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Etienne

 

1- quelle dossier de langue?

 

2- La mafia etait toujours dans la construction dans les annees PQ.. pas grand choses change

 

3- l'economie va beaucoup mieux au Quebec que d'autre places. Tu devrais sortir du Quebec - pour voire comment les choses vont mals.

 

1- Le déclin du français à Montréal: phénomène très bien documenté...

 

2- Ce n'est pas le PQ qui est au pouvoir en ce moment... s'il était au pouvoir actuellement et ne faisait rien, je le critiquerais assurément.

 

3- Je m'en vais justement en Grèce au mois de juin :D

Modifié par étienne gougs
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Membres prolifiques

Je vais mettre mon petit grain de sel dans cette discussion et puis après je vais aller me coucher. Pierre Curzi dans ses statistiques ne s'inquiète que d'une chose : la langue française perd du terrian à Montréal et commence même à en perdre en banlieue au fur et à mesure que les immigrants atteignent un niveua de revenu suffisant pour s'installer en banlieue. personne (ni Curzi, ni moi ni qui que ce soit) ne veut que les immigrants cessent de parler leur langue entre eux. On ne les blâme pas non plus parce qu'ils sont attirés par l'anglais dont la force d'attraction est puissante : ce que Curzi fait, c'est d'attirer l'attention sur un "état des lieux" !! Maintenant, après ça il faut savoir si les francophones qui représentent toujours la majorité dans cette culture/nation/province veulent bien faire ce qu'il faut pour motiver la prévalence du français à Montréal. Si les Québécois francophones (la majorité) ne s'en inquiètent pas c'est peut-être qu'ils n'en ont rien à foutre et s'ils n'en ont rien à foutre Montréal deviendra tel que le prédit Curzi une ville dans laquelle le français deviendra de plus en plus marginal. Il n'y aura plus que les touristes états-uniens pour trouver à Montréal une "french flavor".

Ce qui risque d'arriver c'est que le fossé entre Montréal et le ROQ (le reste du Québec) va s'élargir au point qu'il deviendra impossible dans un avenir plus ou moins lointain de le combler.

En conclusion : la culture francophone québécoise ne mérite de survivre que si les Québécois le souhaitent. En ce moment, je suis assez d'accord avec le constat de Curzi et je m'inquiète de l'affaiblissement de l'influence de la culture et de la langue française du Québec à Montréal. Par contre, je n'en blâme ni les anglophones ni les allophones mais je nous blâme tous, nous les Québécois francophones : c'est à nous de faire l'effort nécéssaire pour rendre cette langue et cette culture attrayante. Seulement, est-ce possible ? Devons-nous continuer ou abdiquer ? nous battre ou rendre les armes et laisser tranquillement Montréal devenir un ville anglophone ?

Sur ce, bonne nuit...

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Yara : je suis bien d'accord pour me battre et faire respecter le français au Québec mais avec des québécois anti-français comme mark_ac, le débat risque d'être problématique non pas dans le ROC, mais dans le Québec même

 

3- Good..they don't speak french there.

 

On devrait abandonner le français car l'anglais est le number one language in the world, mais le grec, ça, ça ne dérange pas !?

 

As-tu été battu par des francophones dans ta jeunesse ?

As-tu été violé par des francophones dans ta jeunesse ?

 

Comment peux-tu détester une langue à ce point ?

 

Continue de creuser ta tombe...

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2- Ce n'est pas le PQ qui est au pouvoir en ce moment... s'il était au pouvoir actuellement et ne faisait rien, je le critiquerais assurément.

 

Ah oui? Est ce que tu critiquais le PQ à propos de la mafia dans le domaine de la construction dans les années 90??? JE le doute fortement! :rolleyes:

 

Ton allégiance au PQ te rend aveugle à plusieurs choses. Même si je suis un séparatiste, je suis capable de voir au travers de la bull-shit que le PQ aime brasser une fois de temps en temps...et cet article en est un parfait exemple! Je ne suis pas d'accord avec eux sur 100% de leurs déclarations/propositions/idées etc.etc.etc. et cela me permet d'être un peu plus objectif. JE suis assez objectif pour pouvoir dire que c'est de la bull-shit de la part du PQ...pareil comme je suis capable de dire que Jean Charest est un rat qui prends ses décisions selon les humeurs de la population!

