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  1. MONTRÉAL – Afin d’inciter les commerçants à respecter la Charte de la langue française, une campagne qui sera lancée cet automne ciblera les établissements dont le nom est rédigé dans une langue autre que le français. L’initiative de l’Office québécois de la langue française se veut un rappel que nul n’est au-dessus de la loi 101, même si celle-ci ne peut forcer les entreprises à traduire leur marque de commerce. La Charte de la langue française ne peut qu’obliger les commerçants à ajouter un terme descriptif ou générique, en français, au nom d’entreprise ou à la marque de commerce. Par exemple, l’affichage «Les cafés Second Cup» respecte le règlement. L’Office compte offrir un service de soutien aux entreprises fautives, tout en s’assurant de la conformité de l’affichage pour les détaillants rencontrés précédemment. http://fr.canoe.ca/infos/quebeccanada/archives/2011/08/20110831-135357.html -------------- L'art de s'attarder aux choses inutiles (La langue de la raison sociale) plutôt qu'au vrai problème (la difficulté de se faire servir en français dans certains commerces) et cela peut importe le nom!
  2. C'est un sujet qui me passionne, je crée un fil pour partager des articles intéressants au lieu de créer plein de fils différents. Pas 1929, 1873! Le Devoir Antoine Robitaille Édition du jeudi 09 octobre 2008 Mots clés : Histoire, Crise financière, Crise économique, Économie, Québec (province), États-Unis (pays) La grave crise économique du XIXe siècle a plusieurs points en commun avec les problèmes de 2008 Photo: Agence Reuters Québec -- «Le moindre problème économique est tout de suite appelé une "crise", et une véritable crise est tout de suite comparée à LA crise, celle de 1929», notait le collègue Éric Desrosiers en début de semaine. C'est sans compter que, selon l'historien américain Scott Reynolds Nelson, le fameux krach n'est pas le meilleur parallèle historique pour la situation actuelle. Car 1929, c'est d'abord une affaire de surproduction, d'inventaires débordant, doublée d'un effondrement total des Bourses; le tout aggravé par l'incapacité de l'Allemagne à payer ses dettes de guerre, ce qui s'est répercuté sur les réserves d'or anglaises, explique Nelson dans The Real Great Depression, un texte disponible sur le site Chronicle for Higher Education (chronicle.com). Aucun facteur de ce type ne caractérise vraiment ce que nous vivons actuellement, dit-il. Les entreprises contemporaines exercent un contrôle serré de leur production; les problèmes boursiers font suite à des problèmes bancaires qui ont commencé à apparaître il y a un an. Et «il n'y a aucun problème international sérieux avec les réserves d'or, simplement parce que les prêts des banques n'ont plus de rapport avec celles-ci». En fait, la «Panique de 1873», comme on l'a appelée, aurait beaucoup plus de similitudes avec les perturbations actuelles. «Les similitudes avec ce qui se passe actuellement me bouleversent», écrit Nelson. Nos malheurs ressemblent à ce que sa «grand-mère de 96 ans appelle encore la vraie grande dépression», celle que ses propres grands-parents avaient eu à affronter, écrit cet universitaire du collège William & Mary en Virginie. Tout a commencé autour de 1870, en Europe, avec... des prêts hypothécaires très faciles à obtenir. Dans l'Empire austro-hongrois, en Prusse et en France, les empereurs avaient appuyé «une série de nouvelles institutions qui se sont mises à émettre des prêts hypothécaires dans les domaines de la construction municipale et résidentielle». Le secteur du bâtiment explose à Vienne, à Paris et à Berlin. La valeur des terrains croît rapidement et donne l'impression d'une pente de croissance pour toujours ascendante. «Les emprunteurs cupides accumulent les emprunts, se servant d'édifices non construits ou non achevés comme garanties», note Nelson. Mais les éléments fondamentaux de l'économie sont peu solides. Entre autres parce que l'«invasion commerciale américaine», comme on l'a appelée en Europe, se préparait à menacer la «European way of life» (selon l'expression rigolote de Nelson). Les producteurs de blé