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Expropriations liées au REM de l’Est

Suncor traîne Québec devant les tribunaux

 

PHOTO CATHERINE LEFEBVRE, COLLABORATION SPÉCIALE

Le géant pétrolier Suncor se tourne vers les tribunaux pour faire invalider un avis de réserve foncière qui vise cette station-service de l’est de Montréal.

Suncor traîne Québec devant les tribunaux et écorche au passage la Caisse de dépôt et placement du Québec et la Société de transport de Montréal (STM), les accusant de vouloir mettre fin aux activités de distribution d’essence dans l’île de Montréal.

Publié à 5h00

https://www.lapresse.ca/affaires/entreprises/2022-04-06/expropriations-liees-au-rem-de-l-est/suncor-traine-quebec-devant-les-tribunaux.php

Maxime Bergeron La Presse

Dans une requête contenant certaines affirmations étonnantes, le géant pétrolier albertain dénonce les avis de réserve foncière et d’expropriation qui ont ciblé trois de ses stations-services depuis 2018. Québec a réquisitionné ces commerces de l’enseigne Petro-Canada pour faire place au REM de l’Est et au prolongement de la ligne bleue du métro.

Suncor soutient que les réserves foncières visent en réalité des objectifs « autres » que la réalisation de projets de transport collectif. « Le véritable motif poursuivi par l’intimé est la fermeture de trois postes d’essence », avance l’entreprise évaluée à 60 milliards de dollars en Bourse.

La requête déposée le 31 mars à la Cour supérieure vise surtout le ministère des Transports du Québec (MTQ). En vertu de la loi, c’est le MTQ qui est responsable de procéder aux expropriations pour le compte de CDPQ Infra, la filiale de la Caisse qui pilote le Réseau express métropolitain (REM) de l’Est, et de la STM (ligne bleue).

« Non seulement [le MTQ] exerce-t-il le pouvoir d’imposer une réserve pour des fins autres que celles invoquées, mais au surplus, la véritable fin poursuivie par l’exercice de ce pouvoir exorbitant est une fin impropre et illégale », avance Suncor.

« Ni la Caisse de dépôt et placement du Québec ni la Société de transport de Montréal ne sont habilitées à exercer leurs pouvoirs dans le seul but de mettre fin aux opérations de distribution d’essence dans l’île de Montréal », ajoute le groupe dans sa requête.

Les avocats québécois de Suncor ont refusé de fournir davantage d’explications sur les affirmations-chocs contenues dans leur requête, puisque « cette affaire est devant les tribunaux ». La porte-parole du groupe a refusé de formuler des commentaires pour la même raison.

REM de l’Est

Cette procédure fait suite à un avis de réserve foncière envoyé en février 2022 à Suncor par le Procureur général du Québec, pour le compte du MTQ. Le poste d’essence visé se trouve sur un terrain qui a été désigné pour accueillir une station du REM de l’Est, à l’angle des rues Sherbrooke et Saint-Jean-Baptiste. Le projet de train léger de 32 kilomètres de CDPQ Infra doit relier le centre-ville à la pointe est de l’île de Montréal.

Suncor demande à la Cour de déclarer « invalide, nul et illégal » cet avis. Parmi ses arguments, le groupe avance que Québec « n’a pas le pouvoir » d’imposer une réserve foncière sur cette station-service, puisque celle-ci se trouve à proximité de la raffinerie exploitée par Suncor dans l’est de la métropole.

 

PHOTO CATHERINE LEFEBVRE, COLLABORATION SPÉCIALE

Le poste d’essence de l’enseigne Petro-Canada situé à l’angle des rues Sherbrooke et Saint-Jean-Baptiste

L’entreprise rappelle que c’est la troisième fois qu’une de ses stations-services est visée par une telle manœuvre depuis 2018 à Montréal.

