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  1. https://www.royaltoncondos.com/en/?utm_source=PostMedia&utm_medium=300x250
  2. Le secteur Rockland est appelé à changer. Un programme particulier d’urbanisme (PPU) concernant le secteur Rockland trace les grandes lignes de l’évolution souhaitée pour ce voisinage dans les prochaines décennies. Le document fait en ce moment l’objet d’une consultation publique. Le PPU propose d’introduire de nouveaux usages sur ce site et notamment d’y inclure du résidentiel. Il propose aussi de favoriser le transport actif dans ce secteur, question d’assurer aux résidents un lien rapide vers la station Ville-de-Mont-Royal du nouveau REM ou, par le biais d’une véritable piste cyclable, au métro Acadie. Le PPU du secteur Rockland prévoit par ailleurs la création d’espaces verts supplémentaires dans le secteur, une amélioration de la fluidité de la circulation sur le boulevard Rockland et l’élimination du stationnement en surface du centre d’achats actuel qui est un important îlot de chaleur. Le conseil municipal de Mont-Royal se montre très enthousiaste à l’endroit de cette vision d’avenir et vous invite à prendre part à la consultation publique, qui a débuté le mercredi 21 octobre. https://www.ville.mont-royal.qc.ca/sites/default/files/documents/projet_1440-1_1de2.pdf https://www.ville.mont-royal.qc.ca/sites/default/files/documents/projet_1440-1_2de2.pdf
  3. https://journalmetro.com/actualites/montreal/2420973/quatre-elus-penchent-pour-un-tramway-electrique-pres-du-royalmount/ Quatre élus penchent pour un tramway électrique près du Royalmount 13:24 17 février 2020 Par: Henri Ouellette Vézina Métro Photo: Josie Desmarais/MétroDe gauche à droite: Sue Montgomery, Philippe Roy, Lysandre Routhier-Potvin, Ammar Mahimwalla, Francesco Miele et Mitchell Brownstein Les maires de deux villes et de deux arrondissements situés aux abords du boulevard Décarie s’unissent pour réclamer des «solutions de mobilité» dans le secteur Namur–De La Savane, qui comprend notamment le mégaprojet Royalmount et le terrain de l’ancien hippodrome Blue Bonnets. Les élus appuient un modèle de tramway électrique proposé par des étudiants de l’Université McGill. Un comité «mixte» sera créé pour exiger des engagements financiers des gouvernements, mais aussi des promoteurs, en matière de transport collectif. Le maire de Côte Saint-Luc, Mitchell Brownstein, le maire de Ville Mont-Royal, Philippe Roy, le maire de Saint-Laurent, Alan DeSousa et la mairesse de Côte-des-Neiges-Notre-Dame-de-Grâce (CDN-NDG), Sue Montgomery, en feront partie. Le développement du secteur Namur–De La Savane fait l’objet d’une consultation publique à l’Office de consultation publique de Montréal (OCPM). «Si la mobilité d’un développement quelconque est réduite dans son implantation, c’est un projet avec un handicap», explique à Métro le conseiller de Saint-Laurent, Francesco Miele, en pointant vers le Royalmount. Le fait que le promoteur du Royalmount, Carbonleo, veuille intégrer du résidentiel au projet est certes bienvenue selon lui. Mais des nuances s’imposent. «Le plus gros enjeu, c’est que ce ne soit pas seulement qu’un pôle d’emploi. On sait qu’à peine 17% des travailleurs utilisent du transport en commun. On est satisfaits que le Royalmount évolue, et devienne plus urbain, mais il faut considérer l’achalandage que ça va amener», renchérit M. Miele. Un «tramway électrique» près du Royalmount Leur plaidoyer est appuyé par une proposition des étudiants de l’École d’urbanisme de l’Université McGill. Dans un rapport déposé devant l’OCPM, vendredi, ils plaident pour l’implantation d’un système de tramway «entièrement électrique» et très performant. L’objectif serait de prolonger le boulevard Cavendish vers le sud et vers le nord pour rejoindre autant Saint-Laurent que Côte Saint-Luc. Le système desservirait ainsi l’axe Côte-de-Liesse, l’un des principaux pôles d’emploi dans les environs. «C’est un tramway qui n’a pas de câbles aériens et dont les rails sont beaucoup plus petits qu’un tramway standard, explique à Métro l’une des auteures du rapport intitulé OROBORO, Lysandre Routhier-Potvin. Ce serait beaucoup moins coûteux comme l’intervention se fait en surface. Et ça viendrait attirer une population qui ne prend pas nécessairement l’autobus.» Jusqu’à 600 M$ nécessaires D’après le groupe étudiant, le projet demanderait des investissements d’environ 20M$ par kilomètres. Son coût global serait d’environ 600M$. «On voit l’extension du boulevard Cavendish comme une occasion de remettre enfin le transport collectif au centre du secteur, en y dédiant une ligne pour le tramway.» -Lysandre Routhier-Potvin Ammar Mahimwalla, aussi membre du comité de l’École d’urbanisme de McGill, abonde dans le même sens. «Le futur du tramway est dans l’électrique, et sans rails. Notre modèle est environ 30% moins cher que les technologies existantes» au Québec, avance-t-il. Le duo d’étudiants dit se baser sur des modèles probants qui fonctionnent déjà très bien à