américains, par exemple, grâce à des innovations technologiques comme des élévateurs à grains, des trains et des navires géants, font chuter les prix. Au XIXe siècle, «les producteurs agricoles du Midwest», dit Scott Reynolds Nelson, sont un peu comme les Chinois de notre époque, eux qui fournissent les Wal-Mart. L'historien Jean-Claude Robert, de l'UQAM, trouve la thèse de Nelson intéressante mais s'inscrit toutefois en faux ici: «Les États-Unis, à l'époque, font chuter les prix en raison de leurs innovations technologiques et non, comme la Chine actuelle, parce qu'ils paient des petits salaires.» Toujours est-il qu'en 1871, l'Angleterre, principal importateur de l'époque, décide subitement de s'approvisionner en blé américain. La Russie et l'Europe centrale en pâtissent. Les prix de la farine, du colza et du boeuf en subissent des contrecoups. En mai 1873, c'est le krach en Europe centrale. Les mauvais prêts hypothécaires coulent les banques continentales. Les banques britanniques retiennent leur capital. Le prêt entre les banques devient prohibitif et la crise frappe les banques américaines à l'automne de 1873. Nelson raconte que «les compagnies ferroviaires tombent en premier» puisqu'elles avaient inventé... devinez quoi: «De nouveaux instruments financiers qui garantissaient des rendements constants, bien que peu de gens comprenaient exactement ce qui était garanti aux investisseurs en cas de problème.» En fait, rien, aucun actif. Le prix de ces bons s'effondre. Les compagnies contractent des prêts à court terme pour se financer, mais rapidement les taux explosent, ce qui en contraint plusieurs à la faillite. En septembre 1873, quand un grand financier du domaine ferroviaire, Jay Cooke, se déclara incapable de payer ses dettes, ce fut le krach dans les Bourses. «La panique dura pendant quatre ans aux États-Unis et pendant six ans en Europe», écrit Nelson. Conséquences au Québec Au Canada et au Québec, la crise de 1873 a eu plusieurs conséquences. «C'est la première vraie crise du capitalisme moderne», rappelle Jean-Claude Robert. La croissance économique du Québec en est affectée. Des Québécois immigrent aux États-Unis en masse, car malgré la crise, il y a des emplois dans les manufactures. En réaction, le gouvernement du Québec lance des projets de colonisation et accélère l'ouverture de paroisses (sorte de «plan Nord» de l'époque?). En 1879, le gouvernement fédéral adopte la Politique nationale, qui vise à hausser radicalement les tarifs douaniers pour les produits fabriqués au Canada. Aux yeux des historiens, cela contribue grandement à l'essor de la révolution industrielle au Canada, «notamment de Montréal», note Éric Bédard, de la Téluq. Aujourd'hui, c'est surtout aux États-Unis que le protectionnisme risque de faire un retour en force. Déjà, note Jean-Claude Robert, Barack Obama et Hillary Clinton ont évoqué la «nécessité» de revoir l'ALENA. 2008, comme 1873, pourrait bien déboucher sur une de ces périodes où «tout le monde veut vendre à tout le monde, mais où personne ne veut acheter», dit Jean-Claude Robert. «L'échec en juillet de la ronde de Doha de l'OMC, qui a commencé il y a sept ans, indique qu'une ère de protectionnisme pourrait pointer à l'horizon», écrit Scott Reynolds Nelson. Au Québec, le premier ministre Jean Charest mise sur une ouverture des marchés. L'idée est bonne, croit l'économiste Pierre Fortin. Charest aurait raison de voir l'échec des négociations multilatérales (Doha) comme une occasion de se tourner vers des ententes bilatérales. Mais la crise actuelle, si elle s'avère effectivement une resucée de 1873, pourrait bien nuire à ses nombreux projets de libre-échange, notamment celui avec l'Europe, dont les négociations doivent être lancées officiellement la semaine prochaine à Québec. http://www.ledevoir.com/2008/10/09/209839.html (9/10/2008 10H18)
