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the thing is, toronto doesn't care about anything except how to bring more money, power, people and influence to toronto.

 

that's why they have 68-storey towers rising two km away from the financial district.

 

montreal seems to care about, weird, divisive, infinite discussions such as this one. that's why we have weird, infinite discussions instead of towers (le mackay).

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the thing is, toronto doesn't care about anything except how to bring more money, power, people and influence to toronto.

 

that's why they have 68-storey towers rising two km away from the financial district.

 

montreal seems to care about, weird, divisive, infinite discussions such as this one. that's why we have weird, infinite discussions instead of towers (le mackay).

 

Honnêtement, tu peux pas mêler le Mackay aux débats de sociétés, franchement ! Le Mackay a été cancellé parce que :

 

- Il ne cadrait pas avec le bâti actuel

- Ne respectait pas le plan d'urbanisme

- Ne faisait pas l'affaire de l'OCPM

- La ville a suivie les recommandations de l'OCPM qui a rendu son rapport la veille des élections municipales.

 

Et non pas parce que le promoteur est Indien et que la ville est d'héritage catholique et que Bumbaru parle français, mais a un nom de famille pas traditionnellement québécois français européen d'origine.

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Il ne cadrait pas avec le bâti actuel

 

Voilà un règlement qui me tappe sur les nerfs! Pouvons nous avoir une règlement plus vague? Pourrait il y avoir un règlement qui est plus chiant que ça? C'est pas comme cette tour avait été proposée au coin de Coloniale et Rachel en plein milieu du Plateau...on parle du crisse de Boul René-Léveque...à deux coins de rue du CCE.

 

Des règlements stupides comme celui ci ne serve qu'a donner des jobs à des fonctionnaires qui autrement en auraient pas. Quel gaspillage d'argent!

 

Ne respectait pas le plan d'urbanisme

 

Tu sais pourquoi ce projet ne respectait pas le plan d'urbanisme?! PCQ le promoteur a fait un effort pour protéger les maisons de ville en pierre grise. Il a voulu faire un bon geste pour la ville, et voici comment on le remercie!!!

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Le plus ridicule je crois c'est que les 3 maisons victoriennes sont dans du zonage qui aurait permis le 34 étages alors que le reste du terrain (où était prévue la tour) est dans un zonage moindre. C'est le monde à l'envers.

 

Le zonage moindre, même si en façade sur René-Lévesque aurait plus être fait là pour préserver les 2 maisons et en guise de compensation, permettre un zonage plus important sur une partie du terrain arrière pour permettre à un promoteur de rentabiliser son projet.

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Tu sais pourquoi ce projet ne respectait pas le plan d'urbanisme?! PCQ le promoteur a fait un effort pour protéger les maisons de ville en pierre grise. Il a voulu faire un bon geste pour la ville, et voici comment on le remercie!!!

 

Enfin, je ne crois pas que le promoteur avait le choix, il n'aurait probablement pas eu la permission de démolir ces maisons de toute manière.

 

Le zonage moindre, même si en façade sur René-Lévesque aurait plus être fait là pour préserver les 2 maisons et en guise de compensation, permettre un zonage plus important sur une partie du terrain arrière pour permettre à un promoteur de rentabiliser son projet.

 

Faut espérer que le nouveau plan d'urbanisme de Bergeron puisse accommoder ce genre de développement. Préservation de patrimoine: bonus de densité. Ou un truc du genre.

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c'est le mouvement et la volonté d'affirmation de la langue française qui a fait en sorte que le français a pris sa place, et non pas la volonté de discriminer la langue anglaise.

C'est vrai.

Cette attitude fermée est justement le produit d'une mentalité d'assiégiés qui nous est inculquée depuis des générations, d'ou' la méfiance envers l'étranger.

J'ai la naïveté de croire que la génération des jeunes d'aujourd'hui a plus d'ouverture à l'autre puisque cette génération-là est née et vit dans une ville multi-ethnique. En tous les cas, si je compare la jeunesse que mon ado traverse en ce moment avec la mienne c'est très différent : j'ai grandi dans une famille d'indépendantistes purs et durs. Mes frères se sont fait arrêtés dans les années 1960 parce qu'ils passaient des tracts du R.I.N. dans la rue et c'est avec une grande fièrté que mon père allait les chercher au poste de police. En comparaison, le père que je suis inculque à son fils qu'il n'y a aucune différence entre les individus si ce n'est la couleur de la peau ou la culture ce qui en soi au bout du compte est superficiel puisque le sang qui coule dans les veines de tous les humains est toujours de la même couleur.

