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Chuck-A

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Tout ce qui a été posté par Chuck-A

  1. Le nouveau nom de la rue Amherst sera annoncé vendredi Publié aujourd'hui à 12 h 28 La rue Amherst, à Montréal, abrite une partie du village gai. Photo: Radio-Canada / Charles Contant Radio-Canada La rue Amherst, à Montréal, sera rebaptisée vendredi matin lors de la Journée nationale des peuples autochtones. Espaces autochtones avait appris l'an dernier que le nouveau nom serait celui d'un Autochtone, en l'honneur de la réconciliation. Le nouveau nom sera dévoilé à 9 h au parc Miville-Couture, à l'intersection de la rue Amherst et du boulevard René-Lévesque Est. Un comité composé de représentants autochtones avait été mis en place pour dresser une liste de noms autochtones pour remplacer celui du général britannique Jeffery Amherst, surnommé le « père de la guerre bactériologique » pour avoir offert des couvertures infestées par la variole aux Autochtones. L'identité des membres du comité a cependant été maintenue secrète. Les noms du chef huron Kondiaronk, héros de la Grande Paix de Montréal, et du chef outaouais Pontiac, qui s'est révolté contre le général Amherst, avaient été évoqués. https://ici.radio-canada.ca/espaces-autochtones/1189636/reconciliation-autochtone-montreal-plante-premieres-nations
  2. SVP, ne tirez pas sur le messager ! Je rapporte la nouvelle seulement; je ne fais nullement parti de ces détracteurs. Je trouve d'ailleurs le pont Samuel-De Champlain particulièrement réussi et élégant, surtout si on prend conscience du peu de temps à le réaliser. Le nouveau pont Champlain, un design décevant? Daphnée Hacker B. | Journal de Montréal | Publié le 18 juin 2019 à 13:00 - Mis à jour à 13:07 KARIANE BOURASSA/TVA NOUVELLES/AGENCE QMI Le design du nouveau pont Samuel-De Champlain polarise alors que certains architectes le considèrent élégant et sobre, tandis que d’autres estiment qu’il est décevant et qu’il manque d’audace à quelques jours de son inauguration. «Montréal méritait un symbole fort et on a raté cette belle occasion en optant pour un pont utilitaire et générique avec un seul hauban», lance l’architecte Maxime Frappier, associé de la firme ACDF. Selon lui, l’architecture du nouveau pont aurait pu être bien plus grandiose, «avoir de la gueule». M. Frappier se dit aussi déçu que l’ouvrage ne soit pas porteur d’un «message d’avenir», en intégrant, par exemple, des technologies qui utilisent l’énergie produite par les voitures pour faire des jets de lumière. De son côté, la présidente de l’Ordre des architectes, Nathalie Dion, se dit très satisfaite: «Le design est minimaliste et gracieux, et la vue sur Montréal sera imprenable». Il est impossible de comparer le pont Champlain au majestueux Golden Gate à San Francisco, soutient-elle, puisque ce dernier est situé dans un paysage beaucoup plus montagneux et pittoresque. Un parc suspendu D’un avis plus nuancé, l’architecte Jean Beaudoin ne pense pas qu’un pont doive forcément être imposant, mais pour innover il faut concevoir un pont en «espace public» plutôt qu’en lieu de transition. «Tant qu’à avoir un pont large et multimodal, on aurait pu créer des espaces où les gens peuvent réellement connecter avec le fleuve», explique celui qui cumule près de 20 ans d’expérience. Rappelons que le nouveau pont Champlain aura quatre belvédères le long de la piste multifonctionnelle qui accueillera cyclistes et piétons (qui n’ouvrira qu’à la fin de l’été). Malgré cela, M. Beaudoin estime que ces lieux sont «anecdotiques» et que pour vraiment «vivre le pont et le fleuve», il aurait fallu par exemple un parc suspendu, à l’image du High Line Park à New York. Un tel endroit aurait eu un grand potentiel touristique à son avis. «Je rêve peut-être, mais je me dis qu’avant de détruire le vieux pont Champlain, on pourrait peut-être le transformer en parc le temps de quelques années, pour que les Montréalais puissent profiter de cet endroit atypique», dit M. Beaudoin. Au moment de publier ces lignes, Infrastructure Canada n’avait pas retourné notre demande d’information à savoir si le vieux pont Champlain pourrait faire l’objet d’un tel projet. Pourquoi une seule section «haubanée» sur le pont? La section du pont Samuel-De Champlain où on retrouve des haubans est en fait la section qui surplombe la Voie maritime du Saint-Laurent. À cet endroit il est impossible de poser des piliers à cause du trafic de navires. Certains architectes estiment qu’il aurait été plus beau d’avoir plusieurs sections haubanées sur le pont, mais c’est un aspect coûteux qui n’a pas été retenu lors la conception. https://www.tvanouvelles.ca/2019/06/18/le-nouveau-pont-champlain-un-design-decevant-1
  3. Petites fiches d'information très intéressantes sur l'antenne Rive-Sud, lors du breffage technique aux médias du 18 juin 2019. Notez bien la boucle supplémentaire en direction de l'Autoroute 10 Est (après le centre d'entretien)... Où s'en vont-ils (phase 2 Chambly) ?!!!