  3. La banlieue attire les immigrants Le Devoir Stéphane Baillargeon Édition du vendredi 20 mars 2009 Mots clés : Banlieue, Municipalité, Immigration, Canada (Pays) Les villes demandent des fonds pour mieux les intégrer Les immigrants habitent de plus en plus dans les banlieues de Montréal. La part des nouveaux arrivants installés dans la ville centre de la région métropolitaine est passée de 79 % à 67 % entre 2002 et 2006. L'«étalement démographique» s'observe aussi à Toronto et à Vancouver. Voilà une des étonnantes découvertes du récent rapport Immigration et diversité dans les villes et les collectivités canadiennes dévoilé hier à Toronto par la Fédération canadienne des municipalités (FCM). «La voix nationale des gouvernements municipaux canadiens», fondée en 1901, compte près de 1800 membres. «Les immigrants continuent de vivre pour la plupart dans les plus grands centres urbains et les plus instruits s'installent en nombre croissant dans les banlieues et les municipalités de plus petite taille, a résumé Jean Perrault, maire de Sherbrooke et président de la FCM. Ceux qui demeurent dans les grandes villes font face à des enjeux socioéconomiques beaucoup plus importants.» Bien que plus scolarisés que l'ensemble des Canadiens, les immigrants comptent davantage sur l'aide sociale et souffrent plus que les autres du chômage. Plus de quatre familles migrantes sur dix vivent avec de faibles revenus, soit trois fois plus que le reste des Canadiens. Le président Jean Perrault a donc demandé que les villes soient consultées «comme des partenaires» pour la définition des politiques et des programmes en matière d'immigration. Il a également réclamé des fonds des ordres supérieurs de gouvernement, sans toutefois chiffrer les besoins. «Les municipalités ne sont pas responsables de l'arrivée des immigrants et pourtant elles doivent en assumer une bonne partie des coûts», a-t-il dit. Il s'agit du cinquième rapport thématique sur la qualité de vie dans les villes canadiennes publié par la fédération. L'étude disponible sur le site fcm.ca porte sur les 24 plus grandes agglomérations du pays, dont celles de Montréal, de Laval, de Québec et de Gatineau au Québec. Au total, ces grandes villes reçoivent 85 % de toute l'immigration et 90 % de tous les réfugiés au Canada. La région métropolitaine de Montréal (et ses 3,5 millions d'habitants au total) a reçu près de 40 000 immigrants en 2006, ce qui la place au deuxième rang derrière Toronto. Québec intègre environ 2000 étrangers par année. En fait, les villes canadiennes atteignent des niveaux de diversité culturelle exceptionnels, même à l'échelle internationale. Toronto et Vancouver ont des populations plus diversifiées que toutes les autres grandes villes de l'Amérique ou de l'Australie. Montréal, Calgary et Edmonton font également partie des dix principaux pôles d'immigration en Amérique du Nord. http://www.ledevoir.com/2009/03/20/240661.html (20/3/2009 9H45)
  4. Publié le 09 février 2009 à 05h00 | Mis à jour à 09h20 Temps durs à venir pour les hôtels Violaine Ballivy La Presse Les prochains mois s'annoncent difficiles pour les restaurants et les hôtels. Ils devront multiplier les efforts afin de convaincre les clients d'ouvrir leur portefeuille pour se gâter un peu. Des milliers d'entre eux sont réunis ces jours-ci à Montréal pour trouver le produit, le concept, le slogan qui aura raison du ralentissement appréhendé. «Les taux d'occupation sont en baisse, et nos clients (les hôteliers) sont plus exigeants», témoigne Claire Grenier, représentante d'une entreprise qui alimente les hôtels de la province en produits d'entretien, savons, shampoings et autres. Dans les allées du centre d'exposition de la place Bonaventure, où sont réunis quelque 400 fournisseurs d'hôtels et de restaurants jusqu'à mardi, les vendeurs de mobilier, d'ustensiles de cuisine et autres sont souriants. L'optimisme est de rigueur dans ce type de salon. «Il ne faut pas laisser la déprime gagner du terrain, mais c'est sûr qu'il faudra probablement s'ajuster au cours des prochaines semaines, réviser nos façons de faire», dit Victor Francoeur, président de l'Association des fournisseurs d'hôtels et de restaurants. «Il y a des craintes, confirme à son tour Danielle Chayer, directrice générale de l'Association des hôteliers du Québec (AHQ). Si les gens perdent leur emploi, cet été, ils vont faire des sorties d'une journée pour éviter de payer l'hôtel.» L'AHQ a même fait modifier le