Le MTQ a d’abord visé un poste d’essence situé dans l’arrondissement de Saint-Léonard pour faire place au prolongement de la ligne bleue. L’avis d’expropriation formel a été envoyé en 2018, le transfert de propriété a eu lieu en 2020, mais « aucun travail n’a été entrepris sur ce site et aucun échéancier n’a encore été transmis à la requérante », déplore Suncor.

Québec a délivré en février 2022 deux autres avis de réserves foncières sur des immeubles de Suncor situés à l’angle des rues Jarry et Lacordaire, toujours dans le cadre du projet de la ligne bleue, dénonce l’entreprise.

Le MTQ n’a pas voulu commenter la requête de Suncor en raison du processus judiciaire en cours, tandis que la STM a dirigé nos questions au Ministère.

Expropriations coûteuses

Le coût des expropriations liées au projet de la ligne bleue a presque quadruplé de 2018 à 2021, pour atteindre 1,2 milliard. Québec a ordonné une cure minceur, qui a mené à l’annonce d’une nouvelle mouture le mois dernier. Le budget révisé du prolongement de 5,8 kilomètres s’établira entre 5,8 et 6,4 milliards, et la mise en service est prévue en 2029.

Le sort du REM de l’Est, quant à lui, est en suspens. Le projet de CDPQ Infra fait l’objet d’une importante contestation en raison du mode aérien choisi pour la majeure partie du tracé. L’étude environnementale qui devait se tenir ce printemps a été reportée à la fin de 2022, tandis que la Ville de Montréal a exigé d’avoir voix au chapitre dans les prochaines étapes de développement de ce projet évalué à 10 milliards.

Sans commenter directement la requête de Suncor, Emmanuelle Rouillard-Moreau, porte-parole de CDPQ Infra, souligne que « les terrains requis pour le projet ont été établis sur la base de critères techniques, en fonction de l’alignement et de la géométrie du tracé, la position des stations pour maximiser l’achalandage, l’analyse des contraintes de sols et/ou de la présence d’autres infrastructures ».

Elle ajoute que la planification du REM de l’Est se poursuit et que « l’objectif demeure de limiter au maximum les impacts sur les terrains requis ».

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Des simulations du REM de l’Est et du tramway dévoilées

 

PHOTO BERNARD BRAULT, ARCHIVES LA PRESSE

Boulevard René-Lévesque, au centre-ville de Montréal

Les promoteurs des deux projets de trains légers de la province – le REM de l’Est et le tramway de Québec – ont dévoilé des simulations vidéo à quelques jours d’intervalle, des images qui donnent une idée de l’intégration urbaine, mais laissent aussi plusieurs questions en suspens.

Publié à 5h00

https://www.lapresse.ca/actualites/grand-montreal/2022-04-08/transport-collectif/des-simulations-du-rem-de-l-est-et-du-tramway-devoilees.php

Henri Ouellette-Vézina La Presse

Maxime Bergeron La Presse

À Montréal, CDPQ Infra souhaite construire la deuxième phase du Réseau express métropolitain (REM) en bonne partie sur des structures aériennes, notamment au centre-ville. Selon l’expert en planification des transports à l’Université de Montréal Pierre Barrieau, les nouvelles images de ce projet de 32 kilomètres « laissent plusieurs questionnements », même si les promoteurs semblent « avoir poussé l’exercice aussi loin qu’ils le peuvent ».

La simulation montre quelques centaines de mètres du tracé, dans le quartier des affaires, là où le train sortirait de terre pour migrer sur une structure de béton blanc. Ces images ne donnent pas nécessairement une idée globale de ce à quoi pourrait ressembler le réseau, croit M. Barrieau. On n’y voit par exemple ni graffitis ni personnes en situation d’itinérance, qui abondent dans le secteur.

« Pas très réaliste »

La vidéo préparée par la firme d’architectes Lemay permet néanmoins de bien voir la nouvelle configuration du boulevard René-Lévesque, qui passerait de huit à quatre voies de circulation. Elle présente aussi plusieurs aménagements, comme une piste cyclable, des places publiques et de la verdure, qui devraient être ajoutés par la Ville de Montréal en amont du projet de 10 milliards de dollars.