  4. Les poutres de lancement : une méthode de construction inédite au Québec AVANCEMENT DU PROJET Publiée le 18 juin 2019 Si vous avez pris l’autoroute 40 ces dernières semaines, vous avez sans doute remarqué une poutre jaune s’élever dans les airs près du Fairview Pointe-Claire. Cette énorme machine est ce qu’on appelle une « poutre de lancement » qui assemble la structure aérienne du REM sur son passage, morceau par morceau. Son but est de construire le tracé du REM qui s’étend sur une dizaine de kilomètres le long de l’autoroute, entre le boulevard Henri-Bourassa Ouest jusqu’à Sainte-Anne-de-Bellevue. Pour avancer plus rapidement, ce sont en fait deux poutres de lancement qui construisent simultanément la structure aérienne : La première poutre de lancement, surnommée Marie en référence à la rue Marie-Curie du Technoparc, est chargée d’assembler la structure aérienne entre le Technoparc et le Fairview Pointe-Claire. À mi-parcours, la seconde poutre de lancement doit construire le reste de la structure aérienne à partir du Fairview Pointe-Claire jusqu’à Sainte-Anne-de-Bellevue. C’est sa destination finale qui lui a donnée son surnom Anne. Ci-dessus, le parcours des deux poutres de lancement Marie et Anne. C’est une tradition dans le monde de la construction de donner un petit nom aux grosses machines. Une première au Québec C’est la toute première fois que des poutres de lancement sont utilisées dans la province. Le principe : on installe une longue poutre entre deux piliers. Marie et Anne mesurent chacune 105 mètres de long et peuvent supporter jusqu’à 550 tonnes! Crédit photo : @ashrafgiraffe Ces poutres surpuissantes permettent alors de soulever les voussoirs (des tranches de pont en béton préfabriqués d’environ 50 tonnes chacun), les déplacer puis les assembler les uns à la suite des autres pour former un tablier, sur lequel circuleront les métros du REM. C’est pour cela qu’on parle de poutre de lancement, étant donné que les voussoirs sont « lancés » les uns à la suite des autres. Cette méthode de construction est impressionnante et permet d’avancer rapidement. En moyenne, il faut deux jours pour ériger une travée, c’est-à-dire la distance entre deux piliers (soit 30 à 40 mètres). Cette façon de fonctionner permet également de limiter grandement les impacts, alors que la construction d’une telle travée sans pièce préfabriquée pourrait prendre autour de 30 jours. Une fois la travée complétée, la poutre est avancée sur les deux piliers suivants et ainsi de suite. Au total, il faudra trois années à Marie et Anne pour construire l’ensemble de la structure aérienne de 14,5 km. La construction de la structure aérienne, étape par étape Étape 1 : relocalisation des utilités publiques. Avant de débuter la construction, les utilités publiques qui se trouveraient sur le chemin (tuyaux, canalisations, fils électriques) sont déplacés pour garantir leur intégrité. Des travaux réalisés en étroite collaboration avec les fournisseurs tels que Hydro Québec ou Énergir. Étape 2 : forage des pieux. Les stations et les piliers de la structure aérienne sont ancrés dans le sol. Il est alors nécessaire de forer des pieux de fondation tout au long du tracé (sur 14,5 km) pour renforcer le sol, qui supportera les contraintes de l’ouvrage. Étape 3 : construction des piliers. 366 piliers doivent être construits pour les 14,5 km de la structure aérienne, soit un pilier tous les 30 à 40 mètres en moyenne. Début juin, près de 100 piliers sont présentement érigés ou en cours de construction dans l’Ouest. Étape 4 : construction et livraison des voussoirs. 4 102 voussoirs sont actuellement préfabriqués par quelque 200 travailleurs de l’usine de BPDL à Saint-Eugène-de-Grantham, près de Drummonville. Étape 5 : assemblage à l’aide de la poutre de lancement. Tout est prêt, les poutres de lancement Marie et Anne entrent en action! Installées entre deux piliers, ces poutres gigantesques soulèvent les voussoirs dans les airs et les assemblent les uns à la suite des autres. En moyenne, il faut deux jours pour ériger une travée, c’est-à-dire la distance entre deux piliers (soit 30 à 40 mètres). Étape 6 : construction des stations. Cette phase débutera plus tard en 2022, une fois que la structure aérienne sera finalisée. Plusieurs mois de travaux seront encore nécessaires pour construire les stations en bois et en verre, revitaliser les sites (espace public et verdure autour des stations) et aménager les chemins d’accès. La construction du REM dans l’Ouest-de-l’Île 2 poutres de lancement : LG-1 Anne et LG-2 Marie 4 stations 14,5 km de structure aérienne 9,30 m de largeur (tablier) 366 travées 4 102 voussoirs Mise en service en 2023 Pour plus d'informations techniques, consultez le breffage technique aux médias du 18 juin 2019. https://rem.info/fr/actualites/poutres-de-lancement
  5. Il y aura 2 ponts signature à haubans dans le projet Turcot, en béton armé et avec des finitions en blanc (i.e. le pont St-Jacques - déjà réalisé -, ainsi que le pont du Canal de Lachine - qui serait complété à l'été 2020). https://www.turcot.transports.gouv.qc.ca/fr/nouvelles-multimedia/bulletin-articles/Pages/mai-2019.aspx ----------------- Dans un autre ordre d'idée, voici un dernier tweet intéressant de Jean-Sébastien Cloutier pour les cyclistes et piétons...
  6. Quelques tweets en rafale de Jean-Sébastien Cloutier (Radio-Canada) sur sa visite au pont ce matin. 😎 J'ai bien hâte d'y rouler moi aussi la semaine prochain...
  7. Grosse semaine en vue pour les médias: lundi, le pont Samuel-De Champlain; mardi, le REM dans l'Ouest-de-l'Île. J'espère du beau gros soleil pour de bien belles images !! 😎 Avis aux médias : Dernière mise à jour des travaux de construction du pont Samuel-De Champlain et visite de chantier MONTRÉAL, le 14 juin 2019 /CNW/ - Infrastructure Canada et Signature sur le Saint-Laurent (SSL) invitent les médias à une mise à jour des travaux et une visite du chantier du pont Samuel-De Champlain. Date : Le lundi 17 juin 2019 Heure : 8 h 30 à 12 h 30 Lieu : 8 Place du Commerce, bureau 300, Île-des-Soeurs Horaire : 8 h 30 à 10 h - Mise à jour des travaux (pas d'enregistrement, ni de caméra) 10 h 30 à 12 h 30 - Visite de chantier par bateau suivi d'une visite au pont à haubans (occasion pour prise d'images) Notes : Les médias doivent se conformer aux règles de santé et de sécurité suivants : Seuls celles et ceux qui porteront des bottes de sécurité pourront faire la visite. Les visiteurs doivent absolument rester en groupe et ne pas déroger du parcours préétabli et approuvé par SSL. Des agents de santé et sécurité vous accompagneront, merci de respecter leurs consignes. SSL vous fournira du matériel de protection personnelle sur place (casque, dossard, gants et lunettes), sauf les bottes. Le port du jeans ou du pantalon est obligatoire - pas de pantalon de style capri, ou de jupe. Aucun sac à main, non plus que de grosses boucles d'oreilles ou pendentifs, de même que les longs foulards. Réservation obligatoire, avant le samedi, 15 juin à 18 h (par courriel) : infc.media.infc@canada.ca https://www.lelezard.com/communique-18806835.html
  8. Merci encore @ScarletCoral pour ce partage. Très intéressant article ! Je n'ai pas connu cette belle époque des années 60 sur l'ingénierie au Québec, mais je suis bien content de tous ces projets variés que je peux observer de nos jours.
  9. Zone que j'ai tenté de redélimiter par rapport au tracé du REM.
  10. C'est juste; mon erreur... Tel que l'a mentionné @WestAust, il semblerait que ce soit seulement la bretelle de la sortie A10Est pour le boul. Tashereau qui resterait à faire.