travers le globe, dont le tramway «trackless» qui est opéré dans la province de Hunan, en Chine. «On ne sait pas encore s’il serait complètement adapté à l’hiver québécois. Il faudra faire des tests avant de l’implanter», nuance Lysandre Routhier-Potvin. Elle affirme que les difficultés que traverse la Ville d’Ottawa avec son train léger en saison hivernale devra servir de leçons pour Montréal. Un «Saint-Jérôme» à déménager La croissance démographique envisagée aux abords du boulevard Décarie appelle à des actions rapides, d’après le maire de Ville Mont-Royal, Philippe Roy. «D’ici 10 ou 15 ans, ce sont 50 000 personnes supplémentaires qui vont habiter dans nos quatre arrondissements. C’est un Saint-Jérôme qui déménage ici. C’est énorme, d’où l’importance de penser à autre chose que de rajouter des voies routières dès maintenant.» -Philippe Roy Même son de cloche pour la mairesse de CDN-NDG, Sue Montgomery. «Je pense que si on travaille tous ensemble, avec Montréal, Québec et Ottawa, on peut trouver des solutions. Si les promoteurs veulent que leur projet connaisse du succès, ça prend du transport. Sinon, les gens ne viendront pas», martèle-t-elle. Une lettre formelle sera envoyée à tous les paliers de gouvernement et à plusieurs «acteurs-clés» du secteur privé dans les prochains jours, a assuré le maire de Côte Saint-Luc, Mitchell Brownstein. «C’est un moment historique. On a l’occasion de développer en axant sur le transport en commun», conclut-il.
  4. La construction d’un vaste complexe sportif divise la population de Mont-Royal La petite ville cossue de Mont-Royal fait face au premier référendum de son histoire récente, concernant la construction d’un complexe sportif et communautaire. Ce projet, dont le coût estimé a crû de 47 % depuis son lancement en 2016, soulève des inquiétudes dans la population. Katleen Lévesque - La Presse Le centre de loisirs actuel date de 1962. Le bâtiment est vétuste : il ne respecte plus les normes de construction et connaît des problèmes d’infiltration d’eau, explique la Ville. En 2016, le projet a commencé à prendre forme. Il était alors question d’un investissement de 33 millions. Aujourd’hui, le coût du complexe, qui comprendra notamment un gymnase double, trois piscines, des vestiaires et des locaux multifonctionnels, s’élève à 48,6 millions. Cela représente une hausse de 47 % par rapport à l’estimation précédente. Le montage financier prévoit un emprunt de 27,8 millions. C’est ce dernier élément qui a soulevé l’ire de nombreux contribuables : ils ont été 938 à exiger un référendum en signant le registre municipal, l’automne dernier. Ainsi, dimanche et lundi, les citoyens sont appelés à se prononcer sur ce règlement d’emprunt lors d’un vote par anticipation. Ils pourront aussi choisir de le faire lors du scrutin prévu dimanche prochain. En juin 2018, le conseil municipal a attribué un mandat à un consortium d’architectes composé des cabinets Poirier Fontaine et Riopel et Associés pour mener le dossier. Le cabinet Poirier Fontaine a travaillé sur d’autres projets municipaux qui incluaient des piscines intérieures, notamment dans l’arrondissement de Rosemont–La Petite-Patrie. Or, en février dernier, le Bureau de l’inspecteur général (BIG) de Montréal s’est penché sur le projet dans Rosemont–La Petite-Patrie et a conclu que l’appel d’offres avait été rédigé de manière à favoriser un constructeur de piscines qui était seul à pouvoir respecter les exigences techniques. Le cabinet Poirier Fontaine a rédigé cet appel d’offres en collaboration avec la firme de génie GBi Experts-conseils. Manque de transparence reproché Outre l’enjeu financier, les opposants au projet de Mont-Royal soutiennent que l’administration du maire Philippe Roy manque de transparence. « Depuis le début du projet en 2016, la Ville s’appuie seulement sur les résultats d’un sondage et sur le point de vue des groupes ciblés, restreints et des gens qu’elle a choisis. De plus, il n’y a pas de traces, de documents et de suivis de ces rencontres », affirme Barbara Lapointe, une citoyenne qui suit de près les activités de la municipalité. Il n’est donc pas question de donner un chèque en blanc. - Barbara Lapointe, citoyenne de Mont-Royal Si Mme Lapointe dit ne pas s’opposer à la construction d’un nouveau complexe sportif et communautaire, elle estime toutefois que le projet actuel est « démesuré ». De son côté, le maire défend avec force le projet, qui fait partie de ses engagements électoraux de 2013. Il reconnaît toutefois que la population n’a peut-être pas été informée adéquatement. « Mea culpa. Peut-être qu’on a mal communiqué le projet, qui est super, selon nous, pour la communauté. Ce référendum est donc une campagne d’information », dit-il en soulignant qu’il s’appuie sur « une trentaine d’ambassadeurs » qui soutiennent la campagne du Oui. M. Roy soutient que Mont-Royal possède une marge de manœuvre financière suffisante pour construire le nouveau complexe. Il prévient, par ailleurs, que le projet ne sera pas modifié si le règlement d’emprunt est refusé par voie référendaire. « On n’a pas l’intention de présenter un plan B le cas échéant. […] Ce qu’on a annoncé, c’est qu’on va devoir rénover le vieux centre des loisirs, ce qu’on estime à 4 à 6 millions », explique le maire. https://www.lapresse.ca/actualites/grand-montreal/202002/08/01-5260177-la-construction-dun-vaste-complexe-sportif-divise-la-population-de-mont-royal.php
