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Chuck-A

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Tout ce qui a été posté par Chuck-A

  1. Le plus grand parc urbain du Canada prend forme à Montréal Publié il y a 3 minutes Le parc-nature de l'Anse-à-l'Orme fait partie du projet de « Grand parc de l'Ouest » de la Ville de Montréal. Photo: CBC Julie Marceau L'administration de Valérie Plante avait évoqué son désir de faire un parc urbain dans l’ouest de l’île, et le projet prend de l’ampleur ces jours-ci. Le « Grand parc de l’Ouest » ferait 3000 hectares de superficie, soit 1600 nouveaux hectares d’aires protégées. Il deviendrait la plus grande étendue verte urbaine au pays et l’un des plus grands parcs agricoles municipaux au monde. Des négociations sont en cours avec Ottawa pour financer le projet, a aussi appris Radio-Canada. Ce grand parc reliant l'île Bizard au parc-nature du Cap-Saint-Jacques, en passant par le parc-nature de l'Anse-à-l'Orme, le parc-agricole du Bois-de-la-Roche et l'arboretum Morgan, aurait huit fois la taille de Central Park, à New York, et quatre fois celle du parc du Mont-Royal, selon un document obtenu par Radio-Canada. D'une superficie de 3000 hectares, le « Grand parc de l'Ouest » relierait quatre parcs existants ainsi que des aires protégées sur l'île Bizard. Photo : Radio-Canada Le projet comprend des fermes de production maraîchère biologique, des sentiers de randonnée pour piétons et cyclistes ainsi qu’un lien fluvial reliant l’île Bizard à Pierrefonds-Ouest. Selon nos informations, des essais avec une navette fluviale doivent d’ailleurs être réalisés cet été. De passage à Montréal cette semaine pour une annonce de financement de bassins de rétention pour réduire les risques d’inondation à Montréal, le ministre fédéral de l'Infrastructure et des Collectivités, François-Philippe Champagne, n’a pas caché l’intérêt de son gouvernement pour ce dossier. « C'est un projet qui m'interpelle. Ce que j'aime avec la mairesse Plante c'est qu'on voit grand [...] On va regarder le projet avec beaucoup d'attention », a affirmé M. Champagne. Je m’inscris avec la mairesse Plante dans cette vision plus verte de Montréal : utiliser des infrastructures naturelles pour nous aider à nous adapter aux changements climatiques et aux catastrophes naturelles. François-Philippe Champagne, ministre fédéral de l'Infrastructure et des Collectivités Un obstacle pour la Ville : des promoteurs immobiliers réticents Le projet immobilier a été lancé sous l'administration du maire Gérald Tremblay. Photo : http://www.cap-nature.ca/cap-nature L’administration Plante fait toutefois face à un obstacle. Une partie des terrains du futur « Grand parc de l’Ouest » appartient aux promoteurs immobiliers de Cap-Nature. Le projet, lancé sous l’administration de Gérald Tremblay, prévoit la construction de 5500 unités d’habitation. Il a été modifié plusieurs fois, et la dernière version comprend des écoles, des garderies, des logements sociaux, des terrains sportifs et une zone de conservation de 180 hectares. « Pendant 14 ans, la Ville de Montréal a été l'initiateur, le maître d'œuvre de ça [...] et là aujourd'hui on vient nous voir pour nous dire, bien vos terrains, il y a les écologistes qui disent on veut que vous les conserviez? Moi ça fait 14 ans que la Ville me dit de les développer! », dénonce Marie-Pierre Durand, présidente des Immeubles L'Équerre et représentante du groupe de promoteurs. Marie-Pierre Durand, présidente des Immeubles L'Équerre et représentante du groupe de promoteurs du projet Cap-Nature. Photo : Radio-Canada Selon des images obtenues par Radio-Canada, une partie des terrains de Cap-Nature ont été inondés ce printemps, comme cela a été le cas en 2017. La topographie du secteur illustre que les zones à l'ouest du développement immobilier sont également moins élevées par rapport au niveau du lac des Deux-Montagnes et plus sujettes aux inondations, de l’avis d’experts, notamment autour du cours d'eau de l'Anse-à-l'Orme. Des photos obtenues par Radio-Canada et datant du mois d’avril 2019 ont été prises dans le secteur du Ruisseau A qui débordait. Les promoteurs prévoient dans leur projet protéger trois principaux milieux humides : le marais Lauzon, le marais 90 et le Ruisseau A. Photo : Radio-Canada Des écologistes et des groupes de citoyens qui défendent la conservation de ces terrains depuis plusieurs années font valoir qu’il s’agit d’une barrière naturelle contre les inondations qui contient une biodiversité considérable (122 types d’oiseaux, dont certains « rares », 16 catégories de reptiles et d’amphibiens et près de 300 espèces végétales). L’hydrogéomorphologue Pascale Biron, qui étudie le fonctionnement naturel des cours d’eau au Québec, est sans équivoque sur l’importance de préserver entièrement de tels sites naturels en milieu urbain. Les milieux humides, c’est bien connu que ça sert d’éponge. D’où l’importance de les préserver, surtout dans des secteurs urbanisés comme autour de Montréal, où il y en a très peu. Pascale Biron, hydrogéomorphologue « Une approche hydrogéomorphologique bien reconnue ailleurs dans le monde se base sur les niveaux réellement atteints par l’eau. À partir du moment où on se sert de ça comme une façon de cartographier les zones inondables, c’est indéniable que les secteurs où on voit de l’eau sont en zone inondable », affirme celle qui est aussi professeure et directrice du Département de géographie, urbanisme et environnement à l’Université Concordia. À lire aussi :Montréal achète un autre terrain pour agrandir le parc-nature de l'Anse-à-l'Orme Les promoteurs du projet Cap-Nature rétorquent que leurs terrains n'ont jamais été inondés et ils affirment avoir réalisé leurs propres inspections. Ils ajoutent en outre que l'élimination de plus petits milieux humides et la préservation des trois principaux répondent aux exigences des précédentes administrations municipales ainsi qu’à celles du ministère québécois de l'Environnement. « Si on a travaillé pendant 14 ans avec la Ville de Montréal, c’est parce que c’était un bon projet et on continue de penser que c’est un très bon projet qui répond aux besoins des citoyens de la Ville de Montréal, un projet qui est très écologique, très vert. On a mis énormément d’argent dans ce projet-là parce qu’on y croyait et il est toujours pertinent », affirme Marie-Pierre Durand. « C'est un projet qui répond aux demandes des gens de la ville de Montréal d'avoir un endroit pour vivre. Un endroit d'assez haute densité, soit de 35 à 50 logements l'hectare. Par ce projet-là, on éviterait l'exode urbain au lieu d'aller dans la deuxième et troisième couronne autour de Montréal », fait valoir l’architecte de Cap-Nature, Luc Denis. Les terrains appartenant aux quatre promoteurs du projet Cap-Nature (Groupe immobilier Grilli inc, Développement Pierrefonds, Les immeubles l’Équerre et Quartier de l’ouest de l’île S.E.N.C. L’entreprise HPFCO, qui possède toujours un lot, s’est retirée du dossier selon Mme Durand). Photo : Ville de Montréal Le maire de l'arrondissement de Pierrefonds-Roxboro, Jim Beis, qui était en faveur du développement immobilier sous l'administration Coderre, croit aujourd’hui que le projet de parc est une « bonne idée », selon ce qu'il en coûtera à la Ville pour indemniser les promoteurs. « Imaginez 360 hectares, ce que ça représente au niveau des coûts! [...] Je ne sais pas si une analyse a été faite pour le coût associé à l'achat ou l'expropriation de ces terrains-là. [...] Est-ce que ça va coûter 100 millions, 200 millions, 400 millions, 500 millions un demi-milliard? On ne sait pas, il faut faire cette analyse-là! », souligne-t-il. Marie-Pierre Durand n’a pas voulu dire si le groupe de promoteurs (Groupe immobilier Grilli inc., Développement Pierrefonds, Les immeubles l’Équerre et Quartier de l’ouest de l’île S.E.N.C) souhaite intenter des procédures judiciaires. « C’est quelque chose qu’on regarde, mais on n’a pas statué. [...] On regarde ce qu’on va faire pour l’avenir. [...] On a l’intention de le faire [le projet] et de prendre des mesures pour le faire », s’est limitée à dire l’entrepreneure immobilière. La Ville ne construira pas d'infrastructures De son côté, la mairesse Valérie Plante dit privilégier la négociation. « Pour l’instant, la Ville n’a pas l’intention de desservir ces terrains en infrastructures, ils sont donc non-développables », a-t-elle fait savoir par courriel. Selon elle, ces terrains ont permis de réduire l'impact des inondations du printemps dernier. « De façon plus générale, on voit clairement que ce site est une zone qui a été inondée et ça démontre que cet espace vert agit comme éponge pour l'ensemble du secteur lorsqu'il y a des inondations. On peut imaginer que sans ce bassin de rétention naturel, la situation aurait été beaucoup plus critique ce printemps », écrit-elle. Le projet de développement Cap-Nature prévoit la construction de résidences tout autour des milieux humides protégés, dont le Ruisseau A. Photo : Marie-Pierre Durand/projet Cap-Nature https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1182299/grand-parc-ouest-promoteurs-cap-nature