  11. Travaux du REM près la Roche noire (Black Rock) - L'histoire de la communauté irlandaise de Montréal commémorée NOUVELLES FOURNIES PAR Réseau express métropolitain - REM Juin 13, 2019, 09:29 ET MONTRÉAL, le 13 juin 2019 /CNW Telbec/ - En voulant fuir la Grande Famine de 1847 et trouver refuge à Montréal, 6 000 Irlandais auraient perdu la vie sur les rives du fleuve Saint-Laurent. Il est reconnu historiquement que ces victimes seraient enterrées dans le quartier sud-ouest de Montréal, près de l'emplacement de la Roche noire (Black Rock). Alors que des travaux du Réseau express métropolitain (REM) auront lieu dans les prochaines semaines à proximité du secteur, la communauté irlandaise a été invitée à se réunir dans le cadre d'une cérémonie de bénédiction de la terre qui a eu lieu le 12 juin à 19h00, organisée par des représentants de la communauté irlandaise et le bureau de projet REM. Cette soirée fut une rare et importante occasion de témoigner de la riche histoire de la communauté irlandaise à Montréal. De plus, un service religieux interconfessionnel a réuni de hauts représentants de différentes confessions religieuses. Une coopération étroite, une volonté de préserver l'histoire Dans les derniers mois, un comité formé de cinq représentants de la communauté irlandaise de Montréal s'est assuré de sensibiliser les membres de l'équipe du bureau de projet REM et de coordonner les travaux du REM à venir dans le secteur de la Roche noire. « Nous tenons à souligner la coopération, l'ouverture et le respect des différents intervenants dans ce dossier, que ce soit le bureau de projet REM, Hydro-Québec et la Ville de Montréal. Nous avons senti tout au long du processus, que tous les partenaires cherchaient à atténuer au maximum la perturbation des lieux, tout en contribuant à préserver l'histoire de la communauté irlandaise de Montréal. » a souligné Victor P. Boyle, président national de l'Ancien Ordre des Hiberniens (AOH) et directeur de la Fondation du Parc du Monument irlandais de Montréal. « En construisant le REM, nous avons la volonté de bien intégrer ce nouveau réseau de transport dans chacune des communautés rencontrées. Dans le secteur de Pointe-Saint-Charles, l'arrivée du REM a représenté une occasion de souligner et préserver une partie de notre histoire commune, celle de la communauté irlandaise de Montréal. Au-delà de tous les efforts entrepris pour minimiser les impacts durant les travaux, nous espérons que le passage de milliers d'usagers dans le REM à proximité du secteur de la Roche noire, permettra de mettre à l'avant plan ce lieu de commémoration important » a mentionné Jean-Marc Arbaud, directeur général, CDPQ Infra. Nature des travaux entrepris Dans le cadre de la construction de la structure aérienne du tronçon central du REM, un pilier sera érigé dans une partie du cimetière des Irlandais. Cela requerra une excavation du secteur, ce qui pourrait mettre au jour des vestiges, artefacts ou ossements de ce qui est estimé comme le principal cimetière des victimes irlandaises de la Grande Famine de 1847. Jusqu'à présent, aucune fouille ou excavation n'avait été effectuée dans le secteur. Les travaux qui débuteront à la fin du mois de juin seront supervisés par un archéologue et un plan a été établi dans l'éventualité où des découvertes archéologiques seraient dévoilées. SOURCE Réseau express métropolitain - REM Renseignements: M. Fergus Keyes, Directeur, Fondation du Parc du Monument irlandais de Montréal, 514-949-2710 https://www.newswire.ca/fr/news-releases/travaux-du-rem-pres-la-roche-noire-black-rock-l-histoire-de-la-communaute-irlandaise-de-montreal-commemoree-875636212.html
  12. Dans un même ordre d'idée... mais en extrapolant beaucoup sur les possibilités de maillage à une potentielle station du REM à Dorval. Il y a eu des discussions dernièrement à Lachine avec la mairesse Plante, où elle dit espérer que la ligne Rose qu'elle projette toujours réaliser puisse être prolongée jusqu'à cette station à Dorval. Plusieurs projets en vue pour l’arrondissement de Lachine 08:26 12 juin 2019 | By: ocroteaumedia La mobilité et l’habitation étaient au cœur des préoccupations des résidents venus rencontrer la mairesse de Montréal, Valérie Plante, à la Vieille brasserie de Lachine. Un intérêt s’est manifesté concernant la possibilité de connecter à la gare de Dorval le Réseau express métropolitain (REM) et la ligne rose du métro de Montréal, dont la dernière station serait actuellement prévue à la hauteur de la 32e Avenue. «Ça pourrait désenclaver l’ouest de Lachine, puis cela permettrait aux gens de venir magasiner et de marcher près des commerces de l’est, a expliqué le Lachinois Alex Turcotte. Cette extension créerait également un lien pour tout le Grand Sud-Ouest quand viendra le temps de se rendre à l’aéroport.» La mairesse Plante a révélé durant l’assemblée publique de la semaine dernière que des discussions avec la mairesse de Lachine, Maja Vodanovic, avaient déjà été entamées à ce sujet. Plusieurs sections de ces deux projets pourraient en effet être appelées à être raboutées pour offrir aux résidents de l’ouest un accès simplifié vers le reste de l’île. Du côté du quartier Saint-Pierre, l’échangeur caractérisé comme étant «la pierre angulaire d’un secteur refermé sur lui-même» sera lui aussi repensé. Que ce soit par l’instauration de la ligne rose, de trains, de tramways ou de pistes cyclables, Mme Plante désire trouver une façon de créer de meilleurs liens pour entrer et sortir, puis enfin connecter le quartier au reste de l’arrondissement. [...] https://journalmetro.com/actualites/2334780/plusieurs-projets-en-vue-pour-larrondissement-de-lachine/
  13. En effet, j'avais également remarqué que cela progressait grandement de ce côté, lorsque je suis passé dans le coin hier. Mais je n'étais pas en mesure de prendre de photos cette fois-ci. 📷 On semblait préparer l'installation du caisson du tunnel piétonner sous la travé ouest de l'A10.
  14. J'imagine que c'est conçu ainsi pour faire la transition entre le tracé à niveau et le tracé aérien sur la branche de l'Ouest-de-l'Île prévu à cet endroit. Je crois qu'il devrait y avoir des poutres en descente (et non des voussoirs) de l'autre côté de ce pilier... D'ailleurs, j'ai grandement hâte de voir les travaux entourant la Jonction de l'Ouest (seulement prévus à partir de 2021-2022...) et prochainement ceux de la Jonction de l'Aéroport (qui devraient se réaliser à proximité de l'Autoroute 40 (entre les boul. Henri-Bourassa et boul. Saint-Régis).
  15. Merci bcp @Megafolie ! Avec le beau soleil d'aujourd'hui, je me suis dit que c'était la journée idéale pour croquer quelques photos afin de bien faire ressortir les couleurs. Les derniers rendus ne me permettaient pas de pleinement admirer l'étendue de l'ouvrage et le travail accompli.
