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Marché d'édifices à bureaux de Montréal : actualités


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Le CUSM cherche des bureaux administratifs

 

Le Centre universitaire de santé McGill cherche de nouveaux bureaux administratifs. Le tout nouveau centre hospitalier, dont la construction a coûté 1,3 milliard, vient de lancer un appel d’offres pour trouver des locaux au centre-ville. Le personnel administratif du CUSM loge principalement au 2155, rue Guy, où il occupe 175 000 pieds carrés. Mais le bail arrive à échéance en novembre. Il n’y a pas de place pour lui dans le nouvel hôpital du site Glen ni à l’ancien siège social de Zellers au 5100, De Maisonneuve Ouest, contrôlé par le CUSM depuis 2006. — André Dubuc, La Presse

 

http://plus.lapresse.ca/screens/1c619a48-3afe-4492-b4e8-a25c418d32fb%7C_0.html[/Quote]

 

À la recherche de 175 000 pieds carrés, ce n'est pas négligeable à mon avis.

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Leurs bureaux admin ne seront pas collés à l'hôpital? Bizarre.

 

Dans quelques années on va entendre de la part des employés que la direction est complètement déconnecté de leur réalité... et on brûlera des millions en études pour comprendre pourquoi

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À la recherche de 175 000 pieds carrés, ce n'est pas négligeable à mon avis.

 

Pas négligeable, certes, mais ils vont chercher ce qui coûte le moins cher à la location (même si ça revient plus cher en organisation et en maintenance).

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  • 2 semaines plus tard...

http://affaires.lapresse.ca/economie/immobilier/201603/16/01-4961225-immobilier-commercial-montreal-inspire-confiance.php

 

Immobilier commercial: Montréal inspire confiance

 

Canderel caressait depuis 2008 l'idée de construire une imposante tour de bureaux au square Phillips, en plein centre-ville de Montréal. Faute de locataires, le promoteur souhaite maintenant y bâtir... un stationnement à étage. Et peut-être aussi des résidences étudiantes, si le marché le permet.

Beaucoup d'autres projets d'immeubles commerciaux sont coincés sur les tables à dessin des architectes, comme la Tour Quartier des spectacles, à quelques coins de rue de là. La raison est simple*: la demande pour des bureaux n'a jamais été aussi faible depuis au moins une dizaine d'années à Montréal.

Selon la firme Newmark Knight Frank Devencore (NKFD), le taux d'inoccupation des immeubles de catégorie A et B s'élevait à 10,3*% à la fin de*2015 au centre-ville. En incluant les bureaux offerts en sous-location, le taux de disponibilité atteint 16,4*%. «*C'est un sommet depuis 2006*», résume Jean Laurin, président et chef de la direction du groupe immobilier.

La hausse a été rapide*- et brutale*- depuis trois ans. Le taux de disponibilité est passé de 10,9*% en 2012 à 13,6*% l'année suivante et à 16,2*% en 2014. Le taux actuel semble toutefois en voie de se stabiliser, et Jean Laurin s'attend à une baisse de 1*% à 2*% au cours de la prochaine année.

REGAIN DE CONFIANCE

Le président de NKFD n'est pas le seul à croire au marché montréalais. Dans son vaste rapport intitulé*Emerging Trends in Real Estate, publié il y a quelques mois, le géant mondial PricewaterhouseCoopers (PWC) suscite l'espoir. En fait, Montréal s'y positionne dans le peloton de tête des marchés canadiens à suivre en 2016.

PWC a mené son enquête auprès de plus de 1400 personnes de l'industrie immobilière, dont des promoteurs, des propriétaires fonciers et des institutions bancaires. Leurs conclusions font état du fort ralentissement économique dans l'Ouest canadien*- et du rebond dans l'Est.

«*Alors que le pouvoir économique retourne à l'est, les investisseurs et promoteurs déplacent leur attention vers de nouvelles occasions d'affaires dans les marchés à croissance plus rapide de Toronto et dans certains secteurs de Montréal, souligne le rapport. Vancouver est l'exception dans l'Ouest, puisqu'il reste en première position pour l'investissement immobilier.*»

Dans son étude, PWC souligne que le produit intérieur brut (PIB) montréalais devrait grimper de 2,7*% cette année, sa plus forte progression depuis*2002. Les investissements en infrastructure devraient profiter à l'industrie de la construction, tandis que la baisse du cours des hydrocarbures et du dollar canadien devrait stimuler le secteur manufacturier montréalais.

CINQ ANS POUR REMPLIR*?

