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Chuck-A

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Tout ce qui a été posté par Chuck-A

  1. À la page 9 de la présentation partagée par @ScarletCoral, on peut apercevoir à quoi pourrait ressembler l'aménagement du stationnement et du terminus d'autobus de la gare Bois-Franc: Situation actuelle:
  2. Excellent. Merci @ScarletCoral ! Je suis vraiment content de ce que je vois ! J'aime bien l'idée de différencier les branches du réseau par différentes couleurs de céramiques (page 7 de la présentation) :
  3. https://www.tvanouvelles.ca/2019/05/15/adm-choisit-le-consortium-pomerleau--snc-lavalin-kiewit ADM choisit le consortium Pomerleau/ SNC-Lavalin/Kiewit Agence QMI | Publié le 15 mai 2019 à 13:46 - Mis à jour à 13:51 C’est le consortium PSK, formé par les firmes Pomerleau, SNC-Lavalin et Construction Kiewit Cie, qui va gérer le projet de construction de 2,5 milliards $ d’Aéroport de Montréal visant notamment à construire et à aménager la future station souterraine du Réseau express métropolitain (REM) à Montréal-Trudeau. Le contrat de gérance de construction de cinq ans vise aussi la reconstruction du stationnement étagé et du débarcadère, en plus de l’espace YUL Transit permettant aux usagers d’accéder à l’aérogare, aux stationnements, à la station du REM, au terminus d’autobus et aux différents services de transport collectif», a-t-on précisé mercredi, par communiqué. PHOTOS FOURNIE PAR ADM Le mandat de PSK touche à la gestion de la conception du programme, l’évaluation de sa constructibilité et l’identification des opportunités pour optimiser l’échéancier et le phasage de construction, a-t-on aussi indiqué. «En utilisant ce modèle contractuel innovateur de gérance de construction à risques, ADM profitera d’une expertise supplémentaire importante pour la mise en place de ce programme, qui changera définitivement le visage de YUL Aéroport international Montréal-Trudeau, a expliqué le président-directeur général d’ADM, Philippe Rainville. Nous sommes heureux d’être accompagnés par des firmes qui ont une solide expertise dans la réalisation de projets d’envergure similaire.»
  4. https://www.journaldemontreal.com/2019/05/14/reseau-express-metropolitain-les-travaux-commencent-dans-saint-laurent-1 Réseau express métropolitain: Les travaux commencent dans Saint-Laurent COURTOISIE/RÉSEAU EXPRESS MÉTROPOLITAIN CAMILLE DAUPHINAIS-PELLETIER Mardi, 14 mai 2019 22:25MISE À JOUR Mardi, 14 mai 2019 22:25 MONTRÉAL | Plusieurs chantiers de construction seront mis en branle au cours des prochaines semaines dans l’arrondissement de Saint-Laurent, à Montréal, pour préparer l’arrivée du Réseau express métropolitain (REM), notamment en réparant des viaducs, ce qui causera des perturbations routières. Des réparations commenceront au cours du mois sur les viaducs ferroviaires qui enjambent le boulevard Côte-Vertu et la rue Grenet. Ces chantiers s’étendront respectivement jusqu’en novembre et en août et créeront des «entraves routières», a mentionné le bureau du REM mardi soir lors d’une rencontre d’information au centre de réception Le Crystal. La circulation des trains ne devrait pas être affectée. De mai à octobre, la voie ferrée qui passe sous l’autoroute 13 dans le parc-nature du Bois-de-Liesse sera pour sa part doublée en largeur. Un nombre d’arbres supérieur à ceux qui devront être coupés pour les travaux sera replanté dans le secteur, a assuré le bureau du REM. Trois stations Des travaux se dérouleront également en 2019 à trois des cinq stations du REM qui seront situées sur le territoire de Saint-Laurent. Les fondations de la station Correspondance A40, qui permettra notamment aux utilisateurs du train de banlieue de Mascouche de transférer dans le REM, seront installées. Le garage de fin de ligne, large de cinq voies, sera mis en place. Les travaux à l’actuelle station Bois-Franc sont pour leur part entamés depuis quelques semaines: il s’agit de relocaliser des poteaux qui soutiennent les fils électriques nécessaires à la circulation du train et d’installer les fondations de la future station du REM. Le secteur du Technoparc Montréal connaîtra aussi un grand chantier, avec la construction de la tranchée couverte qui accueillera à terme une station. Deux-Montagnes Les mesures d’atténuation qui seront mises en place lors de la fermeture de la ligne de train de banlieue Deux-Montagnes dès janvier 2020 ont également été présentées lors de la rencontre de mardi. Aucune nouvelle information n’a été fournie au public; les détails viendront en septembre, assure l’Autorité régionale du transport métropolitain (ARTM). Le trajet qu’empruntera la navette d’autobus qui reliera la gare Bois-Franc à la ligne orange du métro n’a pas encore été déterminé, à la surprise d’une femme qui a demandé si celle-ci roulerait sur le boulevard Marcel-Laurin. Le porte-parole de l’ARTM, Simon Charbonneau, lui a répondu que la navette circulerait «dans l’axe Marcel-Laurin», c’est-à-dire sur l’axe nord-sud, sans pouvoir préciser davantage. «On ne parle pas de rue et de boulevard, on parle de direction, a-t-il dit. On regarde présentement avec les autorités, les gens du secteur, afin de raffiner tout ça.»