  16. Avec la poutre de lancement LG1-Anne qui est bien occupée du côté de Pointe-Claire, je suis allé rendre une visite à sa petite soeur, la LG2-Marie, afin de voir l'installation des premiers voussoirs du côté de Ville Saint-Laurent, sur la rue Douglas-B-Floreani. 12-06-2019
  17. En rafale, quelques photos des premières poutres menant à la station Rive-Sud. 12-06-2019
  18. J'ai bien hâte de voir cette première passerelle installée. Je vais sûrement l'utiliser à plus d'une occasion, car je vais souvent au Dix30 que pour me rendre au Cineplex Odeon... 12-06-2019
  19. Le plus grand parc urbain du Canada prend forme à Montréal Publié il y a 3 minutes Le parc-nature de l'Anse-à-l'Orme fait partie du projet de « Grand parc de l'Ouest » de la Ville de Montréal. Photo: CBC Julie Marceau L'administration de Valérie Plante avait évoqué son désir de faire un parc urbain dans l’ouest de l’île, et le projet prend de l’ampleur ces jours-ci. Le « Grand parc de l’Ouest » ferait 3000 hectares de superficie, soit 1600 nouveaux hectares d’aires protégées. Il deviendrait la plus grande étendue verte urbaine au pays et l’un des plus grands parcs agricoles municipaux au monde. Des négociations sont en cours avec Ottawa pour financer le projet, a aussi appris Radio-Canada. Ce grand parc reliant l'île Bizard au parc-nature du Cap-Saint-Jacques, en passant par le parc-nature de l'Anse-à-l'Orme, le parc-agricole du Bois-de-la-Roche et l'arboretum Morgan, aurait huit fois la taille de Central Park, à New York, et quatre fois celle du parc du Mont-Royal, selon un document obtenu par Radio-Canada. D'une superficie de 3000 hectares, le « Grand parc de l'Ouest » relierait quatre parcs existants ainsi que des aires protégées sur l'île Bizard. Photo : Radio-Canada Le projet comprend des fermes de production maraîchère biologique, des sentiers de randonnée pour piétons et cyclistes ainsi qu’un lien fluvial reliant l’île Bizard à Pierrefonds-Ouest. Selon nos informations, des essais avec une navette fluviale doivent d’ailleurs être réalisés cet été. De passage à Montréal cette semaine pour une annonce de financement de bassins de rétention pour réduire les risques d’inondation à Montréal, le ministre fédéral de l'Infrastructure et des Collectivités, François-Philippe Champagne, n’a pas caché l’intérêt de son gouvernement pour ce dossier. « C'est un projet qui m'interpelle. Ce que j'aime avec la mairesse Plante c'est qu'on voit grand [...] On va regarder le projet avec beaucoup d'attention », a affirmé M. Champagne. Je m’inscris avec la mairesse Plante dans cette vision plus verte de Montréal : utiliser des infrastructures naturelles pour nous aider à nous adapter aux changements climatiques et aux catastrophes naturelles. François-Philippe Champagne, ministre fédéral de l'Infrastructure et des Collectivités Un obstacle pour la Ville : des promoteurs immobiliers réticents Le projet immobilier a été lancé sous l'administration du maire Gérald Tremblay. Photo : http://www.cap-nature.ca/cap-nature L’administration Plante fait toutefois face à un obstacle. Une partie des terrains du futur « Grand parc de l’Ouest » appartient aux promoteurs immobiliers de Cap-Nature. Le projet, lancé sous l’administration de Gérald Tremblay, prévoit la construction de 5500 unités d’habitation. Il a été modifié plusieurs fois, et la dernière version comprend des écoles, des garderies, des logements sociaux, des terrains sportifs et une zone de conservation de 180 hectares. « Pendant 14 ans, la Ville de Montréal a été l'initiateur, le maître d'œuvre de ça [...] et là aujourd'hui on vient nous voir pour nous dire, bien vos terrains, il y a les écologistes qui disent on veut que vous les conserviez? Moi ça fait 14 ans que la Ville me dit de les développer! », dénonce Marie-Pierre Durand, présidente des Immeubles L'Équerre et représentante du groupe de promoteurs. Marie-Pierre Durand, présidente des Immeubles L'Équerre et représentante du groupe de promoteurs du projet Cap-Nature. Photo : Radio-Canada Selon des images obtenues par Radio-Canada, une partie des terrains de Cap-Nature ont été inondés ce printemps, comme cela a été le cas en 2017. La topographie du secteur illustre que les zones à l'ouest du développement immobilier sont également moins élevées par rapport au niveau du lac des Deux-Montagnes et plus sujettes aux inondations, de l’avis d’experts, notamment autour du cours d'eau de l'Anse-à-l'Orme. Des photos obtenues par Radio-Canada et datant du mois d’avril 2019 ont été prises dans le secteur du Ruisseau A qui débordait. Les promoteurs prévoient dans leur projet protéger trois principaux milieux humides : le marais Lauzon, le marais 90 et le Ruisseau A. Photo : Radio-Canada Des écologistes et des groupes de citoyens qui défendent la conservation de ces terrains depuis plusieurs années font valoir qu’il s’agit d’une barrière naturelle contre les inondations qui contient une biodiversité considérable (122 types d’oiseaux, dont certains « rares », 16 catégories de reptiles et d’amphibiens et près de 300 espèces végétales). L’hydrogéomorphologue Pascale Biron, qui étudie le fonctionnement naturel des cours d’eau au Québec, est sans équivoque sur l’importance de préserver entièrement de tels sites naturels en milieu urbain. Les milieux humides, c’est bien connu que ça sert d’éponge. D’où l’importance de les préserver, surtout dans des secteurs urbanisés comme autour de Montréal, où il y en a très peu. Pascale Biron, hydrogéomorphologue « Une approche hydrogéomorphologique bien reconnue ailleurs dans le monde se base sur les niveaux réellement atteints par l’eau. À partir du moment où on se sert de ça comme une façon de cartographier les zones inondables, c’est indéniable que les secteurs où on voit de l’eau sont en zone inondable », affirme celle qui est aussi professeure et directrice du Département de géographie, urbanisme et environnement à l’Université Concordia. À lire aussi : https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1125142/montreal-terrain-parc-nature-anse-orme Les promoteurs du projet Cap-Nature rétorquent que leurs terrains n'ont jamais été inondés et ils affirment avoir réalisé leurs propres inspections. Ils ajoutent en outre que l'élimination de plus petits milieux humides et la préservation des trois principaux répondent aux exigences des précédentes administrations municipales ainsi qu’à celles du ministère québécois de l'Environnement. « Si on a travaillé pendant 14 ans avec la Ville de Montréal, c’est parce que c’était un bon projet et on continue de penser que c’est un très bon projet qui répond aux besoins des citoyens de la Ville de Montréal, un projet qui est très écologique, très vert. On a mis énormément d’argent dans ce projet-là parce qu’on y croyait et il est toujours pertinent », affirme Marie-Pierre Durand. « C'est un projet qui répond aux demandes des gens de la ville de Montréal d'avoir un endroit pour vivre. Un endroit d'assez haute densité, soit de 35 à 50 logements l'hectare. Par ce projet-là, on éviterait l'exode urbain au lieu d'aller dans la deuxième et troisième couronne autour de Montréal », fait valoir l’architecte de Cap-Nature, Luc Denis. Les terrains appartenant aux quatre promoteurs du projet Cap-Nature (Groupe immobilier Grilli inc, Développement Pierrefonds, Les immeubles l’Équerre et Quartier de l’ouest de l’île