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  1. http://plus.lapresse.ca/screens/7992de4d-86f0-4616-a516-01b02755de55%7C071LNV8SZNGj.html Envoyer par Courriel ACTUALITÉS FINIE LA PUBLICITÉ AUTOUR DES PONTS JACQUES-CARTIER ET CHAMPLAIN BRUNO BISSON LA PRESSE La vue offerte aux automobilistes sur les berges du fleuve Saint-Laurent va s’embellir, au cours des prochains mois, avec la disparition des 29 immenses panneaux publicitaires bordant le pont Jacques-Cartier, l’autoroute Bonaventure et l’ensemble du corridor fédéral du pont Champlain. La société des Ponts Jacques-Cartier et Champlain (PJCCI), qui gère les infrastructures fédérales de transport dans la grande région de Montréal, a décidé de ne pas renouveler son contrat d’affichage de 15 ans avec la firme CBS Affichage (aujourd’hui Outfront Media) et de faire démanteler ces « super-panneaux » qui gâchent la vue, qui enfreignent la loi québécoise sur la publicité le long des routes, et dont la présence devenait de plus en plus encombrante pour les chantiers routiers. Ces panneaux rapportaient chaque mois plus de 280 000 $ à la société fédérale, selon la directrice des communications de PJCCI, Julie Paquet. Lorsque le contrat de 15 ans a expiré, le 31 mai dernier, la société a envisagé de lancer un appel d’offres, mais a estimé que le jeu n’en valait pas la chandelle, et ce, pour diverses raisons. La majorité des revenus publicitaires de ces panneaux provenait des 17 panneaux du corridor du pont Champlain qui rapportaient environ 200 000 $ par mois, selon Mme Paquet. Or la propriété de ce corridor fédéral a été récemment transférée à Infrastructure Canada, en vue de la construction du nouveau pont Champlain. Les 12 autres panneaux situés en bordure du pont Jacques-Cartier et de l’autoroute Bonaventure rapportaient quant à eux 83 771 $ par mois, lorsque le contrat a expiré, dit Mme Paquet. PANNEAUX DÉMOLIS Toutefois, en raison des importants chantiers de réfection déjà en cours, et qui vont durer plusieurs années, la présence des imposantes structures de soutien de ces panneaux posait de plus en plus souvent des problèmes. Enfin, souligne Mme Paquet, ces panneaux ne respectaient pas la Loi québécoise sur la publicité le long des routes, qui exige qu’ils soient situés à au moins 300 mètres du pont – ce qui est loin d’être le cas des deux côtés du pont Jacques-Cartier. Le 1er juin, toutes les publicités devaient être retirées des panneaux publicitaires du pont et de l’autoroute Bonaventure. Ils devront rester blancs jusqu’à leur démantèlement et à la démolition des structures de support, prévus d’ici un maximum de trois mois. sent via Tapatalk
  2. Ras-le-bol publicitaire - De plus en plus de voix s'élèvent pour dénoncer l'envahisseur Jeanne Corriveau 1 juin 2011 Actualités en société Photo : Jacques Nadeau - Le Devoir Des militants du collectif Artung! remplaçant une affiche publicitaire par un dessin, hier, avenue du Parc, à Montréal. Elle est partout: en bordure d'autoroute, sur les toits des immeubles, sur les autobus, sur les Bixi et même dans les toilettes de bars. La publicité est tellement omniprésente dans l'espace public que des voix de plus en plus nombreuses s'élèvent pour dénoncer l'envahisseur. L'Alliance pour la valorisation des paysages au Québec qui vient de naître réclame des autorités municipales et gouvernementales qu'elles freinent la prolifération des panneaux publicitaires dans le paysage québécois. Quand un message publicitaire à la radio nous importune, il suffit de changer de poste pour ne plus l'entendre. Mais quand un panneau publicitaire en bordure d'autoroute nous déplaît, impossible de l'esquiver. C'est là le noeud du problème, estiment les membres de la nouvelle Alliance qui regroupe 17 organisations municipales et professionnelles