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La société d’État lance mercredi une gamme de produits et de services regroupés sous la marque Hilo destinés à aider les ménages québécois et les entreprises à gérer plus efficacement leur consommation d’électricité.

Dès l’an prochain, annonce Hydro-Québec, Hilo offrira aux particuliers des produits et services pour la maison intelligente, qui permettront une gestion efficace de leur utilisation de l'énergie, peut-on lire dans un communiqué publié par Hydro-Québec plutôt avare de détails sur l’offre que proposera Hilo.

Des solutions du même genre seront ensuite offertes dans d’autres secteurs, notamment dans les secteurs des services en énergie, de la mobilité électrique, du stockage intelligent et de l'autoproduction solaire, promet Hydro-Québec, qui ajoute que davantage d’informations sur les produits offerts par Hilo seront disponibles dans les mois à venir.

Sur le site Internet de Hilo, on peut d'ores et déjà apprendre qu'il sera possible bientôt pour les entreprises de produire et d'emmagasiner leur propre électricité grâce aux technologies développées par la nouvelle filiale d'Hydro-Québec.

Ces produits, précise le communiqué, mettront en valeur l’expertise québécoise en matière d’électricité et s’appuieront notamment sur le savoir-faire de l'Institut de recherche d'Hydro-Québec et d'entreprises québécoises de pointe.

Le but de cette stratégie de gestion intelligente de l’électricité est, selon Éric Martel, président-directeur général d'Hydro-Québec, d’optimiser la consommation au Québec de façon à libérer des quantités d'énergie qui pourront alimenter l'économie du Québec et être exportées ailleurs en Amérique du Nord, tout en contribuant à la réduction des gaz à effet de serre.

La direction de Hilo a été confiée à l’ex-vice-président directeur général de 8D Technologies, Sébastien Fournier, qui cumule plusieurs années d’expérience en gestion d’entreprises du secteur des télécommunications.

Courtesy of Radio Canada

It will be interesting if they have a device similar to Sense or Neurio energy monitors, so I can see which room/device/outlet is using the most electricity at one time.

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  • 3 semaines plus tard...

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  • 4 semaines plus tard...

Hydro-Québec lance son projet solaire

https://www.lapresse.ca/affaires/201912/03/01-5252288-hydro-quebec-lance-son-projet-solaire.php

Hydro-Québec entamera sous peu la construction de ses premières véritables centrales solaires, en partie grâce à des panneaux qui seront fabriqués au Québec dans l’usine STACE de Trois-Rivières.

(Québec) Hydro-Québec vient d’obtenir le feu vert de Québec pour entamer la construction de ses premières véritables centrales solaires, qui occuperont dès 2020 l’équivalent de 38 terrains de football sur la Rive-Sud de Montréal.

Publié le 04 décembre 2019 à 6h00

Gabriel Béland
La Presse

La société d’État va aussi annoncer mercredi que 4000 des 30 600 panneaux solaires qui seront déployés seront fabriqués au Québec dans l’usine STACE de Trois-Rivières.

« C’est excitant, parce qu’Hydro-Québec va construire ses premières centrales solaires, lance en entrevue le président d’Hydro-Québec Production, David Murray. Là, c’est plus vrai que vrai. On prévoit les terminer en 2020. Donc, d’ici un an, nos deux parcs solaires vont être complétés. »

Avec une capacité de production sous les 10 MW, cette incursion dans le photovoltaïque reste modeste. Les autres provinces ont déjà investi cette filière : le Canada a une capacité de 3040 MW. Mais la décision est symbolique dans une province largement dominée par l’hydroélectricité.

La plus importante des deux centrales photovoltaïques sera déployée à La Prairie, sur l’emplacement de l’ancienne centrale thermique de La Citière. Ses 26 000 panneaux auront une puissance installée de 8 MW.

La deuxième centrale sera à Varennes, comptera 4600 panneaux et aura une puissance installée de 1,5 MW. Les deux installations doivent coûter 40 millions.

L’aménagement des parcs a été confié à Borea Construction, une filiale de Pomerleau. Les travaux vont commencer au printemps prochain. Les centrales, dont le coût est estimé à 40 millions, seront en service à l’automne 2020. Elles pourront alimenter l’équivalent de 920 clients résidentiels.