 

Ces images sont « un peu de la poudre aux yeux », avance Shin Koseki, titulaire de la Chaire UNESCO en paysage urbain de l’Université de Montréal.

Proposer des espaces qui n’ont pas été réfléchis par une équipe de conception relevant d’un gouvernement ou d’un autre, ce n’est pas très réaliste.

Shin Koseki, titulaire de la Chaire UNESCO en paysage urbain de l’Université de Montréal

La professeure au département d’études urbaines et touristiques de l’UQAM Florence Junca-Adenot va plus loin. Elle croit que les images sont carrément « malhonnêtes ». « C’est faux de présenter ça comme ça. Les représentations ne sont même pas à l’échelle. On donne l’impression que la hauteur fait quelques mètres, alors qu’ils disent eux-mêmes que ça fera sept étages de haut », soutient-elle.

Efforts « indéniables »

Sylvain Gariépy, président de l’Ordre des urbanistes du Québec, reconnaît que des efforts « indéniables » ont été faits pour rendre la structure plus délicate que celle de la première phase du REM. Il remarque toutefois un effet de « mur » dans la zone de transition de 300 mètres entre les modes souterrain et aérien, et se questionne sur le réalisme des végétaux ajoutés numériquement dans la zone d’ombre qui sera créée par la structure.

L’urbaniste aurait aussi souhaité voir une simulation plus vaste, qui aurait inclus les tronçons est et nord-est du REM de l’Est. « On aborde très peu la question hors centre-ville, et ça m’interpelle. »

Joint par La Presse, Jean-François Arcand, architecte et associé principal de la firme Lemay, qui a réalisé la vidéo, défend le réalisme de la simulation. Il affirme que celle-ci « utilise une technologie de jeux vidéo qui fait appel à l’intelligence artificielle ».

« Cela permet au public d’avoir une vue réaliste des concepts proposés et de bien saisir comment leur création s’insère dans les milieux environnants, a-t-il précisé. Tous les grands projets sur lesquels nous travaillons aujourd’hui bénéficient de cette approche inspirée des meilleures pratiques de l’industrie. »

« Plus cohérent » à Québec

Dans le cas du tramway de Québec – qui a aussi présenté des images de son projet remodelé lundi dernier –, les experts consultés par La Presse parlent d’un projet a priori plus conséquent.

 

PHOTO PATRICE LAROCHE, ARCHIVES LE SOLEIL

Travaux préparatoires du projet de tramway sur le chemin des Quatre-Bourgeois, à Québec, le 8 mars dernier

« Le discours est beaucoup plus cohérent, d’autant que pour le tramway, la Ville se porte garante de l’aménagement. C’est une intention plus réaliste », avance Shin Koseki. Il dit aussi percevoir « un plus grand effort de communication » autour du projet, malgré les nombreux déboires qu’il a lui aussi subis ces derniers mois.

 

Même son de cloche chez Florence Junca-Adenot. « Un tramway, ça s’intègre plus facilement dans les rues centrales d’un centre-ville. C’est plus lent, ça partage la chaussée, c’est donc moins envahissant. C’est la technologie qui fait la grosse distinction, au-delà des rendus visuels », ajoute-t-elle, rappelant que « dans le monde, les tramways s’intègrent plutôt bien dans les centres-villes ».

Pierre Barrieau constate également que le travail semble beaucoup plus mature dans la capitale, à ce stade-ci.

On peut presque parler de plans pour les devis. C’est donc beaucoup plus clair pour nous permettre de nous positionner qu’à Montréal, où il semble trop tôt pour donner un jugement ferme.

Pierre Barrieau, expert en planification des transports à l’Université de Montréal

Sylvain Gariépy croit quant à lui que la démonstration faite par Québec est « plus complète ». « On nous présente le réseau dans toutes les conditions climatiques possibles, ainsi que des images de l’intérieur et de l’extérieur du tramway. »

Le tramway, piloté par la Ville de Québec, a obtenu le feu vert du gouvernement Legault plus tôt cette semaine. Le réseau de 19,3 km (dont 1,2 km en souterrain) sera financé par Québec, Ottawa ainsi que la Ville, et sa facture est estimée à 3,96 milliards.