dont Paysages estriens, l'Union des producteurs agricoles-Estrie, l'Association des architectes paysagistes et Héritage Montréal. «Le paysage, c'est notre fonds de commerce et notre survie sur le plan touristique. C'est avec nos paysages qu'on attire les gens, explique Maurice Bernier, préfet de la MRC du Granit en Estrie. Les gens de Montréal qui veulent admirer des panneaux n'ont qu'à se promener sur le boulevard Taschereau. Mais s'ils veulent admirer la nature, il leur faut venir dans notre coin de pays.» Or, rares sont les coins de pays au Québec qui sont épargnés par la publicité. À titre d'exemple, il y aurait plus de 230 panneaux publicitaires de part et d'autre de l'autoroute 20 entre Montréal et Québec, selon un décompte réalisé en 2003. «On n'est pas contre l'affichage. Que le commerce s'affiche devant sa boutique, ça va. Mais que les entreprises utilisent les routes pour nous harceler avec la publicité, on dit que c'est assez», a indiqué Jacques Robidas, président de Paysages estriens. L'Alliance souhaite sensibiliser les municipalités et le gouvernement à ce problème, mais elle entend aussi profiter de la révision des lois québécoises sur l'affichage pour faire entendre son point de vue. L'exemple du Vermont Ailleurs dans le monde, plusieurs villes et États américains ont banni l'affichage extérieur. C'est le cas du Vermont, qui a légiféré en 1969 et qui aurait vu ses revenus touristiques bondir par la suite. «Est-ce que les paysages du Vermont sont plus beaux que les nôtres? Nous sommes convaincus que non, dit le conseiller municipal du Plateau-Mont-Royal Alex Norris. La différence, c'est que les autorités au Vermont [...] ont fait preuve de fermeté et de volonté politique pour protéger ce qui est un atout pour tout le monde plutôt que de céder aux pressions d'une poignée d'entreprises publicitaires.» L'industrie de l'affichage a fait valoir que ce sont les municipalités et le ministère des Transports qui autorisent l'affichage. «Notre industrie agit de façon très légale avec des permis en bonne et due forme», précise Jeannot Lefebvre, porte-parole du Regroupement de l'industrie de l'affichage extérieur au Québec, qui représente Astral Média, CBS Affichage et Jim Pattison Industries. «On n'ira pas s'installer devant un monument patrimonial de l'UNESCO. On est capables d'avoir un peu de jugement. Mais qu'est-ce qui est acceptable pour l'un et ne l'est pas pour l'autre? [...] Ce sera toujours difficile de plaire à tout le monde.» Même si elle est ouverte à certains compromis, l'industrie n'entend pas se laisser rayer du paysage. Le Regroupement a d'ailleurs l'intention de s'adresser bientôt à la Cour supérieure pour faire déclarer nul le règlement sur l'affichage adopté l'an dernier par l'arrondissement du Plateau-Mont-Royal et qui les forcera à démanteler leurs panneaux géants d'ici la fin de l'année. M. Lefebvre affirme que la loi protège les droits acquis des entreprises d'affichage. «Le droit acquis à la pollution, ça n'existe pas. Il s'agit ici de pollution visuelle. C'est indéfendable devant un juge», réplique l'Alliance. Commandos antipub L'omniprésence de la publicité a également donné lieu hier matin à un geste d'éclat à Montréal lorsque des militants du collectif Artung! se sont déployés dans les rues de la métropole pour remplacer clandestinement les publicités sur les colonnes Morris par des oeuvres artistiques. Les commandos sont entrés en action vers 8h dans Villeray pour se disperser dans le Plateau et dans Rosemont-La Petite-Patrie pour apposer 200 affiches de création originale afin de remplacer les affiches publicitaires présentes. Artung! a été créé pour répliquer aux compagnies d'affichage qui contestent le règlement adopté par le Plateau. «De notre point de vue, ce n'est pas juste les