  2. Certaines dispositions sur la sécurité sur le Mont-Royal commenceront demain...
  3. Pour ne pas oublier une page de notre passé ! Son présent est plutôt triste... Quel futur peut-on lui réserver ? https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1162470/maison-hubert-lacroix-radio-canada-patrimoine?depuisRecherche=true L'incroyable histoire de la maison Lacroix Publié le vendredi 5 avril 2019 à 18 h 50 | Mis à jour le lundi 10 juin 2019 à 23 h 27 La maison Hubert-Lacroix en novembre 1963, soit juste après la destruction du Faubourg à M'lasse. Photo: Archives de la Ville de Montréal René Saint-Louis La saga de la plus ancienne maison de ferme de Montréal est à la fois belle et triste. Belle, parce qu'elle a été sauvée de la démolition grâce à des dons du public. Triste, parce qu'elle croupit depuis dans un champ. Elle témoigne de notre rapport complexe au patrimoine. Tout commence en 1963. Tout un quartier de Montréal, le Faubourg à m'lasse, tombe sous le pic des démolisseurs. Mais, dans une cour intérieure, non visible de la rue, un bâtiment détonne. Il s'agit d'une maison à un étage et demi, coiffée d'un toit à deux versants. Ses murs et sa cheminée sont en pierre des champs, la maçonnerie a une épaisseur d'un mètre. Rien à voir avec les autres maisons du faubourg, qui sont en bois et en briques. Nul doute, il s'agit d'une maison du régime français. La découverte fait la une des journaux. On en parle à la radio et à la télévision. On remonte les titres de propriété jusqu'à un certain Hubert dit Lacroix, marchand de fourrure, qui aurait reçu le terrain en 1665 du fondateur de Montréal, Paul de Chomedey de Maisonneuve. La maison a été construite vers 1690. Sauvetage La Ville de Montréal, la Commission Jacques-Viger et la Commission des monuments historiques de la province de Québec interviennent pour la sauver. Frileux à l'idée de dépenser l'argent des contribuables pour préserver la maison, on lance une campagne publique de financement. Les 10 000 $ amassés seront suffisants pour démonter la maison pierre par pierre et la reconstruire ailleurs. Où? La Commission Jacques-Viger, l'ancêtre du Conseil du patrimoine de Montréal, songe au Vieux-Montréal. Mais la maison de ferme ne cadre pas dans le décor composé d'immeubles en pierres de taille et non en simples pierres des champs. On juge qu'elle serait davantage à sa place à la campagne. Cela tombe bien parce que naît, à cette époque, le Village historique Jacques-de-Chambly, situé à Carignan, en Montérégie. Il s'agit d'un projet similaire au Village québécois d'antan de Drummondville, au village Canadiana, à Rawdon, ou encore au Upper Canada Village, en Ontario. La maison est reconstruite à Carignan où d'autres maisons, classées monuments historiques, sont aussi déménagées. En 1964, le Village historique Jacques-de-Chambly est même décrété arrondissement historique par le gouvernement du Québec. Mais l'aventure est de courte durée. Faute de visiteurs, dès 1967, c'est la faillite. Les maisons historiques sont vendues à des particuliers et seront ainsi habitées et sauvées, du moins pour celles qui sont classées. Ce n'est pas le cas de la maison Hubert-Lacroix, qui va sombrer dans l'oubli, abandonnée dans un champ depuis 55 ans. Photo Credits: Before Bibliothèque et archives nationales du Québec After Marc-André Gendron Et maintenant? À moins d'un an du déménagement de Radio-Canada et au moment où se tiennent des consultations publiques sur l'avenir du secteur des Faubourgs, il est temps de se pencher à nouveau sur le triste sort de la maison Lacroix. Le Groupe Mach, nouveau propriétaire de la tour de Radio-Canada et de ses terrains, a pris connaissance du dossier. Le promoteur immobilier ne souhaite pas la rapatrier, en raison des coûts élevés d'un tel projet. Le vice-président développement de l'entreprise, Christopher Sweetnam-Holmes, souligne cependant qu'une « grande surface » de l'actuel terrain sera cédée à la Ville pour en faire un parc ou une place publique. Peut-être qu'il y a une possibilité de lui trouver un emplacement ou une façon, soit physique ou une commémoration, de trouver sa place dans un parc public, par exemple. Ça peut être une bonne façon de commémoration. Christopher Sweetnam-Holmes, vice-président développement, Groupe Mach M. Sweetnam-Holmes ne veut pas se prononcer sur l'importance de sauver la maison. « Cela a été fait par le passé, dit-il, ce n'est pas utopique, mais il faut voir s'il y a un intérêt. » L'administration de la mairesse Valérie Plante n'a pas voulu commenter le dossier en raison des consultations publiques qui se déroulent justement, en ce moment, sur l'avenir du secteur des Faubourgs qui comprend les anciens terrains de Radio-Canada et de la brasserie Molson. Le Ville veut attendre la fin des consultations, quand elle aura un meilleur aperçu des besoins du quartier, notamment en matière de patrimoine, pour se prononcer. Du côté du Conseil du patrimoine de Montréal, on se garde aussi de faire des commentaires, même si ce conseil est l'héritier de la Commission Jacques-Viger qui était intervenue en 1963 pour sauver la maison. La ramener? De son côté, l'ancien membre du Conseil du patrimoine, Bernard Vallée, n'hésite pas à prendre position. Il se dit en faveur d'une reconstruction dans le secteur d'origine de la maison, s'il s'agit de la seule façon d'en assurer la préservation et la mise en valeur. Il faudrait éviter une