À Montréal, Québec a mandaté CDPQ Infra, filiale de la Caisse de dépôt, pour développer le REM de l’Est sous la forme d’un « partenariat public-public ». Les études environnementales prévues ont été reportées du printemps à la fin de 2022.

Visionnez la vidéo complète du REM de l’Est

Visionnez la vidéo complète du tramway

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Ça commence à se réveiller à Pointe-Aux-Tremble et à comprendre qu'ils pourraient se retrouver devant rien, mais ils n'acceptent toujours pas la structure surélevé.

Source: https://journalmetro.com/local/pointe-aux-trembles-montreal-est/2808272/rem-ou-pas-pointe-aux-trembles-veut-projet-transport-collectif/

Quote

REM ou pas, Pointe-aux-Trembles veut un projet de transport collectif

Alors que les audiences du BAPE concernant le REM de l’Est ont été repoussées, certains citoyens et intervenants de la Pointe de l’île craignent de ne pas voir se concrétiser un projet de transport collectif attendu depuis longtemps pour désenclaver l’Est de Montréal.

«Il y a une différence entre 30 minutes ou 50 minutes» pour se rendre au centre-ville en transport en commun, «quand on prend ça soir et matin», a avancé Denis Pelletier, président de la Chambre de commerce de la Pointe-de-l’île, lors d’une assemblée publique sur le projet de transport collectif organisée par le député Mario Beaulieu, lundi soir, à Pointe-aux-Trembles.

Concédant qu’il pourrait difficilement faire changer d’idée un citoyen dont le REM passe «à côté de chez lui», le Pointelier Jean-Philippe Labre, responsable des communications à la CDC de la Pointe, a quant à lui évoqué l’intérêt collectif du projet en affirmant que le REM «n’est pas juste un projet de transport; c’est le social, l’éducation, les emplois, l’industrie verte».

Le projet a été remis en question par experts, élus et autorités en transport, a rappelé pour sa part une citoyenne, qui a ajouté que «des gens ont l’impression de se faire enfoncer ce projet dans la gorge». Elle réclame ainsi qu’un mandat soit confié par exemple à l’Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM) pour évaluer d’autres «projets possibles».

«Non au REM de l’Est comme il est conçu. L’est de Montréal n’est pas une poubelle», a pour sa part affirmé un détracteur du tracé aérien.

Malgré certaines dissensions, les acteurs présents semblaient toutefois tous d’accord sur le besoin d’améliorer le transport en commun dans l’Est.

«Le message important c’est qu’il faut continuer à se mobiliser pour du transport collectif», a affirmé Mario Beaulieu.

Le mode de transport remis en question

L’ajout d’un nouveau projet de transport comme le REM est-il adéquat, alors que certains s’attendent à une augmentation du télétravail? Peut-on assurer que les services de transport en place seront maintenus? Quelles mesures seront prises pour éviter les problèmes de bruit et vibrations? Voilà le type de questions posées par les citoyens lors de la séance modérée par Michel Forget.

Le tracé et le mode de transport choisi étaient cependant au centre des questions de plusieurs: pourquoi ne pas prolonger la ligne verte de métro, créer un tramway jusqu’à la station Honoré-Beaugrand ou même prolonger la ligne bleue jusqu’à la ligne verte?

Daniel Chartier, vice-président du Collectif en environnement Mercier-Est, a argumenté qu’un tramway serait «beaucoup moins cher du kilomètre qu’un REM». Une solution qu’il juge plus avantageuse au chapitre écologique, notamment car elle éviterait «de couler des quantités incroyables de béton».