  5. Chuck-A

    Autoroute 19

    https://www.lapresse.ca/photos/caricatures/201905/03/12-21696-chapleau-mai-2019.php
  6. Tu avais raison. Je m'incline devant les évidences de @Windex. Quand même étonnant tout ce que nous sommes en mesure d'apercevoir à partir de Montréal par ciel dégagé, même à plus de 100 Km.
  7. Très juste. Merci pour la rectification, @Feanaro.
  8. Ah... je pensais plutôt que l'on pouvait "voir" les Monts Washington & Adams (à plus de 220 km). Anyway, on peut s'entendre que ce n'est sûrement pas Sutton.
  9. Hum... Je croyais plutôt que c'étaient les White Mountains... dans l'état du New Hampshire.
  10. Un dernier pilier qui tombe... et une autre page qui est tournée. Techniquement, cela devrait résulter à la fin des travaux de nuits... et (sous toutes réserves) aux fermetures et entraves des voies les fins de semaine [EDIT]... pour la démolition de l'ancien échangeur, mais pas pour la construction du nouveau.
  11. Après les Carrés Rouges en 2012 et les Gilets Jaunes en France, voici... le Mouvement Orange de la STM !
  12. Après les Carrés Rouges en 2012 et les Gilets Jaunes en France, voici... le Mouvement Orange de la STM !
  13. La photo de l'article n'illustre pas la station du REM et provient plutôt du projet d'expansion du terminal de YUL (ADM) et non du REM (tel que mentionné dans l'article...). Rigueur... Rigueur... https://montrealgazette.com/news/local-news/700-meters-bridging-the-rem-dorval-station-gap 700 metres: Bridging the REM-Dorval station gap Alan DeSousa will table a proposal to join the REM light-rail station at Trudeau Airport from tracks used by Vaudreuil-Hudson commuter trains and Via Rail inter-city trains. ANDY RIGA Updated: May 10, 2019 Illustration of REM station coming to Trudeau airport in Dorval. REM Seven hundred metres. That’s what separates the planned Réseau express métropolitain light-rail train station at Trudeau Airport from tracks used by Vaudreuil-Hudson commuter trains and Via Rail inter-city trains in Dorval. And, three years after the $6.3-billion REM project was announced, there’s still no plan in place to link the two. “Logic suggests, common sense suggests, good planning suggests that they should be linked,” said Alan DeSousa, an opposition city councillor and mayor of St-Laurent borough. This summer, tunnelling is scheduled to begin for a section of the REM system that will serve the airport. “In simple terms, the operator of that equipment should just be instructed to keep his foot on the pedal and go 700 metres more,” DeSousa said. “We’re not talking about a Phase 2 or a Phase 3 of the REM that would require an enormous amount of study or money. This is simple enough.” At Monday’s Montreal city council meeting, DeSousa, of the Ensemble Montréal party, will put forward a motion suggesting the city should formally ask the Quebec government to change the REM plans to include a link to the Dorval station. DeSousa said joining the transit systems would benefit residents of Lachine, Dorval, the southern part of the West Island, as well as Via Rail passengers. The station services Via trains on the Montreal-Toronto, Montreal-Ottawa and Quebec City-Ottawa routes. The idea of creating a multimodal hub in the area, which is adjacent to the Dorval Circle, is supported by Montreal’s airport authority, Via Rail and the city of Dorval. A spokesperson for Mayor Valérie Plante said her administration would comment on the motion at the council meeting. “I’m hopeful that the administration would see the benefits,” DeSousa said. “It should be a no-brainer, and it’s part of (the mayor’s role) to make sure that this type of co-ordination, planning and execution happens.” In January, the federal government, which oversees Via Rail and air travel, launched a $106,000 study to investigate the “impacts and benefits associated with a multimodal hub in Dorval.” The study, to be completed this year, is looking into “community and other stakeholder needs, and identifying potential issues and opportunities,” said Transport Canada spokesperson Frédérica Dupuis. Officials at the REM, a project spearheaded and partly funded by the