immenses panneaux qui devraient disparaître, mais tout l'affichage publicitaire dans l'espace public», a expliqué Pascale Brunet, porte-parole d'Artung! Les structures d'affichage n'ont pas été abîmées, a insisté Mme Brunet, qui a qualifié d'«action directe légitime» l'opération d'Artung!. Les afficheurs ne sont pas du même avis. «C'est du vandalisme. Enlever une publicité qui a été payée, c'est comme barbouiller une pancarte électorale, estime Jeannot Lefebvre. Ce n'est pas une bonne façon, en démocratie, de se faire entendre et de se faire voir.» Astral, qui détient les droits d'affichage pour les colonnes Morris, a dépêché des équipes, hier après-midi, pour remettre les publicités de ses clients. Artung! souhaite que son geste d'éclat et son site Internet (http://www.cecinestpasunepub.net) inspireront d'autres citoyens et les amèneront à réfléchir sur la place de la publicité dans l'espace public. http://www.ledevoir.com/societe/actualites-en-societe/324522/ras-le-bol-publicitaire-de-plus-en-plus-de-voix-s-elevent-pour-denoncer-l-envahisseur
  3. Pour appuyer les publicitaires d'ici Le maire de Montréal en mission à Chicago La Presse Canadienne Lia Lévesque 19/11/2009 15h42 - Mise à jour 19/11/2009 15h54 Pendant que le maire de Québec est critiqué pour avoir eu recours à un publicitaire français pour renouveler l'image de sa ville, le maire de Montréal Gérald Tremblay se trouve à Chicago pour appuyer les agences de publicité d'ici. L'Association des agences de publicité du Québec a ainsi décidé de promouvoir les agences d'ici en faisant du démarchage auprès des grands annonceurs des États-Unis. Et le maire de Montréal a tenu à les épauler en se rendant à leurs côtés à Chicago pour promouvoir ce qu'il a décrit, en entrevue, comme «une grappe industrielle» de la publicité. Le milieu québécois de la publicité veut notamment faire connaître aux annonceurs américains le concept YUL-LAB, qui permet aux annonceurs étrangers de concevoir, développer et tester ici des campagnes de publicité pour tous les types de médias qui peuvent ensuite être exportées. Montréal, grâce à son caractère cosmopolite à la fois français et américain, permet aux publicitaires de tester certains marchés, de segmenter leur publicité. C'est ce que deux grands annonceurs, MasterCard et L'Oréal, ont déjà fait ici, relate le maire Tremblay. «Quand MasterCard a fait sa campagne internationale "priceless; il n'y a pas de prix", ça a été fait à Montréal. L'Oréal veut définir des expériences particulières (en publicité) et il le fait présentement à Montréal. Autrement dit, au lieu de se choisir une publicité de masse en télévision avec 10 millions $, pour espérer conquérir le plus grand nombre de consommateurs possible, l'idée est d'essayer de cibler les consommateurs pour investir moins mais mieux», explique le maire en entrevue. Les quatre agences qui faisaient partie de la délégation à Chicago, aujourd'hui, ont d'ailleurs rencontré de grandes entreprises comme le producteur de gommes à mâcher Wrigley et Harris Bank. Le maire rapporte qu'elles ont été «très intéressées» par le concept. Bixi et autres Le maire Tremblay doit également rencontrer son homologue de Chicago, Richard Daley, afin de tenter de lui vendre le concept des vélos libre-service Bixi. La ville de Chicago est reconnue pour ses toits verts et, suivant la même philosophie, est intéressée à adopter un modèle de vélo libre-service. Montréal courtise donc Chicago avec son modèle Bixi, après avoir déjà réussi à convaincre Londres et Boston. À Chicago, le maire Tremblay veut aussi convaincre l'Alliance des maires des Grands Lacs et du Saint-Laurent d'établir un bureau à Montréal. Il devait également assister en soirée à la première mondiale d'un autre spectacle du Cirque du soleil, Banana Schpeel.