programme de son congrès annuel, qui débute ce matin à Montréal, pour inclure des séances d'information sur les moyens de surmonter les contrecoups de la crise financière. Victor Francoeur croit que l'une des solutions est de se montrer plus sensible aux clients. «Ce n'est pas normal qu'on néglige de demander à un client qui arrive de l'étranger ce qu'on peut faire pour l'aider à surmonter le décalage horaire.» Le marché devrait aussi se recentrer sur l'Asie, la Russie et l'Inde. «À peine 15% des Américains possèdent un passeport, et les autres ne s'en feront certainement pas délivrer un pour venir au Canada quand il sera essentiel pour traverser la frontière en voiture», dit-il. Des clients en profiteront Pour Michel Archambault, titulaire de la chaire de tourisme de l'UQAM, le moment est idéal pour donner un nouveau souffle à l'industrie. «Le parc hôtelier est vieillissant, il aurait besoin d'une bonne mise à niveau dans plusieurs régions du Québec pour que les clients aient des souvenirs plus favorables de leur passage», dit-il. En concurrence avec ceux des grandes métropoles, les hôtels de Montréal devront aussi se montrer plus féroces pour attirer les clients. «Il faut être imaginatif, être présent sur les blogues, les sites internet, prendre d'assaut le web», dit-il. Les touristes dont le portefeuille n'aura pas été trop malmené par le ralentissement économique devraient en profiter. «Les grandes chaînes hôtelières ont adopté de bonnes stratégies pour fidéliser la clientèle en offrant la troisième nuit gratuitement ou des rabais sur l'internet. Les clients en auront davantage pour leur argent.»
  5. Le potentiel gazier du Québec fait rêver André Caillé. «Les retombées économiques annuelles se compteront en milliards de dollars.» Pour en lire plus...
  6. «Les gens ne se rendent pas compte, mais on est le meilleur éditeur d'annuaires au monde», lance Marc Tellier, président de Groupe Pages jaunes. Pour en lire plus...
  7. Immobilier: New York retient son souffle 3 octobre 2008 - 06h20 La Presse Maxime Bergeron Le chantier du Eleven Times Square bourdonne d'ouvriers. Aux niveaux inférieurs, plusieurs s'affairent à installer les panneaux de verre qui recouvriront en entier la tour de 40 étages. Tout semble baigner dans l'huile, à un détail près: le rutilant gratte-ciel n'a toujours aucun locataire de confirmé, à moins d'un an de son inauguration. Les promoteurs ont lancé le projet en toute connaissance de cause, en 2006. À l'époque, la demande d'espaces à bureaux était forte dans le Midtown, et l'offre, minime. Remplir la tour ne devait pas poser problème. C'était avant la crise du système bancaire. Les faillites et licenciements en série des derniers mois ont libéré d'importants locaux à louer à Manhattan, jetant une douche froide sur tout le marché immobilier commercial. La situation a empiré il y a deux semaines avec la déconfiture de géant Lehman Brothers. Plusieurs anticipent aujourd'hui une baisse marquée des loyers, si bien que plus personne n'ose signer quoi que ce soit. Tout est paralysé. «Les gens sont vraiment dans un mode d'attente, pour voir ce qui va se passer», explique Barbara Byrne Denham, économiste en chef à la firme immobilière new-yorkaise Eastern Consolidated. Les entreprises rechignent à signer de nouveaux baux locatifs, et certaines déchirent carrément des documents déjà ratifiés. C'est le cas de la banque hong-kongaise HSBC, qui a décidé la semaine dernière de ne pas déménager ses pénates au 7, World Trade Center, gratte-ciel ultramoderne situé en plein quartier des affaires. L'institution a cité «l'incertitude» ambiante pour justifier son changement de cap. Le marché résidentiel a aussi marqué une pause depuis la mi-septembre, confirment tous les courtiers immobiliers rencontrés par La Presse Affaires à New York. «Disons que mon téléphone n'a pas beaucoup sonné depuis deux semaines», admet Davide Callegati, de la firme New York Living Solutions, qui se spécialise dans la vente de condos haut de gamme neufs. «Les gens laissent la poussière retomber, ils attendent de voir si les prix vont baisser», ajoute le courtier, tiré à quatre épingles avec sa grosse