 

Cet article dit que le français va prendre du recul sur l'île de Montréal, il ne dit pas que l'angalis prend plus de place. Aucune mention du fait que Montréal acceuille la majorité des immigrants, où il y en plusieurs qui sont des allophones.

 

Comme je disais plus tôt, c'est de la bull-shit, et tu le sais!

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Si le PQ est vraiment inquièt de cette situation, ils n'ont qu'à payer les cours de français à tout les immigrants qui arrivent au Québec. Forcer les nouveaux venus à prendre des cours aussitôt qu,ils arrivent au Québec.(on s'entends qui si on force les gens à prendre des cours de français, ces cours devront être absolument gratuits pour les personnes à qui on oblige de les prendre)

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Moi aussi je suis indépendantiste te pourtant je n'appuie plus le PQ parce que c'est un vieux parti qui a pris les mauvais plis de tous les vieux partis qui sont encroutés. Le peu de place qu'il réserve à la jeunesse et le fait qu'il est désormais de mauvais ton de contester le chef ou toutes les idées du programme prouvent que ce parti est sclérosé. Il est temps qu'un nouveau parti indépendantiste naisse mais là n'est pas le sujet.

 

Parce que je défends que les francophones sont plus insécures que réalistes - je suis anti-francophone?

Je vais te citer pour justifier l'insécurité des Québécois francophones :

 

...en Amérique du Nord, l'espagnol et la mandarin sont plus importants.

Si c'est vrai alors n'avons-nous pas raison d'être insécures ? Merci d'apporter de l'eau au moulin de nos revendications.

 

Les Quebecois sont francophones au Quebec a 82%.

Il ne s'agit pas du Québec mais de Montréal. C'est la plus importante ville du peuple québécois. Si elle devient de plus en plus anglophone elle risque de ne plus attirer les francophones du ROQ. C'est un cercle vicieux et le fossé entre Montréal et le ROQ se creusera de plus en plus. Montréal est la mal-aimée du ROQ : ce constat n'arrangera pas les choses : il risque de les empirer.

 

Pour certains, cet situation est inacceptable. Pour certains, on voudrait isoler le Quebec de cette influence.

Pour certains peut-être mais la promotion et la protection de la langue française n,a pas besoin de se faire par l'isolation. Protéger sa culture et sa langue n'est pas nécéssairement synonyme de fermeture d'esprit. Arrêtes de voir le mal partout. Pierre Curzi n'a jamais parlé d'isolation ni personne dans ce forum. Le Québec n'est tout de même pas la Corée du Nord.

 

Habsfan : j'ai vu Pierre Curzi à la télé au début de la semaine et il affirmait bien que l,anglais prennait de plus en plus de place à Montréal. Je le constate moi-même : je travaille beaucoup avec les étudiants de tous les quatiers de Montréal. Lorsque je rencontre des étudiants qui viennent d'cole francophone en quartiers multi-ethniques je remarque que les étudiants issus d'autres groupes linguistiques que les francophones parlent l'anglais entre eux -systématiquement !! Parce qu'ils parlent l'anglais, les francophones ne se mêlent pas à ces groupes. je vois systématiquement deux groupes : des élèves francophones d'un côté et des élèves parlant l'anglais d'un autre -et ce, dans une école francophone !! Il ne s'agit pas d'exception : je le vois tous le temps. Alors oui, la grande majorité des Montréalais parlent le fraçais mais utilisent l'anglais de préférence. Cela veut dire que nous échouons à faire du français la langue d'usage des Montréalais des autres groupes linguistiques que les francophones. Après ce constat la question à se poser est la suivante : est-ce que cette situation est réversible ? Je préfère penser positivement et suggérer aux Québécois de s'atteler au plus beau défi de la prochaine décénnie : faire de notre langue la langue d'usage à Montréal et pour ce faire il faut la rendre plus attrayante. Le défi du siècle !! Vraiment !!

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Yara, ce que je trouve louche c'Est quqe Curzi utilise univquement l'île de Montréal. Il n'inclus pas Laval ni Longueuil. Pourquoi utiliser Pointe-Claire ou Beaconsfield et non Longueuil?

