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quand je suis passée il y a quelques semaines il y avait pas mal de monde au T et presque personne à l'autre...

 

j'ai remarqué que les grands médias n'ont pas encore sorti leur critique..j'imagine qu'ils font exprès d'attendre...sûrement que les critiques élogieuses auraient un effet positif sur l'achalandage...

 

c'et quand même une c!iss de belle idée, j'espère beaucoup que ça marche..

 

J'imagine que c'est un peu stratégique aussi. Pendant la saison des festivals, ce n'est pas la publicité et la visibilité qui va maquer. Quand ça va commencer à ralentir, là alors ils inveterons les journalistes pour donner un nouveau coup de pédale.

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ARTICLE DAN LE VOIR - 29 juillet 2010 Gildas Meneu

 

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Christine Lamarche et le chef Normand Laprise sur le toit de leur nouveau resto en forme de tramway des temps modernes, la Brasserie T!.

Un autre resto s'est installé sur la place des Festivals. Bienvenue à la Brasserie T!, une brasserie française pilotée par l'équipe du Toqué!.

 

Tandis que ma collègue Andrée Harvey est allée essayer le resto voisin, le F Bar (dont la chronique est aussi publiée dans cette édition), je me suis porté volontaire pour tester le nouveau jouet de Normand Laprise, chef émérite et fondateur du célèbre restaurant Toqué!. Cette brasserie, c'est d'abord un étrange local tout en longueur, très lumineux, conçu, tout comme celui du F Bar, par les architectes Daoust Lestage. D'aucuns leur trouvent l'air de conteneurs déposés sur le trottoir; vus de devant, je leur trouve plutôt une ressemblance avec des wagons de tramway des temps modernes.

À l'intérieur, la déco est chaleureuse grâce à des tons d'orange et d'aubergine mettant en appétit. La terrasse donne directement sur la place: autant vous dire qu'en plein festival, c'est très animé et tout aussi bruyant. En salle, on parvient à trouver un peu de calme. La cuisine, elle, est dissimulée au sous-sol. C'est là qu'on prépare ce menu de brasserie très carnivore: cochonnailles, casse-croûte, tartares et plats classiques. Le grand chef se fait donc plaisir et fait un pied de nez à son image de restaurateur haut de gamme. Son équipe concocte plutôt le genre de cuisine qu'il a sans doute lui-même envie de savourer après une longue journée de travail. Simple et sympathique.

 

Au menu

 

En entrée, nous avons commandé une grande planche de charcuteries variées. Elles sont préparées maison, sauf le jambon. Un saucisson en brioche, délicieux. Des cretons de porc, traditionnels et grassouillets. Un cromesqui de tête fromagée tout à fait savoureux. Explication: il s'agit d'une charcuterie préparée à base de tête de porc, puis panée et frite. Dire que c'est riche relève du pléonasme, d'autant qu'on le sert avec une sauce gribiche, sorte de mayonnaise montée à l'oeuf cuit, rehaussée de cornichons et d'herbes fraîches. La touche Laprise, c'est aussi (et surtout) le choix des produits, comme ce prosciutto La Quercia élaboré par un couple de fermiers de l'Iowa (et, paraît-il, amish), vraiment remarquable.

 

Évidemment, toute brasserie a son tartare. Et comme vous le savez peut-être, c'est aussi l'obsession de votre chroniqueur. Ici, il est traité de façon très simple. Trop, même. Avis aux amateurs, il est haché très fin à la moulinette, comme on l'aime en Belgique. Par contre, il manque cruellement d'assaisonnement. Quelques échalotes émincées, du persil et trop peu d'huile d'olive. Heureusement, on peut toujours utiliser la moutarde des charcuteries pour lui donner un coup de fouet. En accompagnement, un mesclun de jeunes pousses à la vinaigrette mielleuse. Voilà un tartare qui ne fera pas l'unanimité en ville.

