attentive. «Michael Fortier m'a parlé de M. Paradis d'une façon très élogieuse», a précisé M. Tremblay. Rappelons que M. Fortier a mordu la poussière lors du scrutin du 14 octobre dernier. Le fait que M. Paradis cumule plusieurs fonctions, dont celle de lieutenant politique pour le Québec et ministre des Travaux publics, constitue un avantage, estime pour sa part le maire de Laval. «Ça veut dire que le ministre aura une communication à peu près quotidienne avec le premier ministre Harper et que celui-ci a compris les difficultés de la région de Montréal», a expliqué Gilles Vaillancourt, qui a décrit M. Paradis comme «un Beauceron plein d'enthousiasme.» M. Paradis devra avoir un bureau à Montréal car «il est important que le ministre consacre des journées entières à la région de Montréal, et non pas quelques moments par-ci par-là», a ajouté M. Vaillancourt. Lors d'un point de presse à Ottawa hier, Christian Paradis, un avocat de 34 ans, a dit aimer Montréal même s'il n'y vit pas. Son objectif est d'y faire élire un député à la première occasion. D'ici là, il dit vouloir «aider» la ville à réaliser ses projets, dont le sauvetage du Grand Prix de Formule 1. «Une chose est certaine, je veux travailler avec les gens. Je vais mettre tout l'effort que je peux à ce niveau-là», a-t-il insisté. http://www.ledevoir.com/2008/10/31/213426.html (31/10/2008 11H47)
  7. Roads safe, Quebec insists AMY LUFT, The Gazette Published: 7 hours ago Quebec's Transport Department wants drivers to know the province's highways are safe, despite a metre-wide pothole found on the Turcot Interchange. Still, the road damage reminded some that action needs to be taken quickly to ensure the safety of motorists. "It definitely enforces the point that structures are in bad shape," said Laval Mayor Gilles Vaillancourt, head of a coalition that wants better funding of infrastructure in Quebec. "The bridges won't be demolished tomorrow, but we need to make sure what remains is not in a beautiful state but in a solid state." Engineers have confirmed that the pothole discovered Friday on Highway 15, just north of the exits for Highway 20 and the Ville Marie Expressway, was simply the result of deteriorating asphalt and concrete and was not a structural issue, like those plaguing many Quebec roadways. "Of course, we'd like to reassure people of the safety of the Turcot Interchange," Transport Quebec official Nicole Ste-Marie said. "What happened (Friday) was not related to roadwork on other access ramps." Highway 15 through the Turcot Interchange was reopened to traffic at 7 a.m. yesterday after overnight paving between the exits for Highways 20 and 720 (the Ville Marie Expressway) and the Décarie Expressway. Two lanes were closed about 8:45 a.m. Friday when a motorist drove into the pothole, which ran one metre deep straight through the span. The lanes were shut for about five hours. One lane was shut again Friday afternoon because repairs could not be completed. Structural repairs are to begin tomorrow on 10 of the 12 access ramps to the Turcot Interchange. The work had already been scheduled this week to take advantage of reduced traffic during Quebec's construction holiday. Highways 15, 20 and 720 converge on the Turcot Interchange, which carries an estimated 280,000 vehicles every day. As for the rest of the province's highways and structures, Ste-Marie urged motorists not to worry. "We'll eventually be doing some repairs (to structures), but if there's a problem or safety concern, Transport Quebec never neglects to tell the public." Vaillancourt said he is satisfied with the measures being taken to maintain the overpasses before they are replaced or repaired. "I've discussed the issue with engineers and I've been reassured the upkeep is good," he said, adding that rebuilding the spans "is not going to happen overnight." Vaillancourt is head of the Coalition pour le rénouvellement des infrastructures du Québec. Its members include the provincial federation of municipalities, the Conseil du Patronat employers lobby, and industry and professional associations. Repairs are to continue as planned on the rest of Quebec's troubled overpasses. After the collapse of the de la Concorde Blvd. overpass in Laval in September 2006, which killed five people, and the subsequent inspection of 135 overpasses deemed to be in questionable condition, Quebec has budgeted $2.7 billion for roadwork this year. The lion's share is to be spent to repair or replace overpasses. It's part of a four-year, $12-billion investment to upgrade Quebec's crumbling infrastructure. Transport Quebec said in April the province would replace 25 overpasses and tear down three others. Major repairs on 25 more spans began at that time. At least three of the overpasses to be replaced are in Montreal. They include two on Highway 138 over Monette St. at the Mercier Bridge, both scheduled to be replaced by 2013, and one on Gouin Blvd. over Highway 19, to be replaced in 2009. The Dorval Interchange is to be torn down, though no date has been set. Transport Quebec wants to assure drivers the span is well maintained. "While it will eventually be demolished, right now we are doing sporadic repairs ... to make sure safety is maintained," Ste-Marie said, adding the Dorval Circle is to be reconfigured to ease traffic woes in the area, not because it is unsafe. As for the current state of Quebec's overpasses, Vaillancourt said he's a little nervous, despite the progress. "It's easy to know when there's a hole in the pavement, but it's hard to know when a bridge will collapse," he said. "You never know." aluft@thegazette.canwest.com http://www.canada.com/montrealgazette/news/story.html?id=b45ac453-fbf9-45aa-8380-c55e10568c42&p=2