Virginie Cousineau soutient que la ligne verte de métro est saturée; elle croit ainsi que développer un réseau complémentaire tel le REM serait ainsi la meilleure option. La lenteur relative du tramway pourrait aussi selon elle démotiver les gens à délaisser l’auto solo. La députée de Pointe-aux-Trembles et ministre déléguée aux Transports Chantal Rouleau a quant à elle évoqué les délais et coûts qu’engendrerait la construction de stations de métro, donnant en exemple le dossier de la ligne bleue.

Pour sa part, François Pépin, expert en transport et membre de Trajectoire Québec, a soutenu que plusieurs scénarios de transport doivent être évalués et comparés avant d’arrêter son choix. «Il faut [que tous les acteurs travaillent] ensemble pour améliorer le projet qu’on a sur la table et répondre aux autres besoins de mobilité dans le secteur», a-t-il ajouté.

Une première assemblée publique sur le REM à Pointe-aux-Trembles

Si plusieurs assemblées ont été organisées à propos du REM de l’Est à divers endroits de l’île de Montréal au cours des derniers mois, c’était la première fois qu’un tel événement se tenait à Pointe-aux-Trembles.

Organisée par le député fédéral de la Pointe de l’île, Mario Beaulieu, la rencontre qui a réuni près de 200 personnes au Centre Roussin, ainsi que de façon virtuelle, a été l’occasion pour les citoyens de débattre du projet de CDPQ Infra.

Six panélistes ont participé à l’événement soit Virginie Cousineau, directrice affaires publiques de CDPQ Infra; Daniel Chartier, vice-président du Collectif en environnement Mercier-Est; Jonathan Roy, directeur général de la CDC de la Pointe; Claude Champagne, citoyen engagé de l’Est de Montréal; François Pépin, expert en transport et membre de Trajectoire Québec; ainsi que Chantal Rouleau, députée de Pointe-aux-Trembles et ministre déléguée aux Transports.

 

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1 hour ago, Enalung said:

Ça commence à se réveiller à Pointe-Aux-Tremble et à comprendre qu'ils pourraient se retrouver devant rien, mais ils n'acceptent toujours pas la structure surélevé.

Source: https://journalmetro.com/local/pointe-aux-trembles-montreal-est/2808272/rem-ou-pas-pointe-aux-trembles-veut-projet-transport-collectif/

 

OK on pourrait laisser le REM au sol, mais fermer tout les rues sur lequel il passe. :)

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Il y a 4 heures, Enalung a dit :

Ça commence à se réveiller à Pointe-Aux-Tremble et à comprendre qu'ils pourraient se retrouver devant rien, mais ils n'acceptent toujours pas la structure surélevé.

Source: https://journalmetro.com/local/pointe-aux-trembles-montreal-est/2808272/rem-ou-pas-pointe-aux-trembles-veut-projet-transport-collectif/

 

Structure surélevée ou pas est peut-être l'enjeu qui préoccupe des citoyens de PAT, mais à l'échelle du projet "global", il y a bien plus.  Or le REM de l'Est n'est pas destiné uniquement à PAT; en réalité, la branche nord-sud est au moins aussi importante.  Dans l'axe est-ouest, Mercier-Hochelaga-Maisonneuve est déjà desservi par la ligne verte du métro, de sorte que pour les citoyens de ces quartiers, l'accueil du REM de l'Est reste mitigé.  Et finalement, pour la partie est du centre-ville, les solutions proposées jusqu'à présent demeurent problématiques.  

Autrement dit, une solution qui satisferait PAT ne constitue pas une condition suffisante pour que le feu vert soit donné au projet global.   

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Ils peuvent pas juste faire souterrain dans les secteurs denses comme Hochelaga ou PAT et en aérien le long des raffineries? Ils le font ben sur la ligne nord-sud à partir de L'Assomption. Pourquoi faire rager tout monde? Coudonc, c'est tu si compliqué que ça? On est rendu à combien de milliards? Pis y donne 500$ à tout le monde, mais il veut pas allonger des dollars pour enfouir des parties de ligne? Non mais c'est quoi le foutu problème?? 

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