 

La coquille Saint-Jacques est un autre classique: pétoncles, épinards, crevettes et champignons de Paris s'entremêlent dans une sauce béchamel, cerclés d'un trait de purée de pommes de terre. Pas mal. La côte levée de porc est fidèle à la tradition: fondante, relevée d'une sauce BBQ sucrée et accompagnée de quelques frites (ordinaires) et d'une salade de chou.

 

La saucisse de Montréal, élaborée par l'équipe de Normand Laprise pour détrôner la saucisse de Toulouse, est succulente. À base de chair de pintade douce, elle est servie sur salade tiède d'oignons et de poivrons rouges fondus. À essayer.

 

Douceurs

 

Au moment des desserts, nous constatons que l'éclair a eu chaud; il faut dire que dehors, c'est la canicule. Il est recouvert d'un beau glaçage de chocolat noir et rempli de crème pâtissière. Le nougat glacé en pot ne restera pas dans les annales. Le taux de sucre élevé en assomme la délicatesse. Et le gâteau aux carottes? Ben, c'est un gâteau aux carottes.

 

Emballant /

 

Le soin apporté au choix des produits. Les cocktails très originaux. La carte des vins, intéressante. Les prix doux qui rendent l'expérience accessible.

 

Décevant /

 

Évidemment, quand on sait qu'on a affaire à Normand Laprise, le degré d'attente est élevé! Mais ici, on découvre une cuisine somme toute sans artifices. Disons que c'est davantage l'emplacement stratégique de la Brasserie T! et l'assurance de produits de qualité qui nous incite à y revenir, plutôt que sa créativité culinaire.

 

Combien? /

 

À midi comme en soirée, préparez au minimum une trentaine de dollars par personne.

 

Quand? /

 

Tous les jours, dès 11 h 30.

 

Où? /

 

Brasserie T!

1425, rue Jeanne-Mance, Montréal

514 282-0808, http://www.brasserie-t.com

 

 

http://www.voir.ca/publishing/article.aspx?zone=1&section=21&article=72193

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ARTICLE DANS LE VOIR - 29 juillet 2010 Andrée Harvey

 

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Le chef du F Bar, Gilles Herzog.

photo: Dominic Gauthier

Récemment ouvert dans le Quartier des spectacles, le F Bar offre, comme son grand frère le Ferreira café, une cuisine d'inspiration portugaise raffinée, mais conviviale à souhait.

 

Les festivaliers et amis de la Place des Arts n'ont eu longtemps d'autre choix, avant les spectacles, que d'aller manger à la foire alimentaire du Complexe Desjardins, au St-Hubert ou au Bâton Rouge. Heureusement, le nouveau Quartier des spectacles a fait naître des restaurants dignes de ce nom. Dernières ouvertures en date, il y a quelques semaines, on a vu la Jeanne-Mance accoucher de deux jumeaux (du moins de l'extérieur) qui jouxtent la paroi ouest du Musée d'art contemporain: le F Bar et la Brasserie T!. Tandis que mon complice Gildas Meneu vous raconte son expérience à la Brasserie T! dans cette même édition, il sera ici question du F Bar.

Petit frère du Ferreira Café, le F Bar, installé dans l'un des deux parallélépipèdes blancs conçus par la firme Daoust Lestage, est une réussite du point de vue de l'intégration à l'architecture du MAC. Plus long que large, des fenêtres à profusion qui permettent de zyeuter ce qui se passe à l'extérieur: on pourrait se croire dans un wagon de train. Un soir de canicule, nous avons pu observer depuis la terrasse un "show" improvisé d'enfants dont le jeu consistait à courir entre les jets d'eau syncopés qui jaillissent du sol, sur la place des Festivals. C'était rafraîchissant juste à les regarder.

 

L'espace intérieur du F est indéniablement élégant, avec ses beaux azulejos portugais (carreaux de céramique bleus et blancs) qui enjolivent le bar à l'entrée.

 

Les plats d'inspiration portugaise concoctés par le chef Gilles Herzog (anciennement au resto Derrière les fagots de Laval, tristement fermé) apportent une bonne dose de chaleur et de convivialité.

 

À table!