  4. Publié le 24 août 2009 à 20h04 | Mis à jour à 20h11 Montréal, futur laboratoire publicitaire plurilingue et multiethnique? Nelson Wyatt La Presse Canadienne Montréal L'industrie publicitaire montréalaise s'apprête à lancer une initiative internationale qui pourrait changer la manière dont les générations futures seront courtisées. Un consortium de publicitaires montréalais entreprendra une série de missions commerciales pour encourager les entreprises américaines à utiliser Montréal comme ville laboratoire plurilingue et multiethnique afin de tester, à peu de frais, des campagnes publicitaires destinées pour le marché international. L'Association des agences de publicité du Québec dévoilera les détails de son projet à l'occasion de la prestigieuse semaine de la publicité qui aura lieu à New York le mois prochain. Elle enverra également une délégation à Chicago au mois de novembre. Le président de l'Association, Sébastien Faure, est d'avis que Montréal représente un laboratoire idéal. Selon lui, les différentes influences culturelles ont produit des styles publicitaires qui pourraient être considérés novateurs dans d'autres marchés. Par exemple, la Société de l'assurance automobile du Québec est connue pour ses campagnes très explicites, voire frappantes, illustrant les dangers de la vitesse au volant. Des comédiens et humoristes sont souvent appelés à faire la promotion de biens de consommation, allant des voitures aux beignes. Le projet a été nommé «Yul-Lab», un nom qui découle des trois lettres utilisées pour désigner l'aéroport de Montréal. Selon M. Faure, le projet aidera également les entreprises à utiliser les nouvelles plateformes sur Internet telles que Facebook et Twitter. «Nous croyons vraiment que Montréal pourrait devenir le centre d'innovation pour les équipes représentant des marques internationales», a affirmé M. Faure, qui est l'un des ambassadeurs du projet. «Ce sont les consommateurs qui dirigent, alors, il faut apprendre à parler à ces consommateurs de la manière qu'ils le souhaitent», a ajouté M. Faure, qui croit que Montréal est le meilleur endroit pour y arriver. Selon lui, la métropole dispose d'un grand bassin de talents qui combinent «l'esprit latin avec le sens américain des affaires». Les publicitaires estiment qu'ils jouent déjà un grand rôle dans l'économie de la ville. Le président de l'Association des agences de publicité du Québec, Yanik Deschênes, affirme que l'industrie génère, dans la province, 60 000 emplois directs et indirects et une activité économique totalisant 5,2 milliards de dollars. Il espère que l'initiative mise sur pied par son organisation permettra à l'industrie de faire encore mieux. source : http://www.cyberpresse.ca/vivre/consommation/200908/24/01-895440-montreal-futur-laboratoire-publicitaire-plurilingue-et-multiethnique.php
  5. Le grand bouleversement Mise à jour le lundi 30 mars 2009 à 23 h 09 La presse écrite est en crise aux États-Unis. Les salles de nouvelles sont constamment réduites et des journaux menacent de fermer. Certains abandonnent même leur version papier pour se retrouver sur Internet. Il faut dire que la crise actuelle accélère la perte des revenus publicitaires, qui sont de plus en plus éparpillés. La crise des médias s'est fait sentir plus vite aux États-Unis, et elle commence à atteindre le Canada. Florian Sauvageau, le directeur du Centre d'études sur les médias, croit que les 14 quotidiens québécois sont à l'aube d'un grand bouleversement. Le problème, c'est le modèle économique qui est en train de se briser, le financement surtout des grandes entreprises de presse, 80 % par de la publicité et un maigre 20 % par le public. C'est ça qui ne marche plus. La première victime canadienne est le Groupe Canwest Global, l'éditeur du National Post et de 12 quotidiens au pays, dont The Gazette à Montréal. En 2000, Canwest a payé plus de 3 milliards de dollars pour acheter les journaux du groupe Hollinger. Or, avec la crise, les commanditaires ne sont pas au rendez-vous comme prévu, et Canwest peine à rembourser ses dettes. C'est par exemple le cas avec le domaine de l'automobile. En 2006, il a permis de rapporter 850 millions de dollars aux journaux du pays, soit 34 % de tous leurs revenus publicitaires. Aujourd'hui, la crise frappe de plein fouet cette industrie, comme bien d'autres