  5. Proposition: A feasibility study to consider the addition of various options in proximity to McTavish Street to facilitate access to the Belvedere Kondiaronk/Chalet and other areas up the hill from downtown, especially for seniors and the mobility/physically challenged, but also to serve other users. Objective Making the Mont-Royal and other points up the hill more accessible As it now stands, as far as reaching the lookout or chalet is concerned, the Peel steps and various inclines encountered are out of the question for many, including families. The closest alternate route by public transit is via Guy, plus 2 buses and a walk. That is not very convenient for many. Another important consideration is that there are no elevators in the Guy metro for people who need them. The McTavish route could let people off in the Allan Memorial Institute parking lot, a few steps from the Route Olmstead which has a much gentler slope for going the rest of the way to the lookout. If a bus route is the option selected, the service could be seasonal, or only in service on week-ends, holidays and special events. Other options for the mountain could be a funiculaire or an electric shuttle that would travel on the Olmstead Road at a reduced speed about once an hour. Advantages A more convenient route would be an enticement to visit the mountain, and more often, since it would be much simpler and quicker for tourists and montrealers to reach the lookout. It would also ensure that the chalet be better utilized since it would be so much easier to get to, no matter the season. More concerts and special events could be held there throughout the seasons. Since the McTavish line would run though the McGill Campus, it would also be a N-S shuttle of sorts, getting McGill students and employees between the various campus buildings and the REM/Metro/downtown. This line could also be used for residents in the Square Mille, McGill Ghetto as well people going to games at Molson stadium or the other McGill athletic facilities. Being part of the Fleuve-Montagne makes it an natural draw for tourists and this line is only steps away from the main tourist office on Square Dorchester as well as Sainte-Catherine and may major hotels. People could also transfer to the ave des Pins bus for other points east and west. The line is a short hop from McGill Metro, the REM and Central Station, making it part of the hub. The route could be extended further southward to the Tourist office at Dorchester or widened to cover a broader area if need be. This line would be an alternative to the bus lines that run north, on Guy and du Parc. Easier public access means fewer private cars and tour busses traveling to the mountain, and fewer vehicles on the road. A fee structure could be put in place to include the shuttle and funicular, or just the shuttle to the site (reg. STM bus pass) (close to the Grand Escalier et the Route Olmstead). Access to PVM & Olympic Tower are in the ($20-25). The Kondiaronk summit on Mont-Royal is a major tourist attraction. Let's facilitate access for all groups & promote another way to experience the mountain. Image 1: McTavish Funicular Shuttle Route (in orange) Image 2: Funicular (universal access) inspired by the one in use at Montmartre (Paris)
  6. Apparament, ce sera un concessionaire automobile Juillet 2018:
  7. 28 juillet 2018 Tel que prévu, le remblaiement à Mont-Royal! Selon ce qu’on m’a dit, il était supposé y avoir des forages à Canora ce week-end en prévision de la démolition de la station, mais il y a eu un problème de permis avec la ville.
  8. http://ocpm.qc.ca/fr/consultation-publique/voies-dacces-au-parc-mont-royal L'Office de consultation publique de Montréal a été mandaté par le comité exécutif pour assurer la tenue d'une consultation publique visant à évaluer le projet pilote de retrait de la circulation de transit pour les véhicules particuliers sur les voies Camillien-Houde et Remembrance et à imaginer le futur pour ces chemins d’accès au parc du Mont-Royal. Au cours des prochains mois, l’Office mettra en place une démarche participative visant à réfléchir l’avenir et l’aménagement des chemins d’accès au parc du Mont-Royal et évaluer le projet pilote de retrait de la circulation de transit automobile sur les voies Camillien-Houde et Remembrance. Cette démarche proposera des activités variées, en personne et en ligne, et culminera par des séances d’audition des opinions au mois de novembre après la fin du projet pilote. Le sujet vous intéresse ? Inscrivez-vous à notre infolettre pour ne rien manquer de nos nouvelles.