 

Plus nous focusons (oops anglicisme ici?) sur "nous sommes entourés de toute part de ci ou de ça..." plus nous creusons notre propre tombe collective. Plus nous allons vers une attitude qui va dans le sens "peu importe ce que les autres autours sont, je vais vivre et prospérer en français, notre avenir n'est pas dicté par les autres cultures mais bien par notre propre attitude", plus nous allons attirer des conditions propices au développement de la langue française, et des gens viendront de partout pour faire de même.

J'ai un peu de difficulté avec ça. Ça frise le jovialisme selon moi. Je crois que la survie de notre langue et de notre culture doit inclure ces deux approches. Soyons fier de ce que nous sommes mais en même temps soyons vigilants.

 

Can we as a society stop worrying about language. Seriously over 80% of Quebeckers use French as their primary language - enough of this shit.

Eh bien ce n'est pas de la merde pour moi et probablement pour une bonne partie des francophones. Je suis étonné qu'il n'y en aie pas eu un seul ici pour relever ce commentaire désobligeant. Il y a dans toute société des problèmes divers qui doivent être l'objet d'une attention particulière. Ici la survie de la langue est l'un de ces problèmes. Certains citoyens peuvent et doivent s'occuper d'économie, d'éducation, de santé, etc et d'autres pendant ce temps-là peuvent consacrer leurs efforts à la préservation de la langue et de la culture française. Alors je dis : non !! il ne faut pas arrêter de s'inquiéter pour la langue. Tant qu'il y aura des anglophones qui penseront comme toi il y aura des francophones comme moi pour se trouver sur leur chemin. Tant qu'il y aura des anglophones pour penser comme toi il y aura urgence à se lever pour défendre cette langue et cette culture.

 

Pour ce qui est de la hauteur des édifices à Montréal je ne vois vraiment pas ce que ça vient faire dans le débat.

Modifié par yarabundi
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C'est vrai.

 

J'ai la naïveté de droire que la génération des jeunes d'aujourd'hui a plus d'ouverture à l'autre puisque cette génération-là est né et vit dans une ville multi-ethnique. En tous les cas, si je compare la jeunesse que mon ado traverse en ce moment à la maison avec la mienne c'est très différent : j'ai grandi dans une famille d'indépendantistes purs et durs. Mes frères se sont fait arrêtés dans les années 1960 parce qu'ils passaient des tracts du R.I.N. dans la rue et cmest avec une grande fièrté que mon père allait les chercher au poste de police. En comparaison, le père que je suis inculque à son fils qu'il n'y a aucune différence entre les individus si ce n'est la couleur de la peau ou la culture ce qui en soi au bout du compte est superficiel puisque le sang qui coule dans les veines de tous les humains est toujours de la même couleur.

 

 

J'ai un peu de difficulté avec ça. Ça frise le jovialisme selon moi. Je crois que la survie de notre langue et de notre culture doit inclure ces deux approches. Soyons fier de ce que nous sommes mais en même temps soyons vigilants.

 

 

Eh bien ce n'est pas de la merde pour moi et probablement pour une bonne part des francophones. Je suis étonné qu'il n'y en aie pas eu un seul ici pour relever ce commentaire désobligeant. Il y a dans toute société des problèmes divers qui doivent être l'objet d'une attention particulière. Ici la survie de la langue est l'un de ces problèmes. Certains citoyens peuvent et doivent s'occuper d'économie, d'éducation, de santé, etc et d'autres pendant ce temps-là peuvent consacrer leurs efforts à la préservation de la langue et de la culture française. Alors je dis : non !! il ne faut pas arrêter de s'inquiéter pour la langue. Tant qu'il y aura des anglophones qui penseront comme toi il y aura des francophones comme moi pour se trouver sur leur chemin. Tant qu'il y aura des anglophones pour penser comme toi il y aura urgence à se lever pour défendre cette langue et cette culture.

 

Pour ce qui est de la hauteur des édifices à Montréal je ne vois vraiment pas ce que ça vient faire dans le débat.

 

Tout à fait d'accord avec toi mon cher. TOUT À FAIT. Bravo ! Gens du Québec, debout simonac !

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  • 2 semaines plus tard...

Francisation des immigrants - Québec coupe encore

Le Devoir

jeudi 22 avril 2010

 

 

Robert Dutrisac - Québec — Après la fermeture de 30 classes de francisation décrétée par le ministère de l’Immigration et des Communautés culturelles (MICC), c’est au tour d’Emploi-Québec d’abolir des classes de français destinées aux immigrants en raison de compressions budgétaires.

 

Dans un document émanant de la Direction régionale de l’île-de-Montréal d’Emploi-Québec dont Le Devoir a obtenu copie, la responsable Francine Boissonneault écrit qu’« en 2010-2011, nous devrons réduire de manière significative l’offre globale de formation à temps partiel en francisation en raison des restrictions budgétaires du FDMT [Fonds de développement du marché du travail] prévues à Emploi-Québec ». Jugeant utiles ces cours de français conçus pour les travailleurs immigrants, la responsable a tenté d’obtenir du financement d’un autre organisme gouvernemental, mais sans succès.

