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ils sont presque aussi bruyants que ceux en Europe. Dans les stations de métro il y a toujours au moins 10 polices pour les surveiller quand ils débarquent. Je veux surtout pas ce ça à Montréal!

 

Wow à voir la quantité de vidéos de la victoire de Toronto, incluant les nah nah nah good bye et autres... Finalement, la haine Montréal - Toronto, c'est aussi la haine Toronto - Montréal.

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  • 3 semaines plus tard...

Marc Tougas

 

Presse Canadienne

 

Montréal

 

Les propriétaires de l'Impact de Montréal et des Whitecaps de Vancouver ne sont pas les seuls à chercher à obtenir une concession dans la Major League Soccer. Outre Eugene Melnyk à Ottawa, un groupe européen serait intéressé à installer une équipe de la MLS à Edmonton et le joueur de basketball Steve Nash voudrait également ajouter une équipe en Colombie-Britannique, a appris La Presse Canadienne.

 

Melnyk, le propriétaire des Sénateurs d'Ottawa de la LNH, serait prêt à bâtir un nouveau stade près de la Place Banque Scotia, et le groupe d'Edmonton, composé d'investisseurs suisses et italiens, serait prêt à construire un nouveau stade de 20 000 places. Ces groupes n'utiliseraient donc pas le stade Frank-Clair à Ottawa ni le stade du Commonwealth à Edmonton.

 

>>> Réagissez sur le blogue de soccer de Pascal Milano

 

Greg Kerfoot, propriétaire des Whitecaps de la USL, a déjà exprimé son intention de bâtir un nouveau stade à Vancouver et d'y faire jouer une équipe de la MLS, mais Nash serait à la tête d'un groupe distinct qui aurait les mêmes intentions.

 

On pourrait donc se retrouver avec pas moins de six équipes canadiennes dans la MLS à long terme, puisque le FC Toronto y évolue déjà depuis l'an dernier et que Joey Saputo, président de l'Impact de la USL, et George Gillett, propriétaire du Canadien de Montréal de la LNH, veulent amener la MLS à Montréal.

 

Le quotidien The Globe and Mail a fait savoir, dans son édition de jeudi, que Melnyk avait rencontré le président de la MLS, Mark Abbott, la semaine

dernière.

 

 

http://www.cyberpresse.ca/article/20080619/CPSPORTS07/80619214/1002/CPSPORTS

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  • 1 mois plus tard...

mls430_54732.jpg

 

MLS EYES MONTREAL, VANCOUVER FOR EXPANSION

TSN.CA STAFF

7/23/2008 2:14:36 PM

 

According to a Vancouver radio station, Toronto FC may soon be getting some Canadian company in the MLS.

 

The TEAM 1040 is reporting that MLS Comissioner Don Garber will lift the original ceiling of 18 franchises and announce Thursday a new expansion plan of not less than 20 and up to 24 franchises by 2013-2014.

 

The current 14-team loop will expand to 16 teams by 2010 (Seattle in 2009 and Philadelphia in 2010) and then add up to four teams in 2011 and at least two more by 2013-2014.

 

This comes on the heels of the league expanding to Toronto last season and San Jose this year.

 

Vancouver and Montreal are considered expansion priorities for Garber in 2011.

The announcements are expected as part of the Commissioner's address at Thursday's MLS All-Star Game at BMO Field in Toronto.

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Bien! ça fait plaisir de voir qu'on sa jouer avec les grosses pointures. Cela veut aussi dire que nous aurons droit à une expansion du stade actuelle (si je me souviens, une certaine capacité est conditionelle à l'intégration dans la MLS).

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Bien! ça fait plaisir de voir qu'on sa jouer avec les grosses pointures. Cela veut aussi dire que nous aurons droit à une expansion du stade actuelle (si je me souviens, une certaine capacité est conditionelle à l'intégration dans la MLS).