 

Le menu se cadence en cinq temps: petiscos (la version portugaise des tapas espagnoles), entrées, plats do tasco, c'est-à-dire les p'tites vites (bitoque, tartare, burger), tachos (mijotés servis dans des cocottes) et desserts.

 

Les calmars frits, un classique, sont bien réussis. Enrobés d'une fine pâte de maïs, ils sont servis avec une mayonnaise "limépicée" aux notes prédominantes d'agrumes. Pour l'été, la soupe glacée de pois verts et menthe est tout indiquée. Veloutée, rafraîchissante, délicate, elle est coiffée d'une écume de fromage de chèvre aérienne et flanquée de minces tranches de chorizo noir.

 

Du côté des mijotés, on ne se trompe pas si l'on choisit la cocotte de morue ou celle de cochon braisé. La morue, dans sa formule fraîche (et non salée comme le veut la tradition), est fondant en bouche. Il est déposé dans un bon jus de piment doux, à côté de tranches de fenouil et de pomme de terre confite au laurier. La pièce de viande (de l'échine), quant à elle, est accompagnée de grelots et de moules façon vinaigrette et parfumée par de la coriandre fraîche et de l'anis vert. Du comfort food réalisé avec grand soin.

 

Au moment de notre visite, le permis d'alcool n'avait pas encore été délivré par la Ville. Nous avons tout de même obtenu copie de la carte des vins et pouvons vous dire que sa particularité est d'offrir une quinzaine de vins portugais d'importation privée. Avis aux intéressés, le permis d'alcool est désormais acquis.

 

 

Petites douceurs

 

Les desserts du F font eux aussi de l'oeil au Portugal. Comme ces deux natas, des tartelettes traditionnelles aux oeufs. L'interprétation que fait le chef de ce classique? Il les sert tièdes et accompagnées d'un sorbet aux poires et d'un trait de caramel. C'est moelleux, réconfortant, doux. Un autre choix intéressant: le sablé au sel de l'Algarve, crémeux de dattes et yogourt de chèvre glacé.

 

Emballant /

 

Les mijotés d'inspiration portugaise, présentés dans des cassolettes. Et les desserts inspirés. L'endroit est idéal pour un lunch rapide ou un souper d'avant-spectacle.

 

Décevant /

 

Le service était vraiment chaotique. Le resto a ouvert le 29 juin, ceci explique peut-être cela, mais les propriétaires du Ferreira sont des restaurateurs aguerris. Le Quartier des spectacles est vibrant d'activité au coeur de l'été et on était impatient de l'essayer sans attendre, tout comme sans doute nombre d'autres montréalais...

 

Combien? /

 

Environ 90 $ pour deux, avant vin, taxes et service. Abordable, compte tenu de la qualité de la cuisine.

 

Quand? /

 

Ouvert tous les jours, midi et soir.

 

Où? /

 

F Bar

1485, rue Jeanne-Mance, Montréal

514 289-4558, http://www.fbar.ca

 

http://www.voir.ca/publishing/article.aspx?zone=1&section=21&article=72202

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  • 2 semaines plus tard...

Une bonne critique du bistro T! dans le Hour:

 

 

---

July 22nd, 2010

 

 

 

The Quartier des Spectacles adds another good look - and taste - to its roster: Brasserie T!

photo: Melora Koepke

 

Toqué!'s Normand Laprise brings full-on flavour and modern style to his new Brasserie T!

 

For some reason that I'll never be able to fathom, we were able to get a table last Saturday night at Brasserie T! Without a reservation and in the middle of rush hour and Just For Laughs. We tourist-watched while we ate, right next to the spot where, as we were leaving, a guy was shot out of a cannon. Quite the digestif.

 

The only thing this city loves more than a festival of clowns is Normand Laprise, so it makes sense that Laprise's new venture, called Brasserie T!, with the exclamation mark just like Toqué!, would be the pièce de résistance of the newly refurbished Quartier des Spectacles. The space itself is pretty cool, a prefab glass box plunked right in front of where we used to wait in line for the 80 bus. Its look is somewhere between a Duchamp readymade and a trailer, but it works. So does the menu, which leans heavily on the classics, with prices that are right as rain. The place has been open for three weeks already, but they just got their liquor licence last week - I'd like to thank whoever was inspired to put a Montagne-St-Émilion by the glass for $14 on the wine list. A rare treat.

