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REM (ligne A) - Discussion générale


Messages recommendés

Is the conscensus now that this project will be blocked? Or do you think Coderre + Couillard have the political courage to move this forward?

 

Non, Couillard l'a même dit qui était très clair que ce projet se ferait, qu'on ne pouvait pas passé à ĉôté. Je pense aussi que les détracteurs se sont tassés un peu. Je serais à ce moment surpris que ce projet ne se fasse pas, à moins d'un revirement majeur genre une augmentation des coûts de 2G$.

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Non, Couillard l'a même dit qui était très clair que ce projet se ferait, qu'on ne pouvait pas passé à ĉôté. Je pense aussi que les détracteurs se sont tassés un peu. Je serais à ce moment surpris que ce projet ne se fasse pas, à moins d'un revirement majeur genre une augmentation des coûts de 2G$.

 

 

Je suis d'accord. Et pour plusieurs raisons.

1- Le REM est le projet en développement. Montréal a besoin d'une solution pour le TEC et ce projet est le seul sur la planche à dessins. Les détracteurs à part de critiquer négativement n'ont rien proposé de concret. Il n'y a pas d'autres options sérieusement envisagées.

2- Nos gouvernements ont la responsabilté de décider de l'avenir de Montréal et n'ont pas le choix de répondre aux besoins urgents des usagers.

3- Notre reseau actuel est désuet. Il faut donner à notre métropole tous les outils avec un reseau performant et technolologiquement à la fine pointe.

4-Retarder le projet serait désastreux pour Montréal. L'immobilisme en TEC mettrait un frein à l'embellie que l'on connait. L'optimisme est de retour à Montréal. Un retard important ou une annulation engendrerait beaucoup de cynisme.

5-La CDPQ fait la fierté des Quebecois. Peut-on s'immaginer le coup, l'impact d'une décision d' annuler ce projet sur cette institution. On parle d'une équipe de 400 qui travaille sur ce projet. Une équipe qui s'est prouvée à Vancouver et qu'on rejette à Montréal. Pas fort.

Pour ces raisons, je crois que nos gouvernements n'ont pas d'autre choix que d'approuver ce projet.

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Ce n'est pas des articles dans un journal qui va faire annuler un projet, il faudrait des manifestations monstres pour que le gouvernement repense le projet. La base de l'électorat Libéral est dans l'ouest, si le train fail il va perdre gros. Et Coderre aussi.

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Ce n'est pas des articles dans un journal qui va faire annuler un projet, il faudrait des manifestations monstres pour que le gouvernement repense le projet. La base de l'électorat Libéral est dans l'ouest, si le train fail il va perdre gros. Et Coderre aussi.
Les articles dans le journal provoquent le cynisme et la montée de lait de l'opposition, donc faut pas risquer de prendre à la légère.
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Les articles dans le journal provoquent le cynisme et la montée de lait de l'opposition, donc faut pas risquer de prendre à la légère.

 

non, mais ce n'est pas un projet provincial, c'est un projet régional. Les articles sortent et il reste de moins en moins de flèches à tirer. Il y a de bonnes chances que le jour où le projet va commencer, qu'on se retrouve avec des articles qui nous disent que le REM va causer des bouchons de circulation sur Champlain. et qu'ensuite, la construction du REM va causer des problèmes aux endroits où les gens devaient traverser les chemins de fer. Et ensuite des problèmes reliés aux pistes cyclables.

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Je lis beaucoup de pessimisme ces jours-ci sur le forum. Du défaitisme même. Et pourtant le REM va se faire. Il faut continuer de l'améliorer tout simplement. Et c'est mieux de le faire avant la construction que pendant parce qu'on aurait voulu sauter des étapes. On sauve bien des millions quand on fait les choses comme il faut du premier coup.

 

Il faut voir ces jeux de coulisses comme des négociations. Le promoteur a comme objectif de réaliser son projet au plus bas coût possible de son seul point de vue, pas du point de vue sociétal. Par contre, les différents ministères gouvernementaux doivent faire appliquer des lois et règlements sur l'environnement et autres. La société fait aussi valoir toutes sortes de considérations dont les plus valables vont s'imposer. Tout va finir par tomber en place et on aura un meilleur projet.

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Je lis beaucoup de pessimisme ces jours-ci sur le forum. Du défaitisme même.

==Je dirais: des objections, dont quelques-unes peuvent être constructives.

 

Et pourtant le REM va se faire.

==Cela demeure encore l'issue (outcome en anglais) la plus probable, à mon avis.