  9. Une Proposition pour faciliter l'accès au parc Mont-Royal de Axio Strategies / Robert Laramée pour Fleuve/Montagne http://slideplayer.fr/slide/2735906/
  10. http://dailyhive.com/montreal/montreal-mcgill-university-mont-royal-gondola Gondola from McGill University to the peak of Mont Royal proposed Kenneth Chan Apr 01, 2018 6:00 am The Mont Royal gondola could be similar to the Oakland Zoo's new gondola system. (Shutterstock) Could there be an aerial gondola transit line between McGill University in downtown Montreal to the top of Mont Royal? Caisse de dépôt et placement du Québec (CDPQ), the largest pension fund manager in the province, is proposing to build a gondola that could provide the city with a new tourist attraction that whisks people to Montreal’s famed mountain from the city centre in less than three minutes in each direction. The gondola line would start at the northwest corner of the intersection of McTavish Street and Doctor Penfield Avenue – just across the street from the Leacock Building of the McGill University campus. The site is just next to McTavish Reservoir. The platform for the terminal station at the city centre will be about eight storeys above ground, which will allow the gondolas to immediately soar above the university’s Education Building and the Occupational Health Sciences buildings. Passengers will access the terminal’s platform by elevators or a series of escalators. As for the terminus station atop the mountain, it will be located next to the large green space next to Mont Royal Cottage. Proposed route of the aerial gondola from McGill University to the top of Mont Royal. (CDPQ) Approximately 110 trees will have to be cut down to allow for the construction of the gondola towers, cable lines, and mountaintop terminal. The entire route is less than 600 metres long, and there will be a dozen 20-passenger capacity cabins to provide the gondola line with a capacity of up to 1,500 passengers per hour per direction. CDPQ will fund the projected $23-million construction cost and operate the system when it opens in fall 2020. “We believe CDPQ’s latest investment on transportation infrastructure will only contribute to the heritage of Mont Royal by allowing more people to enjoy this wonderful landmark park in our city,” said Macky Tall, president of CDPQ Infrastructure, which is, of course, also behind the $6.3-billion REM Montreal-area commuter train. Montreal mayor Valérie Plante, who supports the project in principle, says CDPQ’s proposal could greatly reduce car use to Mont Royal and increase the park’s accessibility. “There have been many ideas for Mont Royal over the years, and I have to say this one just makes sense. But we shall see, more work needs to be done to ensure it does not affect the park experience or any historical monuments or unmarked graves,” said Plante, translated from French. “We hope it will supplement existing transit bus service, but more negotiations need to happen.” Over five million people visit Mont Royal every year. Happy April Fools’ Day See also Montreal's $6.3B light-rail system will begin construction in April 2018 (PHOTOS) Kenneth Chan National Features Editor at Daily Hive, the evolution of Vancity Buzz. He covers local architecture, urban issues, politics, business, retail, economic development, transportation and infrastructure, and the travel industry. Kenneth is also a Co-Founder of New Year's Eve Vancouver. Connect with him at kenneth[at]dailyhive.com
  11. http://journalmetro.com/local/outremont-mont-royal/actualites/1328527/developpement-immobilier-au-dessus-de-la-voie-ferree-a-ville-de-mont-royal/ 04/01/2018 Mise à jour : 4 janvier 2018 | 11:11 Développement immobilier au-dessus de la voie ferrée à Ville de Mont-Royal L’idée de construire des immeubles résidentiels et commerciaux au-dessus du chemin de fer de Ville de Mont-Royal a été reprise par le maire Philipe Roy. Il en fait la proposition à la Caisse de dépôt et placement du Québec (CDPQ) Infra dans le cadre du projet du Réseau électrique métropolitain (REM). Il y a environ dix ans, l’ex-mairesse Vera Danyluk avait mandaté des architectes pour concevoir un développement immobilier sur une distance d’environ 1 km et une largeur de près de 200 mètres pour dynamiser le centre-ville de Mont-Royal. Les plans de la firme Thibodeau Architecture+Design n’ont jamais été dévoilés. Ils suggéraient notamment l’aménagement de places publiques, de stationnement, d’espaces commerciaux et résidentiels ainsi que de terrasses et de jardins sur les toits des bâtiments. «À l’époque, le Canadien National ne voulait absolument rien savoir de vendre ses droits en hauteur. Alors que pour la CDPQ Infra, c’est dans son mandat de faire des TOD [Transit-oriented development], des projets à proximité des transports actifs et collectifs», évoque le maire Roy. Plus qu’une dalle Le tunnel-dôme que réclament les citoyens pour limiter le bruit du nouveau REM manque d’ambition selon Philippe. «Juste mettre une dalle ou un toit, je trouverais ça décevant parce que maintenant, on veut empêcher l’étalement urbain et on veut accroître la population sur l’île puis densifier, soutient-il. C’est un terrain qui est stratégiquement bien placé au cœur de notre ville, à six minutes du centre-ville de Montréal et à 12 minutes de l’aéroport.» À l’automne 2016, le maire de VMR a présenté les plans à la CDPQ Infra, qui souhaite qu’un promoteur se joigne au le projet pour leur expertise. Comme à Brossard Sans prendre position sur le projet, la Caisse affirme que le développement immobilier et les aménagements urbains sont plutôt du ressort des municipalités. «Nous sommes évidemment disposés à collaborer avec les villes pour arrimer le REM à leurs projets, comme nous l’avons fait par exemple avec les TOD à Brossard», indique le porte-parole de la CDPQ Infra, Jean-Vincent Lacroix. Dans cette ville de la Rive-Sud, le promoteur Devimco a entrepris la construction d’un quartier de 1 milliard $ avec, entre autres, habitations et bureaux près de la future gare du REM. Le recouvrement de la voie ferrée ne reviendrait pas non plus sous la responsabilité de la Caisse, précise M. Lacroix. Quant à la possibilité de céder les droits aériens à VMR, il répond que «ce sont des éléments qui pourront effectivement être discutés avec la Ville.» Avec les développements autour des futures stations, la CDPQ Infra peut exiger des redevances aux promoteurs pour financer le REM.