Hydro-Québec explique se lancer dans cette expérience pour notamment tester plusieurs technologies. La société d’État veut, par exemple, mieux comprendre l’efficacité du solaire en climat nordique.

Il y a une croissance assez gigantesque du solaire à travers le monde. Ce sont de nouvelles sources de plus en plus présentes avec la transition énergétique.

David Murray, président d’Hydro-Québec Production

« Ce projet va nous permettre de comprendre plusieurs choses, dont le coût de production du kilowattheure », explique David Murray.

Les batteries développées par la société d’État seront aussi mises à l’épreuve. Ce sont des batteries d’Hydro-Québec qui seront utilisées pour le stockage de l’électricité, nécessaire en vertu du caractère intermittent de l’énergie solaire.

Plus de soleil qu’en Allemagne

La filière solaire vit ses balbutiements au Québec. L’entreprise Saint-Augustin Canada Electric (STACE) a inauguré en 2018 sa première usine de panneaux, à Trois-Rivières.

« On exporte en France, aux États-Unis, un peu partout dans le monde. Qu’Hydro-Québec reconnaisse notre expertise là-dedans, c’est important », explique Normand Lord, président et chef de la direction de STACE.

La société d’État va acheter à l’entreprise québécoise 4000 des 30 600 panneaux. « On aurait aimé avoir le projet au complet, on ne se le cachera pas, dit M. Lord. Côté volume, on ne peut pas dire qu’il fera une grosse différence dans les niveaux d’emplois. »

STACE doit tout de même une fière chandelle à Hydro-Québec : c’est grâce à l’hydroélectricité que sa production de panneaux solaires est l’une des plus vertes au monde, un argument de vente important. C’est l’un des avantages qui vont permettre à la filière de se développer au Québec, selon M. Lord.

Nous allons nous démarquer grâce à Hydro-Québec à cause de l’empreinte carbone de notre production. On va être les chefs de file au monde dans cet aspect. Le plus proche de nous sera la Norvège.

Normand Lord, président et chef de la direction de STACE

Si la société d’État n’a pas acheté des panneaux uniquement au Québec, c’est notamment pour tester différentes technologies, explique David Murray. « Il y a très peu de fournisseurs dans le monde. On veut tester différents types de technologie. Il va y avoir des panneaux monofaces et des panneaux bifaces, par exemple. »

Hydro-Québec a par ailleurs une entente de partage de données avec l’Université de Sherbrooke, où une importante recherche sur le solaire a lieu depuis le printemps dernier.

« Les gens pensent que le Québec n’est pas propice au solaire, mais c’est faux. Le Québec est mieux exposé que plusieurs pays du nord de l’Europe comme l’Allemagne », note Vincent Aimez, vice-recteur à la valorisation et aux partenariats de l’Université de Sherbrooke.

Il pense que le Québec ne développera pas nécessairement un parc éolien important à cause du coût compétitif de l’hydroélectricité. Mais la province pourrait néanmoins se doter d’une expertise dans le solaire et d’une filière industrielle reconnues un peu partout dans le monde.

« La lutte contre les changements climatiques, elle ne se fait pas seulement à un kilomètre de chez soi, elle peut aussi se faire à l’autre bout du monde, dit M. Aimez. Si on développe une expertise dans la filière solaire au Québec, on peut l’exporter partout et avoir un impact sur les émissions de gaz à effet de serre. »

Un premier pas sous le soleil

9,5 MW

Capacité des deux centrales solaires qui seront construites par Hydro-Québec.

100 MW

Capacité des plus importantes centrales au Canada. Les deux sont situées en Ontario.

3040 MW

Capacité installée des centrales solaires au Canada.

3882 MW

Capacité de la filière éolienne au Québec, qui représente 30 % de la capacité totale au pays.

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  • 2 mois plus tard...

Hydro-Québec et Innergex s’associent

Les Québécois deviennent propriétaires, du moins partiellement, de près d’une dizaine de petites centrales hydroélectriques privées et de parcs éoliens situés sur leur territoire, mais aussi d’installations du même type et de parcs solaires un peu partout à travers le monde.