reconstitution, mais plutôt considérer une reconstruction en l'état actuel de ruine qui commémorerait la maison d'origine, probablement la plus ancienne à Montréal, tout en témoignant de sa triste histoire depuis son déplacement, en 1963, lors du bulldozage du Faubourg à m'lasse. On devrait effectuer cette réinstallation sur le site précis d'origine. Bernard Vallée, ancien membre du Conseil du patrimoine de Montréal et membre du collectif de Montréal Explorations Une réinstallation symbolique, poursuit-il, permettrait de commémorer le désastre patrimonial et social causé par la destruction de l’ancien Faubourg à m’lasse et l’expulsion brutale de ses 2640 résidents. En prenant position, Bernard Vallée rappelle aussi avec ironie que le terrain d'origine de la maison Lacroix n'a finalement jamais été utilisé lors de la construction de Radio-Canada. Elle était située sur les abords gazonnés de l'actuelle tour, un endroit devenu... un espace vert. Héritage Montréal ne voit pas les choses de la même façon. Le directeur des politiques de l'organisme, Dinu Bumbaru, croit que la maison Lacroix a perdu son authenticité en étant démontée et reconstruite à Carignan. « À la limite, dans le cadre d'un projet privé sur un lot du quartier. Il n'y a pas, dit-il, que les immenses projets de réaffectation des terrains de Radio-Canada et de la Molson. » Est-ce qu'on parle de patrimoine authentique ou vraiment d'un récit fascinant? Moi, je pense que c'est davantage un récit. Et vous savez, en 2019, on est confronté à d'énormes décisions, choix, en matière de patrimoine. Alors nous, à Héritage, on préfère favoriser le patrimoine réel et authentique qui a des besoins immenses, par rapport à des situations un petit peu limite comme ça. Dinu Bumbaru, directeur des politiques à Héritage Montréal La maison Hubert-Lacroix à Carignan Photo : Radio-Canada / René Saint-Louis L'architecte Pierre Corriveau croit justement que la maison est peut-être plus pertinente pour remémorer quelque chose dans son emplacement actuel à Carignan que si on la retransportait à Montréal. La ramener serait de la « disneyfication » patrimoniale, dit-il. « Vous regardez cette maison-là, le plan d'eau devant, vous avez l'impression d'être en Nouvelle-France carrément. On dirait qu'il y a un morceau de notre histoire, de notre passé, qui est comme préservé. Et qui est désastreusement à l'abandon, c'est un fait. »
  4. Mea Culpa ! J'avais espoir d'une annonce pour bientôt... https://www.lapresse.ca/actualites/grand-montreal/201906/10/01-5229583-nouveau-pont-champlain-toujours-pas-de-date-douverture.php Publié le 10 juin 2019 à 15h55 | Mis à jour à 17h37 Nouveau pont Champlain: toujours pas de date d'ouverture https://production.smedia.lvp.llnw.net/e1b3e24ecb944abd8f4ed823a0b76ddc/D5/7KOjs-5SVYx7C7kvcdWRcuGfrYv3168x-FxaslqZc/pont-champlain--2-.mp4?x=0&h=189b8b6acf26065881b27bc70bb2c719 PIERRE SAINT-ARNAUD La Presse canadienne La date d'ouverture du nouveau pont Champlain, toujours promise pour le mois de juin, demeure un mystère. De passage à Montréal, lundi, le ministre fédéral de l'Infrastructure, François-Philippe Champagne, était toujours incapable de dire à quel moment le nouveau pont Samuel-de-Champlain accueillera ses premiers automobilistes, bien qu'il maintienne son échéancier. «Ça s'en vient dans les prochaines semaines; on avait dit la fin de juin 2019», a-t-il rappelé aux journalistes. Il a cependant été incapable de donner l'assurance d'une ouverture complète avant la fin du mois et la possibilité d'une ouverture officielle, mais partielle, demeure fort plausible. «Pour l'instant, je vais m'en tenir à ce qu'on s'était engagé, c'est-à-dire qu'il soit ouvert», a prudemment avancé M. Champagne, rappelant que la planification des travaux prévoit l'ouverture dans une direction et un accès complet avec l'ouverture dans l'autre direction deux semaines plus tard. «L'ouverture du pont Samuel-de-Champlain a toujours été conçue en deux étapes, c'est-à-dire qu'il faut ouvrir le tronçon nord ou sud un avant l'autre parce qu'évidemment, de la façon dont le pont a été construit, il faut transférer certains équipements», a-t-il dit. Le ministre Champagne a par ailleurs réitéré que le consortium Signature sur le Saint-Laurent (SSL) s'expose à de lourdes pénalités en raison du retard sur l'échéancier initial. «Il y a des retards, donc il y aura des conséquences.» Le contrat de 4,2 milliards octroyé par le ministre conservateur Denis Lebel prévoyait une livraison au mois de décembre 2018. Les pénalités prévues au contrat ne sont pas banales: il y est question de 100 000 $ par jour de retard pour les sept premiers jours et de 400 000 $ par jour pour les suivants, avec un plafond de 150 millions. Une ouverture en juin signifierait donc, selon certains analystes, une pénalité de 75 millions, mais il est acquis que l'entrepreneur invoquera une série de raisons pour justifier le retard - du moins en partie - et le ministre Champagne n'a pas voulu s'avancer sur les montants en jeu devant la possibilité de recours multiples devant les tribunaux. «Ces discussions pourront peut-être éventuellement faire l'objet de contestations judiciaires. Ce n'est pas anormal dans des grands projets comme ceux-là. Au gouvernement fédéral, on veut être justes et équitables envers le consortium SSL, mais on va faire valoir évidemment nos droits et faire respecter les obligations du constructeur», a-t-il dit.