  8. Croisade contre deux tours et des commerces à l'île Paton Sara Champagne La Presse http://www.cyberpresse.ca/article/20080320/CPACTUALITES/803200661/1019/CPACTUALITES Les propriétaires des immeubles en copropriété de l'île Paton entreprennent une croisade pour empêcher la construction de deux tours avec commerces dans leur oasis de Chomedey, à Laval. Une pétition signée par 1000 résidants de l'île et des alentours a abouti, cette semaine, sur le bureau du maire Gilles Vaillancourt. Les signataires s'insurgent «vivement, catégoriquement et solidairement», contre un changement de zonage qui permettrait une hauteur de 23 étages dans l'île, où les règles d'urbanisme prévoient des immeubles d'environ 12 étages. Ils s'inquiètent aussi de la venue de commerces et des répercussions du projet «sur l'équilibre de l'environnement naturel de l'île, et sur leur quiétude de vie». La corporation immobilière Magil Laurentienne, qui détient et gère notamment la tour de la Bourse, à Montréal, pilote le projet controversé. Son président, Sol J. Polachek, a déjà participé à la construction d'un immeuble résidentiel de l'île Paton, le luxueux Héritage, érigé dans les années 90, sur les berges de la Rivière des Prairies. Joint hier, l'un des gestionnaires de Magil Laurentienne, Jean-Claude Cyr, a indiqué que le projet est dans sa «phase préliminaire.» Il a ajouté que des rencontres exploratoires ont déjà eu lieu avec les propriétaires de l'Héritage. Il a cependant renvoyé La Presse à la firme de communications Morrow Marketing pour connaître les plans d'architecte et de zonage. Le responsable de la firme, André Morrow, n'avait toujours pas rappelé, hier, en fin de journée. Selon les instigateurs de la pétition, qui ont assisté aux rencontres avec des représentants de Magil, une demande de changement de zonage a déjà été acheminée au service d'urbanisme de la Ville de Laval, au début de mars. Le cabinet du maire de Laval dément totalement l'information. Sur les lieux, il y a déjà des traces d'arpentage. Gilles Bouchard, l'un des signataires de la pétition, explique que les résidants n'ont pas besoin de commerces dans l'île, surtout aux abords d'un parc. «Les commerces que nous avons et les autres à proximité sont amplement suffisants pour nos besoins», dit-il. Il précise que d'autres propriétaires, partis se réchauffer dans le Sud, vont signer la pétition au cours des prochains jours ou des prochaines semaines. Huit étages au maximum Occupé par la dernière séance de son comité exécutif avant le congé pascal, le maire Vaillancourt n'a pas répondu directement aux questions de La Presse, hier. Après vérifications, son attachée de presse, Amélie Cliche, a soutenu «qu'aucun projet n'a été déposé officiellement auprès de la Ville de Laval». «Il n'y a eu aucune approche, a-t-elle ajouté. Je peux vous dire que le promoteur devra se conformer au zonage, et il n'y a aucune intention de modification de la part de l'administration municipale.» Quant à la rumeur qui circule dans l'île voulant que le maire de Laval songe à s'installer au dernier étage de l'une des futures tours, Mme Cliche a insisté pour dire que c'est totalement faux. «M. Vaillancourt fait dire que sa femme ne va pas vivre plus haut que huit étages. Elle a le vertige.» En fin de journée hier, Gilles Vaillancourt devait s'attabler pour répondre personnellement à tous les signataires de la pétition. «C'est sa façon de procéder. Il est très proche de ses citoyens», a conclu son attachée de presse. Aux dernières nouvelles, le maire de Laval vit toujours dans une maison unifamiliale construite sur le bord de l'eau, à proximité de l'île Paton. L'île de Hugh Paton Le premier propriétaire de l'île Paton est Hugh Paton, qui l'occupa de 1880 à 1941. En plus de se faire construire un pont, il se fit bâtir vers 1890-1892 une superbe villa d'été de plus de 50 pièces, qu'on appelait château. Elle abritait une grande serre, des écuries et un terrain de golf. Par testament, il a ensuite cédé son île à Georges C. Paton et al., qui vont plus tard vendre l'île Paton et le pont à la société L'île des Prairies.
  9. le lundi 10 décembre 2007 Le budget 2008 de la Ville de LavaL a été dévoilé lundi.Le budget prévoit des dépenses de 653 millions de dollars, en hausse de 24 millions par rapport à l'année dernière. Les contribuables vont devoir absorber une hausse de 1,6 % de la taxe foncière. Toutefois, il y aura un gel de la taxe d'eau et du tarif du transport régional. Le budget prévoit également des investissements de 116,5 millions de dollars pour la réfection de diverses infrastructures existantes, 36,2 millions seront investis dans le réseau routier et le transport en commun et 17 millions vont être injectés dans l'aménagement de parcs. Des services municipaux seront aussi ajoutés ou améliorés. Un nouveau système de collecte sélective sera mis en place, une escouade policière antigang composée de quinze policiers sera créée et le nombre d'employés au service 9-1-1 sera augmenté. La Ville compte également apporter une contribution plus importante au logement social. Autre prolongement de métro? Le maire de Laval, Gilles Vaillancourt, a profité du dépôt de son budget pour réclamer un deuxième prolongement du métro de Montréal vers Laval, mais cette fois-ci à partir de la station Côte-Vertu. « Il faut absolument compléter la ligne orange. C'était le projet de 65. Il faut donc partir de Côte-Vertu, s'en venir à Bois-Francs, aller vers Cartierville, ensuite rentrer dans Laval, rejoindre la station Montmorency », explique M. Vaillancourt. La ligne orange deviendrait donc une boucle complète. Le maire de Laval demande au gouvernement du Québec de consacrer à ce projet un milliard de dollars sur dix ans.
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