Pierre Saint-Arnaud - La Presse canadienne

Hydro-Québec et la compagnie Innergex énergie renouvelable, de Longueuil, ont annoncé jeudi la création d’une alliance stratégique qui vise à stimuler leur croissance respective et à bénéficier mutuellement de leurs compétences et connaissances. 

Le président-directeur général d’Hydro-Québec, Éric Martel, estime que cette alliance « correspond parfaitement à la vision » de la société d’État puisqu’elle s’inscrit directement « en ligne avec notre plan stratégique afin de contribuer à la réduction des gaz à effet de serre partout sur la planète ». 

« Le marché des énergies renouvelables est dans une croissance phénoménale. Ici au Québec, on est dans une situation particulière, mais à l’extérieur tout le monde veut décarboniser, avoir des parcs solaires ou des parcs éoliens et des petites centrales hydro […], mais ce sont des marchés très compétitifs », a-t-il fait valoir, tout en rappelant qu’à travers le monde, « il y a des joueurs costauds avec lesquels Innergex devait et va devoir compétitionner. Alors on se permet, ensemble, d’être capables de compétitionner comme champions québécois avec à peu près n’importe qui. » 

Par cette entente, Hydro-Québec devient propriétaire à 19,9 % d’Innergex par le biais d’un placement privé au coût de 661 millions et s’engage à investir 500 millions dans de futurs projets conjoints. 

« L’investissement est à deux volets », a expliqué le président et chef de la direction d’Innergex, Michel Letellier. « Un volet directement dans Innergex et Hydro-Québec va bénéficier des projets déjà existants et des initiatives qu’Innergex ferait seule et on a aussi un plan de développement qu’on appelle un “joint venture” ou un partenariat d’à peu près 50-50 selon la nature des investissements, mais ce seront des projets qui vont être mis dans des entités séparées et qui seront gérées de façon autonome. » 

M. Letellier a dit avoir de nombreux projets en développement et que l’engagement d’Hydro représentait le levier nécessaire pour les mener à terme. 

« C’est 500 millions d’équité. Si Innergex fait sa part, ça fait 1 milliard d’équité. Souvent on met de la dette dans ce genre de projet-là. Ça peut représenter 4 à 5 milliards d’investissements. On se donne un 3-4 ans pour déployer cet argent, mais on sait jamais ; ça peut aller plus rapidement », a-t-il dit. 

« J’espère qu’un plus un vont faire plus que deux ! », a conclu l’homme d’affaires. 

En vertu du placement privé, Innergex a émis 34,6 millions d’actions ordinaires à Hydro-Québec, à un prix de 19,08 $ par action, qui a été conditionnellement approuvé par la Bourse de Toronto, sous réserve des conditions habituelles. 

Innergex prévoit utiliser 50 millions des produits de 661 millions du placement privé pour poursuivre le développement d’un projet dans le comté de Brown, en Ohio. Par ailleurs, 70 millions financeront l’acquisition déjà réalisée de panneaux solaires qui pourront être déployés dans des projets qu’Innergex développe actuellement. 

Innergex s’attend aussi à consacrer environ 275 millions au financement des besoins en capitaux propres liés à l’acquisition potentielle de deux installations en exploitation, l’une aux États-Unis et l’autre au Chili

La compagnie affectera les 266 millions restants, ainsi que toute autre partie du produit restant au cas où l’une ou l’autre des acquisitions envisagées ne se concrétiserait pas, à son fonds de roulement et au remboursement de dettes. 

Innergex exploite au total 37 centrales hydroélectriques, 26 parcs éoliens et cinq parcs solaires au Québec, en Ontario, en Colombie-Britannique, aux États-Unis, en France et au Chili, pour une production totale de près de 3500 MW d’énergie renouvelable.

https://www.lapresse.ca/affaires/entreprises/202002/06/01-5259778-hydro-quebec-et-innergex-sassocient.php

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  • 2 semaines plus tard...

Les profits d'Hydro-Québec reculent à 2,9 milliards en 2019

Grâce à un niveau « sans précédent » des ventes d’électricité au Québec et à des exportations soutenues, Hydro-Québec affiche un bénéfice net de plus de 2,9 milliards pour l’exercice 2019 — qui est toutefois en baisse par rapport à l’exercice précédent.

Plus précisément, le bénéfice net atteint 2,9 milliards en 2019 comparativement à 3,2 milliards en 2018. 

