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The AMT has quietly become the first transit agency in Quebec (and only the third in Canada behind Vancouver’s TransLink and Fredericton Transit) to add its routes and schedules to Google Transit.

 

Now, people using Google Maps to plan trips in Montreal will be given the option of using the train. Schedules for all five lines are included, but no buses so far. Google has some examples, like St. Jerome to Lucien-L’Allier station at 7pm (where the first available train is more than 12 hours later, assuming the next day is a weekday).

 

The search is still a bit clunky (it refuses to calculate routes from some general locations, and while it accepts “Gare Lucien L’Allier” as a location it doesn’t recognize “Gare Vendome” or “Gare Parc” or “Gare de la Concorde”), but it’s still pretty cool.

 

The next step is to see the STM, STL and RTL (as well as all the smaller AMT-run agencies) add their route information to the service. The STM already has a similar service with its clunky Tous Azimuts interface (which was nevertheless a technological breakthrough when it first came out). Hopefully converting data used in that service to Google’s Transit Feed Specification won’t be too difficult.

 

(Courtesy of Fagstein)

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  • 7 mois plus tard...
  • Administrateur

L’AMT confie ses deux express «haut de gamme» au privé

 

18 août 2008 - 23h45

 

La Presse

 

Bruno Bisson

Dans les sociétés de transport publiques, la moyenne d’âge des véhicules – tels que ceux-ci sur la photo – est deux fois plus élevée que celle des nouveaux autobus que l’on veut mettre en service.

Photo Ivanoh Demers, La Presse

 

L’Agence métropolitaine de transport (AMT) a confié à une entreprise privée, au cours de l’été, des contrats de plusieurs millions de dollars pour l’exploitation de deux circuits d’autobus express «haut de gamme», avec climatisation et plus de places assises. Et une grille tarifaire distincte, qui n’était pas disponible, hier soir.

 

L’AMT a confirmé à La Presse, hier, que le consortium Transdev-Limocar s’est vu attribuer pour cinq ans les contrats d’exploitation des nouveaux autobus express qui seront mis en service dès septembre prochain, et dont personne ou presque n’avait entendu parler avant le week-end dernier.

 

Le premier, l’Express de L’Île-des-Sœurs, fera la navette entre le nouveau campus industriel de Bell Canada, aménagé juste à l’entrée de Montréal, et les deux grands stationnements incitatifs de la Rive-Sud qui appartiennent à l’AMT, Chevrier et Panama.

 

Le second, l’Express Vaudreuil, créera une nouvelle liaison rapide entre la gare de train de banlieue de Vaudreuil-Dorion, où l’affluence est considérable, et le terminus Côte-Vertu, de l’AMT, situé juste à côté d’une station de métro, dans l’arrondissement de Saint-Laurent, au nord-ouest de Montréal.

 

 

 

Les deux services seront dispensés à des intervalles de 20 et 30 minutes, respectivement, durant les heures de pointe seulement.

 

La vice-présidente aux communications de l’AMT, Marie Gendron, a affirmé hier que l’exploitant de l’Express de L’Île-des-Sœurs, Transdev-Limocar, touchera une somme de 554 445$ par année, durant cinq ans, pour un minimum annuel de 3300 heures de service.

 

La valeur totale du contrat oscille autour de 2,8 millions.

 

Selon l’AMT, les frais d’exploitation de l’Express de L’Île-des-Sœurs seront assumés à 40% par Bell. L’AMT et la Ville de Longueuil partageront 10% de la facture. La moitié du financement proviendra du Fonds vert du gouvernement du Québec, qui subventionne les nouveaux services de transports en commun.

 

Mme Gendron n’a toutefois pu fournir les coûts d’exploitation prévus pour l’autre projet, l’Express Vaudreuil, ni les prévisions d’achalandage attendues, ni le seuil d’autofinancement espéré de ces projets de transports en commun.

 

Des autobus de luxe

 

L’attribution de ces contrats au secteur privé, en plein été, et les exigences d’exploitation très inhabituelles stipulées dans les appels d’offres de l’agence, on fait dire hier au vice-président du secteur Transports de la FTQ et des affiliés SCFP, Stéphane Lafrance, que «le transport en commun à deux vitesses» vient d’arriver à Montréal.

 

Cet appel d’offres exige que les autobus mis en service sur ces nouvelles lignes aient un âge moyen maximal de huit ans – et qu’aucun autobus n’ait plus de 10 ans de service. Ils doivent contenir au moins 38 places assises. Et ils pourraient bien être équipés de connexions internet. En janvier, ils devront tous être climatisés.