  12. http://affaires.lapresse.ca/economie/immobilier/201704/06/01-5085937-immobilier-residentiel-les-acquisitions-chinoises-depassent-mont-royal.php Hâte de voir l'impact à moyen-terme. La PM WYNNE est supposée mettre en place des mesures concrètes sous peu en Ontario pour ralentir la hausse fulgurante des coûts immobliers.
  13. I have a dream. That the Mont-Royal was taller. Let's make it that way. Let's dump some tonnes (several) of dirt and rocks on top of it. Let's prevent the inevitable building plateau.
  14. Outremont sur la montagne - Condominiums 1420, BOULEVARD MONT-ROYAL, OUTREMONT (QUÉBEC) H2V 4P3
  15. 19/09/2016 : 19 septembre 2016 | 10:55 Les trois orchestres symphoniques reunis pour le 375e de Montreal | Metro <header id="page-header"> 19/09/2016 Mise à jour : 19 septembre 2016 | 10:55 Ajuster la taille du texte Les trois orchestres symphoniques réunis pour le 375e de Montréal Par Jessica Émond-Ferrat Métro </header> <figure> <figcaption> Denis-Carl Robidoux Le concert Montréal Symphonique se tiendra au pied du Mont-Royal le 19 août 2017 </figcaption> </figure> Dans le cadre du 375e anniversaire de Montréal, l’Orchestre Symphonique de Montréal, l’Orchestre Métropolitain et l’Orchestre symphonique de McGill seront réunis sur une même scène pour le concert Montréal Symphonique, ont annoncé hier les organisateurs des festivités. Le chef d’orchestre Simon Leclerc (qui est à la barre des concerts de la série OSM Pop) dirigera les quelque 300 musiciens, chanteurs populaires et choristes qui feront partie du spectacle gratuit. Celui-ci se tiendra au pied du Mont-Royal, le 19 août 2017. Le concert sera composé de «chansons qui font écho à notre métropole», «sous le thème des saisons».
  16. Appel à préserver la vue sur le mont Royal Par Mathias Marchal Métro http://journalmetro.com/actualites/montreal/969153/garder-le-mont-royal-dans-le-paysage/ Josie Desmarais La rue Peel fait partie des rues à partir desquelles la vue sur la Montagne est restreinte La prolifération des tours au centre-ville nuit aux vues sur la montagne et de la montagne, notent des intervenants qui suggèrent notamment de protéger certains corridors visuels. Pour évaluer à quel point le mont Royal est visible à partir du centre-ville, François Bastien, chercheur au département de photographie du Cégep du Vieux-Montréal a notamment parcouru la rue Sainte-Catherine, le long de ses contreforts, et a mesuré à quel point la montagne était visible entre la rue Dufort et l’avenue McGill College. Il présentait ses conclusions la semaine dernière dans le cadre d’une journée d’étude organisée par les Amis de la Montagne et intitulée Le Mont-Royal pourrait-il disparaître? Sur une quinzaine de rues présentées dans sa recherche, seule celle de l’avenue McGill College offre une vue dégagée sur la montagne. «Les rues MacKay, Saint-Mathieu, Pierce et Towers n’offrent aucune vue sur le mont Royal, alors qu’une seule donne à voir le belvédère Kondiaronk, celle de la rue de la Montagne», a souligné M. Bastien. Il a ajouté que le développement immobilier pourrait encore réduire l’aspect visuel de la montagne. S’il convient que la construction de tours sur des lots vacants au centre-ville entre en conflit avec certains éléments du paysage, le chef d’équipe à la division de l’urbanisme de l’arrondissement de Ville-Marie, Bruno Collin, reste ferme: «Si on gelait le développement au centre-ville, on serait collectivement perdant», a-t-il affirmé. M.Collin a présenté de son côté les mesures prises par les autorités municipales pour préserver la vue. «Pour protéger la vue sur le mont Royal à partir de la place Vauquelin, proche de l’hôtel de ville, on a revu toutes les hauteurs maximales des édifices dans cet axe», a-t-il donné en exemple. L’autre aspect pris en compte par l’arrondissement: la vue sur le fleuve Saint-Laurent à partir du belvédère Kondiaronk, qui se réduit au fil de l’érection de nouveaux édifices. «On peut travailler avec le promoteur pour revoir la forme des tours [ou] donner des dérogations pour en augmenter la hauteur et, en contrepartie, en réduire la largeur pour aménager des espaces entre les édifices qui préservent la vue sur le fleuve à partir de la montagne», a-t-il ajouté. Mais la lutte pour la sauvegarde de la vue n’est pas qu’une question de construction, a prévenu François Bastien. Sur la place d’Armes, des arbres ont été plantés récemment. D’ici 10 ans, quand ils seront devenus matures, ils bloqueront la vue sur la montagne, qui est déjà quasiment invisible à partir du Vieux-Montréal, a-t-il lancé. Le chercheur a plaidé pour l’instauration de corridors visuels. «Protéger la vue sur la montagne et depuis la montagne, c’est protéger l’action du regard dans l’espace du lieu, c’est contribuer au maintient de l’identité visuelle de la métropole», a-t-il insisté. 