La direction d’Hydro-Québec explique la baisse par le fait que lors de l’exercice précédent, en 2018, elle avait enregistré un gain non récurrent de 277 millions après avoir cédé une participation dans sa filiale TM4. Elle explique aussi la baisse par un deuxième élément : en 2019, elle a dû comptabiliser une charge d’amortissement de 46 millions à cause de la radiation de certains coûts du projet Northern Pass Transmission. 

N’eût été de ces deux éléments, le bénéfice net de l’exercice aurait progressé de 54 millions en 2019 par rapport à celui de 2018, fait valoir la société d’État. 

Entre autres éléments intéressants de l’exercice 2019 : l’hiver plus froid a fait grimper la consommation d’électricité au Québec, ce qui a permis d’atteindre un sommet historique des ventes de l’ordre de 174,6 térawattheures. Il s’agit d’une augmentation de 1,8 Twh par rapport à 2018. 

Les exportations n’ont pas été en reste, Hydro-Québec rapportant pour l’exercice 2019 un « fort volume d’exportations nettes » de 33,7 Twh. À elles seules, les exportations contribuent à hauteur de 631 millions au bénéfice net.

https://www.lapresse.ca/affaires/entreprises/202002/20/01-5261688-les-profits-dhydro-quebec-reculent-a-29-milliards-en-2019.php

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Hydro: des chercheurs du MIT plaident pour quatre nouvelles lignes de transport

L’intention d’Hydro-Québec de devenir une batterie d’énergie verte pour le nord-est du continent est une excellente idée, selon des chercheurs du Massachusetts Institute of Technology (MIT). Mais pour que ça fonctionne, il faudrait pas moins de quatre interconnexions comme celle qui est actuellement controversée dans le Maine, disent-ils.

Hélène Baril - La Presse

Les trois chercheurs du MIT qui se sont penchés sur la question soutiennent que l’utilisation des grands réservoirs d’Hydro-Québec pour équilibrer les énergies intermittentes comme le solaire et l’éolien est un bon moyen d’atteindre les objectifs de réduction des émissions de CO2 de la Nouvelle-Angleterre.

C’est aussi une façon de le faire plus rapidement et à meilleur coût, ont-ils calculé. « Les réductions de coûts possibles pour la Nouvelle-Angleterre et le Québec seraient de 17 à 29 % » pour éliminer les émissions de carbone des réseaux électriques, selon eux.

La formule est déjà utilisée avec succès par la Norvège, où l’hydroélectricité est abondante, et le Danemark, qui a beaucoup de parcs éoliens. Les deux pays s’échangent de l’électricité selon leurs besoins et la production disponible.

Hydro-Québec et son partenaire américain Central Maine Power tentent actuellement de faire approuver la construction d’une nouvelle ligne de transport à travers l’État du Maine. Le projet rencontre une forte opposition au sud de la frontière, notamment parce que l’hydroélectricité du Québec est perçue comme une énergie qui nuira au développement des sources locales d’énergie verte, comme le solaire et l’éolien.

Les chercheurs Emil Dimanchev, Joshua Hodge et Johns Parsons estiment au contraire que les deux régions peuvent s’échanger de l’énergie et en tirer des bénéfices complémentaires.

Le rôle de l’hydroélectricité du Québec comme ressource de stockage suggère que la construction de lignes de transmission additionnelles est un complément au développement de l’énergie propre du Nord-Est et non un substitut. - Extrait de l’étude du MIT

Hydro-Québec pourrait acheter l’énergie en surplus des parcs solaires et éoliens de la Nouvelle-Angleterre pour remplir ses réservoirs et lui fournir de l’électricité quand le vent ou le soleil n’en produisent pas suffisamment pour satisfaire la demande.

Il faudrait donc que l’énergie puisse circuler dans les deux directions, soit du nord vers le sud et du sud vers le nord. D’où la nécessité de construire d’autres lignes de transport pour permettre au réseau du Nord-Est de fonctionner en continu.

Mission impossible ?

Avant le MIT, Jeffrey Sachs, un autre chercheur américain crédible, avait soutenu le projet d’Hydro-Québec de contribuer à la réduction des émissions polluantes du nord-est du continent en utilisant son hydroélectricité et ses réservoirs pour stocker de l’énergie, comme une batterie géante.