S.E.N.C. L’entreprise HPFCO, qui possède toujours un lot, s’est retirée du dossier selon Mme Durand). Photo : Ville de Montréal Le maire de l'arrondissement de Pierrefonds-Roxboro, Jim Beis, qui était en faveur du développement immobilier sous l'administration Coderre, croit aujourd’hui que le projet de parc est une « bonne idée », selon ce qu'il en coûtera à la Ville pour indemniser les promoteurs. « Imaginez 360 hectares, ce que ça représente au niveau des coûts! [...] Je ne sais pas si une analyse a été faite pour le coût associé à l'achat ou l'expropriation de ces terrains-là. [...] Est-ce que ça va coûter 100 millions, 200 millions, 400 millions, 500 millions un demi-milliard? On ne sait pas, il faut faire cette analyse-là! », souligne-t-il. Marie-Pierre Durand n’a pas voulu dire si le groupe de promoteurs (Groupe immobilier Grilli inc., Développement Pierrefonds, Les immeubles l’Équerre et Quartier de l’ouest de l’île S.E.N.C) souhaite intenter des procédures judiciaires. « C’est quelque chose qu’on regarde, mais on n’a pas statué. [...] On regarde ce qu’on va faire pour l’avenir. [...] On a l’intention de le faire [le projet] et de prendre des mesures pour le faire », s’est limitée à dire l’entrepreneure immobilière. La Ville ne construira pas d'infrastructures De son côté, la mairesse Valérie Plante dit privilégier la négociation. « Pour l’instant, la Ville n’a pas l’intention de desservir ces terrains en infrastructures, ils sont donc non-développables », a-t-elle fait savoir par courriel. Selon elle, ces terrains ont permis de réduire l'impact des inondations du printemps dernier. « De façon plus générale, on voit clairement que ce site est une zone qui a été inondée et ça démontre que cet espace vert agit comme éponge pour l'ensemble du secteur lorsqu'il y a des inondations. On peut imaginer que sans ce bassin de rétention naturel, la situation aurait été beaucoup plus critique ce printemps », écrit-elle. Le projet de développement Cap-Nature prévoit la construction de résidences tout autour des milieux humides protégés, dont le Ruisseau A. Photo : Marie-Pierre Durand/projet Cap-Nature https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1182299/grand-parc-ouest-promoteurs-cap-nature
  20. Le plus grand parc urbain du Canada prend forme à Montréal Publié il y a 3 minutes Le parc-nature de l'Anse-à-l'Orme fait partie du projet de « Grand parc de l'Ouest » de la Ville de Montréal. Photo: CBC Julie Marceau L'administration de Valérie Plante avait évoqué son désir de faire un parc urbain dans l’ouest de l’île, et le projet prend de l’ampleur ces jours-ci. Le « Grand parc de l’Ouest » ferait 3000 hectares de superficie, soit 1600 nouveaux hectares d’aires protégées. Il deviendrait la plus grande étendue verte urbaine au pays et l’un des plus grands parcs agricoles municipaux au monde. Des négociations sont en cours avec Ottawa pour financer le projet, a aussi appris Radio-Canada. Ce grand parc reliant l'île Bizard au parc-nature du Cap-Saint-Jacques, en passant par le parc-nature de l'Anse-à-l'Orme, le parc-agricole du Bois-de-la-Roche et l'arboretum Morgan, aurait huit fois la taille de Central Park, à New York, et quatre fois celle du parc du Mont-Royal, selon un document obtenu par Radio-Canada. D'une superficie de 3000 hectares, le « Grand parc de l'Ouest » relierait quatre parcs existants ainsi que des aires protégées sur l'île Bizard. Photo : Radio-Canada Le projet comprend des fermes de production maraîchère biologique, des sentiers de randonnée pour piétons et cyclistes ainsi qu’un lien fluvial reliant l’île Bizard à Pierrefonds-Ouest. Selon nos informations, des essais avec une navette fluviale doivent d’ailleurs être réalisés cet été. De passage à Montréal cette semaine pour une annonce de financement de bassins de rétention pour réduire les risques d’inondation à Montréal, le ministre fédéral de l'Infrastructure et des Collectivités, François-Philippe Champagne, n’a pas caché l’intérêt de son gouvernement pour ce dossier. « C'est un projet qui m'interpelle. Ce que j'aime avec la mairesse Plante c'est qu'on voit grand [...] On va regarder le projet avec beaucoup d'attention », a affirmé M. Champagne. Je m’inscris avec la mairesse Plante dans cette vision plus verte de Montréal : utiliser des infrastructures naturelles pour nous aider à nous adapter aux changements climatiques et aux catastrophes naturelles. François-Philippe Champagne, ministre fédéral de l'Infrastructure et des Collectivités Un obstacle pour la Ville : des promoteurs immobiliers réticents Le projet immobilier a été lancé sous l'administration du maire Gérald Tremblay. Photo : http://www.cap-nature.ca/cap-nature L’administration Plante fait toutefois face à un obstacle. Une partie des terrains du futur « Grand parc de l’Ouest » appartient aux promoteurs immobiliers de Cap-Nature. Le projet, lancé sous l’administration de Gérald Tremblay, prévoit la construction de 5500 unités d’habitation. Il a été modifié plusieurs fois, et la dernière version comprend des écoles, des garderies, des logements sociaux, des terrains sportifs et une zone de conservation de 180 hectares. « Pendant 14 ans, la Ville de Montréal a été l'initiateur, le maître d'œuvre de ça [...] et là aujourd'hui on vient nous voir pour nous dire, bien vos terrains, il y a les écologistes qui disent on veut que vous les conserviez? Moi ça fait 14 ans que la Ville me dit de les développer! », dénonce Marie-Pierre Durand, présidente des Immeubles L'Équerre et représentante du groupe de promoteurs. Marie-Pierre Durand, présidente des Immeubles L'Équerre et représentante du groupe de promoteurs du projet Cap-Nature. Photo : Radio-Canada Selon des images obtenues par Radio-Canada, une partie des terrains de Cap-Nature ont été inondés ce printemps, comme cela a été le cas en 2017. La topographie du secteur illustre que les zones à l'ouest du développement immobilier sont également moins élevées par rapport au niveau du lac des Deux-Montagnes et plus sujettes aux inondations, de l’avis d’experts, notamment autour du cours d'eau de l'Anse-à-l'Orme. Des photos obtenues par Radio-Canada et datant du mois d’avril 2019 ont été prises dans le secteur du Ruisseau A qui débordait. Les promoteurs prévoient dans leur projet protéger trois principaux milieux humides : le marais Lauzon, le marais 90 et le Ruisseau A. Photo : Radio-Canada Des écologistes et des groupes de citoyens qui défendent la conservation de ces terrains depuis plusieurs années font valoir qu’il s’agit d’une barrière naturelle contre les inondations qui contient une biodiversité considérable (122 types d’oiseaux, dont certains « rares », 16 catégories de reptiles et d’amphibiens et près de 300 espèces végétales). L’hydrogéomorphologue Pascale Biron, qui étudie le fonctionnement naturel des cours d’eau au Québec, est sans équivoque sur l’importance de préserver entièrement de tels sites naturels en milieu urbain. Les milieux humides, c’est bien connu que ça sert d’éponge. D’où l’importance de les préserver, surtout dans des secteurs urbanisés comme autour de Montréal, où il y en a très peu. Pascale Biron, hydrogéomorphologue « Une approche hydrogéomorphologique bien reconnue ailleurs dans le monde se base sur les niveaux réellement atteints par l’eau. À partir du moment où on se sert de ça comme une façon de cartographier les