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STM: Prolongement de la ligne 05 Bleue vers l'Est


mtlurb

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Si on attend qu'il n' y ait AUCUN risque de congestion sur les lignes connexes avant de construire la moindre nouvelle infrastructure, on fera rien, c'est sur en maudit. Arrêtons de tergiverser, construisons, et on entamera un cercle vertueux qui nous amènera inévitablement à construire d'autres infras pour accommoder le nouvel achalandage.

 

bien dit ! Le MTQ pas vraiment de vision de toute façon , pour que le gouvernement agissent il faut que le réseau soit complètement saturée ou que les infrastructure tombent en ruine.

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  • 2 semaines plus tard...

Un peu en lien avec le prolongement de la ligne bleue, c'est la première fois que je vois ce plan de l'ancien bureau de prolongement de métro. Intéressant de voir la ligne jaune prolongée à Édouard Montpetit et une autre ligne du Vieux-Port via McGill et Square-Victoria.

 

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Sur le plan, la ligne qui part de Bonaventure et qui passe par le Plateau pour rejoindre la ligne Bleue est l'équivalent de la ligne rose qui vient d'être proposée. À 40 ans environ de différence, les solutions proposées se ressemblent.

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Sur le plan, la ligne qui part de Bonaventure et qui passe par le Plateau pour rejoindre la ligne Bleue est l'équivalent de la ligne rose qui vient d'être proposée. À 40 ans environ de différence, les solutions proposées se ressemblent.

 

À 40 ans, les solutions se ressemblent, mais la répartition démographique a changé.

 

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Pourquoi la colonne de 98 000 personnes dans Saint-Laurent est deux fois plus haute que la colonne de 100 000 du Plateau ? Si ce n'est pour donner une fausse impression.

En 1966 une bonne partie de Saint-Laurent était encore en friche, sans oublier l'immense terrain occupé par le défunt aéroport.

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Les données/graphiques portant sur l'évolution de la population totale des arrondissements entre 1966 et 2011 sont utiles, mais il manque une dimension cruciale, notamment sous l'angle de l'évaluation des besoins de déplacements, soit: la répartition par groupes d'âges, ou, plus simplement, si on veut une donnée unique: la population active.

 

Quand par exemple on observe l'évolution de la population totale de l'arrondissement du Plateau Mont-Roral, on constate une forte baisse, qui s'est produite essentiellement durant les 15 premières années (1966-81), suivie d'une relative stabilité par la suite. Qu'est-il arrivé? Réponse: non pas une vague de démolitions, mais un «desserrement des ménages» (une expression consacrée, qui décrit un phénomème généralisé en Occident, et qui a fait l'objet de nombreuses études sérieuses). En clair, pour un quartier comme le Plateau, ça veut dire que des logements qui abritaient 5-6-7-8 personnes n'en renferment plus que une ou deux aujourd'hui. Par contre ces une ou deux personnes sont typiquement toutes deux dans les groupes d'âge «actifs» ayant à se déplacer quotidiennement sur de moyennes/longues distances, tandis que la famille typique des années 1950-60 comprenait plusieurs enfants qui restaient à la maison et/ou allaient à l'école à proximité. Conclusion sur ce point: la baisse de la population totale sur le Plateau n'implique pas une baisse correspondante de la demande de déplacements.

 

On pourrait faire le même exercice par arrondissement en se concentrant sur l'évolution de la «population active» proprement dite. Je suis certain que les résultats illustreraient des proportions différentes de celles qu'on obtient en considérant la population totale.

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C'est un très bon point. Cependant, il faut pas oublié deux dimensions: 1) les enfants, surtout les adolescents sont des grands usagers de transports en commun, car ils peuvent pas conduire. 2) Depuis 1966 la proportion de femmes sur le marché du travail a augmenté considérablement. Donc, d'un côté, il y a moins d'enfants, et de l'autre, probablement plus d'adultes sur le marché de l'emploi.

 

Les données/graphiques portant sur l'évolution de la population totale des arrondissements entre 1966 et 2011 sont utiles, mais il manque une dimension cruciale, notamment sous l'angle de l'évaluation des besoins de déplacements, soit: la répartition par groupes d'âges, ou, plus simplement, si on veut une donnée unique: la population active.

 

Quand par exemple on observe l'évolution de la population totale de l'arrondissement du Plateau Mont-Roral, on constate une forte baisse, qui s'est produite essentiellement durant les 15 premières années (1966-81), suivie d'une relative stabilité par la suite. Qu'est-il arrivé? Réponse: non pas une vague de démolitions, mais un «desserrement des ménages» (une expression consacrée, qui décrit un phénomème généralisé en Occident, et qui a fait l'objet de nombreuses études sérieuses). En clair, pour un quartier comme le Plateau, ça veut dire que des logements qui abritaient 5-6-7-8 personnes n'en renferment plus que une ou deux aujourd'hui. Par contre ces une ou deux personnes sont typiquement toutes deux dans les groupes d'âge «actifs» ayant à se déplacer quotidiennement sur de moyennes/longues distances, tandis que la famille typique des années 1950-60 comprenait plusieurs enfants qui restaient à la maison et/ou allaient à l'école à proximité. Conclusion sur ce point: la baisse de la population totale sur le Plateau n'implique pas une baisse correspondante de la demande de déplacements.

 

On pourrait faire le même exercice par arrondissement en se concentrant sur l'évolution de la «population active» proprement dite. Je suis certain que les résultats illustreraient des proportions différentes de celles qu'on obtient en considérant la population totale.

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C'est un très bon point. Cependant, il faut pas oublié deux dimensions: 1) les enfants, surtout les adolescents sont des grands usagers de transports en commun, car ils peuvent pas conduire. 2) Depuis 1966 la proportion de femmes sur le marché du travail a augmenté considérablement. Donc, d'un côté, il y a moins d'enfants, et de l'autre, probablement plus d'adultes sur le marché de l'emploi.

 

On se comprend:

 

1) Concernant «les adolescents qui sont des grands usagers des transport en commun»: les données par groupes d'âge fournissent cette information.

 

2) Concernant «la proportion (accrue) des femmes sur le marché du travail»: information obtenue par les données sur la population active.

 

On conviendra qu'en utilisant les données spécifiques ci-dessus, on obtiendra une bien meilleure représentation de la population susceptible d'utiliser les TEC. C'est un exercice simple et peu onéreux.

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