Caisse de dépôt et placement du Québec, did not respond to a Gazette request for comment. Last month, the REM tweeted about Dorval: “An analysis is underway at the federal level. We will, of course, take part in the discussions.” However, two days later, the head of the Caisse did not sound keen on making any changes the REM’s initial 67-kilometre, 26-station network. “Yes, we are open to exploring options for the future, but for now, the priority is delivering the goods on Phase 1,” Caisse CEO Michael Sabia said when asked about possible extensions. Premier François Legault’s government this week announced a study into extending the REM to far-flung communities, including St-Jean-sur-Richelieu, 30 kilometres southeast of Montreal. In addition to serving the airport, the REM system will reach into the West Island, as well as Brossard on the South Shore and Deux-Montagnes, north of Montreal. It is to gradually go into service beginning in 2021. It’s not the first time a short stretch of space has been inexplicably left out of a major project in Montreal. When the McGill University Health Centre superhospital opened in 2014, no provision had been made for wheelchair access between the hospital and the adjacent Vendôme métro/train station. A new $77-million Vendôme access building featuring a wheelchair-accessible tunnel to the transit hub is set to open in 2020.
  14. https://journalmetro.com/local/saint-laurent/2319196/consultation-publique-pour-le-reamenagement-de-la-gare-bois-franc/ 10:54 | 9 mai 2019 | By: llavoie Consultation publique pour le réaménagement de la gare Bois-Franc Photo: Nouvelles Saint-Laurent News – Laurent Lavoie | La consultation, qui a attiré 80 citoyens, s’est tenue au Centre des loisirs de Saint-Laurent. En vue du réaménagement des alentours de la gare Bois-Franc, plusieurs citoyens de Saint-Laurent réclament une meilleure relation entre les services collectifs et un verdissement des secteurs. Ce sont quelques-unes des propositions amenées lors de la consultation publique sur la création d’un TOD, soit un Transit-oriented Development qui favorise notamment le transport actif, le design et la mixité sociale. Au cours de cette rencontre, les tables ateliers ciblaient notamment les thèmes de la vie de quartier, l’environnement et le transport collectif. En matière d’environnement, «il y a une volonté de créer des liens est-ouest, que ce soit sur Henri-Bourassa ou la voie ferrée», en plus d’alimenter l’agriculture urbaine dans ces secteurs, souligne une des animatrices. Parmi les suggestions soumises par les citoyens, plusieurs ont souligné l’importance d’une meilleure «interconnectivité» entre les artères et les transports en commun, mais aussi les espaces verts. À cet effet, des représentants de la Société de transport de Montréal et du Réseau express métropolitain (REM) étaient sur place. Dialogue unique «Nous voulons développer une vision qui va pour tout le monde», affirme Alan DeSousa, avant de rappeler que ce projet est étudié depuis déjà plusieurs années. La gare Bois-Franc est actuellement un arrêt pour le train de banlieue Deux-Montagnes. Le réaménagement urbain devra tenir compte de l’arrivée à cet endroit d’une station du REM, dont l’entrée en service est prévue pour 2023. Au sein des TOD, «il y a la question de la mixité de l’habitation, l’emploi, des commerces et des [milieux] collectifs. On parle de parcs, d’écoles [et] il y a un aménagement qui est favorable aux piétons», explique l’urbaniste associé chez Provencher_Roy, qui est est en charge du projet, Sylvain Gariépy. Un rapport final présentant les recommandations de l’arrondissement est attendu pour le mois de décembre. Échéancier 16 mai: Charrette d’idéation Cet été: trois propositions d’aménagement et une proposition finale Novembre: dévoilement du programme d’aménagement Décembre: dépôt final du projet Démographie Le TOD, couvrant un rayon d’un kilomètre, regroupe une population de plus de 18 000 personnes, selon les données du recensement démographique de 2016. Du côté de la taille des ménages, la moyenne se situe autour de 2,6 personnes, dont 48% sont des familles avec enfants.