  5. Chuck-A

    Autoroute 35

    C'est officiel (pour la phase 3) ! https://www.canada.ca/fr/bureau-infrastructure/nouvelles/2019/06/le-canada-et-le-quebec-appuient-le-developpement-dun-reseau-routier-plus-efficace-entre-la-monteregie-et-les-etats-unis.html Le Canada et le Québec appuient le développement d’un réseau routier plus efficace entre la Montérégie et les États-Unis De : Infrastructure Canada Communiqué de presse Pike River (Québec), le 10 juin 2019. — Des réseaux routiers sécuritaires et efficaces sont essentiels à la productivité économique et à la préservation de la qualité de vie de tous les Québécois. Ainsi, les gouvernements du Canada et du Québec investissent dans les infrastructures de transport sur l’ensemble du territoire québécois afin d’améliorer la circulation pour l’ensemble des usagers et des marchandises. Le ministre de l’Infrastructure et des Collectivités, l’honorable François-Philippe Champagne, le ministre des Transports du Canada, l’honorable Marc Garneau, le député fédéral de Saint-Jean, M. Jean Rioux, le député fédéral de Brome — Missisquoi, M. Denis Paradis, le ministre responsable de l’Administration gouvernementale et président du Conseil du trésor et ministre responsable de la région de la Montérégie, M. Christian Dubé, au nom du ministre des Transports du Québec et ministre responsable de la région de l’Estrie, M. François Bonnardel, et le député de Saint-Jean à l’Assemblée nationale, M. Louis Lemieux, ont annoncé aujourd’hui le financement, par les gouvernements du Canada et du Québec, de la troisième phase du prolongement de l’autoroute 35. Ce projet a pour objectifs de faciliter les déplacements de l’ensemble des usagers et d’améliorer la sécurité routière et la qualité de vie des résidents des agglomérations traversées par la route 133. Le corridor Montréal-Boston est actuellement desservi par des autoroutes, à l’exception d’un tronçon de 13,4 kilomètres sur la route 133. La troisième phase du projet prévoit ainsi la construction d’un segment d’autoroute de 8,9 kilomètres entre l’échangeur de la route 133 à Saint-Sébastien et l’échangeur situé au nord de Saint-Armand. Ce segment comprendra deux voies par direction sur deux chaussées séparées. Une quatrième et dernière phase de 4,5 km jusqu’à la frontière américaine viendra compléter ce lien autoroutier. Ainsi, une fois terminé, le projet permettra d’établir un lien direct entre l’autoroute 35 et l’autoroute inter-États 89 (Interstate 89), un corridor clé entre le Québec et la Nouvelle-Angleterre, réduisant la distance à parcourir et favorisant le développement économique durable. Le gouvernement du Canada versera une contribution maximale de l’ordre de 82 millions de dollars pour la phase III du projet. Cette aide financière provient du Nouveau Fonds Chantiers Canada – volet Infrastructures provinciales-territoriales – Projets nationaux et régionaux. Le coût global de la troisième phase du projet, et par conséquent, l’investissement du gouvernement du Québec, sera précisé au terme de l’étape de planification prévue dans la Directive sur la gestion des projets majeurs d’infrastructure publique du Québec. Citations « Je suis très heureux de cet investissement dans le prolongement de l’autoroute 35 qui joue un rôle clé dans les échanges commerciaux avec la Nouvelle-Angleterre, appuyant ainsi un commerce international fiable et efficace. Le nouveau tronçon est un pas de plus vers la réalisation d’un lien autoroutier ininterrompu entre Montréal et Boston, ce qui permettra d’assurer la mobilité durable des gens et des marchandises. Nous aidons ainsi à mettre en place les conditions idéales à une croissance à long terme et à bâtir des collectivités fortes et compétitives pour des générations à venir. » Le ministre de l’Infrastructure et des Collectivités, l’honorable François-Philippe Champagne « C’est un plaisir d’être ici aujourd’hui pour annoncer que la troisième phase du prolongement de l’autoroute 35 va de l’avant. L’amélioration de la qualité des infrastructures de transport du Canada et de l’efficacité du corridor commercial entre Montréal et les États-Unis contribuera à assurer la compétitivité de notre réseau de transport. Cela contribuera également à rendre le réseau routier plus sûr et plus efficace pour les résidents, les voyageurs et tous les Canadiens. » Le ministre des Transports du Canada, l’honorable Marc Garneau « Je suis ravi de souligner la construction de ce nouveau tronçon qui assurera un lien plus direct entre l’autoroute 35 et la frontière américaine. C’est une excellente nouvelle pour la qualité de vie des familles qui vivent aux abords de la route 133 ainsi que pour notre développement économique régional. Nous avons de l’ambition pour nos régions et nous sommes fiers d’investir pour assurer leur prospérité à long terme. » Le député fédéral de Saint-Jean, M. Jean Rioux « L’autoroute 35 est une artère d’importance pour les échanges commerciaux et touristiques avec les États-Unis. Son prolongement sera également bénéfique pour l’ensemble des citoyennes et citoyens de la Montérégie et contribuera au développement économique du Québec. » Le ministre responsable de l’Administration gouvernementale et président du Conseil du trésor et ministre responsable de la région de la Montérégie, M. Christian Dubé « Sur l’ensemble du territoire québécois, nous investissons dans des infrastructures de transport afin d’améliorer la mobilité des personnes et des marchandises. Avec le prolongement attendu de l’autoroute 35, votre gouvernement contribue concrètement à l’amélioration de l’efficacité et de la sécurité de notre réseau autoroutier. » Le ministre des Transports du Québec et ministre responsable de la région de l’Estrie, M. François Bonnardel « Je suis heureux de m’associer à cette annonce positive pour notre région. En plus d’améliorer la qualité de vie des riverains de la route 133 et de la population des municipalités environnantes, le prolongement de l’autoroute 35 représente un magnifique levier de développement local et régional et contribuera positivement à l’essor de nos communautés. » Le député de Saint-Jean à l’Assemblée nationale, M. Louis Lemieux Faits en bref Par l’entremise du plan d’infrastructure Investir dans le Canada, le gouvernement du Canada investit plus de 180 milliards de dollars sur une période de 12 ans dans le transport en commun, dans les infrastructures vertes et sociales, dans les infrastructures de transport à l’appui du commerce ainsi que dans les collectivités rurales et nordiques du Canada. De cette somme, plus de 10,1 milliards de dollars sont consacrés à des projets visant le commerce et le transport, ce qui inclut 5 milliards de dollars disponibles aux fins d’investissements par l’entremise de la Banque de l’infrastructure du Canada. Le budget de 2019, Investir dans la classe moyenne, est le plan établi par le gouvernement pour créer plus d’emplois bien rémunérés, permettre à plus de Canadiens d’acheter une propriété, aider les travailleurs à obtenir la formation dont ils ont besoin pour réussir, soutenir les aînés et jeter les bases d’un programme national d’assurance-médicaments. Étant donné que de nombreuses municipalités à l’échelle du Canada sont confrontées à d’importants besoins en matière d’infrastructure, le budget de 2019 propose un transfert ponctuel de 2,2 milliards de dollars par l’intermédiaire du Fonds de la taxe sur l’essence fédéral pour répondre aux priorités à court terme des municipalités et des collectivités des Premières Nations. Le Plan québécois des infrastructures (PQI) prévoit des investissements de 115,4 milliards de dollars sur la période 2019-2029 pour le maintien et le développement des infrastructures publiques, une hausse de 15 % comparativement au précédent exercice. Des investissements substantiels sont programmés pour le réseau routier, soit plus de 24,5 milliards de dollars. En ce qui concerne les transports collectifs, 9 milliards de dollars sont inscrits au PQI, auxquels s’ajoute un montant de 4,3 milliards provenant de l’enveloppe centrale pour des projets qui seront éventuellement priorisés parmi ceux à l’étude. À ces sommes s’ajoute l’investissement de 1,3 milliard de dollars du gouvernement du Québec pour le Réseau express métropolitain (REM), portant l’investissement total en transport collectif à 14,6 milliards, soit le plus important montant jamais annoncé. La phase III du projet de prolongement de l’autoroute 35, d’une longueur de 8,9 km, est située entre l’échangeur situé à la jonction de l’autoroute 35 et de la route 133 à Saint‑Sébastien et le nord de Saint-Armand. Les phases I et II ont été mises en service en 2014 et relient Saint-Jean-sur-Richelieu à Saint-Sébastien. Pour leur réalisation, le gouvernement du Canada a investi une somme de 44 millions de dollars et le gouvernement du Québec a offert un financement de près de 200 millions de dollars.