 

Exact mais Saputo avait tout prévu! Le stade peut être agrandi assez facilement et à faible coût.:relieved:

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EXCLUSIF - Les dessous financiers de l'Impact et de la USL

 

Jeremy Filosa / CKAC Sports

CKAC SPORTS

 

(EXCLUSIF - CKAC SPORTS)- De plus en plus, l'Impact se donne des airs de club de soccer professionnel qui aspire à de grandes choses. L'équipe espère même se joindre à la MLS d'ici la saison 2011. Mais combien peuvent gagner les joueurs de l'Impact et serait-ce vraiment plus payant pour eux de se retrouver dans la MLS?

 

L'Impact de Montréal roule sur un budget d'opération de 5 millions $, dont environ 1 million $ consacré à la masse salariale. Avec 22 joueurs dans l'équipe, on parle ici d'un salaire moyen de plus ou moins de 50 000$ par joueur. Bien évidemment, certains joueurs empochent un peu plus que d'autres, mais on parle de salaires qui varient entre 40 000$ et 100 000$.

 

Malheureusement pour les joueurs, les contrats ne sont pas garantis, ce qui veut donc dire qu'un joueur comme Dwight Barnett, qui a été remercié en milieu de saison, se retrouve sans salaire, sans emploi et devient automatiquement agent libre. Ça revient à l'équipe de décider s'ils veulent donner une compensation au joueur. La même règle s'applique dans la MLS.

 

Lorsqu'un joueur se retrouve sur la liste des blessés, l'équipe est responsable de son salaire et doit continuer à lui verser. Même chose pour les joueurs qui ne sont pas en uniforme pour tous les matchs. Si jamais un joueur tombe malade, les assurances viendront se charger du salaire du joueur. L'organisation ne peut en aucun temps libérer un joueur blessé. L'Impact n'a jamais signé de joueur pour une période de plus que 3 ans.

 

Parmi les équipes de la USL, Montréal, Vancouver et Miami sont les trois organisations qui possèdent la plus haute masse salariale. Dans le cas des joueurs étrangers, l'Impact s'occupe de payer le voyage qui amènera la famille du joueur à Montréal. Certains d'entre eux se voient aussi fournir une voiture pour leurs déplacements. Un joueur provenant de l'extérieur se verra fournir un appartement payé par l'équipe. Un joueur célibataire partagera l'appartement avec un coéquipier tandis qu'un joueur marié avec des enfants aura son propre appartement. Ceci vient s'ajouter à son salaire. Étant donné que les joueurs vivent tous dans de nouveaux appartements, propriétés de Joey Saputo, ils vivent tous à proximité l'un de l'autre et du stade.

 

Dans la MLS, il y a un salaire minimum de 24 000 $, chose qui n'existe pas dans la USL; idem pour le plafond salarial. Mais chez l'Impact il n'y a pas un joueur qui touche un salaire aussi bas. Certaines équipes de la USL paient leurs joueurs sur une base de 6 ou 8 mois. L'Impact paie maintenant ses joueurs sur une période de 10 mois, donc les salaires peuvent varier.

 

Ainsi, il n'y aucun joueur qui est obligé de travailler pour joindre les deux bouts. Gabriel Gervais était un des joueurs qui préféraient faire autre chose durant l'entre-saison, mais il a lui aussi décidé de mettre l'emphase sur sa carrière. Tous les entraîneurs de l'équipe sont aussi suffisamment bien payés pour se concentrer à 100 % sur leur travail.

 

«Je ne pourrais pas me permettre d'avoir des entraîneurs à temps partiel. Les gars qui sont ici sont assez bien payés pour pouvoir se concentrer uniquement sur leur travail d'entraîneur. Dans le cas des joueurs et des entraîneurs, la question qu'ils ont à se poser est la suivante : veulent-ils gagner leur vie dans un bureau ou sur un terrain de soccer?», c'est ce qu'a mentionné le directeur technique de l'équipe Nick DeSantis. Les salaires des joueurs se comparent donc aux salaires que gagnent monsieur et madame tout le monde.