 

PCQ ça aide à faire avancer son point. C'est trompeur de sa part. Ça fausse les donnés!

 

http://www.cyberpresse.ca/chroniqueurs/alain-dubuc/201004/09/01-4268714-les-angoisses-de-la-langue.php

 

Les angoissés de la langue

 

Alain Dubuc, collaboration spéciale

La Presse

 

«Esquisse du vrai visage du français au Québec.» C'est ainsi que Pierre Curzi, le porte-parole péquiste en matière de langue, a intitulé son étude sur l'état du français. Il y a un mot de trop dans le titre: vrai. Pas parce que l'étude est mensongère, mais parce qu'il n'y a pas de vérité absolue dans ce domaine complexe, coloré par nos réactions subjectives et nos sensibilités politiques.

 

Ce que M. Curzi propose, c'est une des lectures de la réalité linguistique, celle de la mouvance souverainiste, toujours plus inquiète. Est-il convaincant? Son rebrassage de chiffres connus confortera les angoissés de la langue. Mais les mêmes chiffres permettent une autre lecture, qui ne mène pas à conclure que Montréal s'anglicise.

 

 

 

Le chiffre qui a mobilisé les inquiets de la langue, repris par cette étude, c'est que la proportion des francophones est passée sous les seuils psychologiques de 50% sur l'île de Montréal et de 80% au Québec. Ce phénomène se retrouve dans tous les pays industrialisés, parce que l'immigration réduit le poids des populations de souche. Cela frappe autant les anglophones. Il est abusif de décrire cela comme un recul ou un déclin du français.

 

 

Les données de M. Curzi montrent que le nombre de Québécois dont la langue d'usage est le français augmente quatre fois plus que celle de l'anglais au Québec, et deux fois plus dans la grande région montréalaise. À une exception, l'île de Montréal elle-même, où les francophones sont en légère baisse et les anglophones en légère hausse. Là encore, la principale cause n'est pas linguistique, c'est le déménagement des francophones vers les banlieues.

 

Faute de baisse du français, l'étude, pour justifier l'inquiétude, doit aller sur un autre terrain, celui de sa hausse insuffisante. Elle montre que l'abandon de leur langue maternelle par les immigrants se fait autant en faveur de l'anglais que du français au Québec, même si les francophones sont beaucoup plus nombreux. C'est encore plus marqué à Montréal. Cela mène à la principale conclusion de l'étude sur la force du pouvoir d'attraction de l'anglais. Elle appelle quatre remarques.

 

Au plan statistique, l'étude affirme que, sur l'île, l'attraction de l'anglais était cinq fois plus forte. Le calcul qui a permis d'obtenir ce chiffre, qui permet un impressionnant effet de levier - le ratio de deux ratios d'un écart - est trop alambiqué pour être pris au sérieux.

 

Au plan historique, l'adoption d'une nouvelle langue d'usage chez un immigrant est l'aboutissement d'un long processus, qui peut prendre plus d'une génération. Les chiffres de 2006 ne reflètent pas l'attraction de l'anglais aujourd'hui, mais des choix faits souvent avant la loi 101. De nombreuses données, dont l'étude ne parle pas, montrent que les immigrants plus récents choisissent bien plus le français que l'anglais.

 

Au plan géographique, cette façon d'isoler l'île et de ne jamais regarder l'ensemble de la région métropolitaine ne donne pas un portrait linguistique fidèle de la zone urbaine. Il y a quelque chose de parfaitement arbitraire à inclure Pointe-Claire et pas Longueuil.

 

Enfin, au plan linguistique, les progrès du français ne se mesurent pas seulement par l'abandon de la langue d'origine, mais par la langue que l'on parle au travail, à l'école, au magasin, dans la rue: la langue publique. L'étude n'en parle pas.

 

Le français n'est pas menacé. Il a des défis. Surtout le poids de l'anglais comme lingua franca, et l'intégration plus difficile d'une immigration diversifiée. Ces défis sont très différents de ceux qu'affrontait la loi 101. Il y a quelque chose de déphasé à les aborder avec la même grille, le même langage, les mêmes peurs et les mêmes solutions qu'il y a 35 ans.