  6. Magnifique album; superbes photos ! Merci @Archi Mtl !
  7. Excellente initiative ! Consultation publique prévue par la RTL lundi 17 juin à 19h, au Centre socioculturel Alphonse-Lepage, à Brossard. https://www.tvanouvelles.ca/2019/06/09/plus-de-lignes-dautobus-locales-envisagees-sur-la-rive-sud Plus de lignes d’autobus locales envisagées sur la Rive-Sud Camille Dauphinais-Pelletier | Agence QMI - Agence QMI | Publié le 9 juin 2019 à 18:08 - Mis à jour à 18:14 Archives/Agence QMI Les déplacements en voiture augmentent constamment à l'intérieur de l'agglomération de Longueuil, et l’arrivée du Réseau express métropolitain (REM) pourrait permettre l’ajout de lignes de transport en commun locales. Depuis dix ans, les déplacements motorisés ont augmenté de 10 % dans l’agglomération de Longueuil, et de 30 % dans cette ville et les autres municipalités de la Rive-Sud, affirme Michel Veilleux, directeur général du Réseau de transport de Longueuil (RTL). Il ajoute que la croissance des voitures dans l’agglomération de Longueuil est presque trois fois plus importante que celle de la population, un phénomène auquel il faut «trouver des solutions durables», souligne-t-il. «On voudrait que ces déplacements ne soient pas tous faits en auto solo, mais en transport en commun.» Consultation publique Le RTL tiendra la semaine prochaine une séance de consultation publique pour mieux saisir les besoins de la population qui vit sur son territoire. L’arrivée du REM, ce train électrique léger qui devrait relier Brossard au centre-ville de Montréal dès 2021, changera la donne pour le RTL, qui devra rabattre ses autobus sur ces nouvelles stations plutôt que de les faire circuler sur le pont Champlain. «On veut en profiter pour ouvrir le dialogue avec les citoyens pour connaître leurs priorités. Les besoins changent, évoluent, il y a une complexification de la chaîne de déplacements. Les gens veulent arrêter à l’épicerie, à la garderie, à l’école en cours de route, des quartiers rajeunissent, d’autres vieillissent...», a dit M. Veilleux, qui mentionne que malgré des ajustements ponctuels, l’essentiel du réseau a été développé dans les années 1990. «On veut les écouter. Quelles sont les priorités, et les attentes et les préoccupations des citoyens? Il va falloir faire des choix, mais pour cela, il faut leur donner des options.» Deux bassins La route 116, longée par les voies ferrées du CN, crée une frontière entre les deux parties de l’agglomération, mentionne M. Veilleux. Du côté de Longueuil, la plupart des lignes d’autobus sont rabattues à la station de métro, et du côté de Brossard, elles passent sur le pont Champlain. «Cette frontière vient créer deux bassins, très peu d’autobus passent d’un côté à l’autre», fait-il remarquer. Selon lui, avec un service efficace, plusieurs personnes seraient prêtes à abandonner la voiture pour le transport en commun. «On l’a réussi avec le corridor sur le pont Champlain : actuellement, 60% des gens de Brossard qui vont au centre-ville de Montréal y vont en transport en commun. Il faut trouver comment, avec les défis qu’on a, on pourrait développer des corridors sur Taschereau et Grande Allée, pour améliorer les déplacements au sein de l’agglomération», dit-il. Le RTL planifiera son nouveau réseau en 2019 et pendant une partie de l’année 2020, puis se mettra tout de suite en mode exécution, «pour que dès le jour 1 [du REM], ce soit un succès», assure M. Veilleux. La consultation se déroulera le lundi 17 juin à 19h au Centre socioculturel Alphonse-Lepage. Des porte-parole du RTL, de l’Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM), de CDPQ Infra et de la Ville de Brossard seront sur place. Des consultations web seront aussi mises en place pendant l’exercice de refonte du réseau.
  8. Infrastructure Canada a eu du flair de souhaiter la meilleure des chances à Lewis Hamilton pour la course ce dimanche... Par contre, je crois bien que ça sentira à plein nez une belle annonce pour l'ouverture du nouveau pont ce lundi. À moins que je sois complètement dans le champ, mais disons que le ministère affiche plusieurs "posts" au sujet du Pont Champlain depuis quelques jours sur leur compte Twitter. Bref, on en aura peut-être l'heure juste demain après-midi sur cet "événement important en matière d’infrastructure"... https://www.canada.ca/fr/bureau-infrastructure/nouvelles/2019/06/avis-aux-medias---montreal-quebec.html Avis aux médias Montréal (Québec), 7 juin 2019 — Les représentants des médias sont invités à participer à un événement important en matière d’infrastructure en présence du ministre de l’Infrastructure et des Collectivités, l’honorable François-Philippe Champagne, et de la mairesse de Montréal, Mme Valérie Plante. Date : Le lundi 10 juin 2019 Heure : 14 h 00 Lieu : Hôtel de ville 155, rue Notre-Dame Est Montréal (QC) H2Y 1B5
  9. Chuck-A

    Autoroute 35

    Il semble y avoir eu une erreur dans l'article de La Presse paru plus tôt ce soir. C'est comme si on avait additionné la distances des tronçons de la phase 3 (8.9 km) et phase 4 (4.5 km) ensemble... pour arriver à leur chiffre de 13.4 km; ce qui ne fait pas vraiment de sens (il ne restera "que" 4.5 km à réaliser jusqu'au Vermont). Je dois l'avouer , mais pour une rare fois, ils ont manqués de rigueur là-dessus... https://www.lapresse.ca/actualites/regional/201906/09/01-5229459-lautoroute-35-sera-prolongee-de-neuf-kilometres.php Publié le 09 juin 2019 à 18h20 | Mis à jour à 18h21 L'autoroute 35 sera prolongée de neuf kilomètres PHOTO SÉBASTIEN PEDRAGLIO, ARCHIVES LA PRESSE AUDREY RUEL-MANSEAU La Presse L'autoroute 35 sera prolongée entre Saint-Sébastien et Saint-Armand, en Montérégie, annonceront les gouvernements d'Ottawa et de Québec, demain. Il s'agit de la phase trois du projet de prolongement, soit l'avant-dernière avant de relier complètement l'autoroute interurbaine à la frontière américaine. Les détails seront dévoilés en conférence de presse, demain, par le ministre fédéral de l'Infrastructure et des Collectivités, François-Philippe Champagne, le ministre fédéral des Transports, Marc Garneau, ainsi que le président du Conseil du trésor du Québec, Christian Dubé. Ils doivent annoncer la mise en branle du chantier autoroutier qui prolongera de 8,9 kilomètres l'autoroute 35 en reliant Saint-Sébastien à Saint-Armand. Les premiers kilomètres de l'A-35 ont été construits en 1966 et ont permis de relier Saint-Jean-sur-Richelieu à l'autoroute 10, et ultimement, à Montréal. Il s'agit d'ailleurs du principal axe routier reliant Montréal à Boston. Son prolongement vers la frontière américaine a débuté en 2009 et se décline en quatre phases, au terme desquelles l'autoroute 35 ira rejoindre l'Interstate 89, au Vermont. Après la troisième phase, il restera 13,4 kilomètres pour terminer le projet amorcé il y a plus de 50 ans.