 

Ce n'est pas nécessairement vrai que les joueurs de la MLS gagnent plus d'argent que les joueurs de la USL; par contre il y a une disparité considérable entre les salaires des meilleurs et ceux des joueurs de soutien. Avec un salaire minimum de 24 000$ et certaines supervedettes qui touchent 400 000$, l'écart est beaucoup plus grand.

 

La MLS s'occupe de payer tous les joueurs. C'est pour cette raison que les salaires sont connus. Mais dans la USL, chaque équipe gère ses propres budgets. Pour éviter les conflits et pour éviter de donner plus de pouvoir de négociation aux joueurs, les équipes préfèrent garder les salaires secrets.

 

Pour pouvoir faire le saut en MLS, l'Impact devra faire passer sa masse salariale de 1 million $ à 3 ou 4 millions $. Lorsque Joey Saputo a dit que l'équipe n'aurait besoin que de 2 ou 3 joueurs de plus pour être compétitif dans la MLS, on parle ici de joueurs d'envergure, qui toucheraient des salaires considérables.

 

Dans la MLS il y a une clause de joueur de franchise qui peut s'appliquer. C'est-à-dire qu'une équipe peut donner le titre de joueur de franchise à un athlète sans avoir à compter son salaire sur la masse salariale. C'est le cas de David Beckham avec le Galaxy de Los Angeles.

 

L'embûche numéro un que connait l'Impact lorsque vient le temps de tenter de convaincre un joueur de venir jouer à Montréal, c'est le fait que personne ne connait l'Impact ou la USL.

 

La semaine dernière, l'Impact a reçu deux agents de joueurs au stade Saputo, un d'eux provenait d'Italie et l'autre du Brésil. Il y a tellement de joueurs de soccer au Brésil que certains d'entre eux se retrouvent en Asie pour gagner leur vie et ils ne gagnent pas nécessairement plus que les joueurs de l'Impact.

 

À leur départ de Montréal, ils ont tous deux confirmé qu'ils auraient maintenant beaucoup plus de facilité à convaincre des joueurs à venir jouer ici. Attendez-vous donc à voir certains joueurs issus du Brésil et de l'Italie venir s'installer ici pour poursuivre leur carrière.

 

«Quand ils viennent ici et voient le professionnalisme de l'organisation, le nouveau stade et le salaire qu'on peut leur offrir, c'est plus facile pour eux d'aller voir leurs clients et de les convaincre de venir jouer ici. Le problème, c'est que l'on doit se créer des contacts et s'assurer que ces gens viennent ici pour voir ce que l'on peut leur offrir. Ça fait maintenant partie de mes nouvelles fonctions; de m'assurer que les agents de joueurs sachent ce que l'on peut leur offrir. Dans le passé, lorsque je sortais du pays pour rencontrer des joueurs de l'extérieur, on me demandait tout simplement : êtes-vous dans la MLS?», a mentionné DeSantis.

 

Il est faux de croire que les joueurs locaux coûtent moins chers que les joueurs de l'extérieur. C'est vrai que l'organisation n'a pas besoin de fournir une voiture ou un appartement aux Québécois, mais DeSantis ne se fait pas d'illusions. Si un joueur montréalais peut gagner plus d'argent ailleurs, il n'hésitera pas à faire le saut.

 

Dans le dossier Charles Gbeke, l'Impact a eu une compensation financière en plus des services de Tony Donatelli. «On était en bonne position pour demander une somme d'argent pour Gbeke, puisque plusieurs équipes étaient intéressées aux services d'un joueur qui a marqué 10 buts l'an passé», a confié DeSantis.

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MLS seeks more northern exposure

 

By Martin Rogers, Yahoo! Sports

Jul 31, 6:29 EDT

 

Trying to predict the Major League Soccer expansion free-for-all has become a game reserved for the brave or the foolish.