140 Le parc du Mont-Royal a eu 140 ans la semaine dernière. En comparaison, la Ville de Montréal ne dispose d’un service d’urbanisme que depuis 75 ans. Approfondir le sujet: Pour pouvoir en apprendre plus, les autorités municipales et gouvernementales ont mis au point une véritable Bible du Mont-Royal avec une architecte paysagiste. L’Atlas du paysage du mont Royal comprend 233 pages où tous les secteurs de la Montagne sont identifiées et analysées sous plusieurs angles: historique, topographique, paysagère etc. sent via Tapatalk
  17. Revitalisation de la rue Saint-Viateur: des bancs œuvres d’art à 5000 $ MONTRÉAL – Alors qu’un nouveau banc public coûte généralement entre 1000 $ et 1700 $, l’arrondissement du Plateau Mont-Royal fera l’achat de 13 bancs à 5000 $ chacun pour revitaliser la rue Saint-Viateur. «Ces bancs sont des œuvres d’art en bois, alors oui c’est cher pour un banc, mais ce n’est pas cher pour une œuvre d’art, lorsqu’on commande une œuvre au Bureau d’Art Public, c’est environ 150 000 $», s’est défendu Luc Ferrandez, maire de l’arrondissement du Plateau Mont-Royal, lundi soir au conseil d’arrondissement, interpelé par Suzanne Craig, une résidente. «Je trouve que c’est nettement exagéré surtout dans une période d’austérité et alors que Saint-Denis, Saint-Laurent et Mont-Royal sont beaucoup plus en demande», a souligné la citoyenne qui vit dans le quartier depuis 35 ans. Style bohème Dans l’ordre du jour, le nouveau mobilier y est décrit comme ayant «un style de la clientèle d'artistes et de bohème de cette partie du quartier». «Ce sont des pièces sculptées à la main, à même une seule bille de bois», a ajouté Jean-François Éthier, artisan-ébéniste de Brun Bois qui a obtenu le contrat. «Ce sera une finition au shou sugi ban, ce qui permet une meilleure résistance à l’extérieur», a poursuivi l’artisan connu pour ses participations aux émissions «Méchant changement» à VRAK TV et de «Sauvez les meubles!» à Canal Vie. Créer une signature En misant sur des œuvres d’art plutôt que sur du mobilier traditionnel, l’arrondissement espère revitaliser et donner une signature au coin de la rue Saint-Viateur et de l’avenue de l’Esplanade, où les 13 bancs seront installés à partir de mai. En été 2013, des bancs d’art public avaient aussi été installés au coin des rues Fairmount et Clark, une dépense d’environ 3000 $ l’unité, mais surtout un vrai succès, selon le maire. «L’impact commercial est gigantesque et l’achalandage touristique énorme, a mentionné M. Ferrandez. Notre pari c’est que oui, il y aura le même impact sur Saint-Viateur.» Moins cher dans Rosemont L’été dernier, Rosemont a aussi misé sur son mobilier urbain pour animer une artère commerciale, avec la transformation de trois bancs sur la rue Masson. Mais l’arrondissement n’a pas déboursé d’argent, en procédant plutôt au remplacement des bancs en résine pour des bancs en bois, qui ont été peints par un artiste du quartier. La SDC Promenade Masson a pour sa part investi 3000 $ dans le projet. Prix pas définitif Enfin, le contrat de 65 558,75 $ octroyé à Brun Bois pour la fabrication de ces 13 bancs ne serait pas définitif, mais plutôt «maximal» puisque l’arrondissement «entend négocier encore pour réduire le coût». «On fait le choix de l’achat local et durable, c’est normal que ça coute un peu plus cher», a souligné Marianne Giguère, conseillère d’arrondissement pour le district de De Lorimier. L’arrondissement n’a pas souhaité nous fournir des croquis puisqu’ils n’étaient pas finalisés.
  18. Aucune idée si c'est une blague, mais une pancarte est apparue sur la clôture de l'ancienne station service, coin Mont-Royal et Mentana. Si ce projet s'avère réel, il gagne la palme du pire projet de la décennie. J'ai de la misère à comprendre.