montre en or. Les professionnels ne s'attendent pas à voir le marché s'effondrer, mais ils prévoient tout de même un léger recul dans les prix. Qui, pour plusieurs acheteurs potentiels, sera tout à fait bienvenu. Il faut dire que la Grosse Pomme a été épargnée jusqu'à tout récemment par la crise de l'habitation qui secoue le reste des États-Unis. Les prix, déjà élevés, ont continué à grimper à vive allure au cours de la dernière année, tandis qu'ils baissaient de plus de 30% dans certaines régions du pays. Au deuxième trimestre, soit entre avril et juillet, le coût moyen d'un appartement a atteint 1 007 000$US à New York, en hausse de 21% sur un an. Dans le seul district de Manhattan, le prix moyen a bondi de 29%, à 1,55 millions! Le recul des prix pourrait atteindre 10% à 20% à New York selon les courtiers interviewés. Une prévision encore floue, qui devrait se préciser au cours des prochaines semaines, espèrent-ils. «On voit beaucoup de nouvelles propriétés qui arriveront bientôt sur le marché, mises en vente par des courtiers de Wall Street qui ont perdu leur emploi, dit Howard Epstein, de la firme Hercules Realty. On s'attend à une légère baisse dans les prix causée par toute cette offre.» Les Européens prennent le pas La déroute de Wall Street fait mal au secteur immobilier new-yorkais, mais la clientèle internationale, et plus particulièrement européenne, continue d'acheter en masse des appartements à Manhattan, font valoir les courtiers. Plusieurs paient comptant, ce qui écarte le risque lié au financement hypothécaire. «Les Européens ont vraiment pris le relais», indique Nadya Miles, spécialisée dans la location haut de gamme. Le fondatrice de The Loft Broker dit n'avoir aucun mal à louer ses lofts à 9500$ par mois dans les quartiers branchés de Soho, Tribeca et dans le Financial district, tandis que ses propriétés à 2000$ trouvent plus difficilement preneur. «Ce marché-là, occupé par des célébrités et des grandes fortunes européennes, n'est pas affecté», affirme Mme Miles. Les grues demeurent par ailleurs nombreuses sur les nombreux chantiers de construction de Manhattan, constate-t-on en se promenant dans l'île. Le lancement de plusieurs projets sera toutefois compromis par le resserrement marqué des conditions de crédit, prévoient les analystes.
  8. «Les affaires vont comme à l'habitude», a notamment fait savoir Gilles Labbé, président et chef de la direction d'Héroux-Devtek. Pour en lire plus...
  9. Dans son nouveau rapport d'étape, le Fonds note que «les marchés financiers mondiaux restent fragiles». Pour en lire plus...
  10. Montréal, première de classe? La Presse Simon Coutu Des étudiants à la pelle, des fonds abondants en matière de recherche et développement: la métropole compte de nombreux atouts dans sa course aux investisseurs étrangers, mais elle peine aussi à recruter des travailleurs qualifiés. Montréal est la ville où les coûts en recherche et développement sont les plus bas en Amérique du Nord et où l'on retrouve le plus d'étudiants par habitant. Dans son rapport annuel sur les «indicateurs d'attractivité» de Montréal, l'organisme Montréal International conclut que le climat économique de la métropole est propice à l'investissement étranger si on le compare aux grandes villes nord-américaines. Montréal International a comparé la ville aux 19 autres centres nord-américains les plus populeux ainsi qu'aux autres métropoles canadiennes en se basant sur sept indicateurs. On y apprend que Montréal se classe au premier rang canadien pour le nombre de brevet détenus et en deuxième position nord-américaine pour sa qualité de vie. Mais la métropole peine aussi à recruter de la main-d'œuvre qualifiée, indique Montréal International. «C'est certain que Montréal n'est pas New York. Toutefois, on n'y retrouve pas le climat économique sombre que vivent les citoyens américains», soutient le président-directeur général de Montréal International, André Gamache. Maxim Amstrong, économiste au Conference Board du Canada, apporte quelques bémols à l'étude menée par Montréal International. Il croit que le document de promotion est réaliste, mais qu'il ne met en valeur que