d'ailleurs. Il y a eu beaucoup plus de compressions budgétaires au Canada anglais. Le groupe Canwest Global repousse l'échéance du paiement de ses dettes quasiment de semaine en semaine, alors c'est certain ici ce sont les mêmes annonceurs, ce sont les mêmes industries qui sont en danger. Quebecor Media publie, par l'entremise de ses filiales Osprey et Sun Media, 37 quotidiens payants au pays. Sa vice-présidente affaires publiques, Isabelle Dessureault, explique que, dans les faits, les coûts d'exploitation sont en hausse, alors que les revenus sont en baisse. Ainsi, au Journal de Québec, qui a été en lock-out pendant 15 mois, et au Journal de Montréal, où les 250 employés sont en ce moment en lock-out, il est difficile de s'entendre sur les changements à apporter. On ne peut pas renouveler un média, l'amener sur Internet, l'amener sur un téléphone mobile avec, je dirais, la structure de fonctionnement du passé. En 2008, le Journal de Montréal aurait malgré tout récolté près de 20 millions de dollars en profits. D'ailleurs, de 1997 à 2006, les quotidiens canadiens ont connu une hausse de 17 % de leurs revenus. Toutefois, même si les profits sont encore au rendez-vous, ils sont de moins en moins importants. Les revenus publicitaires pour le quatrième trimestre de 2008 pour les journaux de Sun Media, il y a eu un recul de 8 % par rapport à 2007, alors c'est quand même important au niveau publicitaire seulement. [...] En 2007 seulement, il y a eu un recul de 20 % du côté des revenus des petites annonces parce que maintenant il y a d'autres alternatives, bien sûr Internet. Internet Internet a vu ses recettes générées par la publicité quadrupler au Canada de 2003 à 2007. Il faut toutefois préciser qu'il n'y a pas que les commanditaires qui délaissent les journaux pour le web, mais aussi les lecteurs. Par exemple, en 2001, la moitié des Canadiens âgés de 18 à 34 ans lisaient régulièrement un journal en semaine. En 2007, ils n'étaient plus que 40 %. On dit que chaque lecteur de journal qui meurt n'est pas remplacé parce que les jeunes s'informent sur Internet. C'est pourquoi les journaux ont recours à Internet. C'est le cas du site Cyberpresse, qui est alimenté par les sept quotidiens du Groupe Gesca, eux-mêmes présents un peu partout dans la province. Gesca n'a pas voulu parler de ses performances pendant la crise. En revanche, le syndicat des travailleurs de l'information de La Presse dit que l'employeur ne se gêne pas à l'interne pour dire que l'heure est au resserrement budgétaire et que les revenus publicitaires diminuent, même si le tirage augmente. Les quotidiens gratuits À Montréal, le Métro et le 24 heures sont désormais incontournables, surtout en cette période de crise. Distribués gratuitement, ils sont maintenant lus par plus d'un million de Québécois chaque semaine. Le Métro par exemple, attire des milliers de jeunes lecteurs de plus que La Presse. Malgré cette tempête, c'est le calme au Devoir. Ce quotidien, le seul qui est indépendant au Québec et qui sera centenaire en janvier, possède l'avantage d'avoir des revenus publicitaires provenant de secteurs variés. C'est notamment le cas avec le monde culturel ou le domaine des institutions publiques, comme l'explique son directeur, Bernard Descôteaux. C'est sûr qu'on est obligé de travailler plus fort pour aller chercher des revenus publicitaires, mais pour le premier trimestre de 2009, nos revenus publicitaires vont être un peu supérieurs à ceux de 2008. Le Devoir possède un autre avantage: seulement la moitié de ses revenus proviennent de la publicité. Le reste provient du tirage qui, du reste, n'est pas en baisse. En comparaison, dans les autres quotidiens, c'est en moyenne 80 % des revenus qui sont générés par la publicité. Bernard Descôteaux rappelle que les lecteurs du Devoir sont très fidèles parce qu'il s'agit d'un quotidien de créneau qui se spécialise dans certains secteurs, comme la politique, la culture, le domaine des idées et le débat. Une histoire à suivre Il faut se demander si les journaux d'ici devront se spécialiser pour survivre à la crise de fond que traverse la presse écrite. Les quotidiens québécois sont assurément à la croisée des chemins. Nouvelles présentations, nouvelles plateformes, les changements ont déjà commencé. Et la crise économique devrait contribuer à les accélérer.