 

Some critics have enthused that the T! menu is a way to experience a micro-version of Laprise's cuisine, but I'm not sure I agree: A Toqué! meal is still the enduring highlight of Montreal eating, while I wouldn't say the same here. Certainly, kitchen standards are high: Every ingredient on the menu is thoroughly sourced and dishes are well-executed, if not always thrilling.

 

After an amuse-bouche

of rather standard fondue parmesan, we ordered a couple of things from the abundant selection of charcuteries: The foie gras terrine was fresh and tasted of itself, but the true standout was the duck terrine, which was the tastiest I've had in this city.

 

For mains, a first choice was pan-fried bacon with vegetables, but they were out - so my friend had the "Montreal sausages." We had to ask: The waiter explained that saucisses de Toulouse were so famous that Laprise hoped "in 20 years that Montreal would be known for their sausages, like Toulouse." The sausage was indeed special: tender casings filled with guinea fowl, with a lovely crumbling texture and taste as though they had been stuffed to order.

 

We had a vegetarian in the mix who didn't have much to choose from on the meaty menu, but contented herself with some runny eggs and beautifully sautéed mushrooms. We also ordered ribs and fries - the ribs were dressed with a sauce the waiter called "sauce pb" - sauce pas bon, as in, not good for you, full of all the good/bad stuff ribs are supposed to be slathered with. I swear, after having ribs at Balmoral a few weeks ago and those old standards at Baton Rouge, they should be calling this block the Quartier des Côtes Levées, but there's no doubt that Laprise's are the best. Sides of fries and haricots verts dressed in butter were impeccable, as was a dessert of madeleines wrapped in a napkin as we scurried off to beat the rain and just in time to see a true human cannonball.

 

Brasserie T!

1425 Jeanne-Mance; (514) 282-0808

Dinner for two, before tax, tip and beverage: $40

 

 

http://www.hour.ca/food/food.aspx?iIDArticle=20173

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Et une autre bonne critique pour le F! Décidement...

 

*

 

L'aquarium de Carlos

Philippe Mollé 13 août 2010

 

Le bistro F est moderne, l’éclairage ainsi que les sièges et le bar à l’entrée, sur la photo, s’harmonisent avec l’esprit des lieux.

On l'attendait et il est arrivé, le nouveau bistro de Carlos Ferreira. Installé à côté de l'autre restaurateur bien connu Normand Laprise, le F, tout en longueur, attire l'œil sur cette magnifique place des Spectacles nouvellement inaugurée à Montréal.

 

On pourrait aussi bien être à Lyon, à Barcelone ou à Bordeaux lorsque les jets d'eau viennent titiller le regard et nous permettre l'évasion que cet élément sait si bien communiquer.

 

Le bistro F est délibérément moderne, l'éclairage ainsi que les sièges et le bar à l'entrée s'harmonisant avec l'esprit des lieux. Quant à la disposition des tables, elle se veut simple, mais élégante. Napperons de papier promotionnel du comité du porto et serviettes de papier coton, qui ressemblent de près à du «vrai linge de table», donnent le ton, et les verres et la coutellerie sont de qualité.

 

Ferreira est allé chercher un chef de renom pour son nouveau restaurant: Gilles Herzog, qui officiait, dans son ancienne vie à Laval, au restaurant Derrière les fagots.

 

L'esprit du restaurant est d'abord portugais, mais avec un clin d'oeil au reste de l'Europe et au continent nord-américain. En souvenir de l'ami proche Daniel Boulud, on trouve au menu son hamburger au foie gras, que l'on propose ici au prix du bistro (19 $).

 

Le menu est attrayant et offre une nouveauté particulièrement intéressante dans le cas de certains plats: une version brève sous forme de tapas et une version longue pour ceux qui souhaitent faire durer le plaisir plus longtemps.