les meilleurs côtés de la métropole. «Les cinq dernières années ont enlevé beaucoup de pouvoir d'attraction à Montréal. La ville a perdu plusieurs emplois dans le domaine manufacturier. Ce sont les domaines des hautes technologies, de la recherche et des services qui ont contrebalancé l'effet de cette baisse de production.» Vendre Montréal Le PDG de Montréal International pense que la position actuelle de la métropole sur l'échiquier nord-américain est le fruit de l'étroite collaboration entre tous les acteurs du milieu. «Au cours des dernières années, on a mis tout le monde autour de la même table, dit-il. Les changements se font généralement lorsqu'on est capable de reconnaître ses forces et ses faiblesses. Il y a eu une restructuration des outils gouvernementaux. Le monde municipal s'est aussi organisé de concert avec le secteur privé.» Le climat économique favorable stimule les grands travaux de construction. Les deux futurs centres hospitaliers universitaires constituent les plus importants investissements en santé en Amérique du Nord. «Les métiers de la construction ne nécessitent pas de grandes études, explique M. Gamache. La demande est extrêmement forte. Ces nouveaux projets vont aussi avoir un impact considérable dans le domaine de la santé et pour l'industrie pharmaceutique.» Une référence en recherche et développement Sylvie Gagnon, porte-parole d'Investissement Québec, croit que Montréal se démarque dans le secteur de la recherche et du développement grâce à la collaboration étroite entre les écoles, les centres de recherche et les entreprises. «Les coûts reliés à l'exploitation d'un centre de recherche sont très compétitifs à Montréal. Les mesures fiscales du gouvernement favorisent aussi ce secteur.» C'est à Montréal que sont octroyées 30% des subventions canadiennes à la recherche universitaire, souligne Mme Gagnon. «Le réseau de la recherche et du développement à Montréal et au Québec est très vaste. Les entreprises n'ont pas le choix d'investir dans ce secteur. Si elles ne le font pas, elles se font dépasser par la concurrence internationale.» Des locomotives pour l'économie Selon l'étude, Montréal se classe au troisième rang nord-américain pour la croissance de l'emploi en haute technologie. La ville est quatrième en ce qui a trait à la concentration de l'emploi dans ce domaine. Les sciences de la vie, les technologies de l'information et des communications (TIC) ainsi que l'aérospatiale sont les trois domaines qui font la renommée de la ville. La vitalité de la Montréal dans le domaine des hautes technologies a un effet indirect sur celui des services. Selon Montréal International, 24 000 emplois devraient être créés dans la métropole en 2008, une hausse de 1,3%. À lui seul, le secteur des services engendrera 20 000 de ces emplois. «Les secteurs spécialisés sont des locomotives pour l'économie montréalaise, explique M. Gamache. Il y a beaucoup de travail pour les étudiants, ce qui leur permet de poursuivre leur formation. Il y a aussi des emplois plus spécialisés, comme les services juridiques et comptables, qui sont stimulés par l'essor des hautes technologies.» Aujourd'hui, ajoute-t-elle, «les entreprises ont des solutions d'affaires créatives. Il y a aussi des secteurs qui sont basés presque exclusivement sur la créativité comme l'industrie du jeu vidéo». Manque de main-d'œuvre Le déclin de la population montréalaise constitue l'aspect le plus sombre de l'étude. La ville se classe au 11e rang nord-américain avec un taux de croissance de 0,73%. «Notre main-d'œuvre n'est pas suffisante, déplore M. Gamache. Les taux de natalité et d'immigration sont bas. Il y a aussi un faible taux de rétention des travailleurs étrangers.» Maxim Amstrong croit que les villes comme Montréal n'ont pas le choix de trouver plus de main-d'œuvre et de s'attaquer à la pénurie. «Les entreprises déménagent maintenant pour trouver des employés, dit-il. De plus en plus, les gens recherchent une qualité de vie offerte par de petites villes canadiennes.» De son côté, le responsable du développement économique au comité exécutif de la Ville de Montréal, Alan DeSousa, croit que le manque de main-d'œuvre est une conséquence heureuse de la vitalité de l'économie montréalaise. «Nous sommes victimes de notre succès. Le défi de Montréal et du Québec est de profiter de cette opportunité pour former des gens et répondre à la demande de main-d'œuvre.» 