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:confused: Je vais aussi ajouter mon petit grain de sel, à mon tour, puisque je trouve un peu de temps pour me joindre à la discussion. Je commencerai de manière un peu ironique en me demandant quelle langue les gens qui habitent seuls parlent-ils à la maison?

 

En tenons-nous compte dans les statistiques? Autrement dit: en ville il y a une certaine majorité de personnes habitant seules, alors si elles parlent seules en quelle langue le font-elles? Tout ça pour dire que l'on peut faire dire plein de choses à des statistiques selon les critères choisis et le périmètre de l'étude.

 

Tout en étant fort sensible à la protection culturelle locale, je trouve qu'il y a un danger à toujours sonner l'alarme dès que quelqu'un décide de se poser des questions à saveur politique sur la culture du Québec.

 

On ne peut contrôler tous les paramètres du développement en même temps et l'immigration est une nécessité démographique incontournable pour le Québec afin qu'il protège notamment son poids politique dans la confédération. Il y a donc urgence de suivre la même cadence que le ROC.

 

Maintenant comme l'immigrant a tendance à s'installer là où on trouve le plus d'emplois potentiels, ils s'installent donc naturellement sur l'ile de Montréal. De là la concentration de parlant autre que le français en ville et les statistiques qu'on nous présente plus haut.

 

On ne peut et on ne doit pas essayer de contrôler la langue parlée à la maison puisque c'est du domaine privé. Mais on peut attirer plus de gens à l'extérieur de la ville et en région en créant des emplois et en développant les économies secondaires.

 

On a alors ici une piste concrète pour diluer la trop forte concentration "d'étrangers" parlant une autre langue en ville, qui dérange certains, mais en même temps un nouveau défi, soit de créer des emplois qui attireront les nouveaux arrivants partout au Québec.

 

C'est une simple équation mais vue sous cet angle elle pose un problème qui demande plus que des discussions, il faut de l'action et secouer la paresse de nos deux vieux partis politiques qui ne sont jamais intervenu de manière sérieuse à la racine du problème qui est posé ici.

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Until Anglophones and Allophones from countries where French is not a predominant second language, many of which have roots here for decades if not more than a century, stop getting treated like vermin or enemy combatants, don’t expect any increased integration into Quebec society on their parts. Furthermore, expect an increased brain-drain of non-Francophones to places where they don’t feel like second-rate citizens.

 

Mock cemetery erected at MUHC site

 

Superhospital represents 'death of Québécois' people: separatist group

 

By Max Harrold, The Gazette April 9, 2010 11:02 AM

 

MONTREAL -- A Quebec separatist group planted 101 wood crosses in the ground at the site in Notre Dame de Grâce of the yet-to-be built McGill University Health Centre in the night of Thursday to Friday, saying it was a symbolic graveyard of the Québécois people.

 

“This cemetery of crosses, in the image of cemeteries for soldiers fallen in the two Great Wars, represents the Québecois people who, after centuries of battle, are finally conceding to the English-speaking pressure on the continent,” read a statement emailed to The Gazette early Friday from the Comité d’action politique pour l’Indépendance nationale.

 

“(The mock cemetery) is accompanied by a banner claiming high and loud the death of a people, signalling that the MUHC represents nothing less than the death of the Québécois people, and it expresses the people’s rejection of an assimilation like that which they have always resisted until now in a continuous, and perhaps perpetual, struggle.”

 

The statement said there are several irrational motivations behind the construction of the $1.3 billion MUHC, including the high rate of medical students who train at the MUHC – which receives Quebec government funding -- and then go work outside of the province.

 

The MUHC is one of two new health centres to be built in the coming years. The other is Centre Hospitalier de l’Université de Montréal, to be located near Hôpital St-Luc.

 

There was no immediate reaction to the mock cemetery from the MUHC.

 

They’re building a world-class hospital for heaven’s sake. One where Francophone patients, just like anyone else, can be served in state of the art facilities in their language of choice for the purpose of preserving their own health! As I’ve said previously if we had three universities with medical faculties we would more than likely have three super-hospitals, regardless of the language of instruction. If the “money and ethnic vote”-based Jewish General Hospital is good enough for Jacques Parizeau, I think it’s a good indication this hospital debate should be long over.

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