 

Représentant un peu moins de 600 000 $, ces coupes dans la francisation des immigrants visent 35 classes à temps partiel, réparties dans trois cégeps de la région de Montréal. Elles touchent 1050 travailleurs immigrants.

Au cabinet du ministre de l’Emploi et de la Solidarité sociale, Sam Hamad, on reconnaît qu’Emploi-Québec sera touché par des compressions. Mais elles devraient être connues plus tard, a indiqué l’attaché de presse du ministre, Alexandre Boucher. « Ce ne sera pas draconien », a-t-il dit.

 

Selon les données du ministère, le gouvernement consacrera 1,287 milliard en mesures actives d’emploi pour l’année en cours, soit 13 millions de moins que l’an dernier. De cette somme, le Fonds de développement du marché du travail, qui finançait les cours de français réservés aux travailleurs immigrants, perd 8 millions sur un budget qui s’élèvera cette année à 743 millions.

 

Ces classes de français destinées aux travailleurs immigrants figuraient pourtant sur la liste des mesures arrêtées lors du Rendez-vous des gens d’affaires et des partenaires socioéconomiques. Organisée par le ministère de la Culture et des Communications, cette rencontre, qui s’est déroulée en grande pompe à Montréal en octobre 2008, cherchait à définir des moyens pour renforcer la présence du français dans les entreprises comptant de 11 à 49 employés de la grande région de Montréal. Quelque 250 représentants du milieu des affaires et du monde syndical, des députés et ministres, ainsi que le maire de Montréal, Gérald Tremblay, avaient pris part à l’échange réglé comme du papier à musique. L’aréopage avait accouché d’une Stratégie commune d’intervention pour Montréal 2008-2013 qu’avaient signée, notamment, le premier ministre Jean Charest, Sam Hamad, la ministre responsable de la Charte de la langue française, Christine St-Pierre, la ministre de l’Immigration et des Communautés culturelles, Yolande James, et la présidente de la Chambre de commerce du Montréal métropolitain (CCMM) à l’époque, Isabelle Hudon.

 

Il y a deux semaines, l’actuel président de la CCMM, Michel Leblanc, a dressé un premier bilan positif des mesures mises en oeuvre depuis octobre 2008 et qui doivent se poursuivre, en principe, pendant cinq ans. « Après une première année de mise en oeuvre, nous constatons que les moyens concrets mis en avant [sic] pour appuyer les petites entreprises dans leurs efforts de francisation commencent à porter des fruits. La mobilisation des milieux d’affaires, des partenaires socioéconomiques et du gouvernement s’est avérée fructueuse et nos efforts conjoints seront maintenus de façon soutenue », avait déclaré Michel Leblanc dans un communiqué.

 

De son côté, Christine St-Pierre faisait valoir que « le nombre de ministères et d’organismes publics qui collaborent à cette démarche ainsi que la diversité des mesures mises en place témoignent de la détermination et du profond engagement du gouvernement dans le dossier linguistique ».

 

Cette coupe dans la francisation des immigrants à Emploi-Québec s’ajoute à celle imposée au début du mois par le ministère de l’Immigration et des Communautés culturelles (MICC). Ainsi, 30 classes à temps complet — le ministère avait indiqué au départ qu’il y en avait 31 — ont été abolies, pour des économies annuelles de 5 millions, soit 21 classes de français écrit et 9 classes de perfectionnement en français oral. Il s’agit de 10 % des classes de français à temps complet que le MICC offrait l’an dernier aux nouveaux arrivants.

Le président du Syndicat des professeurs de l’État du Québec (SPEQ), Luc Perron, avait dénoncé cette compression. La FTQ avait qualifié cette coupe « d’économie de bouts de chandelles ». La députée de Rosemont et porte-parole de l’opposition officielle en matière d’immigration, Louise Beaudoin, jugeait « complètement aberrant » que le gouvernement abolisse ces cours de français alors qu’une étude, commandée par le député de Borduas, Pierre Curzi, concluait à l’anglicisation de la région de Montréal. Le 12 avril dernier, environ 2000 personnes avaient manifesté devant les bureaux de la ministre James à Montréal. Depuis, une pétition circule sur le Web pour exiger que Yolande James élimine « du périmètre des compressions gouvernementales toute activité reliée au processus d’intégration des nouveaux arrivants ». À ce jour, 1652 personnes ont signé cette pétition.

 

 

 

http://www.ledevoir.com/politique/quebec/287467/francisation-des-immigrants-quebec-coupe-encore

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