34% En 2007, les investissements étrangers représentaient 43 % de tous les investissements privés non résidentiels du Grand Montréal. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080628/LAINFORMER/806281160/5891/LAINFORMER01/?utm_source=Fils&utm_medium=RSS&utm_campaign=LPA_S_INFORMER ______________________________________________________________________________________________________________________ Des milliers d'étudiants s'installent... puis repartent 28 juin 2008 - 09h57 La Presse Philippe Orfali Avec ses 156 000 étudiants, Montréal se classe première parmi les grandes villes d'Amérique du Nord pour le nombre d'étudiants par habitant. Contrairement à ses rivales, Montréal peine toutefois à conserver ses jeunes diplômés: seulement le quart d'entre eux ont décidé de s'établir dans la métropole en 2005. Montréal est une ville qui attire énormément d'étudiants et de chercheurs pour une agglomération de sa taille, explique le titulaire de la chaire de recherche du Canada sur les villes du savoir, Rémy Tremblay. «Montréal, c'est un peu le Boston du Canada. Ce sont deux grandes villes qui, sans être gigantesques, comptent un nombre important d'institutions postsecondaires et attirent des étudiants de partout dans le monde.» Environ 14 500 personnes inscrites dans les universités montréalaises proviennent de l'étranger. «Mais à la différence de Boston, à Montréal, les étudiants s'en vont une fois leurs diplômes en poche.» Au banc des accusés: le fait français. «Montréal est avant tout francophone. Nombre d'étudiants canadiens-anglais et américains viennent faire leurs études à Montréal et profitent de leurs années dans la métropole.» Et puis s'en vont. Une théorie que vient confirmer des données de l'Université McGill, dont 49% des anciens étudiants ont quitté la ville après leurs études. «C'est une très bonne chose d'avoir beaucoup d'universités et d'étudiants. Mais c'est encore plus important d'être capable de garder les diplômés», souligne Maxim Armstrong, économiste au Conference Board du Canada. Montréal International en est bien consciente. Depuis trois ans, l'agence et la Conférence régionale des élus de Montréal ont pris des mesures afin de retenir les étudiants et travailleurs étrangers. «On tente de faciliter l'obtention du visa de travail et du certificat d'acceptation, pour qu'ils puissent travailler dans n'importe quelle entreprise. C'est un peu long à mettre en place, mais ça porte fruit», assure le directeur de la mobilité internationale chez Montréal International, Bernard de Jaham. Même si la taille de sa population la situe au 16e rang en Amérique du Nord et au deuxième rang canadien, «Montréal se hisse souvent dans le peloton de tête des 20 plus grandes agglomérations du continent nord-américain et au premier rang canadien», affirme le président du conseil de Montréal International, Pierre Brunet, dans la préface de la troisième édition des Indicateurs d'attractivité. Le palmarès compilé par Montréal International contient toutefois de nombreuses lacunes, croit Rémy Tremblay, qui est également l'auteur d'une étude sur les palmarès de villes. «Comme c'est généralement le cas de ces exercices, on choisit les indicateurs les plus favorables ou on les présente de manière à ne pas trop nuire à la ville que l'on veut promouvoir.» «Le cas le plus flagrant est le tableau sur la scolarisation. On dit que 50% des Montréalais détiennent un DEC ou un baccalauréat. Mais on se garde bien de comparer ces données avec celles d'autres villes! Si Raleigh (capitale de la Caroline-du-Nord) et Ottawa avaient été incluses dans l'étude, Montréal aurait moins bien paru.» http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080628/LAINFORMER/806281161/5891/LAINFORMER01/?utm_source=Fils&utm_medium=RSS&utm_campaign=LPA_S_INFORMER