Sur le plan immobilier, PWC met en lumière un certain ralentissement de la construction de condos et quelques inquiétudes dans le commerce de détail au centre-ville de Montréal. L'étude souligne aussi le taux d'inoccupation «*très élevé*» des bureaux. «*Certains croient que cela pourrait prendre cinq ans pour remplir tous ces espaces*», peut-on lire.

S'il estime que la tendance «*reste quand même positive pour Montréal*», Sébastien Jean, évaluateur agréé et directeur conseils et transactions, immobilier, chez PWC, reconnaît aussi qu'une certaine «*incertitude*» plane en ce moment sur le marché du bureau.

«*Sans nécessairement se lancer dans la panique, je dirais que les gens sont quand même beaucoup plus prudents. Je dirais que c'est plus réfléchi. Il y a plus d'analyses qui sont faites avant de faire un investissement.*»

- Sébastien Jean, directeur conseils et transactions, immobilier, chez PWC

Même son de cloche chez Jean Laurin, de NKFD. «*Je ne sens pas, de la part des propriétaires, une panique. La raison pour laquelle on ne la sent pas, c'est que la plupart des investisseurs qu'on retrouve aujourd'hui dans le marché ont une vision à long terme. Ils sont habitués de vivre avec des soubresauts, et même si le taux de disponibilité de 16*% est assez important, ils en ont vu d'autres.*»

M. Laurin remarque que le degré d'activité demeure élevé dans le marché, qui a vu de nombreuses transactions d'importance se conclure récemment. «*Par la force des choses, quand il y a autant de disponibilité que ça, ça incite les propriétaires à être plus agressifs, et ça incite les locataires à regarder et voir comment ils vont pouvoir tirer leur épingle du jeu.*»

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Pas facile de décrypter le véritable message émanant de ce texte qui souffle le chaud et le froid.

 

C'est comme si l'auteur voulait calmer les appréhensions des uns, sans pour autant trop allumer l'enthousiasme des autres. Ce n'est pas «fou»: ça sert les intérêts des propriétaires de bureaux existants ou déjà en construction (pour lesquels des investissements importants ont déjà été consentis). Comment?

 

1) Ça coupe court à des sentiments de panique qui contribueraient à mettre une pression à la baisse sur les prix de location à court terme.

 

2) En même temps, ça sert une mise en garde aux investisseurs qui seraient tentés de mettre en chantier de nouveaux projets dans le même court terme.

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  • 1 mois plus tard...

Voilà le genre de nouvelle que j'aime bien lire. Il n'y a rien de spectaculaire dans la progression de cette entreprise mais c'est exactement ce qu'il faut pour Montréal, soit des petites entreprises locales qui progressent et qui prennent de l'expansion petit à petit. À moyen terme, c'est ce qui va remplir les espaces vacants autant du centre-ville que des quartiers périphériques.

 

 

...Lorsque les portes de l'ascenseur s'ouvrent sur le cinquième étage, le visiteur découvre pourtant un grand chantier : tout ici est en rénovation.

 

« Ils sont au sixième », lance un travailleur au journaliste médusé qui s'y déplace illico.

 

L'entreprise s'appelle eXplorance. Très bientôt, elle misera sur deux étages de bureaux tout neufs au centre-ville de Montréal. Un espace suffisamment grand pour contenir son bassin d'employés qui vient de gonfler de 70 à 110 en moins de quatre mois. Un espace également capable d'absorber la croissance à venir de cette PME, assure son président et fondateur Samer Saab.

 

http://affaires.lapresse.ca/pme/201605/10/01-4980036-explorance-une-culture-dentreprise-payante.php

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  • 2 mois plus tard...

http://www.stockhouse.com/news/press-releases/2016/08/08/laurentian-bank-of-canada-relocates-its-montreal-offices-and-takes-up-residence

 

MONTREAL, Aug. 8, 2016 /CNW Telbec/ - Laurentian Bank of Canada (TSX: LB) has announced today that it is moving all of its Montreal offices, including its headquarters, into one building. It will occupy nine floors at 1360 Rene-Levesque Boulevard West, a LEED Silver certified building in the heart of downtown Montreal.

 

"This relocation, as part of our transformation plan, will ensure that our institution will be simpler and more efficient, said François Desjardins, President and Chief Executive Officer at Laurentian Bank of Canada. We will achieve substantial savings by optimizing space and reducing rental costs. The new, modern space will foster teamwork in a collaborative environment."

Since its creation 170 years ago, Laurentian Bank of Canada has always demonstrated a sustained presence in Montreal and continues its commitment to contribute to Quebec's economic growth.

 

En français:

http://www.newswire.ca/fr/news-releases/la-banque-laurentienne-regroupe-ses-bureaux-montrealais-et-elit-domicile-au-1360-boulevard-rene-levesque-ouest-589470471.html

 

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