 

Dans les sociétés de transport publiques, la moyenne d’âge des véhicules est deux fois plus élevée (16 ans), et des autobus de type coach, qui ont près de 20 ans et qui fonctionnent toujours bien, roulent encore sur certaines lignes de la Société de transport de Montréal. Les autobus contiennent moins de 38 sièges. Le Wi-Fi est encore un mythe lointain. Et aucun, bien sûr, n’est climatisé.

 

Ces normes d’exploitation complètement inhabituelles, la concurrence des nouveaux services offerts par l’AMT avec ceux d’autres transporteurs publics, de même que la soudaineté avec laquelle ces projets ont été mis sur pied font jaser depuis hier dans les milieux des transports publics, de leurs syndicats et même des municipalités, à mesure que l’information se propage.

 

Hier, une source de La Presse affirmait que la Communauté métropolitaine de Montréal, qui chapeaute les dossiers des transports et de l’aménagement pour l’ensemble du territoire métropolitain, a demandé des explications à l’agence, qui relève du gouvernement du Québec, relativement à ces nouveaux services.

 

À l’AMT, hier, Mme Gendron a affirmé que la grille tarifaire particulière qui s’appliquera à ces nouveaux services a été soumise à l’attention de la CMM dès le mois de juin dernier. Mme Gendron ne pouvait toutefois retrouver trace de cette grille des tarifs, hier, en fin de journée. Un appel de La Presse à la Communauté métropolitaine de Montréal est resté sans réponse, hier.

 

 

 

 

 

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  • 2 semaines plus tard...
il va en avoir des navettes entre le C-V et Bell, mais si je ne me trompe pas, c'est Bell qui s'en charge.

 

 

En fait, la STM a créé une nouvelle ligne qui va relier le centre-ville au campus de Bell aux heures de pointe. Hors-pointe, une navette privée fera le trajet.

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Transport minister suspends 'two-tier' commuter bus routes

Local transit authority to run Vaudreuil line

AMY LUFT, The Gazette

Published: 9 hours ago

 

Two new express bus routes, one scheduled to begin tomorrow, have been suspended.

 

The service, set to offer luxury coaches to commuters from Vaudreuil and Longueuil, has been called off after complaints that the Metropolitan Transit Agency did not respect Quebec transport ministry procedures, transit minister Julie Boulet said Friday.

 

The price of fares, Boulet said, had not yet been approved by the Montreal Metropolitain Community, a public group overseeing regional issues such as transit.

 

The announcement came after the MTA awarded a five-year, $2.8 million contract to a private company, Transdev Limocar, to offer bus service on the new lines.

 

The routes, which were set to start tomorrow in Vaudreuil and Sept. 15 in Longueuil, came under scrutiny last week by critics who said the new fleet of luxury buses created a two-tier system.

 

The new coach buses would include air conditioning, toilets and wireless Internet access.

 

The suggested fares for the Vaudreuil to Côte Vertu line are $4.75 per trip or $95.50 a month, while the Longueuil to Nuns' Island route was suggested at $5.25 per trip or $74 per month.

 

"We need to be vigilant and fight to maintain a public service which is accessible, efficient and most of all fair," said Stéphane Lachance of the Canadian Union of Public Employees' transport workers' division.

 

Lachance said last week that the new coach-style buses are unfair for taxpayers.

 

"On the one hand, the MTA is taking its revenues from (fees for) drivers' licences and tax on gasoline and, on the other hand, it's subsidizing a privately run, high-class service that's not available to everyone."

 

A no-frills service will be offered beginning tomorrow on the Vaudreuil line by the Conseil intermunicipal de transport La Presqu'Île, which provides local transit for the Vaudreuil area.

 

aluft@thegazette.canwest.com

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  • 2 mois plus tard...

Les choix budgétaires de l'AMT remis en question

 

Photo: Alain Roberge, La Presse

Bruno Bisson

La Presse

 

 

La Ville de Montréal réclame une révision à la baisse des budgets de dépenses de l'Agence métropolitaine de transport (AMT) et l'abandon de plusieurs études sur des projets de transports en commun qui «sont en contradiction» avec son plan de transport.

 

Dans un document de 13 pages d'une rare virulence, que La Presse a obtenu, la Ville et la Société de transport de Montréal (STM) affirment que les dépenses de l'AMT, qui relève du gouvernement du Québec, ne reflètent «aucun effort de rationalisation pour atténuer la pression financière sur les municipalités et les organismes de transport».