  15. Les travaux d'installation des rails à la gare Mont-Royal étaient supervisés/effectués par la compagnie PNR Railworks. Pourrait-il que ce soit ce fournisseur pour la phase 1 du REM ?
  16. 09-05-2019 La réhabilitation des rails pour permettre aux trains d'EXO de circuler à nouveau sur la voie Ouest était bien avancée à la gare Mont-Royal... ... de même que les travaux de la gare temporaire. On a, entre autre, déposé des blocs de béton entre les 2 voies tout au long d'où reposerait possiblement la plateforme d'embarquement (pas évident à prendre des photos à travers les arbres...).
  17. Finalement. On va enfin pouvoir enterrer la hache de guerre... https://www.lapresse.ca/actualites/grand-montreal/201905/08/01-5225163-bruit-au-parc-jean-drapeau-entente-entre-montreal-et-saint-lambert.php Publié le 08 mai 2019 à 08h37 | Mis à jour à 09h20 Bruit au parc Jean-Drapeau: entente entre Montréal et Saint-Lambert La foule lors de l'édition 2018 du festival Osheaga. PHOTO BERNARD BRAULT, ARCHIVES LA PRESSE La Presse Canadienne La Ville de Montréal annonce qu'une entente a été conclue avec la Ville de Saint-Lambert, sur la rive sud, à propos du bruit qui émane des événements tenus en été au parc Jean-Drapeau. À compter de cet été, des limites de bruit seront rétablies pour les événements à la suite de l'expérience positive menée l'année dernière avec la Ville de Saint-Lambert et la Société du parc Jean-Drapeau. Ce sont les membres du conseil de l'arrondissement de Ville-Marie, à Montréal, qui ont décrété cette mesure en vertu d'une ordonnance encadrant les événements pour la saison estivale à venir. Les gens de Saint-Lambert pourront en apprendre davantage lors d'une séance d'information qui aura lieu le 27 juin au centre multifonctionnel de Saint-Lambert, en présence d'élus de leur ville et de Montréal. À l'exception de certains événements autorisés sans limitation, le niveau de pression maximal autorisé sera désormais de 75 dBA. Pour les événements dont les contrats ont déjà été signés, le plafond s'établira à 80 dBA. De plus, une limite de bruit en basses fréquences devra être respectée en tout temps. De plus, la Société du parc Jean-Drapeau poursuivra l'amélioration de son système de gestion de plaintes et documentera les événements. Cette année, le nouvel Amphithéâtre du Parc accueillera ses premiers événements. La performance des neuf tours à délais installées sur le site sera ainsi mesurée afin de mieux calibrer le son en fonction des événements et des conditions météorologiques, en vue de diminuer la propagation du bruit à l'extérieur des îles. Par ailleurs, les promoteurs d'événements seront invités à mesurer le bruit sur le site et hors site. L'équipe d'inspection de l'arrondissement effectuera également des vérifications ponctuelles lors des événements musicaux. Les deux villes soutiennent qu'au-delà des mesures annoncées, elles continueront d'agir avec la Société du parc Jean-Drapeau afin de limiter l'impact du bruit des événements.