 

Il faut voir ces jeux de coulisses comme des négociations.

==Des «coulisses» pas particulièrement discrètes!

 

Tout va finir par tomber en place et on aura un meilleur projet.

==Je le souhaite bien, mais je me méfie des compromis qui ne viseraient qu'à faire taire les plus bruyants des opposants, sans égard à leurs mérites.

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Une autre opération couronnée de succès pour le SCFP et ses idiots utiles

 

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Le projet de Réseau électrique métropolitain (REM), que prépare la Caisse de dépôt et placement du Québec pour la région de Montréal, suscite aussi des discussions d’ordre tarifaire. Regroupés au sein de la Coalition Climat Montréal, des opposants au projet, qui manifestaient lundi à l’extérieur de la Plaza Centre-Ville Evo – où se déroulait l’allocution de Paul Côté –, craignent que les tarifs bondissent de 20 à 33% en raison du coût élevé du projet (près de 5,9G$).

 

«Ça veut dire que la carte d’autobus coûterait 120$ à Montréal», s’est alarmé le professeur d’urbanisme de l’Université du Québec à Montréal, Jean-François Lefebvre, qui est membre de la coalition. Il s’attend aussi à ce que davantage de zones tarifaires soient créées sur l’île de Montréal.

 

«Je ne sais pas sur quoi ils se basent pour dire cela, a répliqué Paul Côté. Dans les scénarios qu’on regarde et sur lesquels on discute, on parle d’une intégration tarifaire qui fait en sorte que les tarifs soient unifiés et harmonisés.»

 

Une hausse tarifaire de l’ordre de 30% pourrait être envisagée si la Caisse prévoyait de tarifer elle-même les services du REM, ce qui n’est pas le cas, a insisté M. Côté. Il a indiqué qu’autant la Caisse de dépôt, le ministre des Transports, Laurent Lessard, que lui-même souhaitent une intégration des tarifs et des services.

 

Pas de choc tarifaire avec l’arrivee de la nouvelle gouvernance des transports collectifs | Metro

Modifié par nephersir7
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Un texte de Michael Sabia ce matin dans la Presse +

 

 

Le REM propulse Montréal dans l'économie de demain

 

 

*

OPINION : TRANSPORT

Le REM propulse Montréal dans l'économie de demain

 

MICHAEL SABIA

PDG DE LA CAISSE DE DÉPÔT ET PLACEMENT DU QUÉBEC

 

Où que l’on regarde, Montréal est en mouvement.

Il y a Lightspeed et ses logiciels qui aident plus de 40 000 commerçants à travers le monde à gérer leurs ventes. Il y a Hopper et son application à succès qui prédit le meilleur moment pour acheter son billet d’avion. Il y a Rodeo FX et ses effets spéciaux pour la série Game of Thrones qui remporte des Emmy. Il y a des chercheurs tels que Yoshua Bengi dont les travaux repoussent les limites de l’intelligence artificielle. Il y a Moment Factory et ses événements éphémères qui éblouissent la planète.

 

Qu’il s’agisse de big data ou de nouveaux médias, d’intelligence artificielle ou de réalité virtuelle, Montréal jette les bases de son renouveau grâce à une nouvelle génération d’entrepreneurs et de chercheurs qui pensent et travaillent autrement.

 

 

Penser autrement, c’est ce que nous essayons de faire au quotidien à la Caisse.

 

Et notre projet de Réseau électrique métropolitain (REM) est un bon exemple d’une façon différente d’aborder un grand projet de transports collectifs.

 

Pourquoi est-ce que c’est important ? Parce qu’il est crucial que la région de Montréal se projette dans l’économie de demain. Et que pour y arriver, elle doit pouvoir s’appuyer sur des infrastructures qui la propulsent en avant – non qui freinent son élan. Des transports publics efficaces qui vont faire de Montréal une métropole aussi dynamique que les créateurs et entrepreneurs qui l’animent.

 

Comme société, nous avons l’occasion unique de bâtir un réseau de train électrique qui va transformer le visage du Grand Montréal. Et la responsabilité qui nous incombe est à la hauteur de cet investissement de près de 6 milliards de dollars.

 

UNE TROP LONGUE ATTENTE

 

 

Peu importe les points de vue, tous s’entendent sur un point : les Montréalais attendent depuis trop longtemps un réseau de transport qui répond à leurs besoins.