zones inondables, c’est indéniable que les secteurs où on voit de l’eau sont en zone inondable », affirme celle qui est aussi professeure et directrice du Département de géographie, urbanisme et environnement à l’Université Concordia. À lire aussi :Montréal achète un autre terrain pour agrandir le parc-nature de l'Anse-à-l'Orme Les promoteurs du projet Cap-Nature rétorquent que leurs terrains n'ont jamais été inondés et ils affirment avoir réalisé leurs propres inspections. Ils ajoutent en outre que l'élimination de plus petits milieux humides et la préservation des trois principaux répondent aux exigences des précédentes administrations municipales ainsi qu’à celles du ministère québécois de l'Environnement. « Si on a travaillé pendant 14 ans avec la Ville de Montréal, c’est parce que c’était un bon projet et on continue de penser que c’est un très bon projet qui répond aux besoins des citoyens de la Ville de Montréal, un projet qui est très écologique, très vert. On a mis énormément d’argent dans ce projet-là parce qu’on y croyait et il est toujours pertinent », affirme Marie-Pierre Durand. « C'est un projet qui répond aux demandes des gens de la ville de Montréal d'avoir un endroit pour vivre. Un endroit d'assez haute densité, soit de 35 à 50 logements l'hectare. Par ce projet-là, on éviterait l'exode urbain au lieu d'aller dans la deuxième et troisième couronne autour de Montréal », fait valoir l’architecte de Cap-Nature, Luc Denis. Les terrains appartenant aux quatre promoteurs du projet Cap-Nature (Groupe immobilier Grilli inc, Développement Pierrefonds, Les immeubles l’Équerre et Quartier de l’ouest de l’île S.E.N.C. L’entreprise HPFCO, qui possède toujours un lot, s’est retirée du dossier selon Mme Durand). Photo : Ville de Montréal Le maire de l'arrondissement de Pierrefonds-Roxboro, Jim Beis, qui était en faveur du développement immobilier sous l'administration Coderre, croit aujourd’hui que le projet de parc est une « bonne idée », selon ce qu'il en coûtera à la Ville pour indemniser les promoteurs. « Imaginez 360 hectares, ce que ça représente au niveau des coûts! [...] Je ne sais pas si une analyse a été faite pour le coût associé à l'achat ou l'expropriation de ces terrains-là. [...] Est-ce que ça va coûter 100 millions, 200 millions, 400 millions, 500 millions un demi-milliard? On ne sait pas, il faut faire cette analyse-là! », souligne-t-il. Marie-Pierre Durand n’a pas voulu dire si le groupe de promoteurs (Groupe immobilier Grilli inc., Développement Pierrefonds, Les immeubles l’Équerre et Quartier de l’ouest de l’île S.E.N.C) souhaite intenter des procédures judiciaires. « C’est quelque chose qu’on regarde, mais on n’a pas statué. [...] On regarde ce qu’on va faire pour l’avenir. [...] On a l’intention de le faire [le projet] et de prendre des mesures pour le faire », s’est limitée à dire l’entrepreneure immobilière. La Ville ne construira pas d'infrastructures De son côté, la mairesse Valérie Plante dit privilégier la négociation. « Pour l’instant, la Ville n’a pas l’intention de desservir ces terrains en infrastructures, ils sont donc non-développables », a-t-elle fait savoir par courriel. Selon elle, ces terrains ont permis de réduire l'impact des inondations du printemps dernier. « De façon plus générale, on voit clairement que ce site est une zone qui a été inondée et ça démontre que cet espace vert agit comme éponge pour l'ensemble du secteur lorsqu'il y a des inondations. On peut imaginer que sans ce bassin de rétention naturel, la situation aurait été beaucoup plus critique ce printemps », écrit-elle. Le projet de développement Cap-Nature prévoit la construction de résidences tout autour des milieux humides protégés, dont le Ruisseau A. Photo : Marie-Pierre Durand/projet Cap-Nature https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1182299/grand-parc-ouest-promoteurs-cap-nature
  21. Certaines dispositions sur la sécurité sur le Mont-Royal commenceront demain...
  22. Pour ne pas oublier une page de notre passé ! Son présent est plutôt triste... Quel futur peut-on lui réserver ? https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1162470/maison-hubert-lacroix-radio-canada-patrimoine?depuisRecherche=true L'incroyable histoire de la maison Lacroix Publié le vendredi 5 avril 2019 à 18 h 50 | Mis à jour le lundi 10 juin 2019 à 23 h 27 La maison Hubert-Lacroix en novembre 1963, soit juste après la destruction du Faubourg à M'lasse. Photo: Archives de la Ville de Montréal René Saint-Louis La saga de la plus ancienne maison de ferme de Montréal est à la fois belle et triste. Belle, parce qu'elle a été sauvée de la démolition grâce à des dons du public. Triste, parce qu'elle croupit depuis dans un champ. Elle témoigne de notre rapport complexe au patrimoine. Tout commence en 1963. Tout un quartier de Montréal, le Faubourg à m'lasse, tombe sous le pic des démolisseurs. Mais, dans une cour intérieure, non visible de la rue, un bâtiment détonne. Il s'agit d'une maison à un étage et demi, coiffée d'un toit à deux versants. Ses murs et sa cheminée sont en pierre des champs, la maçonnerie a une épaisseur d'un mètre. Rien à voir avec les autres maisons du faubourg, qui sont en bois et en briques. Nul doute, il s'agit d'une maison du régime français. La découverte fait la une des journaux. On en parle à la radio et à la télévision. On remonte les titres de propriété jusqu'à un certain Hubert dit Lacroix, marchand de fourrure, qui aurait reçu le terrain en 1665 du fondateur de Montréal, Paul de Chomedey de Maisonneuve. La maison a été construite vers 1690. Sauvetage La Ville de Montréal, la Commission Jacques-Viger et la Commission des monuments historiques de la province de Québec interviennent pour la sauver. Frileux à l'idée de dépenser l'argent des contribuables pour préserver la maison, on lance une campagne publique de financement. Les 10 000 $ amassés seront suffisants pour démonter la maison pierre par pierre et la reconstruire ailleurs. Où? La Commission Jacques-Viger, l'ancêtre du Conseil du patrimoine de Montréal, songe au Vieux-Montréal. Mais la maison de ferme ne cadre pas dans le décor composé d'immeubles en pierres de taille et non en simples pierres des champs. On juge qu'elle serait davantage à sa place à la campagne. Cela tombe bien parce que naît, à cette époque, le Village historique Jacques-de-Chambly, situé à Carignan, en Montérégie. Il s'agit d'un projet similaire au Village québécois d'antan de Drummondville, au village Canadiana, à Rawdon, ou encore au Upper Canada Village, en Ontario. La maison est reconstruite à Carignan où d'autres maisons, classées monuments historiques, sont aussi déménagées. En 1964, le Village historique Jacques-de-Chambly est même décrété arrondissement historique par le gouvernement du Québec. Mais l'aventure est de courte durée. Faute de visiteurs, dès 1967, c'est la faillite. Les maisons historiques sont vendues à des particuliers et seront ainsi habitées et sauvées, du moins pour celles qui sont classées. Ce n'est pas le cas de la maison Hubert-Lacroix, qui va sombrer dans l'oubli, abandonnée dans un champ depuis 55 ans. Photo Credits: Before Bibliothèque et archives nationales du Québec After Marc-André Gendron Et maintenant? À moins d'un an du déménagement de Radio-Canada et au moment où se tiennent des consultations publiques sur l'avenir du secteur