  18. Ce que je retiens de cet article, c'est que NouveLR a ajusté sa façon de faire: les résidents demeurant à proximité du chantier sont maintenant avisés avant des travaux de nuit; et ces travaux semblent être moins bruyant ni trop dérangeant qu'appréhendés, selon ce que les représentants de La Presse ont perçu lors de leur passage. -> voir Vidéo des travaux de nuit N.B. À la fin du vidéo, on voit qu'on remet les rails de la travée Ouest en place à la Station Mont-Royal. https://www.lapresse.ca/actualites/grand-montreal/201905/08/01-5225144-le-voisinage-avise-les-travaux-de-nuit-du-rem-se-poursuivent.php Publié le 08 mai 2019 à 06h25 | Mis à jour à 06h34 Le voisinage avisé, les travaux de nuit du REM se poursuivent Vidéo des travaux de nuit KATHLEEN LÉVESQUE La Presse Le chantier du Réseau express métropolitain (REM) file à toute allure, même quand tout le monde dort. Après des travaux nocturnes de forage au cours des dernières semaines, l'entrepreneur NouvLR a procédé à l'installation de rails à la hauteur des gares Mont-Royal et Canora, la nuit dernière. Mais cette fois-ci, le voisinage a été prévenu. Un mémo a été déposé de porte en porte hier matin dans le quartier qui borde la voie ferrée. C'est là que le train électrique autoguidé de CDPQ Infra, la filiale de la Caisse de dépôt et placement-un projet de 6,3 milliards - traversera la petite ville cossue. En fin d'après-midi, un courriel a permis de faire un rappel aux résidents. Geneviève Comeau, dont la cour arrière jouxte le chantier du REM, constate que CDPQ Infra a modifié ses façons de faire après avoir reçu récemment plusieurs plaintes, dont les siennes, pour « ne pas avoir cru bon de prévenir la population affectée par le chantier ». Mais Mme Comeau demeure inquiète. Craignant un vacarme comme celui des dernières semaines lors des travaux de forage (deux nuits en deux semaines), elle a pris les grands moyens pour protéger sa petite famille hier soir. « On a établi un camp de base au sous-sol. On va se coucher plus tôt que d'habitude parce qu'on ne sait pas à quoi s'attendre », a expliqué Mme Comeau. Lorsque La Presse s'est rendue sur place au début de la nuit dernière, le bruit appréhendé n'avait rien d'alarmant puisque tout se déroulait à bonne distance des résidences. À proximité du chantier, on entendait le frottement du rail sur le sol et le grondement des moteurs des véhicules lourds, mais sans que cela soit assourdissant. L'éclairage était important, mais dirigé vers le sol. Comme l'a annoncé CDPQ Infra, les travaux consistaient « à prendre les rails et les tirer avec de la machinerie pour qu'ils soient dans l'alignement nécessaire au passage des trains » ; la reprise du service du côté ouest est prévue pour le 21 mai prochain. Or, les conditions météorologiques des dernières semaines ont retardé la séquence des travaux, a expliqué CDPQ Infra. « À cette étape-ci du projet, cette activité doit exceptionnellement se dérouler la nuit, car elle doit se faire sans alimentation électrique au-dessus des rails (entre 1 h 15 et 4 h 30), pour assurer la sécurité des travailleurs et l'intégrité des infrastructures », indique-t-on dans le mémo aux résidents. En début de soirée, Geneviève Comeau et des voisins s'étaient rendus au parc Montgomery. Des représentants du REM et de NouvLR étaient sur place pour informer la population de la situation qualifiée d'« assez exceptionnelle ». « On m'a dit qu'il fallait faire les travaux la nuit pour ne pas prendre de retard. Après le forage, on a eu l'espoir d'être écouté, mais de toute évidence, ça n'a pas duré », estime Mme Comeau qui rêve d'un répit alors que les travaux se déroulent sept jours par semaine depuis près d'un an. Geneviève Comeau dit avoir développé un mélange de « colère et d'anxiété » à l'égard du projet du REM dont elle reconnaît, par ailleurs, la valeur pour améliorer le transport collectif dans la région montréalaise. Deux phases La première phase du REM s'étend sur 67 km, entre Brossard et Deux-Montagnes, en passant par Mont-Royal. À mi-parcours, deux embranchements sont prévus, l'un devant se rendre à Sainte-Anne-de-Bellevue, et l'autre bifurquant vers l'aéroport Montréal-Trudeau. Une deuxième phase du REM est présentement à l'étude (vers Saint-Jean-sur-Richelieu, vers Laval et vers l'est de Montréal), a annoncé lundi le gouvernement du Québec. Rappelons que le projet du REM n'est pas assujetti aux règles d'urbanisme et au processus habituel d'octroi de contrats publics.