Hydro-Québec estime que cette solution pourrait finir par s’imposer, malgré les embûches qui se dressent devant tout nouveau projet d’interconnexion.

« On est dans un contexte d’urgence climatique, dit Lynn St-Laurent, porte-parole de la société d’État. Si on veut réussir à atteindre les objectifs de réduction des émissions de gaz à effet de serre, il faut prendre les bonnes décisions. »

On n’a pas 20, 30 ou 40 ans devant nous. - Lynn St-Laurent, porte-parole d’Hydro-Québec

En raison de l’opposition de la population américaine, la société d’État a déjà dû abandonner un projet de ligne de transport, appelé Northern Pass, qui serait passé à travers le New Hampshire pour atteindre le Massachusetts. Son plan B pour rejoindre le Massachusetts, qui a conclu un contrat d’achat d’électricité québécoise pour 20 ans, passe par le Maine et fait actuellement face à beaucoup d’hostilité dans cet État.

La capacité de ce futur lien est entièrement réservée au contrat conclu avec le Massachusetts. L’énergie circulera donc du nord vers le sud pendant les 20 ans de la durée du contrat. Après, de l’énergie pourrait circuler dans les deux directions, selon les besoins du marché, indique Hydro-Québec.

Les États de la Nouvelle-Angleterre se sont donné l’objectif de réduire de 80 % les émissions de CO2 générés par la production d’électricité d’ici 2030, et de les avoir éliminées complètement en 2050.

Le Maine aussi veut de l’énergie verte

Après le Massachusetts, c’est au tour du Maine de lancer un appel d’offres pour l’achat d’énergie renouvelable, et Hydro-Québec pourrait être sur les rangs. « On va prendre le temps d’analyser la proposition et si on conclut que c’est possible d’y participer, on va considérer ça sérieusement », a fait savoir la porte-parole d’Hydro-Québec.

Hydro travaille fort pour faire avancer son projet de ligne de transport dans le Maine, mais l’appel d’offres est un projet distinct, selon la société d’État.

C’est la première fois que la Maine Public Utilities Commission lance un appel d’offres de cette envergure pour un contrat d’achat d’énergie renouvelable à long terme. Une nouvelle loi oblige maintenant le Maine à respecter les mêmes cibles de réduction des gaz à effet de serre que les autres États de la Nouvelle-Angleterre pour son approvisionnement en électricité.

Le Maine est à la recherche d’énergie verte, de crédits d’émissions ou d’installations de stockage d’énergie. Les intéressés ont jusqu’au 10 avril pour soumettre leurs propositions.

https://www.lapresse.ca/affaires/202002/25/01-5262413-hydro-des-chercheurs-du-mit-plaident-pour-quatre-nouvelles-lignes-de-transport.php

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  • 1 mois plus tard...

La remplaçante d'Éric Martel. Excellent choix.

https://www.lapresse.ca/affaires/entreprises/202004/01/01-5267480-sophie-brochu-a-la-tete-dhydro-quebec.php

Sophie Brochu à la tête d’Hydro-Québec

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PHOTO IVANOH DEMERS, LA PRESSE
Sophie Brochu

Le gouvernement du Québec a choisi Sophie Brochu pour succéder à Éric Martel à la tête d’Hydro-Québec.

Publié le 1 avril 2020 à 14h38
HÉLÈNE BARIL
LA PRESSE

La nouvelle, d’abord ébruitée par Les Affaires, a été confirmée par une source gouvernementale fiable et sera annoncée sous peu.

L’ancienne présidente-directrice générale d’Énergir devient donc la première femme à diriger la plus importante société d’État du Québec. Avec la présidente du conseil, Jacinthe Côté, Hydro comptera deux femmes aux commandes de l’entreprise.

Sophie Brochu a annoncé son départ d’Énergie à la fin de 2019, après 12 années au service du distributeur gazier, dont elle a diversifié les activités.

Son départ a été une surprise et depuis, les rumeurs allaient bon train sur son avenir. La rumeur l’envoyait chez Hydro-Québec, mais aussi à la tête de la Caisse de dépôt et placement du Québec.

Éric Martel a quitté Hydro-Québec après un seul mandat pour retourner chez son ancien employeur, Bombardier.

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