  10. Chuck-A

    Autoroute 35

    Pour se donner une petite idée, voici un aperçu des ouvrages d'art qui devraient être construits dans la phase 3 de ce prolongement: Pont de la Rivière aux Brochets : Échangeur Saint-Armand nord / Route 133 et chemin Champlain : Et en voici un autre pour le "petit" tronçon de la phase 4 (4,5 km) dont sa réalisation n'est pas encore annoncée : Échangeur Saint-Armand sud / Rue Montgomery : https://www.transports.gouv.qc.ca/fr/projets-infrastructures/reseau-routier/projets-routiers/monteregie/autoroute-35-prolongement/Pages/autoroute-35-prolongement.aspx
  11. Chuck-A

    Autoroute 35

    Je ne suis vraiment pas dans le secret des dieux, mais j'espère bien que tout ce beau monde-là va se rencontrer à Pike River pour une très belle annonce !!! Peut-être sortirons-nous bientôt ce fil de discussion des "Projets oubliés"... Vivement la poursuite de ce chantier... vers Boston ! https://www.lelezard.com/communique-18796663.html Avis aux médias - Annonce en matière d'infrastructure en Montérégie PIKE RIVER, QC, le 7 juin 2019 /CNW Telbec/ - Les représentants des médias sont invités à participer à un événement en matière d'infrastructure en présence du ministre de l'Infrastructure et des Collectivités, l'honorable François-Philippe Champagne, du ministre des Transports du Canada, l'honorable Marc Garneau, du ministre responsable de l'Administration gouvernementale et président du Conseil du trésor et ministre responsable de la région de la Montérégie, M. Christian Dubé, au nom du ministre des Transports et ministre responsable de la région de l'Estrie, M. François Bonnardel, du député fédéral de Saint-Jean, M. Jean Rioux, et du député de Saint-Jean à l'Assemblée nationale, M. Louis Lemieux. Date : Le lundi 10 juin 2019 Heure : 10 h 30 Lieu : Hôtel de ville de Pike River 548, route 202 Pike River (Québec) J0J 1P0 SOURCE Cabinet du ministre des Transports
  12. Eh bien !! C'est vraiment extra que tu lui ai proposé cette idée ! Merci @ScarletCoral et tu la féliciteras s'il te plait pour ces beaux chefs-d'oeuvre !
  13. Tout simplement sublime, @Rusty ! J'ai bien hâte de voir ce qui se fera au sud de René-Lévesque, à la Place du Canada... On apprend dans cet article que "la fontaine a été tronquée [...], parce qu'elle était trop large pour l'espace disponible." Comme dirait l'autre, Eh la la... https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1175075/travaux-dominion-square-dorchester-place-du-canada Le « nouveau » square Dorchester inauguré à Montréal Publié aujourd'hui à 20 h 53 Le « nouveau » square Dorchester Photo: Radio-Canada / Jean-Sébastien Cloutier Jérôme Labbé Une fontaine, des passerelles en hauteur, des trottoirs plus larges : la mairesse de Montréal, Valérie Plante, a officiellement ouvert le square Dorchester, jeudi, après des travaux qui auront duré un an et coûté 9,2 millions de dollars. Situé près de la cathédrale Marie-Reine-du-Monde, en plein cœur du centre-ville, le square Dorchester est à la fois un site patrimonial et l’un des lieux emblématiques de la métropole. Les travaux destinés à lui donner une nouvelle allure sont terminés depuis le mois de mai. Mais c’est ce jeudi que la mairesse Plante s'est rendue sur place pour l’inaugurer officiellement. Les travaux qui ont été menés à partir du mois de mai 2018 ont notamment permis de refaire la dalle du toit du stationnement intérieur qui se trouve sous le parc. L’entrée et la sortie du stationnement ont quant à eux disparu sous deux grandes passerelles en acier et en bois, situées aux extrémités nord-ouest et nord-est du square. Les nouvelles passerelles en acier et en bois ont été aménagées au-dessus des accès au stationnement intérieur. Photo : Radio-Canada / Jean-Sébastien Cloutier L’ancienne vespasienne a été restaurée; les trottoirs périphériques ont été élargis; et la rue du Square-Dorchester réduite à une largeur de huit mètres, ce qui a permis d’ériger en bordure de celle-ci une immense fontaine d'inspiration victorienne. Elle mesure 11 mètres de hauteur. La fontaine a été tronquée – donc coupée au milieu, en quelque sorte – parce qu'elle était trop large pour l'espace disponible. Photo : Radio-Canada / Jean-Sébastien Cloutier C’est l’architecte-paysagiste Claude Cormier, à qui l’on doit les boules multicolores du Village, qui est à l’origine du concept du « nouveau » square Dorchester. Au tour de la Place du Canada La réfection du square Dorchester s’inscrit dans un projet plus large, qui prévoit aussi le réaménagement de la Place du Canada, où se trouve le monument dédié à l’ancien premier ministre John A. Macdonald, régulièrement vandalisé. Réunis, ces deux parcs – autrefois appelés « square Dominion » – forment un îlot de verdure de 11 000 mètres carrés fréquenté par des centaines de personnes à l’heure du midi. « Comme vous le savez, pour moi et pour mon administration, des espaces verts et des parcs, on n'en a jamais assez », a déclaré la mairesse Plante, jeudi midi. « Et quand on voit à quel point tout le monde se retrouve ici pour s’asseoir sur le gazon et profiter des arbres et de la nature, eh bien voilà : ça nous rappelle à quel point les espaces verts, les arbres, c’est nécessaire, c’est bon pour la santé. » Avec la collaboration de Benoît Chapdelaine et Jean-Sébastien Cloutier
  14. Incroyable et incompréhensible ! Il me semble qu'avec ADM, Via Rail, le REM, l'agglomération de l'Île de Montréal et le gouvernement du Québec qui ont démontré un fort intérêt à ce prolongement de 700m, qui est-ce que ça prend de plus haut pour les convaincre à creuser un peu plus loin. Encore une fois, ça sent l'annonce préélectorale... https://journalmetro.com/actualites/2332469/trop-tot-pour-la-question-du-reseau-express-metropolitain-a-dorval/ 17:22 6 juin 2019 By: ocroteaumedia Trop tôt pour la question du Réseau express métropolitain à Dorval Transports Canada évalue encore la possibilité de prolonger jusqu’aux gares de Dorval le Réseau express métropolitain, qui devrait entrer en service en 2023. Photo: Messager Lachine & Dorval - Olivier Croteau La demande de prolongement du Réseau express métropolitain (REM) du maire de Dorval, Edgar Rouleau, a été entendue par Transports Canada. Le ministère estime cependant qu’il est trop tôt pour s’avancer sur la faisabilité du projet et sur les coûts y étant associés. «Si un fort intérêt est démontré de la part des intervenants impliqués, alors il sera nécessaire d’entreprendre des discussions additionnelles dans le but de bien cerner les aspects du projet», indique la relationniste de Transports Canada, Frédérica Dupuis. Une étude avait été financée en janvier par le gouvernement fédéral dans le but d’évaluer les impacts et les avantages potentiels associés à cette extension. Le carrefour multimodal suggéré connecterait l’aéroport Trudeau, le futur REM, la gare VIA Rail de Dorval et ses autres systèmes de transits. La situation trop «prématurée» empêche d’avoir l’heure juste et de prendre une décision pour l’instant, selon Mme Dupuis. Les résultats seront disponibles seulement plus tard cette année. Rappelons que ce seraient plus de 200 000 usagers des transports collectifs, issus des arrondissements de Lachine, LaSalle, Saint-Laurent et de la Cité de Dorval, qui pourraient bénéficier d’une telle révision des plans initiaux. «Ce qu’ils construiront restera là pendant des siècles, partage le maire Rouleau. Je reste optimiste. Il y a encore du temps pour faire les ajustements.» 700m additionnels Si sa demande est acceptée, le projet évalué à 6,3 milliards de dollars, traversant l’île de Montréal sur 67 km, aurait 700 mètres additionnels à prévoir, ce qui représente un ajout de 1% de sa longueur actuelle. Aéroports de Montréal (ADM) investira pour sa part 2,5 milliards dans l’aménagement souterrain de la station du REM, en plus de la reconstruction du stationnement étagé et du débarcadère, cet été. À la fin des travaux, un espace de transit offrira aux usagers un accès simplifié vers l’aérogare, les stationnements, la nouvelle station du Réseau express métropolitain, le terminus d’autobus et les différents services de transport collectif d’ADM.