  19. Je sais que ce n'est pas la saveur du jour (avec l'annonce du lancement d'études préliminaires pour des prolongements du REM vers le nord et le sud et pour un nouveau système de transport dans l'Est de Montréal), mais voici un autre texte sur les impacts des travaux de la ligne Deux-Montagnes sur un groupe de travailleurs (plus précisément les employé(e)s de l'UQAM) et les recherches de solution du syndicat. https://montrealcampus.ca/2019/05/06/a-la-recherche-de-solutions-pour-repondre-aux-travaux-du-rem/ À la recherche de solutions pour répondre aux travaux du REM Annie St-Jacques | 6 mai 2019 | 4 min Le Syndicat des employés et employées de l’Université du Québec à Montréal (SEUQAM) implore la direction de la maison d’enseignement de trouver des alternatives en raison de l’arrêt de la ligne de train Deux-Montagnes-Montréal dès janvier 2020, dû aux travaux du futur REM. Des milliers d’usagers et d’usagères du train de banlieue devront prolonger leur temps de transport de 35 à 40 minutes avant d’atteindre la gare Centrale. Le train qui effectue le trajet entre Deux-Montagnes et Montréal s’arrêtera désormais à la gare Bois-Franc, située dans Cartierville, en raison des travaux effectués pour le Réseau express métropolitain (REM). Les usagers et usagères devront donc se déplacer en autobus jusqu’à la station de métro Côte-Vertu, d’où ils pourront se rendre au centre-ville. Depuis décembre dernier, le SEUQAM a élaboré un sondage pour les employés et les employées qui voyagent depuis la Rive-Nord. Il visait à déterminer précisément quelle portion du personnel serait affectée par les retards de la ligne du train de banlieue Deux-Montagnes-Montréal, avant d’émettre des demandes formelles à l’Université. « Plus on a un portrait de l’impact sur la communauté, plus on aura un levier pour pouvoir discuter avec l’employeur », soulève la présidente du SEUQAM, Louisa Cordeiro. Contrecoups sur l’université Les travaux pourraient avoir des impacts considérables sur l’Université, notamment par une baisse potentielle des candidatures des étudiants et des étudiantes ainsi que par des départs prématurés des employés et des employées, soulève Mme Cordeiro. « C’est important de savoir combien de gens seront touchés pour que l’UQAM soit sensible à la situation, qu’elle regarde les impacts et qu’elle détermine comment contrer la situation », ajoute-t-elle. Aucun plan d’action n’a été mis en place de la part de l’administration. « Pour l’instant, l’impact évoqué sur les inscriptions demeure hypothétique. L’UQAM explore des pistes de solutions avec les différents intervenants en transport qui gravitent autour de ce grand chantier », mentionne la directrice des relations avec la presse de l’UQAM, Jenny Desrochers. Aucune demande précise n’est revendiquée par le SEUQAM. « Au-delà des demandes, c’est de prendre conscience des humains qui travaillent à l’UQAM. Est-ce qu’il y a un risque pour l’employeur de perdre de l’expertise ? Parce que c’est quatre ans de galère qui s’en viennent », soulève l’agente de recherche et de planification à l’UQAM Magali Barré, qui a travaillé sur le dossier. Pour certains employés de l’UQAM il est difficile d’envisager des solutions pour contrer la durée de transport prévue pour janvier 2020, dû aux horaires rigides. « Je suis tenue d’être présente pour certaines heures précises. Je ne peux pas raccourcir mes journées de travail sans qu’il y ait des conséquences sur ma retraite prévue dans 5 ans », explique l’agente de gestion aux études de l’UQAM Dominique Machabée, qui doit partir de St-Eustache chaque matin pour se rendre à l’université. Retards à prévoir Près de 1500 personnes utilisent chaque départ de train. Afin que celles-ci soient transportées par navette jusqu’à la ligne orange, il faudrait minimalement vingt autobus, prévoit Magali Barré. « La station Côte-Vertu n’est pas équipée. À l’intérieur, c’est déjà saturé. Ça [n’aura pas que des impacts sur] les usagers de la ligne de train mais aussi les usagers du métro actuel et les automobilistes de l’autoroute 13 et de la 15 », affirme-t-elle. Les travaux du futur REM vont s’effectuer en deux vagues, explique Dominique Machabée. « Dans un premier temps, ils vont faire les travaux le plus près de Montréal. Puis, deux ans après, ils vont faire les travaux du milieu du trajet jusqu’à Deux-Montagnes. J’ai rarement vu des travaux se finir dans les temps prévus, donc nous, les résidents de St-Eustache et de Deux-Montagnes, sommes privés [du train] pendant un minimum de quatre ans », soulève-t-elle. « Pour le moment, on a l’impression que l’UQAM ne réalise pas ce qui s’en vient, peut-être comme certains usagers. Il y a une désinformation, c’est incroyable », exprime Mme Barré. Afin de contester les mesures mises en place, une manifestation a eu lieu le 1er avril à la gare centrale entre 7h00 et 9h00. Quelques centaines d’usagers et d’usagères de la ligne de train Deux-Montagnes-Montréal ont évoqué leur colère par des slogans et des pancartes à la sortie du train Deux-montagnes-Montréal. Ceux-ci et celles-ci désiraient apporter une modification du transport proposé lors des travaux du REM. La direction du Réseau express métropolitain n’a pas donné de suivi à de multiples demandes d’entrevues soumises par le Montréal Campus.