  19. Projet de condominiums neufs situé dans le secteur Plymouth-Lucerne du quartier Ville de Mont-Royal
  20. Voici le rendu: [ATTACH=CONFIG]21153[/ATTACH]
  21. Etonne de ne pas trouver d'autre informations sur ce sujet, mais le Carre Lucerne aux intersections de la metropolitaine, Lucerne et Plymouth, est en pleine construction. Le provigo est en demolition, le Pharmaprix semble avoir toute sa structure montee, et la phase 1 ( subway, ben&florentine et +) est terminee. Ce sera interessant de voir le nouveau gros Provigo le Marche, et ce qui se passera du Loblaws sur Ste-Croix. Aussi tres hate de voir le Pharmaprix vu que son local actuel (ancien Uniprix) sur Lucerne est extremement moche et desuet. Je me demande si le UPS va revenir de ce cote.. Il me semble qu'il perd beaucoup de son accessibilite sur Lucerne, esperant que c'est temporaire pendant les constructions http://carrelucerne.ca/
  22. Comme urbania à récemment fait un manifeste d'idées pour Montréal. J'ajoute ici mes propres idées. Certaines sont originales. Certaines sont des idées qui proviennent d'ailleurs, que j'ai repris et modifier. Certaines sont peut-être farfelue, mais on a bien le droit de rêver. Un musée dans la ville sousterraine. Comme le festival Art-Sousterrain, mais à l’année longue. On pourrait faire contribuer tous les musées montréalais qui ont plein d’oeuvres d’art qui dorment dans leur entrepôt car ils n’ont pas assez d’espace d’exposition. Faisons aussi participer les universités, les organismes gouvernementaux, les entreprises privées, et les citoyens qui veulent prêter une partie de leur collection. Ce ne serait pas juste pour les œuvres d’art, mai aussi des artéfacts archeologiques, des antiquités, objets de colletction, des vieilles voitures, un vieux tramway, n’importe quoi d’intéressant à exposer. Reconstruire la pyramide inversée du pavillion du Canada sur l’ile Notre-Dame. La pyramide inversée, le Katimavik, était un des éléments les plus marquants d’Expo 67. Pourquoi ne pas le reconstruire ? Une tour sur le Mont-Royal. Je ne voudrais pas d’une tour sur le Mont-Royal, cela le dénaturerait. Mais le Mont-Royal est déjà dénaturé par l’horrible antenne de Radio-Canada, plus haute et plus visible que la croix. Alors si on est obligé de l’avoir on pourrait au moins la transformer en quelque chose de moins laid, une tour ou une sculpture. Le musée du Louvre à Montréal. Le Louvre a des antennes à Lens en France et à Dubai. Pourquoi pas une à Montréal. On a peut-être pas les milliards que Dubai a payé pour l’avoir, mais justement ils ont été critiqués pour avoir ainsi ‘vendu’ les oeuvres et le prestige du musée. Ce serait l’occasion de montrer qu’ils ne font pas ça juste pour l’argent. Et puis on a une relation spéciale avec la France. Ils ont donné la statue de la liberté aux Etats-Unis, nous on a rien eu de semblable. Et puis le silo #5 serait l’endroit idéal pour mettre le musée. Une equipe de football de la NFL a Montréal. Oubliez le baseball, ça ne fonctionnera jamais à Montréal, il y a trop de match pour soutenir l’interêt pendant une saison. Montréal est une ville de hockey, mais 16 jours par année ça pourrait devenir une ville complètement football. Dans un stade olympique avec un toit ouvrant, imaginer les tailgates sur l’esplanade du parc olympique, l’ambiance, la fébrilité serait incroyable. Un parc aquatique intérieur avec une plage intérieure. Nous sommes chanceux d’avoir ce vaste territoire qu’est le Québec, relativement à l’abri des catastrophes naturelles (séisme, ouragan, tsunami), qui n’a pas eu de guerre depuis très très longtemps. Malgré ça, les québecois rêvent tous ou presque d’une seule chose, aller dans le sud en hiver. Je trouve ça pathétique, mais on pourrait facilement offrir la sensation d’être en été pour une journée avec une plage intérieure et des glissades d’eau. Un parc sur le toit du palais des congres. Les toits des édifices sont en général sous-utilisés à mon avis. Celui du palais des congrès est immense. Voir ce projet de BIG pour savoir à quoi ça pourrait ressembler.
  23. <header id="page-header" style="color: rgb(135, 135, 135); font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; line-height: 16px; position: relative !important;">http://journalmetro.com/actualites/montreal/416662/montreal-a-travers-les-tombes/ Mise à jour: 11 décembre 2013 | 10:36 L’histoire de Montréal à travers les tombeso </header><article class="primary-article" style="margin-bottom: 25px; color: rgb(86, 86, 86); font-size: 15px; line-height: 1.8em; font-family: adelle, Adelle, Georgia, serif;"><figure style="display: inline-block; margin: 0px; max-width: 100%; box-sizing: border-box; padding: 6px; position: relative; border: 1px solid rgb(227, 227, 227) !important;"><figcaption style="background-color: rgba(0, 0, 0, 0.8); bottom: 0px; box-sizing: border-box; color: rgb(255, 255, 255); font-family: Arial, sans-serif; font-size: 12px; left: 0px; line-height: 1.4; border-style: solid; border-color: rgb(255, 255, 255); border-width: 0px 6px 6px; padding: 10px; position: absolute; width: 630px;">Yves Provencher/Métro«On n'apprend pas l'histoire de Montréal en se promenant dans le cimetière, mais on observe plutôt une projection de la vie urbaine du passé parmi les différents monuments,» explique Armelle Wolff, conférencière pour Archimuse.