 

Mon invitée et moi optons pour un partage des plats, avec trois entrées et deux plats version longue pour les plats principaux. Le tout accompagné de vin de la région de l'Alentejo (shyra), d'une grande finesse malgré sa longueur en bouche et sa puissance.

 

La salade d'agrumes, aïoli safrané, moules et mâche (11 $) est fine et savoureuse. Le mélange subtil convient parfaitement au mollusque. La deuxième entrée, des pattes de cochon (sic) avec crevettes et condiments radis-câpres-persil (13 $), surprend à la lecture du menu et nécessite de la part de la serveuse une certaine explication.

 

En fait, on parle ici d'une terrine de pattes de cochon désossées, moulée en forme de boudin et servie fine comme un carpaccio. Le tout accompagné de crevettes assaisonnées.

 

Le mélange est sublime, avec cependant un peu trop de pattes de cochon à mon goût. Voilà un plat qui pourrait être servi seul tellement il est intéressant. La garniture de condiments vient juste adoucir le côté relevé des crevettes.

 

Les dernières tapas sont des calmars frits en croûte de maïs, servis avec une mayo-lime épicée (9 $).

 

Les calmars ne ressemblent en rien aux traditionnels calmars frits que l'on retrouve ailleurs. Passés dans le lait puis dans la poudre fine de farine de maïs, ils sont ensuite plongés dans l'huile pour ressortir croustillants. Un plat savoureux qui s'accompagne bien de la mayonnaise à la lime.

 

Le plat de veau avec escargots en persillade et concentré de tomate en polenta (21 $), tout comme les «short ribs» de bison avec patate douce, sucs d'orange (25 $), est servi dans un faitout en inox qui conserve la chaleur, mais difficilement accessible et peu pratique pour le client. Cependant, constatant cette difficulté, on nous propose des assiettes pour mieux apprécier la qualité des plats servis.

 

Le veau, sous forme de médaillon, est parfaitement cuit. Rosé, il repose sur la tranche de polenta moelleuse à la tomate. Les escargots se mélangent délicieusement à l'ensemble et on en apprécie tous les parfums. Un plat signature qui mérite les honneurs.

 

Le ribs de bison est braisé et s'accompagne d'un jus de braisage de patate douce et de zeste d'orange qui met en valeur le plat. Une viande qui, malgré une bonne cuisson, demeure, comme la bavette, assez filandreuse.

 

Les traditionnelles natas (petites tartelettes feuilletées portugaises) sont ici accompagnées d'une sauce caramel et d'un sorbet aux poires (9 $). Même si les natas ne sont pas faites «maison», elles sont fameuses et croustillantes à souhait. Le dessert «sablé à la fleur de sel de l'Algarve, crémeux de dattes et yogourt de chèvre» (10 $) est très fin. Le sablé au beurre laisse une pointe de sel en final et s'accorde bien avec le yogourt et le crémeux de dattes, qui est en fait un trait de purée de dattes.

 

Le bistrot F constitue assurément un attrait de plus pour le Montréal des arts et des spectacles. Il offre une cuisine simple mais goûteuse et un service courtois et professionnel qui permettent de lui prédire un franc succès. Le seul problème pour l'instant demeure l'accès au restaurant, mais nous savons que, pour accéder au paradis, il faut passer d'abord par le purgatoire.

 

***

 

-Restaurant F, 1458, rue Jeanne-Mance, Montréal, 514 289-4558.

-Prix payé le soir pour deux personnes avec une bouteille de vin, avant taxes et service: 158 $.

-Plus: une cuisine inventive avec une formule accessible à tous.

-Moins: le service des plats dans des récipients trop hauts.

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Justement, nous y étions ce soir. :-)

 

Entrée calmar frit, je partage avec ma convive un flétan noisetteux aux raisins et de la morue sauce au piment doux, arrosé de délicieuse sangria et un divin dessert, riz au lait aux framboises et sorbet orangé... nous avons eu une excellente table ce soir. Nous voulions aller au petit Toqué, mais c'était complet. Feirera fut somme toute une délicieuse alternative, moins occupé, très relaxe. Le tout pour un peu moins de $100.