des Faubourgs, il est temps de se pencher à nouveau sur le triste sort de la maison Lacroix. Le Groupe Mach, nouveau propriétaire de la tour de Radio-Canada et de ses terrains, a pris connaissance du dossier. Le promoteur immobilier ne souhaite pas la rapatrier, en raison des coûts élevés d'un tel projet. Le vice-président développement de l'entreprise, Christopher Sweetnam-Holmes, souligne cependant qu'une « grande surface » de l'actuel terrain sera cédée à la Ville pour en faire un parc ou une place publique. Peut-être qu'il y a une possibilité de lui trouver un emplacement ou une façon, soit physique ou une commémoration, de trouver sa place dans un parc public, par exemple. Ça peut être une bonne façon de commémoration. Christopher Sweetnam-Holmes, vice-président développement, Groupe Mach M. Sweetnam-Holmes ne veut pas se prononcer sur l'importance de sauver la maison. « Cela a été fait par le passé, dit-il, ce n'est pas utopique, mais il faut voir s'il y a un intérêt. » L'administration de la mairesse Valérie Plante n'a pas voulu commenter le dossier en raison des consultations publiques qui se déroulent justement, en ce moment, sur l'avenir du secteur des Faubourgs qui comprend les anciens terrains de Radio-Canada et de la brasserie Molson. Le Ville veut attendre la fin des consultations, quand elle aura un meilleur aperçu des besoins du quartier, notamment en matière de patrimoine, pour se prononcer. Du côté du Conseil du patrimoine de Montréal, on se garde aussi de faire des commentaires, même si ce conseil est l'héritier de la Commission Jacques-Viger qui était intervenue en 1963 pour sauver la maison. La ramener? De son côté, l'ancien membre du Conseil du patrimoine, Bernard Vallée, n'hésite pas à prendre position. Il se dit en faveur d'une reconstruction dans le secteur d'origine de la maison, s'il s'agit de la seule façon d'en assurer la préservation et la mise en valeur. Il faudrait éviter une reconstitution, mais plutôt considérer une reconstruction en l'état actuel de ruine qui commémorerait la maison d'origine, probablement la plus ancienne à Montréal, tout en témoignant de sa triste histoire depuis son déplacement, en 1963, lors du bulldozage du Faubourg à m'lasse. On devrait effectuer cette réinstallation sur le site précis d'origine. Bernard Vallée, ancien membre du Conseil du patrimoine de Montréal et membre du collectif de Montréal Explorations Une réinstallation symbolique, poursuit-il, permettrait de commémorer le désastre patrimonial et social causé par la destruction de l’ancien Faubourg à m’lasse et l’expulsion brutale de ses 2640 résidents. En prenant position, Bernard Vallée rappelle aussi avec ironie que le terrain d'origine de la maison Lacroix n'a finalement jamais été utilisé lors de la construction de Radio-Canada. Elle était située sur les abords gazonnés de l'actuelle tour, un endroit devenu... un espace vert. Héritage Montréal ne voit pas les choses de la même façon. Le directeur des politiques de l'organisme, Dinu Bumbaru, croit que la maison Lacroix a perdu son authenticité en étant démontée et reconstruite à Carignan. « À la limite, dans le cadre d'un projet privé sur un lot du quartier. Il n'y a pas, dit-il, que les immenses projets de réaffectation des terrains de Radio-Canada et de la Molson. » Est-ce qu'on parle de patrimoine authentique ou vraiment d'un récit fascinant? Moi, je pense que c'est davantage un récit. Et vous savez, en 2019, on est confronté à d'énormes décisions, choix, en matière de patrimoine. Alors nous, à Héritage, on préfère favoriser le patrimoine réel et authentique qui a des besoins immenses, par rapport à des situations un petit peu limite comme ça. Dinu Bumbaru, directeur des politiques à Héritage Montréal La maison Hubert-Lacroix à Carignan Photo : Radio-Canada / René Saint-Louis L'architecte Pierre Corriveau croit justement que la maison est peut-être plus pertinente pour remémorer quelque chose dans son emplacement actuel à Carignan que si on la retransportait à Montréal. La ramener serait de la « disneyfication » patrimoniale, dit-il. « Vous regardez cette maison-là, le plan d'eau devant, vous avez l'impression d'être en Nouvelle-France carrément. On dirait qu'il y a un morceau de notre histoire, de notre passé, qui est comme préservé. Et qui est désastreusement à l'abandon, c'est un fait. »
  23. Mea Culpa ! J'avais espoir d'une annonce pour bientôt... https://www.lapresse.ca/actualites/grand-montreal/201906/10/01-5229583-nouveau-pont-champlain-toujours-pas-de-date-douverture.php Publié le 10 juin 2019 à 15h55 | Mis à jour à 17h37 Nouveau pont Champlain: toujours pas de date d'ouverture https://production.smedia.lvp.llnw.net/e1b3e24ecb944abd8f4ed823a0b76ddc/D5/7KOjs-5SVYx7C7kvcdWRcuGfrYv3168x-FxaslqZc/pont-champlain--2-.mp4?x=0&h=189b8b6acf26065881b27bc70bb2c719 PIERRE SAINT-ARNAUD La Presse canadienne La date d'ouverture du nouveau pont Champlain, toujours promise pour le mois de juin, demeure un mystère. De passage à Montréal, lundi, le ministre fédéral de l'Infrastructure, François-Philippe Champagne, était toujours incapable de dire à quel moment le nouveau pont Samuel-de-Champlain accueillera ses premiers automobilistes, bien qu'il maintienne son échéancier. «Ça s'en vient dans les prochaines semaines; on avait dit la fin de juin 2019», a-t-il rappelé aux journalistes. Il a cependant été incapable de donner l'assurance d'une ouverture complète avant la fin du mois et la possibilité d'une ouverture officielle, mais partielle, demeure fort plausible. «Pour l'instant, je vais m'en tenir à ce qu'on s'était engagé, c'est-à-dire qu'il soit ouvert», a prudemment avancé M. Champagne, rappelant que la planification des travaux prévoit l'ouverture dans une direction et un accès complet avec l'ouverture dans l'autre direction deux semaines plus tard. «L'ouverture du pont Samuel-de-Champlain a toujours été conçue en deux étapes, c'est-à-dire qu'il faut ouvrir le tronçon nord ou sud un avant l'autre parce qu'évidemment, de la façon dont le pont a été construit, il faut transférer certains équipements», a-t-il dit. Le ministre Champagne a par ailleurs réitéré que le consortium Signature sur le Saint-Laurent (SSL) s'expose à de lourdes pénalités en raison du retard sur l'échéancier initial. «Il y a des retards, donc il y aura des conséquences.» Le contrat de 4,2 milliards octroyé par le ministre conservateur Denis Lebel prévoyait une livraison au mois de décembre 2018. Les pénalités prévues au contrat ne sont pas banales: il y est question de 100 000 $ par jour de retard pour les sept premiers jours et de 400 000 $ par jour pour les suivants, avec un plafond de 150 millions. Une ouverture en juin signifierait donc, selon certains analystes, une pénalité de 75 millions, mais il est acquis que l'entrepreneur invoquera une série de raisons pour justifier le retard - du moins en partie - et le ministre Champagne n'a pas voulu s'avancer sur les montants en jeu devant la possibilité de recours multiples devant les tribunaux. «Ces discussions pourront peut-être éventuellement faire l'objet de contestations judiciaires. Ce n'est pas anormal dans des grands projets comme ceux-là. Au gouvernement fédéral, on veut être justes et équitables envers le consortium SSL, mais on va faire valoir évidemment nos droits et faire respecter les obligations du constructeur», a-t-il dit.