  6. Après avoir bâti leur industrie en mettant en valeur une multitude de produits, les publicitaires québécois doivent maintenant passer à une nouvelle étape et se vendre eux-mêmes. Pour en lire plus...
  7. Même si certains spécialistes croient que le budget de communications devrait être augmenté en période de récession, ce peut être plus facile à dire qu'à faire. Pour en lire plus...
  8. La décision de Quebecor World d'acheter une nouvelle presse pour l'impression d'encarts publicitaires a fait sortir de leurs gonds les dirigeants de Quebecor. Pour en lire plus...
  9. Quebecor World passe en mode acquisition * Presse Canadienne, * 25 novembre 2008 L'imprimeur commercial montréalais Quebecor World a fait l'acquisition de deux nouvelles presses offset à découpe réduite afin de rehausser sa plateforme d'encarts publicitaires aux Etats-Unis. Les détails financiers de l'accord n'ont pas été dévoilés. Quebecor World, société insolvable qui a mis en branle un plan de restructuration tandis qu'elle profite de la protection de la loi contre ses créanciers au Canada et aux Etats-Unis, a expliqué que l'achat de ces presses l'aiderait à tirer profit de sa présence croissante au sein du marché américain des encarts publicitaires. "Cet investissement constitue une autre preuve de notre engagement à fournir à notre clientèle la plate-forme la plus flexible et la plus efficace disponible sur le marché de la vente au détail actuel", a déclaré le président et chef de la direction de Quebecor World, Jacques Mallette, par voie de communiqué. "Nous poursuivons les investissements nécessaires en termes de processus, de main-d'oeuvre et d'équipement alors que nous nous rapprochons de notre but qui est de sortir de la protection contre les créanciers en tant que participant solide au sein de notre industrie", a-t-il ajouté. La première des nouvelles presses devrait entrer en service au cours du troisième trimestre de 2009. Quebecor World compte environ 23 000 employés dans une centaine d'imprimeries et ateliers de services connexes aux Etats-Unis, au Canada, en Argentine, au Brésil, au Chili, en Colombie, au Mexique et au Pérou. L'imprimeur produit des magazines, encarts publicitaires, circulaires, livres, catalogues et annuaires, notamment. A la Bourse de Toronto, mardi après-midi, le cours des actions de Quebecor World était de cinq cents, inchangé par rapport à son taux de clôture de la veille.
  10. Durement frappée par la chute des revenus publicitaires et le ralentissement économique, la direction de CTVglobemedia se voit forcée de restructurer ses activités. Pour en lire plus...
  11. Le Groupe, qui gère les campagnes publicitaires de films québécois et hollywoodiens au Québec, est sur le point de fermer boutique, étranglé par ses problèmes financiers. Pour en lire plus...
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