</figcaption></figure>Au milieu des dénivelées de la montagne et dans le silence des sépultures du cimetière Mont-Royal, le Montréal d’antan est toujours bien présent. Bien loin des bouquins et des façades du centre-ville se cache une tout autre manière de découvrir la vie des familles qui ont fait le passé de la métropole québécoise. Armelle Wolff, conférencière pour Archimuse, fait connaître ce secret de la ville lors de ses visites guidées du cimetière. «On n’apprend pas l’histoire de Montréal en se promenant dans le cimetière, mais on observe plutôt une projection de la vie urbaine du passé parmi les différents monuments», explique-t-elle. Dominant, même dans la mort À quelques mètres de l’entrée du cimetière, perché sur une petite colline, se dresse l’îlot de la famille Allen. Entouré d’un luxueux grillage en fer forgé, impossible de le manquer. «Cet aménagement correspond tout à fait à l’importance de la famille dans l’univers montréalais. Les frères Allen étaient les princes de Montréal», affirme d’emblée Armelle Wolff. Situé sur l’un des sommets de la partie la plus ancienne du cimetière, cet îlot familial a une vue impressionnante sur les sépultures autour. La tombe de Hugh Allen, détenteur de la plus grande fortune du Canada au 19e siècle, grâce à un monopole dans le commerce maritime, est donc placée aussi avantageusement dans le cimetière que la villa qu’il possédait près du mont Royal. «Il a le même rôle stratégique dans le cimetière que celui qu’il avait dans la ville, car, depuis sa résidence, il voyait arriver leurs bateaux dans le port. Même mort, il reste en terrain dominant», note la conférencière. Rencontre entre amis John Samuel McCord, premier président du cimetière Mont-Royal jusqu’en 1865, repose à l’endroit culminant du cimetière primitif. «Une place de choix», affirme Mme Wolff. Mais ses voisins de tombe révèlent un phénomène encore plus intéressant. À ses côtés se trouvent les sépultures de Peter McGill, ancien maire de Montréal, du révérend Francis Fulford et de la famille Ross. «C’était tous des amis, raconte Mme Wolff. Leurs villas à Montréal étaient voisines, tout comme leur tombe. Plusieurs de ces familles étaient même liées par des mariages.» Cette disposition des tombes regroupées entre famille et amis proches expose un phénomène courant de l’époque, selon la conférencière. «Les Montréalais avaient l’habitude de venir au cimetière le dimanche pour rendre visite à leurs proches décédés. Mais ils venaient entre amis et entre voisins. Avec cette disposition des tombes, ils se retrouvaient également entre amis et voisins au cimetière. Ils ne sortaient jamais de leur monde», explique la conférencière. La vie collective dans la ville ne faisait donc pas exception au cimetière. Des catholiques chez les protestants Le cimetière Mont-Royal ouvre en 1852 sous une administration anglophone protestante. Les protestants n’étant pas admis dans les cimetières catholiques, ils devaient reposer dans un espace distinct. Le cimetière Notre-Dame-des-Neiges, qui ouvre en 1855, est quant à lui réservé aux catholiques pratiquants en règle. Tous ceux qui ne peuvent pas prouver qu’ils sont de confession catholique, ou qui sont rejetés par le clergé, ne pouvaient pas, jusque dans les années 1960, être enterrés en terrain consacré. Ils étaient alors automatiquement dirigés vers le cimetière protestant Mont-Royal. «Vous voyez, ici, c’est la loge des francs-maçons francophones…catholiques», lance Mme Wolff. Étonnant pour un cimetière protestant… «Chez les francophones catholiques, la franc-maçonnerie était une hérésie. C’était des anticléricaux, qui se battaient pour l’éducation laïque», rappelle la conférencière. Les francs-maçons étant donc bannis de l’Église, ceux de confession catholique devaient eux-aussi être enterrés dans le cimetière protestant Mont-Royal. «Souvent, les gens ont tendance à fonctionner par polarisation: c’est blanc ou noir. Il y a les catholiques et les protestants. Ici on peut voir que, dès le départ, c’était beaucoup plus compliqué que ça», affirme Armelle Wolff. Les Molson s’imposent «L’imposante structure du mausolée de la famille Molson et la place qu’il occupe au cimetière témoignent, comme aucun autre pareil, de l’importance de cette famille à Montréal», affirme Armelle Wolff. Une revue touristique de 1868 parlait même de ce mausolée comme étant le plus prestigieux et le plus monumental du continent Nord-Américain, selon la conférencière. «Ici, ils dominent la ville comme ils dominaient dans le paysage socioculturel montréalais», résume-t-elle.</article>
  24. L'épicerie de mon grand-père coin nord-ouest Marquette et Gilford Une autre épicerie familiale sur Delaroche au sud de Mont-Royal Une autre épicerie familiale coin Dupré et St-Maurice
  25. Nouveau projet sur Mont-Royal, coin Saint-Dominique, juste en face du tout nouvel édifice 55 Mont-Royal Est! De Sid Lee en plus! Incroyable comment mon coin se transforme! Je prendrai une photo de l'affiche posée sur le site. Avant : [sTREETVIEW]https://maps.google.com/maps?q=55+mont-royal+est&hl=fr&ie=UTF8&ll=45.520631,-73.585954&spn=0.004255,0.010568&sll=45.520658,-73.585949&layer=c&cbp=13,69.97,,0,-8.03&cbll=45.520568,-73.586007&hnear=55+Avenue+du+Mont-Royal+Est,+Montr%C3%A9al,+Qu%C3%A9bec+H2T+1N6,+Canada&t=h&z=17&panoid=8vsbhyAgo7rurvDxYvf2JA[/sTREETVIEW] Après : http://condosmir.com/
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