 

Montréal conteste aussi la décision de l'AMT de plafonner pour 2009 les subventions «à l'aide métropolitaine», malgré l'augmentation des revenus anticipés grâce à une hausse moyenne de 3,5% de ses tarifs.

 

La Ville de Montréal et la STM estiment ainsi que des «choix budgétaires» que fait l'AMT pour équilibrer ses propres finances occasionneront un manque à gagner estimé à environ 5 millions pour 2008 et 2009, et ce, seulement pour le fonctionnement du métro.

 

 

La Ville et la STM réclament enfin que l'agence gouvernementale prenne en considération les projets et les orientations du Plan de transport de Montréal, adopté au printemps.

 

À titre d'exemple, Montréal réclame la mise en chantier, dès 2009, d'un autobus express sur le boulevard Pie-IX, alors que l'AMT ne prévoit qu'une étude sur la pertinence d'aménager un tramway ou un train léger (SLR) dans le même axe.

 

Montréal n'est pas seul à se plaindre du coût de plus en plus élevé des projets de l'AMT. Deux semaines après que la Ville et la STM eurent envoyé leur document, le comité exécutif de la Communauté métropolitaine de Montréal (CMM) a aussi réclamé que les subventions aux organismes de transport soient «déplafonnées», sous peine de désaveu par les élus de la CMM.

 

La CMM, organisme public de concertation régionale, exerce des compétences importantes en matière d'aménagement et de transport dans les 82 municipalités de la métropole. Elle a le pouvoir de s'opposer aux tarifs décrétés par l'AMT dans ses autobus et trains de banlieue et au budget de dépenses annuelles de l'agence. Les municipalités de la CMM verseront un peu plus de 40 millions au budget d'exploitation de l'AMT, qui s'élève pour l'an prochain à 294 millions.

 

Des projets coûteux

 

Si la Ville remet en question les choix budgétaires de l'AMT, qui auront notamment pour effet de faire grimper de 14% la facture liée au fonctionnement des trains de banlieue pour les municipalités, elle et la STM en ont surtout contre les grands projets d'investissement de l'agence.

 

Par exemple, Montréal critique la décision de l'AMT de créer un bureau qui étudiera plusieurs circuits de tramways ou de trains légers.

 

«La plupart des axes de SLR qui seront examinés ne sont pas considérés comme prioritaires par le Plan de transport de Montréal, font remarquer la Ville et la STM. En revanche, les axes priorisés par Montréal et la STM ne sont pas prioritaires dans la programmation des investissements de l'AMT.»

 

Le cas du projet de prolongement vers l'est de la ligne de métro 5 (bleue) montre avec encore plus d'évidence le fossé qui sépare la Ville de Montréal et l'AMT.

 

«Le plan de transport de la Ville de Montréal propose un prolongement de la ligne 5 jusqu'au boulevard Pie-IX (une station) d'ici 5 ans, dit le document. L'AMT propose une étude du prolongement de la ligne 5 jusqu'à la rue Viau (deux stations), en vue d'une réalisation éventuelle. L'échéancier de réalisation n'est pas le même» pour l'AMT et pour Montréal.

 

En entrevue, la vice-présidente aux communications de l'AMT, Marie Gendron, rétorque que les municipalités de la CMM ont depuis longtemps été informées de l'insuffisance des fonds prévus aux budgets d'immobilisation de l'AMT et de la nécessité d'augmenter les contributions municipales aux nouveaux projets.

 

L'agence suggère ainsi de doubler les contributions des municipalités au développement des réseaux de transports en augmentant les contributions d'un cent par 100$ d'évaluation, calculées sur la masse foncière de chacune des villes. Les municipalités de la CMM ont toujours refusé.

 

Pour ce qui est des critiques de Montréal sur les projets qui sont à l'étude, Mme Gendron rappelle que c'est l'AMT qui a compétence sur le développement du métro et des infrastructures de transports en commun dans des axes métropolitains, comme le boulevard Pie-IX et l'avenue du Parc.

 

 

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Bon encore une chicane du bureau du petit maire tremblay qui priviligie sont bout de ville au lieu de devenir le leader du Grand Montréal et appuyer des projets pan-métropolitain.

 

La vision de l'AMT est pour toute la région métropolitaine et ne se limite pas au plateau.

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