 

Beau temps mauvais temps, les Montréalais veulent pouvoir se rendre à l’aéroport à partir du centre-ville sans s’inquiéter de rater leur avion parce qu’ils sont coincés dans la circulation de l’autoroute Décarie ou de la 20. Ils veulent arriver à la Gare centrale depuis Brossard en 15 minutes top chrono. Et avoir des trains aux six minutes à l’heure de pointe pour faire le trajet Deux-Montagnes–centre-ville.

 

Et le REM, c’est bien plus qu’un réseau de transport efficace. Ce projet va créer près de 8500 emplois directs et indirects par année durant les quatre ans de sa construction. Il va injecter de l’adrénaline dans l’économie avec des retombées de près de 3,7 milliards. C’est sans parler des investissements en immobilier de près de 5 milliards attendus le long de son tracé, dont le développement de quartiers à distance de marche des stations.

 

Selon nos estimés, le REM se traduira par une augmentation de 2 % à 4 % du budget de transport global de la métropole. Tous les coûts d’immobilisations sont compris, un précédent au Québec. Dit autrement, pour un budget annuel comparable, le Grand Montréal obtient l’équivalent d’un deuxième système de métro.

 

***

 

Parce qu’il s’agit d’un projet transformateur pour le Grand Montréal, il est normal que le REM soit examiné à la loupe et suscite des discussions animées. C’est le contraire qui serait étonnant.

 

 

La Caisse a le souci constant de trouver des solutions et de s’améliorer dans la façon par laquelle elle répond à ces questions légitimes. C’est pourquoi il m’apparaît essentiel de mieux expliquer notre façon de travailler et notre échéancier.

 

Nous nous sommes engagés à mettre en service les premières rames du REM d’ici la fin de 2020. Parce que nous avons la conviction absolue que c’est faisable.

 

 

Et même que c’est souhaitable, pour s’arrimer au nouveau pont Champlain, pour alléger la congestion dans le Grand Montréal.

 

Bien sûr, le Québec a connu plus que sa part de retards et de dépassements de coûts chroniques avec ses grands projets. Et c’est exactement pour cela que nous avons choisi une approche différente pour le REM. Une approche qui permet de livrer un projet de façon efficace. Avec la plus grande application et la plus grande rigueur, selon le principe de l’ingénierie en continu. Qu’est-ce que cela signifie ? Que nous sommes toujours à l’écoute des suggestions et que nous perfectionnons ce projet sans relâche.

 

 

Nous avons organisé 12 soirées portes ouvertes, rencontré plus de 3000 citoyens et discuté avec des centaines d’élus municipaux, d’administrateurs et de groupes de citoyens. De nombreuses améliorations découlent de ces échanges.

 

Pour élargir l’accès des Montréalais au REM grâce à des interconnexions avec les principales lignes du métro, nous avons devancé l’ouverture des stations Édouard-Montpetit, McGill et Bassin Peel. Pour protéger un milieu humide, nous prolongerons un tunnel sous le parc-nature des Sources. Pour préserver des immeubles patrimoniaux de Griffintown, nous emprunterons des voies surélevées. Et ainsi de suite.

 

 

C’est cette écoute qui nous guide depuis le départ et que nous allons maintenir.

 

 

Dans cet esprit, nous travaillons actuellement avec le ministère de l’Environnement sur les suites à donner au rapport du Bureau d’audiences publiques sur l’environnement malgré nos divergences de vues sur certains points soulevés par ce rapport.

 

Cette approche incite aussi les soumissionnaires à nous proposer leurs solutions et technologies les plus innovatrices. Nos appels d’offres, plus ouverts, sont conçus pour faire appel à toute l’ingéniosité des entreprises et des consortiums en lice.

 

Cette façon de travailler sans que tout soit défini à l’avance est courante ailleurs dans le monde. C’est un moyen efficace de perfectionner un projet en continu, tout en s’assurant qu’il réponde aux attentes. Mais ce travail par itération, qui est le propre de la nouvelle économie, se démarque des pratiques établies.

 

 

Au fur et à mesure que ce travail se poursuit, nous allons continuer de discuter avec les villes, d’écouter les citoyens et de vous informer des progrès réalisés comme nous l’avons fait ces derniers mois.

 

Le REM n’a jamais eu pour mandat de régler tous les problèmes de transport du Grand Montréal. Mais il peut faire un bon bout du chemin. Et c’est ce à quoi la Caisse travaille d’arrache-pied : bâtir un réseau de transport qui répond aux besoins des Montréalais. Car pour la Caisse comme pour moi, il n’y a qu’un Montréal. Le Montréal du possible.

Modifié par Megafolie
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