  15. J'avais trouvé très joli son premier croquis de Madame REM. Et l'idée d'utiliser l'image d'un cône est génial !! Avec les nombreux chantiers qui nous entourent, elle pourra exploiter ce personnage à toutes les sauces.
  16. https://www.lelezard.com/communique-18795254.html Inauguration du square Dorchester MONTRÉAL, le 6 juin 2019 /CNW Telbec/ - Débutés en mai 2018, les travaux de réaménagement de la portion nord du square Dorchester se sont achevés au mois de mai dernier. La mairesse de la Ville de Montréal, Mme Valérie Plante ouvre aujourd'hui officiellement le square aux Montréalaises et Montréalais dans une ambiance festive. « En plus de contribuer à l'image de marque de Montréal, cette mise en valeur permettra de mieux apprécier ce site patrimonial et d'optimiser son appropriation. Les Montréalais et Montréalaises pourront profiter d'un espace vert de grande qualité, complètement réaménagé, pour se détendre au coeur du centre-ville », d'affirmer Mme Valérie Plante. « Je me réjouis du fait que les citoyennes et citoyens aient de nouveau accès à ce site patrimonial. La pérennité de ce lieu chargé d'histoire, d'une grande richesse archéologique et paysagère, est maintenant assurée grâce aux efforts conjoints de la Ville de Montréal et du gouvernement du Québec, dans le cadre de l'Entente sur le développement culturel de Montréal », a souligné Mme Nathalie Roy, ministre de la Culture et des Communications, et ministre responsable de la Langue française. Soulignons qu'il s'agit de la phase trois des quatre phases de mise en oeuvre du grand projet de réaménagement du square Dorchester-Place du Canada. Le réaménagement de la portion nord du square Dorchester avait pour objectifs de : Consolider et de faciliter le lien entre le Mont-Royal et le fleuve; Compléter la forme paysagère; Assurer le confort et améliorer la convivialité du square et en faire un lieu de rencontre privilégié, au coeur du centre-ville; Améliorer la qualité de l'environnement urbain en consolidant les liens entre le cadre bâti et la forme paysagère; Faire connaître ce site patrimonial, un des lieux emblématiques de Montréal et en assurer la pérennité; Tout en répondant à ces objectifs, les deux passerelles piétonnes permettent de prolonger les sentiers jusqu'à la rue du square Dorchester. Ceci permet de rétablir la forme paysagère du square, caractérisée par ses allées régulières et diagonales. Au centre du site, en bordure de la rue, s'insère un nouvel élément d'intérêt, une fontaine tronquée, implantée dans l'axe des monuments. La fontaine et l'aménagement réactualisent, dans un langage contemporain, la composition paysagère et l'ambiance du square à son apogée, dans la période victorienne. Le projet inclut également la restauration de l'ancienne vespasienne, de même que les travaux d'étanchéité de la dalle du toit du stationnement, la réfection de la rue du square-Dorchester réduite à une largeur de huit mètres et l'élargissement des trottoirs périphériques. Nouveau réaménagement Les travaux de la portion nord sont circonscrits par l'édifice Dominion Square, les rues Metcalfe et Peel et la limite des travaux d'aménagement réalisés en 2009-2010, dans la portion sud du Square. Ces travaux s'inscrivent dans la continuité du plan de réaménagement et de mise en valeur du square Dorchester et de la place du Canada. Le square Dorchester est maintenant totalement réaménagé et la portion sud de la place, en bordure de la rue De La Gauchetière, sera la dernière étape de réalisation du plan d'ensemble. Le réaménagement du square Dorchester se devait d'être exceptionnel et de refléter le caractère unique, emblématique et prestigieux de ce haut lieu montréalais. L'aménagement concrétise des solutions innovantes et créatives exploitant le caractère patrimonial du site et des contraintes physiques et techniques telles que le maintien des rampes d'accès au stationnement souterrain à leur emplacement actuel. Remerciements La Ville de Montréal tient à remercier particulièrement le gouvernement du Québec pour sa contribution financière à toutes les phases du projet par l'entremise du ministère de la Culture et des Communications dans le cadre de l'Entente sur le développement culturel de Montréal 2018-2021 conclue entre la Ville de Montréal et le gouvernement du Québec. Soulignons aussi l'apport exceptionnel des architectes-paysagistes et concepteurs, Claude Cormier et associés, et celui de l'entrepreneur, CEVECO Inc. Ils ont su donner une signature distinctive au square, issue de sa riche histoire et repositionnée dans la ville contemporaine. L'ensemble retrouve le prestige et la prestance associés à son statut de site patrimonial cité en vertu de la Loi sur le patrimoine culturel. Nous tenons aussi à remercier la firme d'architectes Cardin Julien pour la restauration de la vespasienne. SOURCE Ville de Montréal - Cabinet de la mairesse et du comité exécutif
  17. Pas de soucis, @felixinx. Je crois bien que @Rocco savait pertinemment qu'il n'y avait aucune modification sur le nombre de places de stationnement. J'admire parfois son ironie et je pense qu'il voulait plutôt exprimer ici une certaine forme d'exaspération face aux questions posées sur l'espace prévu pour le stationnement (à moins que je me trompe). On connait tous son béguin... pour la rigueur. C'est étonnant... et un peu navrant dans un sens... de constater que la présence d'un stationnement soit un si grand enjeu pour une certaine partie de la population un peu plus agée (et potentiellement plus aisée), malgré le fait qu'elle n'utiliserait qu'occasionnellement le REM. L'arrivée du REM, en plus d'accroître la mobilité de la population par la fréquence de son réseau, est au contraire une occasion de permettre aux municipalités (et à l'ARTM) de procéder à une refonte de leur réseau local afin de bonifier l'offre de service de leurs usagers. Actuellement, nous observons plutôt un désintérêt grandissant de l'usage de l'automobile du côté de la classe étudiante et d'une bonne part de la génération des milléniaux. Bien que je puisse comprendre que certains jeunes parents soient soucieux de l'importance du nombre de places de stationnement prévu au station en raison du fait qu'ils doivent passer par la garderie, il me semble que ce ne sera pas le cas pour la majorité de la clientèle. Et de toute façon, les stationnements vont demeurer, du moins pour le moment. Cependant, l'idée de construire des stationnements étagés m'apparaît bonne en soi, uniquement si cela est intégré à un projet de TOD. Ce que je ne crois pas que ce sera le cas aux stations Roxboro-Pierrefonds et Sunnybrooke...
  18. La webdiffusion de la rencontre publique pour les stations Roxboro-Pierrefonds et Sunnybrooke, tenue ce mercredi 5 juin, est disponible ci-dessous. Bon visionnement !