 

Every comment, every rumor and each carefully worded update from MLS commissioner Don Garber seems to bring a shift in the power struggle for inclusion in the league. To be considered a frontrunner is no guarantee of success and things can change quickly. Just ask Cleveland and San Antonio, cities that at one point looked highly likely to land new franchises.

 

At present, though, the expansion radar is pointed towards Canada, and it is unlikely to shift any time soon.

 

With two more teams to join in 2011, the groups behind Montreal and Vancouver are both tipped to present a formidable case. Even previously unmentioned Ottawa was included in the league’s eight-city shortlist.

 

While adding two more Canadian teams would create certain roster-filling dilemmas, many factors are turning the attention of MLS chiefs northwards.

 

The roaring success of the first expansion into Canada, with Toronto FC continuing to play in front of a passionate sellout crowd every game, has clearly whetted the league’s appetite for another Canadian entry. That financial firepower has pushed the Canadian bids to the forefront at this stage.

 

Joey Saputo, owner of United Soccer League side Montreal Impact, is determined to secure an MLS license and already has some infrastructure in place. The Impact’s Saputo Stadium holds around 13,000 and could comfortably be expanded to 20,000 if MLS gives the green light.

 

Early indications in the Montreal market are that the public would welcome an MLS team with open arms and provide a level of support similar to that in Toronto. But what is needed for the league to keep growing is for the expansion teams, starting with Seattle Sounders FC next year, to be ambitious, competitive and well-supported. Vancouver also fits the criteria, with the USL Whitecaps a well-established and professionally run outfit.

 

If MLS decides that a double dip into Canada for the class of 2011 is one too many, then the battle between Montreal and Vancouver will be fiercely fought.

 

In Vancouver’s corner is NBA star and British Columbia native Steve Nash, who wants to see MLS in his home city. Nash has teamed up with the Whitecaps billionaire owner Greg Kerfoot to present a bid, but the key to Vancouver’s success is likely to hinge around the construction of a stunning downtown waterfront stadium that is currently being delayed by political red tape.

 

The strength of the bids is a huge plus for MLS, which can now demand extra-high standards from potential newcomers. To have several dedicated and determined business groups all striving against each other for a limited numbers of spots greatly increases the likelihood of success in the market eventually chosen.

 

Here we rank the eight cities mentioned by commissioner Garber last week in order of their chances to win expansion rights.

 

MLS EXPANSION DESTINATION RANKINGS

 

1. Montreal. The transition into MLS would be relatively seamless and the Impact have shown that there is already an appetite for soccer in the city. Chances: 70 percent.

 

2. St. Louis. It lacks the wealth of backing enjoyed by some other bids but has a brand new stadium to look forward to and an impressive figurehead in Jeff Cooper. Chances: 60 percent.

 

3. Vancouver. Would leap to the front of the pack if stadium issues could be resolved. Nash adds some star power and profile. Chances: 35 percent.

 

4. Portland The Portland group is going about its business quietly but can not be discounted. A ready-made local rivalry with Seattle is a potential plus. Chances: 15 percent.

 

5. Atlanta. Well-backed in the form of Arthur Blank, owner of the National Football League’s Atlanta Falcons, but little progress has been made on a new stadium. Chances: 10 percent.

 

6. Las Vegas. Rumors of a $500 million stadium with a retractable roof and a cash-laden ownership group are still around, but no public announcement equals no momentum – and probably no chance. Chances: 5 percent.

 

7. New York. It is hard to see the logic in a second N.Y. franchise until the Red Bulls start pulling in big crowds. Chances: 4 percent.

 

8. Ottawa. Not a soccer market and little reason to be on the list except for the millions of Eugene Melnyk, owner of the National Hockey League’s Ottawa Senators. Chances: 1 percent.

 

http://ca.sports.yahoo.com/sow/news?...yhoo&type=lgns

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