  20. C'est une excellente question, en effet. Mais en relisant l'article de La Presse sur le sujet et posté au début avril, je ne suis pas trop inquiet que ça se fera...
  21. Exact. Peut-être construiront-ils le quai temporaire au-dessus des rails du coté Est... afin de permettre la circulation des trains sur ceux du côté Ouest ?
  22. Voici le compte-rendu de la rencontre d'information de l'Ouest-de-l'Île, qui s'est tenue lundi. (l'ouverture de cette antenne est toujours prévue à l'automne 2023) https://rem.info/sites/default/files/2019-05/REM_Rencontre information publique_ODI_20190429_FR.pdf
  23. Livraison des futurs rails à Brossard. J'ai bien hâte de les voir installés cet été !!
  24. https://www.lapresse.ca/actualites/grand-montreal/201905/01/01-5224270-transports-collectifs-finis-les-passages-uniques-a-325-.php Publié le 01 mai 2019 à 18h03 | Mis à jour à 19h30 Transports collectifs: finis les passages uniques à 3,25 $ BRUNO BISSON La Presse Le passage unique à 3,25 $ sur les réseaux de transports collectifs de Montréal, Longueuil et Laval, c'est fini. Enfin, ce le sera à partir du 1er juillet avec l'entrée en vigueur de la nouvelle grille tarifaire des transports collectifs de la grande région métropolitaine. Le coût du passage unique, qui n'avait pas bougé depuis 5 à 7 ans, selon les territoires, va grimper à 3,50 $. Une augmentation de 7,7 %. L'immense majorité des usagers, qui utilisent un titre mensuel ou les achats de titres multiples, aura droit pour sa part à des augmentations beaucoup plus modestes de 1,5 à 2 %, au 1er juillet prochain. Le prix d'un titre mensuel de la Société de transport de Montréal ou du Réseau de transport de Longueuil sera plus élevé de 1,50 $, tandis qu'à Laval, la hausse sera de 2 $. Le coût des titres mensuels métropolitains augmentera pour sa part de 2 $ à 5 $, selon les zones de tarification. La grille tarifaire complète, qui fait 35 pages de long, est disponible sur le site internet de l'Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM). Société de transport de Montréal (STM) Tarif unique Actuel : 3,25 $ Au 1er juillet : 3,50 $ Titre mensuel Actuel : 85 $ Au 1er juillet : 86,50 $ Réseau de transport de Longueuil (RTL) Tarif unique Actuel : 3,25 $ Au 1er juillet : 3,50 $ Tarif mensuel Actuel : 98,50 $ Au 1er juillet : 100 $ Société de transport de Laval (STL) Tarif unique Actuel : 3,25 $ Au 1er juillet : 3,50 $ Tarif mensuel Actuel : 95 $ Au 1er juillet : 97 $ Titres métropolitains TRAM 1 (mensuel) Actuel : 98 $ Au 1er juillet : 100 $ TRAM 3 (mensuel) Actuel : 138 $ Au 1er juillet : 141 $ TRAM 5 (mensuel) Actuel : 170 $ Au 1er juillet : 173 $ TRAM 6 (mensuel) Actuel : 205 $ Au 1er juillet : 209 $ > Consultez le site internet de l'ARTM
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