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Ces additions sont une réussite pour la Place. Des améliorations à apporter par contre (on va leur laisser un peu de temps...): Entre lesdits restos et le mur bétonné du MACM, c'est moche. Faudrait "habiller" ça. Des fleurs, ou d'autres "agréments" visuels. Quand on est en dedans, la vue par les fenêtre côté est (vers le MACM) laisse à désirer.:stirthepot:

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Une autre critique de la brasserie T! courtoisie du Globe and Mail

 

http://www.theglobeandmail.com/life/food-and-wine/restaurant-review-brasserie-t-and-cava/article1674498/

 

The sad clown clawing at the window and rubbing his belly in feigned hunger was only an amuse bouche. Soon, costumed revellers bearing colourful torches paraded into view followed by stilted mummers in enormous gowns. It's festival season in Montreal and Le Grand Spectacle is in full effect outside the windows of Brasserie t!, Normand Laprise's ebullient new restaurant on the grounds of the Montreal Museum of Contemporary Art.

 

Chef Laprise will be familiar to readers of this newspaper for his frequent contributions to the Chef's Recipe column. His restaurant, Toque!, is entering its 17th year and remains one of Canada's culinary jewels. At t! he has eased up on many of the more challenging, labour-intensive and expensive dishes of the earlier establishment and created a classic brasserie menu that's affordable (nothing tops $20 and the amiable wine list has plenty of choices around the $40 mark) and often stunning.

 

The restaurant is housed in an unusual orange-accented glass rectangle that resembles an oversized bus shelter or an especially fancy airplane loading bridge. It is very bright and very loud inside in a way that you will find either festive or exhausting, depending on your appetite for rambunctious joie de vivre.

 

That playfulness extends to the menu, which opens with little snacks like fried cheese, fresh oysters and quite creamy devilled eggs – their luscious yolks are piped in in swirls, topped with finely chopped chives and a sprinkle of paprika. A less disciplined diner could make a meal of them.

 

Before the charcuterie arrives, tiny Mason jars of house-made gherkins and an incredibly thick honey mustard vinaigrette are deposited on the table. The zippy acidity of the former and the smooth, velvety sweetness of the latter act as worthy foils for the excellent cured meats. A dense, porky sausage inside a toasty little slice of brioche tastes like what happens to pigs in a blanket when they go to heaven. A version of pork cretons, the traditional Quebecois breakfast staple, is pretty much pure pork fat and therefore completely delicious.

 

Beyond the cured meats there are also some excellent raw dishes. The salmon tartare is particularly good thanks to the freshness of the fish and some expert seasoning. Your first taste is of herbs underpinned by an encroaching saltiness that is surpassed by the rich slickness of the salmon and finally a fading chili heat.

 

Not everything achieves such exalted levels, however. A goat cheese appetizer with roasted beets and a layer of mashed potatoes is oddly starchy and underwhelming, while the pork ribs – cooked as they should be: tender but not too tender – are saddled with an overly sweet barbecue sauce that lacks any real personality.

 

There was also some dissent at my table over the fries, which are cut a bit thicker than the gold standard (i.e., McDonald's) and cooked until really dark. Some thought they had a great homemade quality to them while the purists felt they were overdone. They reminded me of my French-Canadian grandmother's, so I loved them.

 

Laprise is not the only veteran Montreal chef to open a new restaurant this summer. Costas Spiliadis, the godfather of Greek cuisine in the city, has also launched Cava, a beguiling and beautiful new spot focusing on the earthy, robust food of the Greek mainland...

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Une autre critique de la brasserie T! courtoisie du Globe and Mail

 

http://www.theglobeandmail.com/life/food-and-wine/restaurant-review-brasserie-t-and-cava/article1674498/

 

 

There was also some dissent at my table over the fries, which are cut a bit thicker than the gold standard (i.e., McDonald's)

...

 

Leur standard c'est McDo???? ok, elles sont bonnes,mais un standard??????????:confused:

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