  11. Maxim couronne Montréal Dominique Fugère Le Journal de Montréal 08/07/2007 09h16 DAYTONA BEACH | En offrant un «ménage à trois de filles francophones, de bière et de course automobile», Montréal a obtenu le titre de destinationparty numéro un en Amérique du Nord, selon le magazine Maxim. Dans son style irrévérencieux, le magazine masculin Maxim suggère à ses lecteurs de venir à Montréal afin de faire la fête lors de deux événements cet été: au Festival international de reggae de Montréal, le week-end prochain (symbolisé dans l'article par une feuille de cannabis), ainsi qu'à la course de série Busch qui se déroulera le 4 août prochain. Montréal est suivie, dans le classement, par la Nouvelle-Orléans, la péninsule de Basse-Californie au Mexique (Baja California) et le lac des Ozarks au Missouri, un paradis pour la plaisance et les casinos. D'ailleurs, la proximité du circuit Gilles-Villeneuve et du Casino de Montréal est mise en valeur comme l'une des raisons pour lesquelles Montréal est une bonne destination festive. Dans l'illustration, une paire de dés est installée au milieu de la piste de course qui est pourtant ovale... Et on mentionne que le circuit Gilles-Villeneuve est une «ancienne piste de F-1». Le casino a attiré l'attention des rédacteurs car «les gains n'y sont pas imposables, une bonne raison pour jouer à l'une des 115 tables chanceuses». On explique aussi qu'il y a quatre bars dans le casino, sans pour autant mentionner qu'il y est interdit de se faire servir pendant qu'on joue. Dur, dur de faire le party quand tu essaies de jouer aux dés en ne buvant que du café! Les danseuses dans le palmarès Bien entendu, un club de danseuses, le Super Contact, fait partie de la liste d'adresses suggérées par le magazine Maxim. «Comme le nom le suggère, c'est ici que les clients viennent pour combattre la politique fasciste du »pas touche«, qui est en vigueur dans les établissements plus sains tels que le Club Wanda's». D'autres points d'intérêts montréalais, comme la Biosphère, la basilique Notre-Dame et le Mont-Royal, sont aussi représentés. «Grimpez vers le point le plus élevé de Montréal pour profiter d'incroyables panoramas. (Vous devez bien faire quelque chose avant que le soleil se couche!)», suggère la légende en parlant du Mont-Royal. Étonnamment, l'article suggère aussi un terrain de camping, le Koa Montreal-South de Saint-Philippe-de-Laprairie, où planter une tente ou installer un «motorisé » pendant le séjour. Peut-être que les pilotes de NASCAR profiteront de la suggestion, car le site Web d'information aux compétiteurs est très clair: «Les motorisés ne seront pas permis pour cet événement.» Quand on sait à quel point les pilotes sont attachés à leurs palaces roulants, il risque d'y avoir des grincements de dents... ou bien des clients pour le KOA Montreal-South! Quelsques suggestions de Maxim Voici quelques suggestions de choses à faire à Montréal, selon le magazine Maxim qui considère la métropole comme étant la destination de party par excellence en Amérique du Nord. Globe «Partagez la grosse assiette de fruits de mer, aussi grosse qu'un enjoliveur (145 $) avec vos potes pendant qu'un DJ fait tourner les platines. Eh, oui, c'est bien De Niro qui est assis à côté de vous.» Surprenant qu'ils ne suggèrent pas plutôt la fameuse poutine du Globe. Lounge À Gogo «La clientèle et le personnel le plus hot au nord de Miami Beach - si vous pouvez y entrer.» C'est sans ajouter que la majorité de la faune de Saint-Laurent préférerait justement être à Miami Beach! Schwartz Delicatessen «Une assiette costaude de viande fumée au coût de 8,50$ en argent de clown canadien. »Avec le taux de change à moins de 1,05$, disons juste que l'argent US est aussi de plus en plus clownesque! Le pub Winston Churchill «Les French femmes de ce bar plaisant meurent d'envie de vous faire subir leur rage anti-américaine à votre hôtel.» Les French femmes sont habituellement rares sur Crescent, mais bon... Rue Prince (on pense qu'il manque «Arthur» dans l'article...) «À peu près tous les restaurants sur cette rue historique (sic) vous laissent apporter votre propre bouteille de vino, sans frais de débouchage. Votre toast aura autant de classe.»
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