  24. Chuck-A

    Autoroute 35

    C'est officiel (pour la phase 3) ! https://www.canada.ca/fr/bureau-infrastructure/nouvelles/2019/06/le-canada-et-le-quebec-appuient-le-developpement-dun-reseau-routier-plus-efficace-entre-la-monteregie-et-les-etats-unis.html Le Canada et le Québec appuient le développement d’un réseau routier plus efficace entre la Montérégie et les États-Unis De : Infrastructure Canada Communiqué de presse Pike River (Québec), le 10 juin 2019. — Des réseaux routiers sécuritaires et efficaces sont essentiels à la productivité économique et à la préservation de la qualité de vie de tous les Québécois. Ainsi, les gouvernements du Canada et du Québec investissent dans les infrastructures de transport sur l’ensemble du territoire québécois afin d’améliorer la circulation pour l’ensemble des usagers et des marchandises. Le ministre de l’Infrastructure et des Collectivités, l’honorable François-Philippe Champagne, le ministre des Transports du Canada, l’honorable Marc Garneau, le député fédéral de Saint-Jean, M. Jean Rioux, le député fédéral de Brome — Missisquoi, M. Denis Paradis, le ministre responsable de l’Administration gouvernementale et président du Conseil du trésor et ministre responsable de la région de la Montérégie, M. Christian Dubé, au nom du ministre des Transports du Québec et ministre responsable de la région de l’Estrie, M. François Bonnardel, et le député de Saint-Jean à l’Assemblée nationale, M. Louis Lemieux, ont annoncé aujourd’hui le financement, par les gouvernements du Canada et du Québec, de la troisième phase du prolongement de l’autoroute 35. Ce projet a pour objectifs de faciliter les déplacements de l’ensemble des usagers et d’améliorer la sécurité routière et la qualité de vie des résidents des agglomérations traversées par la route 133. Le corridor Montréal-Boston est actuellement desservi par des autoroutes, à l’exception d’un tronçon de 13,4 kilomètres sur la route 133. La troisième phase du projet prévoit ainsi la construction d’un segment d’autoroute de 8,9 kilomètres entre l’échangeur de la route 133 à Saint-Sébastien et l’échangeur situé au nord de Saint-Armand. Ce segment comprendra deux voies par direction sur deux chaussées séparées. Une quatrième et dernière phase de 4,5 km jusqu’à la frontière américaine viendra compléter ce lien autoroutier. Ainsi, une fois terminé, le projet permettra d’établir un lien direct entre l’autoroute 35 et l’autoroute inter-États 89 (Interstate 89), un corridor clé entre le Québec et la Nouvelle-Angleterre, réduisant la distance à parcourir et favorisant le développement économique durable. Le gouvernement du Canada versera une contribution maximale de l’ordre de 82 millions de dollars pour la phase III du projet. Cette aide financière provient du Nouveau Fonds Chantiers Canada – volet Infrastructures provinciales-territoriales – Projets nationaux et régionaux. Le coût global de la troisième phase du projet, et par conséquent, l’investissement du gouvernement du Québec, sera précisé au terme de l’étape de planification prévue dans la Directive sur la gestion des projets majeurs d’infrastructure publique du Québec. Citations « Je suis très heureux de cet investissement dans le prolongement de l’autoroute 35 qui joue un rôle clé dans les échanges commerciaux avec la Nouvelle-Angleterre, appuyant ainsi un commerce international fiable et efficace. Le nouveau tronçon est un pas de plus vers la réalisation d’un lien autoroutier ininterrompu entre Montréal et Boston, ce qui permettra d’assurer la mobilité durable des gens et des marchandises. Nous aidons ainsi à mettre en place les conditions idéales à une croissance à long terme et à bâtir des collectivités fortes et compétitives pour des générations à venir. » Le ministre de l’Infrastructure et des Collectivités, l’honorable François-Philippe Champagne « C’est un plaisir d’être ici aujourd’hui pour annoncer que la troisième phase du prolongement de l’autoroute 35 va de l’avant. L’amélioration de la qualité des infrastructures de transport du Canada et de l’efficacité du corridor commercial entre Montréal et les États-Unis contribuera à assurer la compétitivité de notre réseau de transport. Cela contribuera également à rendre le réseau routier plus sûr et plus efficace pour les résidents, les voyageurs et tous les Canadiens. » Le ministre des Transports du Canada, l’honorable Marc Garneau « Je suis ravi de souligner la construction de ce nouveau tronçon qui assurera un lien plus direct entre l’autoroute 35 et la frontière américaine. C’est une excellente nouvelle pour la qualité de vie des familles qui vivent aux abords de la route 133 ainsi que pour notre développement économique régional. Nous avons de l’ambition pour nos régions et nous sommes fiers d’investir pour assurer leur prospérité à long terme. » Le député fédéral de Saint-Jean, M. Jean Rioux « L’autoroute 35 est une artère d’importance pour les échanges commerciaux et touristiques avec les États-Unis. Son prolongement sera également bénéfique pour l’ensemble des citoyennes et citoyens de la Montérégie et contribuera au développement économique du Québec. » Le ministre responsable de l’Administration gouvernementale et président du Conseil du trésor et ministre responsable de la région de la Montérégie, M. Christian Dubé « Sur l’ensemble du territoire québécois, nous investissons dans des infrastructures de transport afin d’améliorer la mobilité des personnes et des marchandises. Avec le prolongement attendu de l’autoroute 35, votre gouvernement contribue concrètement à l’amélioration de l’efficacité et de la sécurité de notre réseau autoroutier. » Le ministre des Transports du Québec et ministre responsable de la région de l’Estrie, M. François Bonnardel « Je suis heureux de m’associer à cette annonce positive pour notre région. En plus d’améliorer la qualité de vie des riverains de la route 133 et de la population des municipalités environnantes, le prolongement de l’autoroute 35 représente un magnifique levier de développement local et régional et contribuera positivement à l’essor de nos communautés. » Le député de Saint-Jean à l’Assemblée nationale, M. Louis Lemieux Faits en bref Par l’entremise du plan d’infrastructure Investir dans le Canada, le gouvernement du Canada investit plus de 180 milliards de dollars sur une période de 12 ans dans le transport en commun, dans les infrastructures vertes et sociales, dans les infrastructures de transport à l’appui du commerce ainsi que dans les collectivités rurales et nordiques du Canada. De cette somme, plus de 10,1 milliards de dollars sont consacrés à des projets visant le commerce et le transport, ce qui inclut 5 milliards de dollars disponibles aux fins d’investissements par l’entremise de la Banque de l’infrastructure du Canada. Le budget de 2019, Investir dans la classe moyenne, est le plan établi par le gouvernement pour créer plus d’emplois bien rémunérés, permettre à plus de Canadiens d’acheter une propriété, aider les travailleurs à obtenir la formation dont ils ont besoin pour réussir, soutenir les aînés et jeter les bases d’un programme national d’assurance-médicaments. Étant donné que de nombreuses municipalités à l’échelle du Canada sont confrontées à d’importants besoins en matière d’infrastructure, le budget de 2019 propose un transfert ponctuel de 2,2 milliards de dollars par l’intermédiaire du Fonds de la taxe sur l’essence fédéral pour répondre aux priorités à court terme des municipalités et des collectivités des Premières Nations. Le Plan québécois des infrastructures (PQI) prévoit des investissements de 115,4 milliards de dollars sur la période 2019-2029 pour le maintien et le développement des infrastructures publiques, une hausse de 15 % comparativement au précédent exercice. Des investissements substantiels sont programmés pour le réseau routier, soit plus de 24,5 milliards de dollars. En ce qui concerne les transports collectifs, 9 milliards de dollars sont inscrits au PQI, auxquels s’ajoute un montant de 4,3 milliards provenant de l’enveloppe centrale pour des projets qui seront éventuellement priorisés parmi ceux à l’étude. À ces sommes s’ajoute l’investissement de 1,3 milliard de dollars du gouvernement du Québec pour le Réseau express métropolitain (REM), portant l’investissement total en transport collectif à 14,6 milliards, soit le plus important montant jamais annoncé. La phase III du projet de prolongement de l’autoroute 35, d’une longueur de 8,9 km, est située entre l’échangeur situé à la jonction de l’autoroute 35 et de la route 133 à Saint‑Sébastien et le nord de Saint-Armand. Les phases I et II ont été mises en service en 2014 et relient Saint-Jean-sur-Richelieu à Saint-Sébastien. Pour leur réalisation, le gouvernement du Canada a investi une somme de 44 millions de dollars et le gouvernement du Québec a offert un financement de près de 200 millions de dollars.
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