  19. Merci pour les infos, @ScarletCoral ! Il y a une légère erreur sur le panneau fourni par le REM. À l'endroit où il est indiqué "Île-Bigras", nous devrions plutôt y voir l'Île Verte. On aurait pu confondre que le REM ne passait plus par l'île Bigras... ce qui n'est pas le cas. 😉 Et provenant de la ville de Laval:
  20. Merci bcp pour ce partage, @ScarletCoral ! 😃
  21. Exode vers les banlieues... ou accroissements du nombres de TODs (comme, entre autres, ce à quoi on se dirige aux stations Du quartier, Panama, Île-des-Soeurs, Pointe-Claire, Kirkland) ? Si l'arrivée du REM (et autres projets de ce genre) peut favoriser la mobilité des gens, tant mieux ! https://www.lapresse.ca/actualites/grand-montreal/201906/04/01-5228824-le-rem-risque-daccentuer-lexode-vers-la-banlieue-selon-une-etude.php Publié le 05 juin 2019 à 05h30 | Mis à jour à 06h14 Le REM risque d'accentuer l'exode vers la banlieue, selon une étude Avec sa plus récente étude, la Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL) donne une explication économique du phénomène de l'exode des ménages âgés de 25 à 44 ans de Montréal vers la banlieue. PHOTO BERNARD BRAULT, ARCHIVES LA PRESSE ANDRÉ DUBUC La Presse Le Réseau express métropolitain (REM) de la Caisse de dépôt ne sera pas entièrement positif pour Montréal, puisque son efficacité pousserait de jeunes familles à quitter la métropole pour la banlieue. Ce scénario est évoqué par la Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL), organisme fédéral qui analyse le marché immobilier depuis des décennies, dans une étude publiée ce matin. L'étude porte sur les économies qu'il y a à vivre en banlieue. C'est dans sa conclusion que la SCHL aborde l'impact de nouveaux modes de transport collectif, sans nommer le REM. « Au cours des prochaines années, si le prix des maisons unifamiliales sur l'île de Montréal continue d'augmenter à un rythme plus rapide qu'en banlieue [ce qui est le cas depuis cinq ans], tout laisse croire que ce mouvement migratoire sera appelé à se poursuivre », écrit l'auteur Francis Cortellino, chef analyste de la SCHL à Montréal. « De nouveaux modes de transport collectif qui diminuerait le coût et/ou le temps de déplacement vers le lieu de travail, permettront sans doute aussi aux ménages qui migrent en banlieue de réaliser des économies encore plus grandes lors de l'achat d'une habitation (en incluant les frais de déplacement) », poursuit la SCHL dans le document intitulé S'éloigner pour acheter : le déplacement en vaut-il le coût ?. Un meilleur système de transport collectif, comme le REM, réduira le temps consacré au transport entre la maison et le travail. Le futur train électrique desservira notamment l'ouest de Laval, Deux-Montagnes, l'ouest de l'île de Montréal et Brossard. Par exemple, le temps de parcours entre la gare de Deux-Montagnes et la gare Centrale sera réduit de 10 minutes, soit une économie de temps de 6 à 7 heures par mois pour de jeunes parents à l'horaire chargé. « D'un point de vue purement mathématique, si le coût ou si le temps de déplacement diminuent, d'après les calculs que j'ai faits, ça va favoriser la banlieue », avance M. Cortellino, dans un entretien. Il ajoute que ce sera à l'usage que l'on connaîtra l'impact du REM sur la dynamique immobilière. Il souligne que le choix du quartier de résidence dépend de multiples facteurs et pas seulement de la qualité de la desserte en transports en commun. Moins cher en banlieue Avec sa plus récente étude, la SCHL donne une explication économique du phénomène de l'exode des ménages âgés de 25 à 44 ans vers la banlieue. Les ménages font un gain net de près de 400 $ par mois, près de 5000 $ par an, en déménageant en banlieue dans des maisons moins chères, même en tenant compte du surcoût relatif au transport et au temps additionnel consacré au déplacement. L'étude porte sur le déplacement du soutien principal de la famille. Si deux personnes ou plus par ménage font la navette quotidienne entre la ville et la banlieue, les économies fondraient rapidement. Dans son calcul, la SCHL a tenu compte du financement hypothécaire de la maison, des frais de transport additionnels, mais elle a exclu les taxes foncières. Une décision méthodologique qui a pour effet de minimiser le gain net de la plupart des secteurs étudiés, puisqu'à taux de taxation égal, les taxes sont plus élevées à Montréal, les maisons étant plus chères. La famille qui traverse la rivière des Prairies pour vivre à Laval économise en moyenne 382 $ par mois en contrepartie d'un temps de déplacement additionnel de 10 heures par semaine. Qui plus est, les nouveaux banlieusards aboutissent habituellement dans une maison de construction plus récente et plus spacieuse que s'ils étaient restés sur l'île. Selon ce calcul, chaque heure de transport additionnel causé par l'éloignement vaut 38 $ l'heure en moyenne pour cette famille lavalloise (382 $ divisés par 10 heures). À titre comparatif, le salaire horaire moyen d'un employé dans la région métropolitaine de recensement (RMR) de Montréal varie entre 23 et 28 $. « Il faudrait que ces ménages qui ont quitté Montréal pour la banlieue accordent beaucoup de valeur à leur temps pour que l'option d'acheter une maison en banlieue ne représente plus une source d'économie. » - Francis Cortellino, auteur de l'étude Pour la Rive-Sud, les gains étaient plus importants pour ceux qui partent pour la périphérie comme Châteauguay, 656 $ d'économie par mois, et pour Delson, Saint-Constant et les autres villes de la MRC du Roussillon, à 400 $ par mois. Pour les ménages qui s'établissent dans la couronne nord, le gain net est de 383 $ par mois, mais ils doivent consacrer 10 heures de plus par semaine au transport. Avec un écart positif de 631 $ par mois, les économies les plus importantes sont observées dans le secteur de Deux-Montagnes, là où justement le REM établira son terminus Nord. A contrario, quitter Laval pour déménager dans la couronne nord ou quitter l'agglomération de Longueuil pour plus loin sur la Rive-Sud ou à Saint-Jean-sur-Richelieu ne génère pas d'économies pour la peine.
  22. https://rem.info/sites/default/files/2019-06/CR_Comite bon voisinage_CA_VMR_20190528.pdf Le compte-rendu de la rencontre du Comité de bon voisinage Canora / Mont-Royal, tenue le 28 mai, est maintenant disponible. Il est volumineux (110 pages), mais quelques infos intéressantes (dont la séquence des travaux de la station Canora et sur le pont de la rue Jean-Talon. Aucune idée si on pourra à terme traverser en tunnel au sud de J-T pour atteindre le coin de l'avenue Wilderton et du Chemin Bate...).
  23. https://rem.info/sites/default/files/2019-06/CR_Comite bon voisinage_CA_VMR_20190528.pdf Le compte-rendu de la rencontre du Comité de bon voisinage Canora / Mont-Royal, tenue le 28 mai, est maintenant disponible. Il est volumineux (110 pages), mais quelques infos intéressantes (dont la séquence des travaux de la station Mont-Royal, sur le pont de l'avenue Cornwall et un avant-goût de la passerelle Lazard...).
  24. @Miska Je suis passé sur la "rue des Piliers", ce matin. Ça progresse très bien de ce côté là aussi et on ne sera pas trop loin de l'usine de fabrication des poutres de Pointe-Saint-Charles afin de les installer sur cette partie aérienne du tracé. Par contre, il semble qu'ils devront encore patienter un peu avant de passer en-dessous des lignes à hautes tensions à la sortie du Pont Victoria. @ScarletCoral Et en effet, ce n'est vraiment pas aussi joli qu'une forêt de baobabs... 04-06-2019
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